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 [Libre] Lune, fidèle comparse.

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MessageSujet: [Libre] Lune, fidèle comparse.   [Libre] Lune, fidèle comparse. EmptyMar 30 Oct - 22:01



Lune, fidèle comparse.
Uriel Vernon

Assis sur la berge du lac, toute mon attention se porte aux étoiles, qui déjà se font apercevoir dans le ciel noir, ce ciel qui marque tout ce que l’homme a toujours voulu atteindre. L’infini, l’absolu. En observant cet espace, les gens comme moi perçoivent une chose que les autres ne perçoivent pas : les rêves deviennent réalistes et matériels, l’impossible ne l’est plus et n’importe quels desseins peut et a la capacité de se matérialiser pour devenir "vrai". Les étoiles veulent dire quelque chose. Comme à mon habitude - à mon aise - je fais corps avec la nature pour sentir toute sa force et sa présence dans ce monde qui, parfois, m'oublie.

Je me lève lentement et, poussé par un soudain désir si fort que résister se révélait chose impossible à faire, je retire lentement mes vêtements. Je sens alors la fraîcheur de l’air qui prend un malin plaisir à projeter sur moi des charges d’air de plus en plus puissantes. Je m'approche des berges et doucement, m’y enfonce, pas après pas. Savourant l’eau, je fini par plonger mon visage dans l’onde. Je termine par sortir de l’eau, pareillement dévêtu et vais simplement s’asseoir, sans prendre la peine de remettre mes habits. Je croise les jambes et sourit à cette belle lune, la tête ailleurs, sans doute dans les cieux. Je me trouve à l'autre bout de l'entrée du bois de boulogne du seizième. Il n'y a pas longtemps, j'ai remarqué que peu de gens s'aventuraient jusqu'au fond. Je n'ai d'ailleurs encore jamais croisé personne de ce côté de la berge et c'est ainsi que j'en ai fait mon QG en soirée psychédélique ou autre...

Je fais glisser lentement mes longs et fins doigts dans mes cheveux noirs qui semblent ne jamais se finir. Je suis toujours mouillé par l'eau du lac. Le vent souffle de plus en plus fort. Il s'est levé au même moment où Cinthia a prit place au beau milieu de ce ciel à présent couleur encre. Ce vent me gifle doucement, presque amoureusement le visage. Comme s'il voulait faire acte de présence en cette belle nuit que rien ne pourrait venir troubler. Je ressens la fraîcheur sur tous les centimètres carrés de ma peau, de mon corps, encore trempé de l'onde bleue aux reflets blanchis par la lune que je viens à peine de quitter. Cette soirée est féerique et pourtant rien ne la prédestinait. Mais lorsque l'on prend de la mdma, cette molécule du bonheur, tout le devient.

Je m'affale sur la berge. Regardant les insatiables mouvement de l'eau, je pense à mon passé, mon présent et à mon futur. Tant de chose parcoure mon esprit à cet instant. À mes côtés, un carnet de cuir. La plume d'un stylo en dépasse. À l'intérieur, j'y ai noirci les pages vierges des étapes de ma vie. L'idée d’immortaliser ma vie par ma plume me plait assez. Cela me parait beau et poétique. Peut être qu’un jour, une tiers personne lira mes écrits...

L’esprit étreint par les paradis artificiels, je ne perçois plus le monde de la même façon à cet instant là. Ce moment est fort, inexplicable, abscons. Dans ma tête, je fais le bilan. Un sponsoring qui me rapporte de l'argent à foison, des drogues à tire-larigot. Quelques aventures débauchées, toutes sans lendemains jusqu'à présent. En y pensant, aurai-je l'âge de m’engager dans la vie sentimentale de pleins pieds ? Casé à la vingtaine même pas ? Ces simples mots réunis dans une seule phrase sonne mal à l’oreille.

Pourtant, un étrange vide rend ma vie monotone, chose véritablement intenable pour un homme comme moi, qui n’a de cesse de rechercher la nouveauté, l’innovation, le changement, le progrès en lui-même et toutes ces choses qui rendent l’existence si excitante. Je ne me suis pas donné la peine de naître, de vivre et d’arriver jusque là pour ensuite m’ennuyer et vivre sur des socles fixés par d'autres… Je créerais mon propre mode de vie, haché, sans autres recherches que celle du bonheur.

Je suis sauvagement arraché de mes pensées lorsque je ressens une présence non loin de moi. Le fait de se retrouver seul durant de longues heures renforce les sens et dès lors qu’une personne se trouve non loin, je peux la percevoir. La drogue étant une aide aussi... Je ne fais pas un mouvement, laissant couler le fait que quelqu’un m’observe sans doute. Puis je finis par me retourner, pour voir, à quelques mètres de moi, une forme humaine. Je ne vois pas grand chose étant donné l’obscurité régnant, fait normal à une telle heure. Je remet rapidement mon caleçon puis m’approche lentement de cette ombre qui éveille ma curiosité.
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MessageSujet: Re: [Libre] Lune, fidèle comparse.   [Libre] Lune, fidèle comparse. EmptySam 3 Nov - 16:36



«Fait attention à toi petite boule rose» Il déposait un baiser sur mon front dont je plissais ce dernier face à cette étreinte. Tout l'effrayait , il me voyait traverser la fenêtre et j'aurais cru le voir dire une prière à l'intérieur de son esprit. Aucune parole n'aurait pu calmer la crainte crachant sur ses neurones. C'est pourquoi je restais en silence lui tirant un sourire malin au rictus de mes lèvres avant de lancer un sachet à son visage. «Aller amusez vous bien vous deux !» Les triplet n'auraient jamais dû se séparer , je vous entends encore au fond de mes tympans , mais votre petite sœur doit s'enfoncer dans son monde à la noirceur effrayante. Je sentais les frissons s'arracher sur ma peau pendant que je m'enfonçais dans cette mer noire. Je vais vous surprendre d'une manière en disant que j'ai peur et que je dois rapidement rajouter un éclat de lumière. Mes mains agrippent mon sac à dos en regardant par le fait même les cicatrices saignantes sur mes avant bras. Il faut croire que je n'avais pratiquement rien à livrer ce soir , mais ce n'est pas pour autant que je regagnerais mes quatre murs pour un pinceaux à la main. Mes pieds allaient me traîner au bon je pourrais aller jusqu'au premier rayon avant d'aller me cacher dans ma tanière comme un vampire menacer de brûler. La capuche toujours aussi fidèle sur ma crinière rose , mes traits ne pouvait être très bien dessinés par les regards. Je pris un endroit bordé par la nature . J'avais besoin d'un silence différent de la capital bordée par les lumières et les voitures passantes. Ma solitude finalement à été agressé plus vite que je ne le pensais en découvrant mon endroit choisi déjà habité d'une présence. Mes pas frôlent l'herbe et même si je les voudrais le plus silencieux possible l'herbe à décider de me trahir. J'aimerais bien voir cet étendue vert se dessiner d'une jolie couche blanche , mais il ne faut trop espérer pour un début de novembre à peine entamé. Je m'approchais sans gêne vers ce qui était inconnu le même sourire toujours là . Peut-être que je lui ferais peur et se ne serait pas trop inhabituel à la réalité quand je croise des passants sur mon passage. Je semble peut-être bien normal au premier abord quand je vous tends une barbe à papa le jour , mais si vous regardiez mes toiles vous voyez que au fond de ma tête il a bien longtemps que rien n'a été ordonné. Lampe de poche maintenant à la main j'éclaire ce que je découvre être un homme. Dénudé et vêtue qu'un bout de tissus ma gorge s’effrite sous un rire pendant que je m'avance encore pus brisant les seuls centimètre qui puissent nous séparer. Je reste un long moment sur ses pupilles. Dilatées , elles ont été marqué par une quelconque substance dont je connais déjà tout les secrets. Je prends son menton le tirant vers moi pour les regarder de plus proche. « On est pas dans son état normal mon choux .» Un éclat cogne de nouveau sur les arbres quand mon rire se frotte sur ses tympans. « C'est quoi ton petit nom ?» Tu peux t'enfuir aller la porte de sortie est encore ouverte. Prend garde à ce qui pourrait paraître normal , car ça restera sans doute graver aux parois de ton crâne.
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MessageSujet: u   [Libre] Lune, fidèle comparse. EmptySam 3 Nov - 21:21

