I can't get you outta my mind with the way you walk • vadim s. chesneau
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Sujet: I can't get you outta my mind with the way you walk • vadim s. chesneau Jeu 20 Déc - 1:24
Vadim
Tee-shirt échancré, jean, chapka, doudoune en poil de coyote, clope au bec, j’suis fin prêt pour décoller. Rendez-vous en vu. Bien sûr, j’suis en retard, comme toujours. J’men fou après tout. C’est juste pour voir un pote. Enfin pote est un bien grand mot. Un mec que j’ai rencontré au bar il y a peut-être deux semaines serait plus approprié. Néanmoins, j’suis content de revoir ce type. J’ai vraiment apprécié nos conversations la dernière fois. Ca fait un bail que j’avais pas accroché autant avec une personne et, j’sais pas, j’ai l’impression que je devais rencontrer ce mec. Il m’intrigue. J’veux le connaître. J’suis sûr qu’on est fait pour s’entendre. Enfin peut-être que j’me trompe après tout mais en tout cas, ce rendez-vous fixé est un bon prétexte pour sécher une nouvelle fois ma fac de langues. Bien évidemment, j’ai choisi de rencontrer ce mec en pleine après-midi. Tranquillité assurée au moins. Et puis, pour faire des photos, c’est mieux avec la lumière du jour. Quoi qu’en fait, il se pourrait bien qu’on les fasse chez lui. Ou non, j’pense qu’on bougera dans Paris. J’en sais trop rien. J’sais même pas si on va vraiment les faire ces photos. J’aimerai bien, ouai, mais à la base, c’était plus un prétexte pour revoir ce gars et devenir pote avec. Les amitiés, ça commence comme ça après tout. Du moins, je crois. Oh tiens ! Me voilà déjà devant l’immeuble du gars. Le douzième, j’connais assez bien donc j’ai pas galéré à m’y rendre. En plus, à coup de skate et de métro c’est ultra-rapide. Je scrute une affiche dans l’entrée qui parle de chat et de kit-kat ou un truc du genre, j’me mets à ricaner bêtement, puis quelqu’un ouvre la porte de l’immeuble. Je rentre, comme ça. Et.. merde, en montant les escaliers j’me rend compte que j’ai pas sonné et que je connais ni l’étage de Vadim, ni son numéro. Le con. SMS oblige : « J’suis là, quel étage ? ». Maintenant, j’ai plus qu’à espérer qu’il me réponde au plus vite. En attendant, j’pose mes fesses sur mon skate puis j’me roule un bon joint pour plus tard. Ah voilà. Mon Iphone s’éclaire pour m’indiquer que j’ai reçu un message. Je le lis, puis j’fonce au numéro et à l’étage indiqué. De là, j’croise le regard d’un Vadim qui m’attend au seuil de la porte. J’lui offre un high-five à l’américaine avant de rentrer chez lui sans aucune once de gêne. « Salut. Apparemment, y’a un chat zarbi nommé Kit Kat qui fume et qui se nourrit de mouchoirs dans ton immeuble. Tu le connais ? » Tous les moyens sont bons pour entamer la conversation. En attendant, j’dépose mon skate, j’enlève ma chapka et ma doudoune que j’lui refile comme s’il était mon hôte. « Bordel, il fait chaud chez toi. Tu m’offres à boire ? » Sans gêne, j’vous dit. En même temps, si j’ai bien cerné Vadim, il me ressemble pas mal niveau caractère donc il n’devrait pas mal prendre mon attitude. « Ça va au fait ? C’est sympa chez toi dis moi. Tu vis seul ? » Je marche vite fait dans les deux pièces principales, regardant les meubles, la décoration et cherchant surtout des photos.
