Nom complet ▲ pandore de balzac. Lieu de naissance ▲ nice. âge ▲ vingt-quatre ans. nationalité ▲ française. diplômes, études ▲ diplôme de journalisme. métier ▲ journaliste. statut matrimonial ▲ célibataire. orientation sexuelle ▲ bisexuelle. situation financière ▲ moyenne. idole(s) de vie ▲ grace kelly. nombre d'amis facebook ▲ 478. moyen de déplacement ▲ taxi, métro. groupe ▲ un autre monde. avatar ▲ jane levy. crédits ▲ tumblr.

ton personnage se promène dans un supermarché lorsque soudainement, un homme avec une cagoule pointe son arme sur les clients en criant qu'il s'agit d'un hold-up. sa réaction? ▲

c'est très simple. avec son apparence angélique et inoffensive, pan jouera d'abord à la pauvre et craintive petite fille. attendant seulement l'occasion de prouver à ce rigolo qu'elle sait se battre et désarmer un homme. le danger ? non, elle ne le craint pas. en fait, c'est bien une de ses caractéristiques : pan n'a peur de rien.

ton personnage se promène dans la rue lorsque soudainement, un chaton abandonné et maigrichon lui fait les yeux du chat potté. (you know what i mean). sa réaction? ▲

elle a beau faire le coeur dur, pandore le prendrait avec elle. elle résiste bien moins à un joli chaton qu'à un beau mec, en fait. l'idée de le laisser là ? loin d'elle, loin d'elle ! elle le prendrait. à voir si elle le garderait, mais le chat dormirait au moins une nuit au chaud.

aoutch, ton personnage se retrouve dans la rue. pas de job, pas d'appartement et pas d'argent.. et le tout du jour au lendemain. sa réaction? ▲

se débrouiller et ne rien dire à personne. elle a une fierté, le petite de balzac, peut-être un peu démesurée ce qui lui fera garder secret ce soudain changement. mimer, jouer la comédie, elle a l'habitude, elle est devenue maître dans cet art. personne ne se douterait de rien et loin de pandore l'idée de se plaindre de cette situation.

ton personnage se fait offrir 20 000€ .. que s'il dénonce le crime qu'a réalisé l'un de ses meilleurs potes. sa réaction? sa décision? ▲

refuser. pan a beau aimer profiter des uns et des autres, elle est loyale et l'amitié est une vraie valeur pour elle. alors non, elle ne délivrera rien du tout et ce même pour tout l'or du monde.

REQUIEM FOR A DREAM
À croire que quand on nait avec des parents pauvres et démunis, on veut à tout prix connaître le succès, la richesse, l'aboutissement d'une vie droite et sans embûches. Et à croire que quand vos parents ont déjà réussi leur vie, vous, vous rêvez de l'inverse. C'est ce qui lui est arrivé, à la belle. Des parents avocats, les deux, la gloire, l'argent, le succès. Mais Pandore, elle, voit sa vie autrement. Elle n'a que douze ans et déjà, elle veut s'enfuir. Enfant difficile, têtue et capricieuse, elle n'est pourtant pas méchante. Hyperactive, disait un médecin. En manque d'affection, disait le psy. Bref, quoiqu'il en soit, on n'a jamais trouvé ce qu'il clochait vraiment chez la petite Parisienne. Elle avait de bonne notes à l'école et ses professeurs n'ont jamais cessé de chanter ses louanges, d'ailleurs. Son prof de maths la voyait médecin ; celui de français déjà philosophe. Depuis petite, elle s'adapte, elle trompe, elle joue la comédie & piège tout le monde. Pandore, la plus maligne de tous. Elle décroche son bac avec mention très bien. Pourtant, elle sort tous les soirs. Très tôt, elle a découvert ce monde de débauche qui a saisit Paris comme une vague de mode. L'alcool, la drogue, le sexe. Elle rentre chez elle incognito. On ne se demande plus ce qui déraille chez elle car elle a apprit à le cacher. Victime d'une certaine bipolarité, elle ne veut pas se l'avouer et préfère continuer sa petite vie. Big, bang, tout feu tout flammes la petite blondinette. Elle ne sait pas trop quoi faire de sa vie alors elle entre dans une école de journalisme renommée dans le monde entier. Sur Paris, c'est bien facile de réussir, se disent les touristes. C'est faux.
Sur Paris et comme toutes les grandes villes, c'est surtout bien facile de tomber à la renverse de l'équilibre précaire qui s'installe.
Pandore – appelons-la Pan, elle déteste son prénom – un peu masculine, un peu garçon manqué, un peu provocatrice. Pan, celle qui se joue des autres sans se soucier des traces incandescentes laissées sur son passage. Mademoiselle de Balzac, l'appelle-t-on parfois quand on connait le haut rang de ses parents. Mais elle, ça l'insupporte. Mais elle, elle en a marre d'être connue pour ses parents. Elle ne veut pas de cet argent, elle ne veut pas de ce luxe.
Pandore, qui croyait jouer sur la roulette de la vie plus rapidement que le destin. Mais le destin a préféré choisir la prendre de court.
On n'échappe pas à la fatalité.