Au fur et à mesure que j'avance, la forme que je distingue se fait plus nette. L'inconnu est une femme, assez grande et ses cheveux sont cachés sous une capuche. Sa tenue est dextrement choisie, donnant un peu plus de charisme à la personne et soulignant des courbes féminines. J'aperçois vaguement un visage qui me parait triste, fatigué. Les traits sont creusés. Ce même visage me rappelle brièvement celui de quelqu'un, mais aucun nom ne me vient à l'esprit. Surement une de ces personnes que l'on croit avoir déjà vu quelque part alors que non, pensai-je. Je suis face à cette jeune femme maintenant. Elle semble fragile à côté de moi. Toute petite. Mes yeux se baissent sur elle. Sans m'y attendre, je sens mon menton se faire agripper par la main de cette étrangère. Au contact de nos peaux, un étrange frisson me parcourt l'échine. L'effet de la mdma surement.

- On est pas dans son état normal mon chou, jase-t-elle.
Sa voix est douce et profonde. Elle se marie parfaitement avec l'ambiance de cette nuit. Surpris, je retiens un haussement de sourcil et souris imperceptiblement. J'aime cette audace, cette familiarité alors même que nous ne sommes que deux étrangers l'un en face de l'autre et que l'un de nous est presque nu. J'apprécie aussi le fait qu'elle discerne mon état second. Aucunement besoin de faux semblant. Avant d'avoir le temps de répliquer, la voilà qui me demande mon nom. Je me redresse un peu plus, éloignant sa main de mon menton et je lui réponds d'une voix lointaine qui laisse entendre mon français américanisé par mon accent californien.

- Bonsoir, dis-je en hochant la tête, comme si je la réprimandai de ne pas l'avoir dit avant. Un fin sourire se dessine aux commissures de mes lèvres. Moi c'est Uriel.

Je me mets à côté d'elle puis me tourne face à lac.

- C'est impoli je trouve de démasquer un jeune homme en pleine décadence sans même avoir prit la peine de dévoiler sa propre identité. À ce moment, j'attrape doucement la pointe de sa capuche que je rabaisse, laissant apparaître une cascade rose. Je reste impassible. Il est vrai que cette fille m'amuse de plus en plus. Et puis, il était délicieux de la provoquer à mon tour. Le temps qu'elle me réponde, mes yeux refont le trajet que j'ai parcouru quelques minutes avant, je repasse par le chemin d'herbe qui s'est écrasé sous mes pas jusqu'à ma besace que j'ai négligemment laissé par terre avec un peu plus loin mon jean, mon t-shirt, ma veste et mes chaussures. Pour une fois, je ne suis pas vêtu comme à l'habitude. J'étais venu simplement. De toute manière, je n'avais aucunement l'intention de rencontrer quelqu'un ici. Surtout à cette heure-ci. Jusqu'alors d'ailleurs, je n'avais encore croisé personne le mardi soir. C'était bien pour ça que j'avais déterminé cette heure et ce lieu pour mes soirées MDMA ou retrouvailles avec moi-même.

Le lac parait immense vu d'ici, mais je sais que ce n'est qu'un effet d'optique. J'admire quelques brèves secondes la vue avant de reporter mon attention sur mes vêtements éparpillés. Je percute donc que s'ils sont là-bas c'est que je suis bien en caleçon à l'instant. Un sourire se dessine sur mes lèvres mi-agacé mi-amusé. Enfin, je continue en riant doucement et en désignant ma tenue.

- Je pense qu'il est préférable que je me rhabille quand je vois la facilité que tu as à toucher les inconnus. Je l'invite à rejoindre l'endroit où j'étais allongé il y a peu. J'attends qu'elle se mette à avancer pour finir la marche, ainsi je la scrute. Nous marchons quelques secondes en silence. Je prends mon jean que j'enfile.

- Que me vaut cette rencontre tardive dans ce lieu si commun ? Et, pardon, je ne t'ai même pas encore demandé ton prénom, demandai-je d'une voix vaguement piqué par la curiosité. Je viens à ses côtés et je me love dans l’herbe, prenant une position de détente J'alterne mon regard entre cette fille aux cheveux roses et ce ciel qui ce soir est éclairé par sa plus belle parure d'étoile. Celles-ci ont l'air de danser au rythme du vent qui lui semble battre la musique. Musicien dans l'âme, mes doigts se mettent à tambouriner sur ma cuisse sans même que je ne m'en rende compte.
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MessageSujet: Re: [Libre] Lune, fidèle comparse.   [Libre] Lune, fidèle comparse. EmptySam 3 Nov - 22:24




Une énigme , un nouveau chemin à découvrir , une nouvelle âme à scruter , je m'impatiente devant l'inconnu. J'ai joué les cartes et il n'a pas tardé à m'offrir aussi son jeux. Encore droit comme un piquet aucune de mes paroles ne semblent l'avoir ébranlés ce qui m'amuse encore plus. C'est dans la nuit qu'on retrouve les êtres dépravés dissipés sur les trottoirs de la clarté. Une parcelle du casse-tête vient de m'être tendu lorsqu'il me dit son prénom. Encore beaucoup de morceaux reste à rassembler , mais je reste confiante d'en trouver d'avantage proche de l'étendue d'eau.Longue mèches brunes tombantes sur ses épaules dont je pouvais discerner les gouttelettes signe d'une baignade sous les étoiles. Avant même que les minutes ne me laissent le temps de changer de direction il me retira ma couverture. Tu aurais mieux fait de la laisser bien en place qui sait quelle créature aurait pu s'y dissimuler. J'en forme une à moi seul sous le manque de sommeil et une jolie petite éclaire sur ma joue abattu depuis le moment où j'avais seize hivers. Quelle idée aurait pu parcourir ton esprit mon cher je ne suis pas là pour étaler la jeune femme que tu vois sous tes yeux tout restent à l'intérieur de la boîte de pandore qui se forme depuis ma naissance. Le silence se dépose lentement sauf quand il est brisé par sa voix , car j,adore joué avec ce terme qui peut devenir pesant sur nos épaules et à ne plus en savoir comment faire. Il ouvre la danse se dirigeant vers les pas autrefois emprunté en m'offrant une place sur les brins verts. Il faut croire que ce soir j,ai envie de jouer. De le laisser dans l'impasse voir jusqu'à où je pourrais l'entraîner sur la planche de l'échiquier. «Tu te trouvais seulement au mauvais endroit pendant que je prenais une simple marche.» Je claquais mes mots entre mes dents en riant toujours. La nature s'ébranlait autours suivant la cadence de mes gestes. Je m'avançais tranquillement vers lui à pas de félin approchant mes lèvres proche de son oreille pour lui décrocher «Cybèle...» lache-je dans un souffle le regardant droit dans les yeux par la suite. Des doigts en quête de chaire tendre décide simplement de se rabattre sur sa crinière les étirant entre quelques secondes pour revenir à la position initial qui m'a été assignée. «Et cette facilité dont tu parles elle n'est pas forcément existante.» Viens avec moi il semble que la nuit pourrait bien tournée dans un tourbillon profond dont la clef t'échappera encore et encore. Je me relève et je viens toucher la source limpide. Un frisson se niche à ma nuque pour serpenter sur ma colonne vertébrale. C'est froid , mais plus que ça l'est plus je désir m'y plonger. Quelques tourbillons vaguent sur l'eau après un instant comme un miroir. Je reviens une fois de plus comme un prédateur vers le dénommé Uriel et je fais doucement glisser sa veste le long de ses bras à la moitié.«Faut croire que tu y as déjà goûter alors ça ne te fera pas de mal de faire une autre petite trempette.» Mon sac tombe mollement et le défi est prêt à être fait . Je m'avance vers le lac détournant mon regard vers lui en retirant déjà ma veste de sur mes formes féminines appétissantes. Aller viens
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MessageSujet: Re: [Libre] Lune, fidèle comparse.   [Libre] Lune, fidèle comparse. EmptySam 3 Nov - 23:49