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Sujet: Re: I can't get you outta my mind with the way you walk • vadim s. chesneau Ven 21 Déc - 16:47
J'avais commencé la journée tranquillement. J'voulais pas aller dehors ce jour-là. J'avais invité un gars que j'avais envie de revoir et d'en faire mon pote, mais me connaissant, si je partais prendre des photos, je verrais pas le temps passeer, et être en retard chez toi quand c'est toi qui invite, c'pas forcément bien vu. Enfin, pour le peu que je connais ce mec, il avait l'air de me ressembler, niveau caractère, donc il m'en aurait pas voulu. Alors j'avais passé ma marinée à retoucher la luminosité de mes photos prises pendant les derniers jours de grisaille, à traîner sur le net, à répondre à des sms et à des gens sur les réseaux sociaux. Y avait pas à dire, les gens étaient plus sympas et moins cons sur Twitter que sur Facebook. 'Fin bref, là n'était pas la question. J'étais resté en boxer une bonne partie de la matinée, parce que j'étais tout seul et que je me mettais à l'aise. Morgan était pas là mais j'me f'sais pas de souci pour lui. Il était surement en train de ronfler chez l'une de ses conquêtes de la veille. Il me f'sait souvent ce coup là. Mais il avait sa vie et moi la mienne. J'allais pas me transformer en copine jalouse non plus hein. J'esperais seulement qu'il aurait une bonne gueule de bois, ce connard. Vers midi j'me suis bougé le cul pour m'habiller, de façon simple mais efficace : un t-shirt sur un slim noir, un ptit coup de peigne pour me r'coiffer et c'était bon. Ouais je sais chuis pas drôle... J'me suis fouttu devant futurama avec un bol de nouilles chinoises, puis j'ai gratté un petit coup ma guitare jusqu'à ce que je sente mon Iphone vibrer dans ma poche. C'était Jim qui demandait quel étage j'habitais. Tin il était déjà là ! Je l'attendais pas de si tôt. J'lui ai indiqué l'étage et le palier, puis j'ai jeté mes trois chats dans ma chambre. Ouais parce qu'ils crachent et saute à la gueule de tous ceux qu'ils connaissent pas, ces débiles. Morgan a mis une semaine avant de pouvoir les approcher. Ils sont genre hyper protecteurs envers moi des fois j'me d'mande s'ils sont pas croisés avec des chiens de garde... J'ai ouvert la porte quelques secondes avant que Jim n'apparaisse dans les escaliers. Il a tendu la main et j'lui ai rendu son high five avec entrain. « Salut. Apparemment, y’a un chat zarbi nommé Kit Kat qui fume et qui se nourrit de mouchoirs dans ton immeuble. Tu le connais ? » a-t-il dit en me refilant ses affaires. Ouais, ce mec me ressemblait trop pour que j'le laisse filer sans rien essayer. Même manière d'agir, même manière de se foutre des règles et des codes. J'ai pose ses affaires sur le porte manteau accroché à la porte d'entrée en esquissant un sourire. « Ouais il est cool ce chat. Il vient souvent, on fume des joints ensembles. » Je savais que c'était une blague des voisins du dessus, ils étaient marants. De temps en temps, Morgan et moi on montait boire une bière chez eux. « Bordel, il fait chaud chez toi. Tu m’offres à boire ? » « Ouais j'sais, c'est moi qui fais monter la température, j'étais en boxer tout ce matin. » Un nouveau sourire en coin a étiré mes lèvres tandis que je me dirigeais vers le frigo. « Tu veux boire quoi ? » demandais-je, la tête dans le frigo, qui contenait plus d'alcool que d'nourriture. « Ça va au fait ? C’est sympa chez toi dis moi. Tu vis seul ? » « Ouais tranquille, et toi ? Non y a un autre mec qui vit avec moi, Morgan Gauthier, j'sais pas si tu le connais... » Je sentais qu'il scruttait les murs. Il devait chercher les photos, en même temps, c'était normal, il était quand même là pour un photoshoot, au départ. Il y avait quelques clichés affichés aux murs en guise de déco. C'étaient en général ceux dont j'étais plutôt fier. La plus grande photo de toutes représentait un mec aux bras tattoués, assis sur un mur, les pieds sur sa planche, un nuage de fumée provenant de son joint lui cachant le visage. C'était l'une de mes préferées, bien qu'elle ne soit pas originale ou exceptionnelle, j'aimais l'ambiance qui s'en dégageait. Le modèle était en fait Morgan, et je savais que lui aussi adorait cette photo. On voyait bien que toutes mes photos représentait mon univers, tournant autour du skate, des tatouages et du street art.
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Sujet: Re: I can't get you outta my mind with the way you walk • vadim s. chesneau Sam 22 Déc - 21:25
And there we are. M’voilà face à Vadim, au seuil de la porte de son logement, skate en main. Tchèque oblige. J’rentre sans attendre puis évoque l’affiche chelou repérée dans le hall de l’appart’. Apparemment, il connaîtrait le chat qui fume des joints et qui s’nourrit de mouchoirs. « Daaar. » ‘tain ça fait un bail que j’ai pas utilisé cette expression un peu démodée aujourd’hui et qui pourrait aisément être remplacée par un truc du genre « chanmé ». Bref, j’prends place dans l’appart’ de Vadim comme si c’était le mien en me débarrassant de mon skate, de ma doudoune et de ma chapka. Et tiens.. s’il m’offrait à boire au passage ça serait pas de refus car il fait genre supra méga chaud chez lui. Evidemment, il fallait qu’il réplique que c’est lui qui a fait grimper la température de l’appartement. Je ricane aussitôt. « J’ose même pas imaginer ce que t’as fais en boxer. » Je le regarde d’un air taquin qui peut également être interprété comme un air pervers. Dans l’fond, j’imagine qu’il s’est envoyé en l’air ou qu’il a fait mumuse en solo avec Popol. « Du jus d’ananas. » J’use d’un ton sarcastique pour que l’tatoué comprenne que c’est ironique et que j’suis pas du genre à boire du soft. « Plus sérieusement, du ‘sky si t’as sinon une bonne binouze fera l’affaire. » Qui n’a pas de bière dans son frigo, aujourd’hui, après tout ?! En attendant, je profite du fait que le jeune homme ait le nez plongé dans son frigo pour faire ma fouine dans son appartement. Je regarde bien entendu attentivement les décorations et j'me lance à la recherche de photos. « Hum.. non. Ça me dit rien. » Peut-être que si en fait. Il s’pourrait que je connaisse son coloc’. J’sais pas. J’ai une mémoire de poisson rouge. Inutile, par ailleurs, de répondre à la question « ça va », simple formalité. Ça y est ! Je viens de repérer un cliché particulièrement intéressant : un mec tatoué caché par un nuage de fumée provenant de son joint. Le style que je recherche pour mon photoshoot, qui servirait principalement aux réseaux sociaux style Facebook. « J’adore celle-là. » J’montre la photo accrochée au mur au jeune homme qui revient, boissons en mains. Je m’empare ensuite de l’alcool, en bois un peu, puis me cale sur le canapé du salon. Rien ne presse pour les photos. Ça peut attendre. D’abord, place à la détente. Et pour cela, alcool et joint semblent être une bonne solution. « Tu fumes ? » J’sors de derrière mon oreille le joint préparé quelques minutes auparavant et mon briquet d'ma poche avant de regarder le garçon, sourire en coin et fier de ma drogue. Puis, j’allume le joint sans même demander si j’peux fumer à l’intérieur. Ouai, au diable les bonnes manières.
