Paris de bon matin, c'était comme Rome dans la nuit cendré de la fête des lumières. J'aimais Paris le Matin, l'odeur du goudron mouillé que j'aimais cette odeur qui me rappelle les pluies estivales qu'on a très peu en Italie... Je me levais un goût de nicotine restant encore dans ma gorge, j'avais horreur de ça n'empêche c'est bien la seul chose qui pourrait me dégouter de la cigarette qui faisait de moi un véritable Zombie dés le matin, L'hiver était doux en ce moment à Paris... Pas de Neige ni de verglas... Cela changeait de l'année précédente où ce fut une véritable apocalypse pour ça. J'ouvris la porte fenêtre qui menait à mon balcon pour observer le ciel grisâtre de la Capitale, oh Capitale que je t'aime si tu le savais. J'étais simplement vêtu d'un Boxer noir en Lycra le truc que je ne sentais même pas... La cigarette entre les lèvres je l'alluma je n'aimais pas fumer à l’intérieur de chez moi je trouvais ça un peu dégueulasse pour mes voisins qui respirait ma fumé dans le couloir. Observant le levé du soleil Parisien, plusieurs personne me salua en ouvrant leurs volets. Je dois dire que les gens était respectueux ici... Enfin sauf quand votre connard du voisin du 4 ème à laisser son chien Medor pisser par dessus le balcon arrosant le mien d'une flaque jaunâtre que j’évitai avec succès... Je posa ma cigarette sur le bord d'un cendrier pour aller chercher un sceau que je remplissais d'eau et aspergea mon balcon, la prochaine fois que je vois se mec je lui fait bouffer son chien. Se soir j'allais surement encore lui faire le coup de l'accordéon à 4h du Mat' pas de pitié pour les Connard èoé. Finissant ma clope j’aperçus au loin Parvati que je salua d'un signe de main. C'était ma voisine de pallié une jeune femme très sympathique et jolie en plus, mais elle était du genre à en savoir plus sur moi, j'étais trop timide pour la laisser rentrer comme ça dans ma vie. Quand j'ai finit ma sucette à cancer, j’allai me prendre une douche de bon matin profitant de se moment pour parfaire à mes plaisirs solitaire comme me dit si bien Dante. En sortant j’allai m'habiller, Un t shirt blanc uni par dessous une veste en cuir rouge... Un jeans bien coupé et une paire de chaussure en cuir... Prenant mes accessoires j'allais à mon travail.... Pause midi je reviens du travail en ouvrant ma boite aux lettres je vis une lettre d'une confiseries qui c'est installé dans la Galerie marchande de St Lazare. La gare étant rénové ils ont ouvert pas mal de petit magasins c'était pratique surtout pour moi qui avait horreur de prendre la voiture et en plus le 8ème arrondissement était rapide en Métro pour moi c'était fantastique. Mais ce message disait:


Cela me surprenait enfaite car Marcia était une fervente partisane du moindre efforts du peu que je la connais, c'était une adoratrice de la Galerie et une grande amie de mon directeur, je me demande pas si ils ont eu une liaison tous les deux... Mais la n'est pas la question! Je me dandinais rien que de savoir que j'avais droit gratuitement à 50€ de Bonbon... Ça fait beaucoup non? Rohlolo je vais pas pouvoir tout manger, je me suis dit qu'il fallait que je fasse profiter quelqu'un tout de même... Surtout que je venais de repenser au petit cœur inscrit a coté de la signature... Une sueur froid m'envahit tout entier, je voyais troubles les étoiles naissaient autour de ma tête j'allais choir, j'allais tomber dans les choux! Mais finalement je me suis dit si je n'y vais pas seul ! Elle me violera pas au coin de la caisse... ... ... ... Un vent froid parcouru ma colonne vertébrale pour me dire arrête tes conneries tu vas vomir! Je sauta sur mon téléphone essayant de chercher avec qui je pourrais bien y aller, le premier nom fut Dante... Non pas Dante il est quelqu'un de salé et aime le pinard et Hélas j'ai pas de vin TANT PIS! Suivant! Mon frère... NON Il est à Naples... Et puis soudain j’eus une idée je sauta de ma place pour courir a toute ber zingue esquivant : Canapé, Chien et Sac de linge sale pour chopper une de mes vestes où il y avait à l’intérieur une petite serviette avec le logo d'un bar dessus et un numéro de téléphone que j'avais oublié d’enregistrer. Celui de "Zaza" Oui enfin je connais pas son vrai prénom il se faisait appeler Zaza alors ça m'est rester! Je discutais souvent avec lui via réseau sociaux mais pas trop via téléphone faut dire que son numéro je ne l'ai toujours pas enregistrer... Je lui envoya donc un sms j'aimais bien ce garçon il était drôle et très intéressant. Il me reponda un sourire aux lèvres je me faisait une joie de passer du temps en compagnie de quelqu'un. Il me reponda alors qu'il arriverais après c'être habillé le temps qu'il arrive j'avais le temps de me prendre une douche... Après le boulot rien de tel! Une fois dans le douche pour branler laver! Je sortis aussi propre comme un sous neuf une fois rhabiller je me posa devant mon ordinateur pour regarder mes Messages voir si mon frère deigne me répondre où non, il doit arriver à Paris la semaine prochaine et j'attend toujours des nouvelles... Quelque minutes plus tard et avoir eu le temps de Checker mon profil facebook j'entendis frapper alors je hurla:

« Rentre! C'est ouvert... »

Je me rendis compte que finalement c'était pas une bonne idée, je vis Pongo mon chien courir dans le salon pour aller devant la porte... Et la :

« Faccia Defecato! la porte est fermé! »

Je me leva courant après le chien car je savais qu'il allait bouffer mes clefs si cela continué... Je fut cambrer en avant une mains ouvrant la porte et l'autre tenant le chien pour pas qu'il s'enfuit dans l'escalier. Pongo était un border colley qui était très obeissant mais surtout très têtu... Je vis Zaza et j'eu un sourire un peu mal à l'aise de la situation je me recula pour laisser la place d'entrer:

« Vas y je t'en pris Rentre désolé Pongo est un peu trop enthousiaste en ce moment. »

Ce sont des simples mots. Sans importance, dont on ne connait jamais la réelle portée. On ne jamais la conséquence qu'ils peuvent avoir. Même si ils ne sont pas réellement pensés, même si ils sont dit sous le coup d'une émotion incontrôlable qui emporte tout sur son passage. Je suis impulsif il parait. Je suis le genre de personne qui ne se contrôle pas, qui dit ou fait des choses qu'il ne ferait pas si il n'était pas comme ça. Je ne peux pas changé, je ne veux pas changé. C'est bien trop simple de dire qu'on peut changé alors qu'au fond on en est incapable. Ce n'est pas de ma faute si ... Le peu d'éducation que j'ai reçu de ma génitrice m'a fait devenir cette boule de nerf, cette bombe à retardement. J'ai toujours quelque chose à reprocher aux gens. Ils ne sont pas assez attentifs, trop prévisibles. La routine m'énerve, à la longue. Tout dépend de laquelle bien sûr. Celle de me réveillé tous les matins à la même heure et d'accueillir Vinz dans mon lit ne me dérange pas, sinon je ne continuerais pas de le réveillé tous les matins alors que je sais pertinemment qu'il aime dormir. Non, je ne suis pas un emmerdeur. Je suis juste quelqu'un qui vit. Je ne me prive pas pour les autres. Ils s'adaptent. J'ai toujours vécu comme ça. J'ai appris à vivre et à ce que j'ai les gens s'y habituent. A cause de qui? De ma mère. Elle qui s'est barrée sans raison. Elle voulait de l'argent pour me rendre heureux? Elle m'a plongé dans une solitude dans fond. Une solitude dont personne n'arriverait à se dépêtrer. Mais moi j'ai Vinz. Vinz qui me tient la main quand je vais mal, quand je flanche.