Mes doigts se stoppent. Je ne tambourine plus au rythme du vent, je me concentre tant bien que mal sur ses mots. Sur sa voix. Ce chant féminin envoûtant. Elle affirme que je me trouvais tout simplement au mauvais endroit. Dans ma tête, je pense l'inverse. Il n'existe pas de mauvais endroit, tout lieu a sa magie, mais je garde cette réflexion pour moi. À l'intérieur de ma poitrine, mon coeur entame une danse saccadée. La drogue est fulgurante lorsqu'elle le veut. Je souris à l'idée de commencer à monter. Il était temps et le timing est parfait.

Arrive enfin le moment où je découvre le prénom de cette drôle de jeune femme à la chevelure rose. Cybèle. Particulier. À la hauteur du personnage. Elle me le susurre à l'oreille telle une incantation. Chercherait-elle à m'ensorceler ? Mes doigts s'amusent avec l'herbe : mes sens sont exacerbés, la sensation que me procure cette pelouse entre mes mains est extraordinaire à ce moment là à l'instar de ma sensibilité auditive. Je relève les yeux et je croise ce regard qui me dévisage avec insistance. Le corps s'approche de moi à nouveau, tire lentement mes cheveux en arrière comme pour les allonger. Ma tête suit et se laisse glisser en arrière. Je ferme les yeux. Elle n'aurait pas du faire ça.

La voilà maintenant qui se lève et qui semble prête à son tour à faire corps avec le lac. Je me redresse et l'observe silencieusement effleurer l'eau du bout de ses doigts. Mais la voilà qui revient vers moi. Démarche féline d'un prédateur qui se dirige vers sa proie. Mes yeux s'obscurcissent. Je ne suis pas une proie. Je ne serai jamais une proie. Le prédateur, c'est moi. Arrivée à ma hauteur, elle fait lentement glisser ma veste le long de mon corps. Je la laisse faire et je me retrouve à nouveau torse nu. Dans ses paroles pleines de sous entendus, elle m'invite à retourner me baigner. Ne pipant mot, je la regarde commencer à se déshabiller et je suis sa danse.

Une nouvelle fois, le vent me gifle de toute part et mes poils se hérissent. Je m'avance, lentement jusqu'à mon sac. J'ouvre une poche extérieur et en sort une boite métallique ornée du drapeau de mon pays natal. J'en extirpe deux joints que j'ai préalablement roulés. Rien de mieux qu'une dose de THC pour accompagné mon psychotrope. Mes yeux se reportent à nouveau sur elle et je la contemple d'un regard noir. Presque méchant. J'espère l'effrayer. Tout en la fixant, j'allume mon joint. Le vent passe, la flamme vacille mais tient bon. Il est temps de la rejoindre.

Je tire une latte que je recrache lentement en prenant soin de ne pas quitter ses yeux. J'allume le second joint à l'aide du premier, puis je passe ma langue sur mes lèvres avant de briser le silence.

- Take it. Je lui tends le paradis de ma main gauche, espérant occuper ses mains baladeuses. Je suis tellement bien que j'en oublie de parler français. À la fois stimulé et relaxé, cette sensation est étrange. Je quitte son regard et je me lance en arrière. Je flotte maintenant sur l'eau et ne prête plus attention à cette belle compagnie. Je veux lui montrer que je suis le maître de la situation. Je suis un maniaque du contrôle. Je l'ignore.
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MessageSujet: Re: [Libre] Lune, fidèle comparse.   [Libre] Lune, fidèle comparse. EmptyDim 4 Nov - 0:45

Prête , je commence à dénudé ma chaire blanchâtre qui s’illumine sous la lune laiteuse. Comme si je m'offrais à lui , mais au fond j'étais prête à sortir les griffes à n'importe quel moment s'il voulait se balader pour se joindre à mon épiderme. Les morceaux de tissue gisent à mes pieds même si j'ai pris la peine de laisser deux de ces derniers sur mon corps. Fragile comme une poupée je danse en rentrant dans l'eau qui me picore de son froid me tirant des tas de frissons qui me procurent une sorte d'extase. Le mouvements de mes hanches l'appellent . Elles ondulent naturellement comme un chant de sirène. Je le regarde le joint à ses lèvres . La composition la façon de le rouler tout est imprégner dans ma tête. Je me mords les lèvres signe de faiblesse , même après deux ans savoir touché à tout ça. Ma mémoire m'ébranle sur les images des billets verts imprégnés de sang que je condamnais à mort les gens dont j'offrais ces substances qui font encore partie de mon quotidien. L'image de la capuche jamais retirée et le prochain coup si je m'égarais de ma tâche. Le cercle puis la destruction à la poussière d'un détail qui nous avait échappé . La fumée se glissent sous mes narines , tentantes elle devenait aguichante je pouvais déjà sentir partir avec mon esprit pour le labyrinthe du plaisir. Sans poser la moindre question mes doigts affamées prend l'interdit et le joint à mes lèvres poussant un long soupire de plaisir à peine complété. Il ne fait pas long feu , car je le cale sous long après deux bouffé au risque de son énervement. Car de toute manière je sais que je trouverai de quoi me rassasier au besoin dans mon sac , même si ces sachets ne me sont pas destiné , je compte prendre ma part sans le moindre problème. Je m'enfonce dans l'état transparent ne laissant que mon regard perçant à découvert le regardant flotter. Aux aguets il me tente de m'approcher de nouveau , mais je prends l'autre direction enfonçant le reste de ma tête sous l'eau. Si tu pense avoir ne serais-ce qu'une minime emprise , détrompe bien vite , car je pourrais filer dans un coup de vent alors que tu auras seulement battu des cils une fois.Sans doute il serait bien de pouvoir m'emprisonner quelques minutes , mais le secret est encore trop bien gardé pour que cette tâche soit réussie. Je ne t'empêche d'espérer , mais ne voit pas la partie déjà gagné , car crois moi elle n'est même pas encore commencé. J’immerge juste à ses cotées et je remonte doucement mes doigts le long de son torse nu et par la suite d'une caresse courte j’exerce une pression qui le fait enfoncer dans l'eau. «Oups» Je repartais dans l'autre sens. Je voulais essayer tant de bien mal à le déstabilisé à lui faire perdre le contrôle dont il semble le maître je ne voulais tout simplement pas être quelque chose dont il peut contrôler. On n'a pas d'accès à l'impossible. L'eau ruisselait sur mon visage , dégoulinant sur mes joues venant mourir leurs quelque secondes sur mes lèvres. Le même regard s'occupait de mes prunelles. Envouteur , comme charmeur , mais aussi malin et sauvage.
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MessageSujet: Re: [Libre] Lune, fidèle comparse.   [Libre] Lune, fidèle comparse. EmptyDim 4 Nov - 17:06