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Sujet: Re: I can't get you outta my mind with the way you walk • vadim s. chesneau Lun 31 Déc - 1:03
Spoiler:
vraiment désolée pour le retard :/
Jim est officiellement rentré dans l'appart, sans aucune gène, ce qui n'est pas pour me déplaire, au contraire. Ce que ça peut être chiant d'avoir quelqu'un de coincé du cul chez soi ! Moi ça me met mal à l'aise, et c'est ce que j'déteste le plus au monde. Ouais dans le genre patient on a fait mieux. « J’ose même pas imaginer ce que t’as fais en boxer. » Je ricane doucement. « Tu sais pas ce que tu rates ! » Pas grand chose en fait. En général si j'me balade presque à poil dans l'appart c'est parce que j'm'y sens à l'aise et que j'ai plus la flemme de m'habiller qu'autre chose. J'le fait même quand Morgan est là, j'me fiche bien qu'il puisse me voir à poil. J'suis pas dans le genre pudique. Après pour certaines... activités dirons-nous, c'est sur que c'est plus pratique. La tête dans le frigo, j'entend Jim ironiser en me demandant du jus d'ananas, ce qui m'arrache un nouveau sourire en coin. Même son sens de l'humour ressemble au mien. On est fait pour s'entendre. « Plus sérieusement, du ‘sky si t’as sinon une bonne binouze fera l’affaire. » Je cherche alors du whisky puis j'me rappelle que j'ai oublié d'en racheter. On avait du finir la dernière bouteille à une fête improvisée, et depuis bah j'y avait plus pensé. J'm'insulte intérieurement puis ferme la porte du frigo d'une main, deux canettes de bière glissées entre les doigts de l'autre. J'les décapsule avec un briquet sorti de ma poche puis j'me dirige vers le salon. « Désolé j'ai zappé de racheter du 'sky. » En fait j'ai pas l'air si désolé que ça, mais bon, il f'ra avec, hein. C'est pas comme s'il était attaché aux règles de savoir vivre, non plus. J'lui parle de Morgan mais ça a pas l'air de lui dire grand chose. Enfin, peut-être qu'il l'a rencontré sans savoir son nom. Mon coloc est pas du genre à s'emmerder avec les présentations en soirée. Jim remarque une de mes photos accrochées aux murs, celle avec Morgan. Je souris. « Ouais moi aussi, d'ailleurs, même si tu vois pas sa tronche, c'est Morgan sur celle là. J'pourrais t'en faire dans ce style si c'est c'que tu recherches. » Je finis par lui passer un canette, avant d’entamer la mienne. Il s'installe sur le canapé et j'en fait de même. « Tu fumes ? » « Y a moyen ouais. » Je le regarde allumer son joint puis je tends la main, comme un gamin qui demande un bonbon au mec qu'a apporté le paquet à la récré. Jim a l'air de se sentir comme chez lui, c'est cool. Quand j'reçoit des gens, j'veux qu'il se sentent à l'aise.