RUSSIAN ROULETTE
Elle a vingt-et-un ans. La semaine passée, elle était en quête d'un sujet polémiquant pour ses études. Elle a trouvé. Un vol à mains armées dans les chambres personnelles du président lui-même, où tout le personnel a été tué, sans savoir pourquoi est-ce que le président a été épargné. Comme une menace, comme une promesse de récidive. Elle s'en fiche, de toute cette actualité scandaleuse. Pourtant, c'est un sujet enflammé qui suscite beaucoup de crainte et dans les étudiants, elle est la seule à se risquer à tout taper, tout raconter de sa plume terriblement écorchée et crue. Saisissant, l'article qu'elle envoie alors sort et brusque. Il terrorise ; on craint une revanche, on craint que ça n'attise la colère des malfrats. Mais la belle n'a pas peur. Intouchable. On finit même par féliciter son audace. Voilà que pour la première fois, son inconscience est récompensée. Elle prend les compliments avec une modestie frivole. La semaine défile et rien ne se passe. Encore une fois, elle croit avoir gagné.
Huit jours plus tard, quand elle entre chez elle, elle découvre la porte forcée. À l'intérieur de la villa, tout est saccagé. Elle erre dans les pièces en cherchant ses parents mais la maison est vide. Sur la table, un bout de papier. Intact, où l'encre brille encore aux rayons meurtriers de ce soleil ingrat. Déchiré sur un côté. Quelques mots s'y alignent.
Elle qui croyait pouvoir prendre sans donner. Elle qui croyait pouvoir jouer sans risquer de perdre. Elle qui pensait qu'il suffisait de miser pour gagner. Elle caresse les courbes de ces lettres assassines en sachant qu'elle a déclenché un combat bien plus terrifiant que ce qui était prévu. Elle le relit, encore une fois.
C'est ta vie, ou la leur, beauté.

CLOSER TO THE EDGE
C'est signé Les trois F. Leur nom de code. Les trois bandits qui ont commis les crimes dans les appartements du Président. Ils étaient là. Il n'y a que quelques minutes; elle peut encore sentir leur odeur de voleurs. Le sang cogne à ses tempes. Elle a toujours cru que si on devait la punir, on s'en prendrait à elle. Voyez-vous, d'elle, elle s'en fiche. Mais qu'on touche aux autres par sa faute... elle ne peut le supporter. Elle aurait dû appeler les flics. Mais elle sait comment ça marche. Ce n'est pas écrit, mais si elle le fait, ils les tueront. Et elle a beau avoir vingt-et-un ans, elle sait qu'elle est prête à donner sa vie pour les sauver. Ils valent mieux qu'elle, n'est-ce pas ?
Ils la recontactent le lendemain. Par un coup de fil anonyme. Lui donnent rendez-vous dans une grande désinfectée, à trois heures de la capitale. La petite française y va. Seule. Elle n'a pas peur. C'est sûrement ce qui va la sauver. Ou peut-être plutôt la condamner.