Un nuage de fumée s’échappe doucement de mes lèvres entrouvertes. Le regard vide, le noir de mes yeux ne semblent refléter nul sentiment. Rien, sauf peut-être la rêverie à laquelle je suis présentement victime. Mon joint pend négligemment au bord de mes lèvres. Ou comment se donner une contenance sereine lorsque l’on est égaré à travers les mailles de ses émotions. Songeur, toujours allongé sur l'eau, je fredonne doucement. Inaudible. Un sentiment de paix intérieure m'envahit entièrement.

Une vague de chaleur entame une montée à l'intérieur de mon être suivi d’un très fort sentiment d’énergie. Mon corps bouillonne et pourtant je sais que l'eau est glacée. Peu à peu j’éprouve un besoin immense de me rapprocher des gens, j’ai envie de partager ce bonheur qui m’habite, j’ai envie de voir les gens heureux et de leur communiquer mon euphorie. Je commence à avoir envie de bouger, de palper, de m'amuser. Mes lèvres tressaillent.

C'est alors qu'à côté de moi, l'eau s'ébranle de plus en plus. Une tête rose émerge et je souris intérieurement. Ses doigts s'égarent sur mon torse et entament une danse folle, mais la danse est de courte durée car la chute est là : elle m'enfonce dans l'eau et je suis submergé. Sous l'eau, je vois ses jambes s'éloigner, mais ma vision se trouble peu à peu et mon sourire s'efface. Je songe à rester là, entouré de ce silence saisissant. Dans ce calme noir qui m'entoure. Mais l'air vient à manquer et je me dois de remonter à la surface. Je décide alors de nager jusqu'à elle avant de remonter reprenant la direction de ses fines jambes que j'ai vu s'éloigner quelques secondes avant.

Ma respiration est lourde, saccadé et alors que je viens à peine de remonter, je l'attrape par les cheveux que je lui tire brutalement en arrière tandis que je l'attire contre moi en glissant ma main dans le bas de ses reins, l’immobilisant complètement. Je rapproche mon visage du sien et ma joue vient se coller à la sienne. Nos corps sont l'un contre l'autre et ma peau crépite au contact de la sienne. Je lui chuchote lentement à l'oreille. Ne refais jamais ça, Cybèle. Le ton est dur, sans équivoque. J'insiste en prononçant son prénom que j'écorche quand même de mon accent.

Ma joue glisse, mes lèvres la caressent et mon visage se détache. Je me reposte face à elle, mes yeux plongés dans ses pupilles pâles qui essaient tant bien que mal de me voir car sa tête est toujours tiré en arrière. Nos lèvres ne sont qu'à quelques centimètres ; si je laissais sa tête libre et qu'elle la rabaissait...

Je la fixe d'un regard sombre puis un sourire en coin se profile aux commissures de mes lèvres. Lentement, je relâche ses cheveux puis je finis par la libérer entièrement de mon emprise. Nos corps se détachent enfin. Elle ne bouge toujours pas. Je finis par attraper mon visage entre mes mains et je me débarrasse de l'eau qui me brouille encore la vue suite à cette baignade improvisée.

- Tu sais, j'ai l'impression de t'avoir déjà vu quelque part Cybèle. J'incline ma tête sur le côté et je me mordille la lèvre sans même m'en rendre compte en attendant sa réponse. Vieille habitude. Intérieurement j'espère ne pas trop l'avoir choqué à être aussi brutal alors qu'elle ne me connait pas, mais après tout... Lorsque je la vois prête à ouvrir la bouche pour me répondre, je lui offre un sourire enthousiaste.
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MessageSujet: Re: [Libre] Lune, fidèle comparse.   [Libre] Lune, fidèle comparse. EmptyDim 4 Nov - 18:21

Enfoncé rapidement l'inconnu dans l'eau de quoi lui brouillé les idées même si je ne savais pas du tout à qui j'avais à faire et c'est ce que je réalise lorsque un file me retient brutalement. Une force qui hérisse mes cheveux à sentir une douleur peu à peu sur mon crâne. Je me débats l'espace de quelques secondes jusqu'à sentir une main chaude brûlant ma peau. Mon rire revient à la charge comme à toute les fois. À tous les moments où j'ai écorché mes genoux après un coup, après une autre blessure prête à naitre. Leur sang froid se dissipait voyant que aucune écorchure ne menait à une douleur sur mes traits ou une trace de perles salées prêtent à couler. Nos corps s'entrechoquent et partagent leur chaleur qui s'attise entre elles. Ses lèvres qui s'amusent contre ma joue me vole un soupire contre mon gré malgré ma position douloureuse. Tu pourrais me défoncer, faire gicler le liquide rouge en t'en couvrir le torse et je ne te laisserai pas gagner. Bouches si proches il serait tentant de les approchées encore plus. Je sens son emprise me laisser aller , mais je reste là comme un cadavre. Comme s'il m'avait tiré mon dernier souffle. «Peut-être dans un autre univers» Une réponse qui n'a aucun sens , mais quelque part il ne pouvait pas espérer recueillir quelque chose de sensé. Regard sans doute déjà croisé je n'en sais rien . Mon sourire se dissipe quelques instants et je recule lentement replongeant un peu plus loin sous la marre de quoi qu'il me perde vu. Mes mèches roses auraient de quoi me sous l'éclat d'eau brillant sous les étoiles. Je reviens face à lui tout juste coller où nos nez se frôle lentement et ma vision de sur son visage se brouille. Je peux encore distinguer ses pupilles défoncés par la substance et ses lèvres légèrement entrouvertes, tant qu'à ses mèches bloqués contre ses tempes. Je me glisse derrière lui venant lui mordiller le lobe d'oreille suivit d'un souffle chaud. « Tentative échouée ...» C'est à ce moment que sa peau couvrant sa colonne vertébrale sous mes ongles lorsque je les enfonce le temps de quelques secondes dans son dos.«Aie.» Je m'éloigne de nouveau, mais retournant plutôt sur la terre ferme. Le vent vient caresser violement mon corps et je tremble le temps de quelques secondes, mais le froid me rend dingue que je n'ose même pas une seconde prendre ma veste pour la rabattre sur mes épaules. Je déplie mes jambes frêles et m'étend contre l'herbe qui se mouille sous le poids de l'eau qui trainait encore sur chacune de mes forces. À plat ventre je l'observe de pupilles joueuses peut-être sera t'il une question de secondes avant qu'il vienne me rejoigne, ou pas. Je l'invite d'une manière comme je lui refuse la place à mes cotées. Je passe ma langue sur ma lèvre inférieure de la même manière qu'il sait bien le faire. La soirée est bien étrange continuions dans ce sens mon jolie...
[pff c’est nul]
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MessageSujet: Re: [Libre] Lune, fidèle comparse.   [Libre] Lune, fidèle comparse. EmptyLun 5 Nov - 14:45