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Sujet: Re: I can't get you outta my mind with the way you walk • vadim s. chesneau Lun 31 Déc - 2:58
En toute honnêteté, j’ai l’impression de voir mon double en face de moi. Vadim me ressemble beaucoup, physiquement le même style, mentalement le même genre de mec, mêmes habitudes, comportement similaire. Je crois que je pourrais compter nos différences sur les doigts de ma main. Enfin peut-être pas quand même mais ça m’trouble pas mal de voir en lui autant de similitude. J’adore et j’en veux plus. Il est comme une drogue. Pourtant, dans l’fond, j’le connais pas plus que ça. D’ailleurs, j’devrais peut-être me méfier. Si ça se trouve, il va me décevoir. Mais je ne suis plus du genre à me faire avoir. Généralement, c’est moi qui déçois maintenant. Enfin rarement ceux que j’estime ceci dit et pour l’instant, Vad’ en fait parti. Rien que le fait qu’il se soit baladé quasi à poil toute la matinée mérite mon respect. C’est du moi tout craché. J’l’imagine à ma manière, en calebut avec une bière devant un truc drôle et pas prise de tête du genre les Simpsons ou Futurama. Bon, bien sûr, il fallait que j’le charrie quant au fait qu’il ait fait augmenté la température de son appart’ grâce à sa chaleur corporelle, ce qui reste probable malgré tout. Il pourrait très bien avoir eu une activité sexuelle durant la matinée, quelle qu’elle soit. D'ailleurs, l’rasé fait planer le doute sur le ton de la plaisanterie. J’imagine que je ne saurais donc jamais la vérité sur ses activités matinales. « Hélas ! » Je me mets à rire à mon tour, pas un poil sérieux quant à mes propos. V’là que Vadim me demande ce que je désire boire. Je ne réfléchis pas et affirme vouloir du jus d’ananas. J’imagine que le garçon ne m’aura pas cru bien longtemps et aura capté mon humour douteux. Dans l’doute, je précise préféré du whisky ou une bonne bière. « T’inquiète, c’est parfait. J’suis pas trop exigent. Limite, tu me servirais de la pisse, je la boirais. Quoi que.. » Je me mets à rire face à mes conneries tandis que le garçon rapplique avec les canettes de bières et m’en donne une. « Santé ! » Je tape vite fait dans sa canette afin de trinquer tout en lui adressant un clin d’œil. Puis, je bois une bonne gorgée avant de lui montrer un cliché qui m’a tapé dans l’œil. Visiblement, c’est l’fameux Morgan représenté sur la photo d’après les précisions du tatoué. Bon à savoir. J’pourrai pas reconnaître le garçon à cause de la fumée néanmoins. « C’est exactement ça que je recherche, ouai. Parfois, j’me demande si tu lis pas dans mes pensées. » Ok, j’pars trop loin. Mais j’trouvais ça drôle. D’ailleurs, la tête du gars suite à mes propos l’est encore plus. « Dans l’doute, j’vais faire gaffe à ce que je pense. » Je continue d’être taquin et de rire. Pour l’instant, j’me sens vraiment comme chez moi, d’ailleurs, je n’hésite pas à m’installer sur son canapé et à m’allumer un joint. Bon, j’suis pas totalement malpoli non plus puisque je propose de lui faire partager mon shit. « Fais gaffe. Je l’ai bien dosé. » Je détache le joint de mes lèvres en recrachant une fine fumée puis le dépose dans les mains du photographe. Tout en buvant une nouvelle gorgée d’alcool, je ne quitte pas du regard le jeune homme histoire de voir comment il va réagir face à ma drogue. Normalement, il devrait tousser un petit coup. Et bingo ! Je rigole, tel un connard se marrant du malheur des autres. « Je t’avais prévenu. » Je reprends mon bien, tire une nouvelle latte, la garde en main, puis, je capte le tee-shirt un peu étrange du mec. « Oh comme c’est mignon ! Le minou est de sorti. » Il m’en faut pas plus pour éclater de rire. Du cannabis, un tee-shirt au motif suspect, une bonne bière, ça me suffit pour partir loin. Et j’crois que Vad’ aussi est loin. Une nouvelle latte et on sait pas ce qui pourrait arriver tiens.
HJ : pas de souci.