SHINE BRIGHT LIKE A DIAMOND
C'est comme ça que ça se passe : elle arrive vers neuf heures huit. C'est l'hiver, le jour est levé mais à cause de la grisaille, on a l'impression qu'il fait encore nuit. Elle claque la porte de sa voiture et se dirige d'un pas ferme vers l'entrée. Elle entend un éclat de voix mais elle pense avoir rêvé. Puis il y a un coup de feu. Et un hurlement. Elle se met à courir et ouvre la porte à la volée. Dans la grande pièce, il y a trois silhouette : deux des bandits, sa mère, à genoux qui pleure sur le corps de son père d'où s'écoule un sang qu'elle devine encore chaud. La vision la saisit mais elle pointe un doigt accusateur vers eux. « Vous aviez dit ma vie contre la leur, je suis là, vous n'aviez pas le droit ! » Soudain, on la ceinture, mais le contact est presque doux et sensuel. « Tu crois être la seule à fixer les règles du jeu, poupée ? » lui susurre-t-on à l'oreille. Sa mère pleure, gémit, et lui lance un « Ma chérie, va t'en ! » Ah ah, super drôle maman, pense-t-elle au fond d'elle.
Il y a un instant où le temps est suspendu. Un instant où il semble s'être arrêté. Mais le cerveau de Pan, lui, ne s'est pas figé. Elle donne un violent coup de pied dans les parties sensibles de l'homme derrière-elle qui se plie avec un juron, lâchant... l'arme qu'il tenait. Elle s'en empare alors, la braquant vers les deux autres.
L'un des deux a déjà fait de même et la jauge. Le troisième, lui, n'a pas attendu et tire.
Non, pas sur elle, voyons. Mais sur sa mère, là, sous ses yeux. Un coup, puis deux, puis trois. Il esquisse un sourire machiavélique et satisfait, tandis que son acolyte jure contre lui. Pandore n'oubliera jamais cette image, mais elle n'a pas cillé. Elle profite de ces quelques secondes d'inattention pour les abattre, tous les deux, en commençant par celui qui a fait feu sur sa mère. Elle ne réfléchit pas. Elle tire. Une fois, trois fois, cinq fois..
Ils sont morts. Le silence règle. Elle distingue soudain un léger bruit derrière-elle et se retourne. Elle avait presque oublié celui qui était venu la tenir par derrière. Mais soudain, sa main tremble.
Dans les yeux du garçon, elle devine une peur insurmontable. Il n'est pas comme eux. Il a l'air d'avoir son âge, peut-être un peu plus. Il a l'air d'être terrorisé, et non pas résigné même s'il pense sans doute qu'elle va tirer aussi. Elle croise son regard et ne le lâche plus. Sa main tremblante lâche l'arme qui résonne en tombant au sol. Qu'a-t-elle fait ?
Derrière-elle, il y a quatre corps. Tout ça n'est arrivé que par sa faute. Le dernier n'a sûrement pas voulu en arriver jusque là. Peut-être croyait-il, comme elle, que la vie n'est qu'un jeu. Il a sûrement une famille, des amis, un avenir. Elle ferme les yeux et elle entend un murmure – peut-être la remercie-t-il.
Aux flics, elle leur dira que le troisième s'est enfuit, qu'il avait la face couverte, qu'elle n'a rien vu, qu'elle ne peut pas les aider.
Pourtant, elle n'oubliera jamais son visage.

TIME TO ESCAPE
Après ça s'en est suivi un long procès. Pandore, bien sûr, a été déclarée innocente – légitime défense – et le troisième bandit condamné mais malheureusement ... introuvable. L'année qui suivit cette histoire, les médias harcelèrent Pandore jour et nuit. « On veut connaître tous les détails ! » Mais elle avait déjà tout dit ! Sauf la fin où elle avait laissé s'enfuir l'autre.
On la croit remise, insensible, pourtant la jeune française a été beaucoup traumatisée par ce passage de sa vie. Elle sait que le meurtre de ses parents est de sa faute. Elle a donc choisit de plus encore s'affirmer dans le monde du journalisme – comme si la leçon ne lui avait pas suffit. Comme si elle voulait continuer à se punir, toute seule. Mais elle avait bien du mal à reprendre une vie normale à Paris. Elle avait soif d'aventure. Soif d'inconnu, de renouveau.

T'es canon, t'as fini ta fiche et on peut officiellement tebouffer, te considérer comme un sexy ollpiens. Évidemment, on va pas t'laisser comme une âme en peine va, si tu peux dès à présent rp, tu peux et dois également gérer les différents services et demandes à ta disposition dans le coin approprié comme faire une demande de logement ou participer à la vie du forum si tu as des idées à proposer. Histoire de ne pas être forever alone, on te conseille de ne pas hésiter à envoyer des MP aux autres membres afin de commencer un sujet ou de se trouver un lien. D'ailleurs, si tu as envie de laisser faire le hasard, n'hésites surtout pas à faire une demande de RP ici. Tu peux également avoir une fiche de lien et répertorier tes différents sujets. D'ailleurs, n'oublie pas qu'en choisissant ton groupe tu as été automatiquement placé dans une équipe et que tu vas ainsi pouvoir gagner un tas de points pour elle, si tu veux plus d'information, viens donc faire un tour ici. Si tu as envie de rendre la vie de ton personnage plus excitante tu peux posséder un téléphone, un journal intime ou encore utiliser le système de mini-rp pour aller plus vite.
De plus on te conseille fortement de te rendre régulière sur il parait que pour suivre les potins et en poster à ton tour.
pour finir et parce qu'on t'as vachement assommé (mais là on veut bien te soigner ) consultes régulièrement le tumblr du forum pour être au courant des news.
Pas besoin de te préciser que la chatbox, le flood et notre boite mp est grande ouverte, surtout n'hésites pas, le plus important, c'est vraiment que tu sois bien et heureux parmi-nous.
aller encore bienvenue, on est ravis de t'avoir, maintenant on te lâchera plus, c'est fini pour toi

Tay, Ella, Camel, Harriet, Ana et Elie.