J'hausse un sourcil. Je suis surpris mais amusé de sa réponse. Je suis pourtant persuadé de l'avoir déjà vu. À en juger par son comportement et surtout grâce à son jugement pertinent vis-à-vis de mes pupilles, je suis convaincu qu'elle et moi fréquentons à peu près le même genre de soirée. Il est donc fort probable que j'ai raison en affrimant l'avoir déjà vu quelque part. Cybèle s'éloigne de moi et replonge dans l'eau, m'abandonnant à la surface. J'en profite pour m'étirer et gagner ainsi quelques centimètres. J'hume l'air à plein poumon puis l'expire lentement. La voilà qui réapparaît. Elle se dresse devant moi. Son visage est dangereusement près du mien, nos nez se frôlent. Je la regarde fixement et mes lèvres s'entrouvrent, ma respiration est lente et silencieuse. Elle nage doucement derrière moi et je ne bouge pas. Un souffle chaud me caresse l'oreille et la voilà qui me mordille le lobe. Tentative échoué ? Je ne comprenais pas. Décidément, cette jeune femme à la crinière rose est bien étrange, pensai-je. C'est alors que des griffes assiègent mon dos. Je pousse un râle tandis qu'un courant électrique me parcourt le corps des pieds à la tête. Un soupir frustré et je reprends mes esprits en passant une main derrière ma tête.

Je me retourne vers elle et je fais face à la berge. Je la regarde quitter l'eau, nue. J’avoue qu’à cet instant, j’ai un mal fou à empêcher mes lèvres d’esquisser un sourire victorieux. Après tout, la jeune femme peut encore prendre peur et s'enfuir. Un vent froid frappe à nouveau mon corps et je me noie dans l'eau jusqu'au épaule, ne la quittant pas du regard. Je l'examine s'installer à plat ventre sur l'herbe fraîche. Nous nous dévisageons durant quelques instants. Sa langue passe sur ses lèvres d'une manière qui la rend plus attirante encore. J'essaie de résister, mais mes pieds avancent machinalement vers elle. Je cède à la tentation et vais la rejoindre sur le rivage.

Lorsque j'arrive à sa hauteur, je la regarde dubitatif. C’est l’instant le plus délicat. Je dois choisir mes mots avec soin si je ne veux pas tout faire rater. Elle semble différente des autres femmes. Elle me ressemble sur certains points. Je secoue imperceptiblement la tête pour sortir de mes pensées. Je me baisse pour attraper ma veste noir et je m'agenouille à côté d'elle. Je lui recouvre le corps afin qu'elle n'attrape pas froid, mais mes yeux continuent de la déshabiller avec intensité. Je me relève et enfile mon jean. Je m'installe en tailleur en face d'elle tandis qu'elle est toujours allongé. Mon corps tremble, je n’y prête aucune attention. Je croise les bras tout en continuant à la dévisager. Qui est-elle ? D'où vient-elle ? Un millier de question heurte mon esprit.

Mes mains s'enroule autour de mes cheveux que j'essore. L'eau coule à flot. Je passe mes doigts à l'intérieur. Ma curiosité est piqué et je me dois d'en savoir plus sur elle, mais je ne peux pas m'autoriser de question personnelle. Nous n'étions encore que deux inconnus il y a à peine une quinzaine de minute. Je finis par briser ce jeu de regard à l'instar du silence qui nous entoure. Et sinon, que faisais-tu ici à une telle heure ?, lui demandai-je. Je lève un sourcil songeur. J'attrape mon sac dont j'extirpe à nouveau cette boite métallique pour en sortir un nouveau joint qui, cette fois je l'espère, ne finira pas dans l'eau. Je l'allume, tire une latte que j'expire puis pose mon visage dans le creux de mes mains. Un gémissement sort de mes lèvres et mon corps émet un nouveau soubresaut. J'ai froid. J'ai chaud. Je ne sais pas quoi faire à cet instant. Mes yeux s'égarent sur les lèvres légèrement rouges de la jeune femme, comme une invitation implicite à venir les goûter. Encore une fois. Je passa ma langue distraitement sur les miennes, et me fait violence pour détourner le regard de ce lieu de félicité.

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MessageSujet: Re: [Libre] Lune, fidèle comparse.   [Libre] Lune, fidèle comparse. EmptyMar 6 Nov - 4:52

Seul le paysage est l'oeil face à ce qui nous rendrait coupable. Il nous guide au rythme de ses branches qui s'entremelent à l'eau qui ruisselent sur nos corps nues et au sons de nos paroles qui résonnent sur les végétations. Ma peau devient glacée autant qu'elle commence à s'enflammer quand nous ne fixons avec nos dents et nos langues attaquant ardement nos lèvres sous un désir caché. Mes jambes se serrent l'une contre l'herbe éritées par celle-ci qui les chatouille et les multiples frissons des bourrasques. J'essaie de lire , j'essaie de percer au gré de cet inconnu . Plongé mes pupilles au fond de son être m'amusant avec lui au bout de mes doigts . Déjà des mordillements , des griffures et des frôlements aguichants sont entrepris. Deux esprits bien étranges qui s'entremêlent dans la frénésie de l'inconnu. Au besoin de dominer la situation , tout cela se renverse rapidement tant nous nous fuyions , tant nous nous rapprochons à des bouches savoureuses presque rencontrées. Je me tortille un peu choisissant chacun de mes gestes à l'attiré vers moi tel un cobra qui hypnotise sa proie. Il finit par céder et quitte l'eau à son tour où je ne prends même pas le temps de quitter un regard pour peintre son corps dans la nuit d'encre.Il dépose une veste contre mon dos prenant le temps de se revêtir de quelques vêtements ce que je décide de ne pas faire au risque d'attraper un coup de mort. Joint à ses lèvres ses questions reviennent et je me permets de lui donner un sourire. Je glisse mes mains sur ses jambes entrecroisées que je caresse une poussière de secondes. Je me redresse par la suite de la même façon que lui enroulant le vêtement comme une serviette autours de moi après la douche. Je lui pris son plaisir pour en profiter un peu dont je souffle la fumée juste en dessous de ses narines . Elle danse à ses mouvements grisâtres qui crée un jolie tourbillon dans la noirceur. Je le redépose par la suite sur le coin de sa bouche. Envie de changements des rues avant de retourner chez moi . Sans doute la première réponse qui ne semble pas être un profond néant et sans doute une porte ouverte que j'ai l'intention de refermée. Je viens m'asseoir sur ses jambes en tailleur refermant les mienne de la même façon nous rapprochant de nouveau. Il faut croire que ce soir j'avais envie d'être tactile. Le provoquer de plus en plus jusqu'au bout.Et toi? À part la trempette tu avais besoin d'un endroit différent pour te défoncer ou un cachette pour une créature de la nuit comme toi ? Je m'éveille au moment de la lune levée. Après la peinture sur les doigts et à observer les passants avec une clope il est temps pour moi de m'évader au de là de ma peur. De m'infiltrer sans que mon visage soit découvert , sauf si une main prend le courage de voir plus loins que le voile. Les traits sont donc à nouveau dessinés. Je glisse un index sur ses lèvres longeant la forme observant leur collant et en mordant les miennes à l'envie de goûter leur parfum .. Est-ce que tu t'y tenterais ? Oui tenterais tu mon venin pour une étreinte . Une caresse pour nous faire bouillir sous nos membres qui crient au besoin de la chaleur. Vas-tu céder à l'offre? Il suffit juste de s'amuser. À toi de me dévoiler tes prochaines stratégient , la prochaine case à avancer , le prochain dé à lancer.
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MessageSujet: Re: [Libre] Lune, fidèle comparse.   [Libre] Lune, fidèle comparse. EmptyMer 7 Nov - 16:13