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Sujet: Re: I can't get you outta my mind with the way you walk • vadim s. chesneau Lun 31 Déc - 14:26
Y a une petite partie de moi qui me dit de pas m'emballer trop vite. Ce mec peut être tout le contraire de ce que je pense qu'il est. Je pourrais être franchement déçu. Mais est-ce que ça m'est déjà arrivé d'écouter cette petite voix de la raison ? Pas vraiment non. Je perds pas mon temps à réfléchir, moi je fonce dans le tas, et advienne que pourra. J'ai envie de mieux le connaître, c'est un truc de fou, je voudrais que ça aille tellement plus vite. Mais j'vais pas le brusquer, le pauvre petit. Quoiqu'il a pas l'air du mec qu'il faut prendre avec des pincettes, comme moi. Enfin, c'est ce que je laisse voir parce que ce putain de syndrome de Peter Pan est peut-être ce qui me différencie de lui. Si on me fait trop chier, je me braque et je fais la gueule comme un gamin. Je pète souvent des câbles, et à peu près tout ce qui me passe sous la main. Ouais je suis instable et je peux me transformer en tornade à tout moment. J'en ai bien conscience mais je peux rien y faire. Enfin faut pas que j'y pense, parce que c'est souvent comme ça que ça arrive. Jim pousse un « Hélas ! » et je rigole avec lui. J'lui apporte sa boisson en m'excusant de pas avoir de sky. « T’inquiète, c’est parfait. J’suis pas trop exigent. Limite, tu me servirais de la pisse, je la boirais. Quoi que.. » Je ris à nouveau, puis fait mine de réfléchir. Ouais j'pourrais tenter des trucs si un jour on passe une soirée ensembles. Il faut pas me donner des idées à moi, j'suis capable de tout, surtout une fois bourré. « C'est bon à savoir... » Ce mec est vraiment trop drôle. Il faut vraiment que j'en fasse un bon pote, et ça semble bien parti. « Santé ! » qu'il dit avant de trinquer. Je lui réponds avec un léger rictus avant de boire une gorgée en même temps que lui. J'lui parle de la photo qu'il a repéré sur le mur et j'lui propose d'en faire dans le même style pour son photoshoot. « C’est exactement ça que je recherche, ouai. Parfois, j’me demande si tu lis pas dans mes pensées. Dans l’doute, j’vais faire gaffe à ce que je pense. » Je ricane et prends un air ténébreux et mystérieux. « Ouais fais gaffe parce que y a encore beaucoup de choses sur moi que t'ignores. » Je me mets à rire à nouveau, même si c'est vrai que y a pas mal de choses que j'lui cache encore. Le fait que j'sois un peu dérangé, ou encore que j'aie trois chats enfermés dans ma chambre. Ma passion pour les chats est un peu décalée par rapport à mon style de vie. Tout le monde est toujours étonné quand j'en parle. Alors quoi ? Un mec tatoué peut pas aimer les chats ? Vive les stéréotypes ! Jim finit par me passer son joint. « Fais gaffe. Je l’ai bien dosé. » J'me fous bien de ses avertissements et tire une latte sur le shit. Je toussote légèrement, et le lui rends. « Je t’avais prévenu. » « Tsss c'est comme plein de choses dans la vie, c'est le premier coup qui fait mal, après ça passe tout seul ! » Ouais y avait pas mal de sous-entendus dans cette phrase - très philosophique en passant -, espérons qu'il relève ceux que je veux qu'il relève. Je sens son regard glisser sur mon T-shirt. « Oh comme c’est mignon ! Le minou est de sorti. » Je rigole, mais mon rire sonne de moins en moins intelligemment. C'est la drogue qui commence à faire effet, pour mon plus grand bonheur. On allait enfin pouvoir se lâcher. Je caresse mon torse et regarde le motif du T-shirt. « Ces minous-là sont les plus mignons du monde. J'sais pas ce que t'en penses, toi. » Le plus drôle, c'est de porter ce T-shirt dans la rue, et regarder la réactions des gens que tu croises. Quand les gamins font " oh maman regarde le chat ! " et que l'expression de leur mère passe du sourire tendre à l'expression outrée, c'est vraiment hilarant. Les gamins voient ce qui leur plait, et c'est pt'être pour ça que dans ma tête j'en suis resté un.
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Sujet: Re: I can't get you outta my mind with the way you walk • vadim s. chesneau Jeu 3 Jan - 0:11
Une amitié entre Vadim et moi semblent réellement naître au fur-et-à-mesure du temps qui passe. Je me retrouve en lui, je rigole à son humour et lui aux miens puis surtout j’me sens bien en sa compagnie. J’ai genre envie de squatter chez lui pendant un bon bout de temps. Jusqu’à ce que je m’en lasse en fait. Je fonctionne un peu comme ça. Mes potes, je les vois, j’en abuse, je m’en importune puis je reviens quelques temps plus tard. Ou alors c’est le contraire ; ils se lassent de moi. Je dois sérieusement en énerver plus d’un avec mon caractère à la con. Enfin j’suis un connard fini et mes amis le savent, c’est pas nouveau. Ils m’acceptent tel que je suis, je crois. Certains me comprennent, d’autres non. C’est comme ça. J’ai l’impression que Vad’ pourrait faire parti de la seconde catégorie. Il me ressemble tellement qu’il pourrait être apte à comprendre comment je fonctionne et pourquoi je fonctionne ainsi. Enfin j’en sais rien après tout. J’le connais pas depuis supra longtemps pour en juger. Mais en tout cas, j’ai l’impression qu’il arrive à lire dans mes pensées. Ça en devient limite flippant. J’me gêne pas d’ailleurs pour le lui faire savoir. Il m’affirme sur un air mystérieux qu’il est plein de ressources. « J’en doute pas. » Je le regarde d’un air sérieux. Il rigole. Un p’tit rictus se dessine alors sur mes lèvres. « J’aurai déjà déguerpi si t’étais pas un mec intéressant. » Moi et mon franc parler, ah ah. J’imagine que l’tatoué pourra faire plusieurs interprétations de mes propos. Il pourra par exemple imaginer que j’suis un mec intéressé, dans