Sa main trouve ma cuisse qu'elle caresse insensiblement avant de se redresser. Elle attrape le joint entre mes lèvres avant de le reposer à l'endroit exact où elle l'a prit. Cybèle répond enfin à ma question. Je focalise mon regard dans le sien, un léger sourire au coin de mes lèvres, mais je n’efface pas de mon visage cette expression autoritaire qui le caractérise. Elle se lève et vient se lover contre moi, s'appuyant sur mes cuisses. Je la laisse faire et finit par l'attirer contre moi en l'encadrant de mes bras.

Cybèle me retourne ma propre question et je ne peux m'empêcher de rire à sa remarque. Et bien, depuis que je suis arrivé à Paris, j'ai remarqué que personne ne s'enfonçait jusqu'au fond de ce bois. Je lève les yeux au ciel en me donnant l’air de réfléchir et recentre mon attention sur elle Ici, lorsque je viens je suis vraiment tranquille alors j'ai prit la décision de venir ici à chaque fois que je prendrai des psyché ou autres. Ses mèches roses encadrent son visage et lui donnent un air angélique auquel très peu d’hommes doivent résister. Je devine sous ma veste à nouveau un petit corps parfaitement proportionnée. J'ajoute rapidement en me sortant son corps de l'esprit : Mais j'avoue avoir besoin d'une cachette aussi oui. Je suis une créature... Particulière. Et il est vrai que je le suis. À mon grand regret. Ma voix est froide et je serre tellement les dents que l’on pourrait croire que je parle sans même bouger les lèvres. Je baisse ma tête et mon front se pose sur son épaule. Mes yeux se referment et je suis plongé dans le noir.

Lorsque je me redresse, la voilà qui commence à dessiner le contour de mes lèvres du bout de son index. Mes lèvres tressaillent et je déglutis avec difficulté. Je la regarde faire, fasciné par ses traits d'une beauté remarquable. Elle se mord les lèvres et je me fais violence pour ne pas en faire de même. Lorsqu'elle me demande si je m'y tenterai, l'allusion m'oblige à passer distraitement ma langue sur mes lèvres. N'y tenant plus, je viens passer ma main derrière la nuque de la fille et la fait doucement mais fermement s'incliner jusqu'à ce que sa bouche soit en contact avec la mienne. Ma langue va trouver la sienne. Elle a le goût de fruit. Mon rythme cardiaque s’accélère tandis que je souris en l'embrassant. Mais celui-ci vient à s'effacer et je m'éloigne de son visage. Je la lorgne durant quelques secondes et je la vois, surprise, se demander surement qu'elle est mon problème. Ma respiration est de plus en plus rapide et dans ma tête tout se mélange. Je lui demande de se relever et j'en fais de même.

Je lui tourne le dos et fais face à l'étendu d'eau le temps de réfléchir. Quelque chose m'attire vers elle, mais en même temps je me sens obligé de lui résister. Je ne comprends pas ce qu'il m'arrive. Peut-être est-ce la drogue qui porte à confusion mon esprit ? Je me retourne vers elle, une moue agacée s’affiche sur mon visage concentré, tandis que - doucement - je me rapproche à nouveau d'elle. Je déglutis doucement, rassemblant mes pensées. Lorsque j'arrive à sa hauteur, je fais de nouveau un pas vers elle, elle recule forcément et je finis par l’acculer à un arbre avant de l’encadrer de mes bras, faisant claquer mes mains sur l’écorce dure de l’arbre. De ce fait, je me trouve à présent collé à elle, la dépassant largement de tous mes centimètres et voilà que maintenant je prends un malin plaisir à sentir son corps plus contre le mien. Je maintiens une poigne solide et je dépose un baiser sur son front avant de laisser mes lèvres glisser le long de sa tempe pour atteindre son oreille. Je laisse un instant planer le silence et je raffermi ma prise afin de la contraindre à lâcher prise et se détendre. A présent, je laisse mon souffle chaud lui procurer quelques frissons et je m’adresse à elle d’une voix rauque. C’est moi qui mène la danse… Quoi que tu dises.
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MessageSujet: Re: [Libre] Lune, fidèle comparse.   [Libre] Lune, fidèle comparse. EmptyMer 7 Nov - 21:56

«Dommage pour toi que j'ai trouvé ta cachette.» Qui sait si je n'aurais pas envie d'arriver à n'importe quel moment me fondant contre les piliers de la forêt . Ses bras autours de moi signe qu'il accepte que je me colle contre lui sans le moindre avertissement qui a été fait avant. Nos lèvres se parlent entre elle quand je lui pose la question. Nos prunelles se dévorent sur chaque parcelle . Le désir d'enflammer nos bouches me dévorent en douceur et bientôt beaucoup plus impatiemment . Lorsqu'il nous relie ma peau crépite contre la sienne tant bien que je réponds à ses baisers laissant nos langues s'entremêler dans une danse folle. Seulement il s'écarte trop vite et je fronce les sourcils , les lèvres entrouvertes , le point d'interrogation se dessine sur mon visage. L'étreinte qui n'a pas assez satisfaite mes envies qui s'affolent . Il s'éloigne de moi et je reste neutre réfléchissant ou simplement l'analyser le mieux que je peux. Je reviens donc à mes simples et mauvaises habitudes le même sourire au coin de lèvres amuser par sa réaction comme à la situation dans laquelle nous dansons. Il revient à la charge me poussant vers l'arrière et pas une seule seconde ne passe sans que je le fixe et que je continue ma recherche au fond du sac de nœud qu'il me présente. Je heurte l'écorce qui ne m'abîme pas ma chaire vu la veste qui tiens encore faiblement sur mes épaules. Je frissonne et ce n,est plus par le vent qui me frappe , mais de ses membres bouillants qui se colle un à un à moi. La tentation de me rapprocher encore plus même si les centimètres ont déjà disparus. Le baiser qui vole sur mon front continuant sa traînée plus loin sur ma tempe intensifie l'évènement et je ne trouve le moyen que de voiler mes pupilles sur mes paupières comme une proie prête à être manger. Tu veux me guider. Tu veux tenir les files de chacun de mes actes et de ce fait que je ne prenne jamais les rennes entre mes doigts , mais pourtant même si tu crois les avoir regardent à l'intérieur de tes mains comme ils ont déjà glisser comme des grains de sable. Il ne faudrait pas qu'une exception vienne à arriver alors tu peux te convaincre de plus en plus que tu resteras le maître me terrorisant sous tes actes qui me paraissent faibles. Je m'évaderai sûrement de quoi te plaire pourtant si se que tu croiras accomplis sera la tâche dont tu n'as même pas encore réussie les premiers obstacles.«Si ça peut te faire plaisir d'y croire.» Provocation qui devient plus ardue m'excite au plus au cran à l'idée de voir chacune de ses réactions que je peux provoquer. Seulement en entrouvrant mes lèvres et les geste les plus subtiles. Je rapproche nos visage encore plus afin de pouvoir mordiller sa lèvres inférieurs que j'effleure avec quelques souffles. Mes mains baladeuses se glissent le long de son dos remontant très lentement . Ma jambe nue remonte le long de la sienne. Je veux le rendre dingue au point qu'il n'arrive plus à résonner face toute les tentations qui s'imposent. Au fond de moi j'en créer tout un plaisir aussi et me sentir bloqué ainsi m'allume encore plus dangereusement. La veste glisse légèrement dévoilant une de mes épaules blanches.«Guide moi...»
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MessageSujet: Re: [Libre] Lune, fidèle comparse.   [Libre] Lune, fidèle comparse. EmptyJeu 8 Nov - 21:13

J'ouvre grand les yeux après ces paroles. Cybèle me résiste : elle ne souhaite pas être la dominé mais la dominante. Un caractère si fort dans un si petit corps. Cette pensée m'arrache un sourire. Après sa remarque, je passe alors ma main dans les cheveux de la jeune femme, avec calme et presque gentillesse. Elle est vraiment charmante et adorable. Mais voilà que maintenant elle me mordille la lèvre. Sa main remonte lentement le long de ma colonne vertébrale et sa jambe caresse la mienne. Tous mes sens s'affolent et restent en alerte. Mon rythme cardiaque s’accélère. J'aime tellement cette sensation. Cette ivresse sexuelle et palpable qui envahit l'air, réchauffe les corps, tourmente les coeurs. Tous ces gestes, tous ces mots ne font qu’accroître ma curiosité et ma soif de connaissance sur elle. À l'intérieur, je bous. Guide-moi, me dit-elle en faisant riper ma veste qui recouvrait son épaule. Je glisse mon index sur la bouche de mon amante, lui sommant de se taire. Je ne résisterai plus très longtemps au rythme où vont les choses.

La lune n’éclaire qu’une partie de mon visage. Un regard dément et un sourire perfide. Un visage énigmatique encadré par de très longs cheveux noirs. Mes mains caressent la peau de son cou avant de le serrer faiblement. Ma main glisse sur son épaule dénudée. Je caresse sa peau en continuant de la dévorer des yeux. Mes pupilles sont plongés dans les siennes, elles m'hypnotisent. Mes lèvres trouvent le chemin de son épaule que je viens embrasser tendrement. À l'aide de ma main, je fais glisser ma veste qui va s'écrouler sur l'herbe dans un bruit sourd. La voilà encore une fois nue. Mes baisers ne se sont pas stoppés. Tout en m'agenouillant devant elle, je fais courir ma langue jusqu'à son nombril dans une lenteur insoutenable, passant par ses tétons durcis par l'excitation de la situation et le froid. Mes longs cheveux noirs tombent en cascade lorsque mes genoux touchent le sol. J'embrasse l'ombilic et je relève la tête.

Dans ma tête, j'enregistre chaque parcelle de ce corps que je découvre ce soir. Ces cheveux mi-longs d'une couleur si peu commune. Sa poitrine ronde et rebondi et ses tétons au garde à vous, prêt à être croqué. Sa fine taille qui dévoile ensuite de longue et belle jambe. Elle est si séduisante dans sa position. Une vision de son corps qui pourrait laisser bien des hommes sans voix. Je me délecte aussi de sa simplicité presque enfantine. Oui, elle a ce coté grand enfant qui - outre son arrogance effrontée - pouvait la rendre mignonne. Des milliers d'images se bousculent et je secoue la tête comme pour me raisonner. Je la regarde adossé à cet arbre, admirant le tableau qu'elle m'offre et lui lance un sourire reconnaissant. Cybèle est visiblement prête à y aller déjà. Au moindre signal elle serait sans doute debout à me chercher. Elle est vraiment épatante, c’est agréable. J'en profite.

Tu sais, je ne te connais pas encore Cybèle, mais je peux déjà te dire que je t'apprécie beaucoup. Et crois-moi girl, je ne dis pas ça car tu es nu devant moi, mon regard brille légèrement à la dernière phrase que je prononce. Crois-moi aussi quand je te dis que j'en ai vu des nanas à poils devant moi, mais aucune n'avait ton mordant. je me pince la lèvre inférieur et mes doigts redessinent les traits de ma moustache. Je baisse la tête pour cacher un nouveau sourire, et je soupire. Ces évènements n'étaient pas inscrit sur mon programme de la soirée. Je me relève enfin, m'approche d'elle et lui caresse la joue. Je ferme les yeux en encerclant de mes bras sa taille, tentant vainement de lui tenir chaud l'espace de quelques secondes. Je sens sa chaude poitrine contre mon torse. Je la sens frémir.

Quel est son véritable but dans cette histoire ? À quoi joue-t-elle ? Je finis par m'éloigner d'elle. Je lui tends une main en lui souriant pour l'inviter à me suivre.
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MessageSujet: Re: [Libre] Lune, fidèle comparse.   [Libre] Lune, fidèle comparse. EmptyVen 9 Nov - 3:50

Nos corps s'appelent envelopper des choses interdites , des choses qui ne sont pas digne d'une bonne catholique. Pardonnez moi mon dieu , mais il a longtemps que j'ai sacrifié mon premier pêcher. La longue liste se continuera quand j'aurais goûter à sa peau à chaque baiser reposer en quête de long soupire au creux de mes oreilles. Sur le long de mon cou , qu'il s'essouffle sur ma joue et me frôle sans problème de ses lèvres affamées le long de mes formes qui s'ondulent. Qui s'agitent pour me rapprocher toujours plus , le sentir vibrer à l'intérieur de moi , couler à flot dans son être comme son sang dans ses veines.Chercher toujours plus loin faisant exploser les intecelles. Toucher le long de mes doigts les faiblesses qui le hante pour l'entendre gémir du bruit qui entend depuis trop longtemps au pas de la porte. Oh sans doute tu as déjà vu beaucoup , mais laisse moi t'apporter ma touche pour te marquer pour de bon. Sentir que ma bouche c'est si occupée d'une partie que les lettres de mon nom flottent légerement. J'envouter sans le moindre mot , te guider par simplement regard et te rendre fous par une simple caresse.Voilà ce que ma jambe avait entreprit sur la tienne et ma main le long de tes vertèbres. Épaule agicheuse montrant le bout de son nez tu as su bien t'en occuper en l'embrassant glissant ma veste à me retrouver nu. Je n'ai pas retenu les longs soupires qui m'ont ébranler même fait trembler mes lèvres. Descendant toujours plus bas je bouillonais , les celsuis prêtent à crever le plafond. Tout s'éveille il devient pire que l'effet de cocaïne. Contre l'arbre je m'y frotte un peu les ongles plantés dans l'écorce oubliant que mon dos commence à s'écorcher. [b]C'est ce qui rend l'évenement encore plus intéressant quand il n'est pas prévu. Je le suis dans ses sourires en l'observant à la lueur de la lune. [b] Encore mieux comme tu semble intrigué par moi continuons dans cette lancé. Il se sépare de moi ce qui me provoque un grognement au fond de ma gorge. Pour le moment la distance m'épuise . Sa main tendue qui nous dirige vers l'inconnu , je retourne bien vite la situation le bloquant contre l'herbe. La cage vient d'être refermer à mon tour de guider.[b]Pourquoi aller ailleurs ? Mon regard le dévore avant que je plonge dans son cou. Baiser après baiser l'un n'attend pas l'autre. Je remonte le long de sa venne comme prête à asserer des crocs
, mais je ne fais que de légères morsures désireuses. Mes mains n'ont pas pris leur mal en patience en débouttant son jean que je poussais déjà vers le bas bien lentement prenant soins de bien caresser les parties que je dénudais à chaque centimètres. À sa nuque ma langue rejoins le tout parfois s'évadant de ma bouche pour le goûter sans pudeur. J'assère mes griffes dans son dos venant les joindre aussi à ses grandss mèches. Je le plaque encore plus le poussant tant bien que je peux collant ma poitrine qui ne le laissait pas indifférent. Je reviens enfin à ses lèvres pour des baisers endiablés dont je savoure prenant le temps de les rendre bien langoureux.[b]N'essaie même pas de t'enfuir...Besoin charnelle autant sexuelle , ils m'habitent furieusement. Impatience toujours d'un plus haut niveau je lui fais sentir en m'aventurant toujours plus loin . Mes doigts qui frôlent la partie du bas en explique la situation comme son torse que je commence à découvrir. Les seuls témoins , l'arbre victime et l'eau qui s'endort sous les étoiles. Laisse donc la nuit nous envelopper.
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MessageSujet: Re: [Libre] Lune, fidèle comparse.   [Libre] Lune, fidèle comparse. EmptyDim 11 Nov - 0:35