le mauvais sens du terme ou alors dans le bon sens pour lui peut-être, j’sais pas, j’ignore ses préférences sexuelles. Il pourra également prendre cela comme un compliment. Mais la réalité c’est que je cerne assez vite les gens, et que si quelqu’un ne me plait pas, je n’hésite pas à le lui faire remarquer ou à me séparer rapidement de cette personne. Ce n'est heureusement pas le cas pour Vadim. C'est pourquoi d'ailleurs, j'me retrouve sur son sofa à consumer mon joint et à consommer ma bière. Honnêtement, ça me ferait chier de m’amuser tout seul et de ne pas partager ma drogue. Sur ce point là, j’suis sympa et généreux. Il pourra tirer avec moi sur le joint. Par contre, j’lui dis de faire gaffe à la première latte qui s’avérera surement rude à cause du trop plein d’herbe utilisée. Bingo ! Il tousse, ce qui me fait rire. Ouai, le sadisme est inné en moi. « Whaou ! Quel philosophe ! » J’crois qu’après une nouvelle latte tirée, j’suis plus trop en état d’analyser la phrase et de l’interpréter. J’me contente donc de rire bêtement. C’est le principal intérêt de la drogue après tout : s’amuser. Tiens, d’ailleurs, j’remarque tout juste le tee-shirt funky du gars. Beau minou je dois dire. Et j’me remets à rire de plus belle suite à ses propos un tantinet imagés. « Ah ça ! J’résiste jamais à l’envie de les caresser. » Non, je ne faillirai pas à ma réputation de pervers. JAMAIS ! « Minou, minou, minou. » Précisément, j’suis en mode gaga défoncé, penché sur Vadim pour caresser le vagin-chat imprimé sur son tee-shirt. En réalité, ce que je caresse, c’est son torse. Mais j’me rends évidemment pas compte de l’effet produit dans l’slip du garçon. Tout ce qui m’importe : c’est de rire. D’ailleurs, j’trouve que le photographe est pas autant lâché que moi. Allé, il aura droit à une nouvelle dose de canna. Je m’empresse d’enrouler mon bras autour de ses épaules et de porter le joint à ses lèvres. Clairement, je l’incite à la consommation. Mais j’suppose qu’il est assez grand pour me dire "non" si l’envie lui vient, ce qui n’est sans doute pas le cas présentement. « Allé BG, celle-là elle va te mettre bien. » Je me présente en mode coach mais il est clair que mon attitude pourrait porter confusion dans la cervelle de Vadim ou plutôt dans ses parties génitales.
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Sujet: Re: I can't get you outta my mind with the way you walk • vadim s. chesneau Dim 6 Jan - 19:08
J'me retrouve tellement dans ce mec que s'en est presque flippant. Mais ça ne me met pas tellement mal à l'aise, c'est pas comme si c'était mon jumeau maléfique ou un truc du genre. On peut être différent du monde qui nous entoure, ou au contraire trouver des ressemblances là où on ne les attend pas forcément. En tout cas, une amitié est en train de naître entre nous deux. Et ça me fait plaisir, j'suis pas du genre solitaire, et j'aime bien être entouré de gens que j'aime bien. Plus j'ai d'amis, mieux j'me porte. J'suis pas du genre à laisser tomber, une fois que j'me suis fait un pote j'le lâche plus, même s'il m'a fait une vacherie, alors là, j'me gênerait pas pour le faire chier pendant un petit moment. Histoire de bien faire comprendre qu'on ne merde pas avec Vadim. J'ricane et j'lui dit qu'il ne connaît rien de moins, ce dont il ne doute pas qu'il dit. Je rigole. « J’aurai déjà déguerpi si t’étais pas un mec intéressant. » J'esquisse un sourire en coin. « Ouais je sais, on m'dit souvent que j'suis un mec intéressant. » Mais ça dépendait du sens qu'on voullait lui donner. Un mec dans une boîte de nuit qui te dit que t'es un mec intéressant, c'est pas la même chose que quand un embaucheur regarde tes tatouages, voit que t'as le syndrome de Peter Pan te dit que t'es un homme intéressant avant de ne plus jamais te rappeler. On finit les deux sur le canapé de l'appart, à fumer un joint bien dosé et à boire notre bière. Mon cerveau commence lentement à s'embrumer pour devenir de moins en moins efficace. Et c'est cette sensation qui est grisante. Jim se fout de ma gueule parce que j'ai toussé après ma première bouffée, et j'sors une phrase super recherchée. « Whaou ! Quel philosophe ! » « Un jour, j'sortirais un livre, et j'te mettrais dans la page des remerciements s'tu veux. » Je rigole à nouveau. Bien sur faut pas me prendre au sérieux, c'est plus très clair dans ma tête. Jim capte mon T-shirt et commence à le caresser, complètement défoncé. Il est penché sur moi, son visage très proche du mien, sans qu'il ne semble s'en rendre compte, et moi j'y accorde pas plus d'importance que ça, mais la chose dans mon slip ne semble pas être aussi indifférente que moi. Le tatoué en rajoute une couche, il enroule son bras autour de mon épaule et me colle le joint dans la bouche. Je tire une nouvelle taffe dessus puis rigole légèrement avant de fixer le visage du mec. Je reste comme ça, pendant quelques secondes, un léger sourire neutre collé au visage tandis que j'expulse la fumée par le nez. Fallait l'avouer, je l'avais pas invité parce que je voulais vraiment faire un photoshoot. Enfin si, mais pas seulement pour ça. Le joint détruit les minces barrières que le savoir vivre m'impose. Quand j'suis défoncé, j'fais ce qui me plait sans penser aux conséquences. Sans même prévenir, là, comme ça, je chope son visage en me défaisant de son étreinte et commence à l'embrasser. Pas un p'tit bisou gentil de tapette, non, j'suis bien en train de lui rouler une pelle. Parce que c'était ce que j'avais envie de faire et quand j'suis défoncé j'me pose pas des questions pendant cinquante mille ans. Pis si il me repoussait bah tant pis hein, il reviendra, il a dit que j'étais un mec intéressant, hinhin.