[Je préviens, c'est un peu beaucoup chaud What a Face]


Ma main est toujours tendu en avant alors que je fini sur l'herbe, entièrement cloué au sol. Cette fille est décidément bien joueuse et déterminé. Elle me lance un regard de défi avant d'entamer une ritournelle sans fin de baiser alternant sur de charnelles morsures. Elle s'attaque maintenant à l'unique vêtement qui recouvre encore mon corps. Je sens qu'il est en train d'être emporté par les mains de Cybèle qui s'attarde à caresser ma peau. Je tente - sans bien me donner trop de mal - de me relever, mais elle me serre au sol, appuyant une nouvelle fois sa poitrine contre la mienne. D'une vois douce et lascive, elle m'intime de ne pas tenter une quelconque fuite. Dans ma tête, je me demande quel homme s'abstiendrait de toucher une telle créature affamée en plein milieu de nulle part. Mais je ne crois pas avoir envie de m'enfuir. Ce n'est pas mon genre mademoiselle, lui répondis-je sur un ton identique. Que pouvais-je dire d'autre ? Sa main est presque à hauteur de mon membre dont je peux déjà sentir le sang pulser à l'intérieur. Ma main vient capturer avec affection celle de la belle Cybèle et j'attrape son index à l'intérieur de ma bouche. Je joue avec tandis que mon autre main se faufile du haut de son dos jusqu'au bas de ses reins. Mes jambes se soulèvent alors, je la garde contre moi et j'en profite pour passer alors au dessus d'elle.

Je la regarde de façon silencieuse. Encore une fois, j'épie l'espace de quelques secondes son corps. L'athée que je suis, dans son euphorie actuelle, est prêt à croire que les Dieux ont réellement confié leur beauté à cette jeune femme. Après tout, les vestales de Venus jouissent d'une aura particulière, les rendant immanquablement charmantes et attirantes. Alors pourquoi ne pas s'être réincarné là ? Sous mes yeux ? Le temps s'arrête, et les pensées convergent toutes vers la beauté de la scène. Elle est là, offerte à moi.

Mes lèvres vont retrouver les siennes, chastement cette fois car ma tête descend le long de son anatomie entière. Ses cuisses demeurent écartés, mon visage est enfoui entre. Et au vue des ondulations de ma tête, l’on devine aisément ce que je suis bien en train de faire. Au bout de quelques minutes, Cybèle s'avère perdue dans un état second, les joues rougies par le plaisir qui se traduit par de petits, légers et continus gémissements. Elle parait plus délicate de la sorte, maintenant que son âme s'exprime à travers son visage. Enfin elle manifeste son plaisir au travers de gémissements. Enfin les choses sérieuses commencent.

Avant qu'elle n'atteigne le réel plaisir, j’émerge et reviens en haut. Je caresse encore une fois la joue de ma beauté. J'ai une envie folle de frapper. Ma nature a toujours été comme ça avec le sexe opposé. Mais qu'est-ce qui m'en empêche au juste ? Absolument rien ! Ma main quitte sa joue pour revenir la heurter, main bien à plat, dans un magnifique claquement ; je viens de la gifler. Ça, c'est pour le rabâchage inutile, je n'ai pas besoin qu'on me répète les choses. Je t'ai entendu la première fois lorsque tu m'as dit que tu voulais diriger les choses. D'un revers, je viens heurter la seconde joue. Ça, c'est pour m'avoir menacé baby. Ma voix a changé. Je la module sans effort pour maintenir cette femme sous ma domination. L'ordre est implanté sans aucune difficulté. Elle a eu tord de me menacer. Amusé de constater qu'elle se laisse faire. J'ai enfin l'assurance de pouvoir la manipuler à ma guise.

Je porte à nouveau la main sur elle, mais sans violence, non, avec douceur, lui palpant doucement les flancs. Sa peau est douce, délicieuse au toucher, je la goûterai bien assez tôt. Je laisse encore une fois remonter mes mains sur son corps, venant prendre doucement sa poitrine que je masse avec douceur avant de saisir ses boutons de chair entre mes doigts pour les taquiner, les pincer légèrement, tirer aussi un peu dessus.

Bientôt, je ne tiens plus et je m'enfonce en un coup de rein au plus profond d'elle. Mon corps ondule, mes abdominaux me permettant d'être à l'aise dans cet exercice. Concentré, mon sexe s'enfonce de plus en plus profondément à chaque mouvement de balancier que je fais. Mes mains se referment sur l'herbe qui nous entoure, mes doigts pénétrant le sol sans que je ne m'en rende réellement compte. Mes hanches creusent brutalement le sol. Son clitoris se retrouve sollicité de différentes manières, lui arrachant des gémissements qu'elle ne cherche pas à dissimuler. Mon corps se met à trembler et l’excitation est à son comble.
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MessageSujet: Re: [Libre] Lune, fidèle comparse.   [Libre] Lune, fidèle comparse. EmptyDim 11 Nov - 4:27



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MessageSujet: Re: [Libre] Lune, fidèle comparse.   [Libre] Lune, fidèle comparse. EmptySam 15 Déc - 16:40

il y a t'il des âmes qui vivent ici ?

yo. [Libre] Lune, fidèle comparse. 2684926262 désolée de devoir intervenir de cette manière là dans votre rp. mais.. n'ayant vu aucune réponse depuis le 15/11 (ou avant), on voulait savoir si ce rp était toujours actif? dans l'cas où il le serait toujours, envoyez moi un mp pour que j'puisse effacer mon message. ou dans l'cas contraire, déplacer votre rp dans la corbeille. sans aucune réponse d'ici le 22/12, votre rp atterrira dans automatiquement dans la corbeille. ce qui serait dommage. ;_; alors manifestez vous mes amours! [Libre] Lune, fidèle comparse. 3681609067
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