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Sujet: Re: I can't get you outta my mind with the way you walk • vadim s. chesneau Mar 8 Jan - 19:22
Son humour ressemble au mien et c’est ce qui me fait l’adorer. J’aurai parfaitement été capable de sortir le même genre de réplique. La fausse modestie, c’est vraiment drôle. Enfin je suppose que ça en est une vu le ton employé. J’espère du moins. Sans quoi, pour le coup, j’apprécierai beaucoup moins le garçon. J’ai une sainte horreur des gens qui se la pètent et qui s’estiment beaucoup. J’ai beau être un enfoiré de première et un moins que rien mais j’ai quand même les pieds sur terre. J’le sais. Et je le revendique même. Il sera donc rare de m’entendre me valoriser. Si j’le fais, ça sera du fake. Rien de plus. En tout les cas, je pense que Vadim n’était pas réellement sérieux. C’est pourquoi, j’me permets de rire avant que la drogue prenne possession de mon corps. Et voilà, à présent, c’est fait. Calé sur le canapé du photographe, j’suis défoncé et lui aussi. Je tire. Il tire. Nous tirons. Mon joint se réduit. Ma bière aussi. Et je rigole. Lui aussi. « Quel honneur ! » Quelqu’un d’extérieur à la scène nous trouverait probablement ridicule face à nos propos et au fait qu’on soit pliés de rire pour un rien. « Tu viens de dire quoi déjà ? » Ah les effets de la drogue ! Evidemment, mes lèvres se mettent à bouger dans tous les sens et un nouvel éclat se fait entendre. J’crois que c’est pareil pour Vad’. S’en suit la conversation très intellectuelle sur le minou imprimé sur son tee-shirt. J’suis aux anges là. J’me sens tellement perché et en même temps tellement bien. Toujours et encore les effets du joint. D’ailleurs, me voilà entrain de tripoter le vagin-chat du mec et de débiter de nouvelles âneries. Ce que j’me rends pas compte, c’est qu’en réalité, tout ce que je fais, c’est de caresser le ventre de Vadim et de le chauffer. Aussi, j’suis à des années lumières de penser au sexe. Je n’ai toujours été attiré que par les femmes donc la question ne se pose même pas. Mon bras peut se balader en toute tranquillité sur son ventre ou autour de ses épaules sans que j’me pose la question si ça lui fait de l’effet ou pas. Mon but : l’inciter à finir mon joint et rigoler avec lui. « Tu fais bien le dragon. » Je souris face au garçon expulsant la fumée par le nez puis j’attends sa réponse. Rien. Il se contente de me regarder. Je garde le reste du joint en main et me demande ce qu’il me prépare. J’imagine alors qu’il va me sortir quelque chose de drôle. Je me contente d’attendre. Puis, v’là qu’il se détache de moi, qu’il me chope par la nuque et qu’il dépose ses lèvres sur les miennes sans aucune délicatesse. WHAT THE FUCK ?! J’comprends tout simplement pas ce qu’il m’arrive. J’suis défoncé et je réalise pas. Je réponds durant quelques secondes au baiser timidement puis me stoppe net, repoussant de ce fait le garçon. « Je.. » Et il se réapproprie mes lèvres me coupant la parole. Cette fois, je résiste moins et me laisse aller au rythme des mouvements de sa mâchoire. Je laisse même sa main vagabonder sur mon torse. Puis je réalise que je suis entrain d’embrasser un garçon. STOP. « Putain ! Qu’est-ce-que tu fais ?! » Là, je reprends la situation en me détachant de lui et en m’écartant. Si quelques instants auparavant, j’avais l’impression de planer, là, j’ai plutôt l’impression de descendre en enfer. « Je.. j’peux pas. J’aime les filles. Arrêtes ! » J’suis franchement pas bien. J’ai chaud. Terriblement chaud. Mon cœur bat vite. Trop vite. J’ai l’impression même d’étouffer. D’ailleurs, j’me lève du canapé et me mets à marcher autour, essayant de reprendre mes esprits. Mais l’effet de la drogue est là. « Pourquoi t’as fais ça mec ? Pourquoi t’as fais ça ? » J’agrippe ma tête entre mes mains et j’ose même pas regarder droit dans les yeux le garçon.
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Sujet: Re: I can't get you outta my mind with the way you walk • vadim s. chesneau Sam 19 Jan - 22:39
jettemoidescailloux!:
J'suis vraiment désolée, j'ai du mal à trouver le temps et l'envie de rp en ce moment, j'rentre à 19h tous les soirs, j'suis pas mal crevée et quand j'ai du temps libre, j'ai des DS à réviser :'D mais j'vais me rattraper au prochain, promis. Et si j'le fais pas, t'auras le droit de m'envoyer des mp pour me gueuler dessus !
J'perds peu à peu les notions fondamentales, celles du temps, de l'espace, et celles du savoir-vivre. Bon c'est vrai celles là j'les ai pas souvent mais enfin bon, quand j'suis pas sobre, j'suis impossible à canaliser. Morgan le sait bien. Les conneries que j'fais quand j'suis défoncé, tout le monde s'en rappelle sauf moi, mais en général j'fais dans l'originalité. Le mec me d'mande ce que je viens de dire. Ma tête bascule en arrière sans que je puisse la retenir, et mon rire de défoncé résonne dans la pièce. J'essaye même pas de me souvenir de ce que j'ai bien pu dire quelques secondes auparavant. « J'en sais rien ! » Si quelqu'un nous voyait, j'pense qu'il serait aussi mort de rire que nous. Fin bon, moi j'me foutais bien de c'que pensaient les autres. Si Morgan rentrait maintenant, ben tant pis, on partagera notre joint avec lui. J'suis sur qu'il refusera pas. Et Jim enchaîne sur mon super T-shirt. Et moi qui commence à déballer ma philosophie de mec défoncé. S'en suit un débat sur les meilleurs minous du monde. J'suis plus trop le fil de la conversation. Tout ce que je sais c'était que j'me marre bien, et que Jim est en train de me tripoter. J'sais pas trop s'il se rend compte, mais il me f'sait de l'effet, surtout dans le bas ventre. Je me pose pas trop de question. Mon cerveau n'est plus apte à organiser et analyser les infos. Il passe un bras par dessus mon épaule et me fait tirer une nouvelle latte. J'le fixe dans les yeux tout en expulsant de la fumée par le nez. « Tu fais bien le dragon. » J'ricane doucement avant de l'attraper et de l'embrasser. Simple envie, simple pulsion. Pense pas à ce que tu vas faire, fais-le. Il me rend le baiser, sans plus, et essaye bien trop rapidement d’échapper à mes lèvres. « Je.. » Il ne faut pas le laisser réfléchir, sinon c'est foutu. Je ne me suis pas posé la question de sa sexualité, et à vrai dire j'en ai pas grand chose à foutre. S'il est hétéro, ça ne serait qu'un challenge de plus. J'attrape ses lèvres, et je sens que cette fois-ci je sens qu'il résiste un peu moins. Alors j'accélère le mouvement, doucement, parce que je reste défoncé, et qu'il faut pas trop le brusquer le pauvre petit. Je passe une main sur sa jambe, tandis que je sens sa main glisser sur mon torse avec satisfaction. Seulement il se rétracte sans que je comprenne ce qui se passe. On était bien partis, pourtant. « Putain ! Qu’est-ce-que tu fais ?! » Et moi, débile et défoncé, j'ricane. Mon pauvre, t'es complètement high. « Je.. j’peux pas. J’aime les filles. Arrêtes ! » Et là j'éclate de rire, du genre vraiment plié en deux, tellement que les larmes me montent aux yeux. Ouais j'me fous de sa gueule mais royalement. Le pauvre mec doit avoir un grand moment de solitude. Quand j'me calme enfin, je m'essuie les yeux. « Haha, désolé, mais pour un mec qu'aime que les filles, t'avais l'air de plutôt aimer ça ! » Il avait pas l'air de trouver ça aussi amusant que moi. « De toutes façons si t'en avais pas eu envie tu m'aurais repoussé direct, mec. C'est pas cool de se mentir à soi-même ! Reviens t'asseoir, t'es trop foncedé pour tenir debout ! » Il essaye de faire comme s'il était énervé, mais les effets la drogue rend le tout tellement ridicule et tellement drôle. Je suis dans un état d'euphorie complet, sans réaliser mes actes ou leurs conséquences. Amen.
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Sujet: Re: I can't get you outta my mind with the way you walk • vadim s. chesneau
I can't get you outta my mind with the way you walk • vadim s. chesneau