Le message de Vincenzo tombait plutôt bien ce soir. J'étais seul dans mon appartement, ce qui était rare, à me trimbaler en boxer. Vinz n'était pas là. Je n'avais aucune idée d'où il pouvait bien être mais au final je m'en foutais. Je n'étais pas seul grâce à Vincenzo. L'idée de regarder un film en me goinfrant de bonbons m'avait charmé. Je ne pouvais pas me permettre de refuser. Il fallait être stupide pour ne pas dire oui à une invitation si alléchante. J'avais foncé, tête baissé. Je ne le connaissais pas beaucoup, mais peu importe. Au moins il était gentil avec moi. Ce qui était rare. Surtout quand on connaissait un tant soit peu mon caractère. J'étais imbuvable et ça, tout le monde était au courant. Même le voisin d'en face qui laisse tout le temps traîner ses fringues sur le palier de la porte de mon appart. Ca a eu le don de m'énerver, plus d'une fois, et je lui ai gueulé dessus, plus d'une fois. Il m'a dit que j'étais fou un jour, j'lui ai juste répondu que je vivais pour moi et que je ne voulais juste pas qu'on empiète sur cette liberté que j'avais acquit au fil du temps. Je ne voulais pas qu'on m'empêche de vivre. Personne ne l'avait fait jusque là, pourquoi maintenant? Bref. J'avais attrapé un jeans qui trainait par là et j'ai attrapé un t-shirt dans la chambre de Vinz, tous les miens sont sales, il ne lui manquera pas. C'est une bonne chose qu'on fasse la même taille. Les fringues n'ont pas une grande importance, peu importe comment j'suis fringué, c'est pas ça qui compte. J'allais sortir, prêt. J'avais mon portable, mon porte-feuille, bref, tout ce dont j'avais besoin. Avant de partir, j'attrapais une feuille blanche où j'inscrivais d'une manière peu soignée " suis sorti, j'reviens pas tard, bisous, Zaza ". C'était mieux qu'un sms et au moins il allait le voir en rentrant. Sauf si il était avec quelqu'un... Et même là, il ne remarquerait même pas mon absence. C'est toujours pareil. J'ai l'habitude.

J'ai traversé tout Paris. La capitale était plongée dans la nuit à cette heure-ci. Elle était magnifique. J'ai toujours aimé Paris la nuit. De plus, en ses périodes festives, les décorations ornées les différentes rues. Même la tour Eiffel scintillait de milles feux. J'aurais aimé, étant gosse, que ma mère m'entraîne, le soir de Noël, dans les ruelles pour admirer les boutiques d'artisans organisées spécialement les fêtes avec des jouets divers et variés, tous plus fascinants les uns que les autres pour un enfant qui a des étoiles dans les yeux à l'approche de Noël. Mais elle ne l'a pas fait. Jamais. Finalement j'arrivais face à la porte d'entrée de chez Vincenzo. Je n'étais jamais venu mais au final, j'me débrouillais assez bien dans les rues pour trouver. Je toquais. Rapidement une voix se fit entendre. « Rentre! C'est ouvert... » Alors que j'allais pour abaisser la poignet, la voix retentit une nouvelle fois. « Faccia Defecato! la porte est fermé! » Je fronçais les yeux sans comprendre un seul mot. Il parlait en quelle langue là? Surement pas du français. J'attendais donc. Il ne faisait pas si froid, du moins c'était supportable, ce qui adoucissait l'attente. « Vas y je t'en pris Rentre désolé Pongo est un peu trop enthousiaste en ce moment. » Je regardais le chien d'un oeil intrigué avant d'aller doucement caresser l'arrière de sa tête avant de poser mes yeux sur mon pote. « Tu parlais en quoi là? J'ai rien compris. » Un léger rire s'échappait de mes lèvres alors que je rentrais à l'intérieur de l'appartement. La chaleur m'envahit rapidement. Au moins, lui il avait du chauffage. Nous n'avions pas assez de thunes pour nous permettre ce luxe avec Vinz. C'était triste. « J'suis content d'être là. Ca m'fait plaisir. » C'était réelle. Rare les personnes étaient qui se risquaient à m'inviter chez eux. Trop imprévisible. « J'dois avoué que c'est mon bide qui m'a décidé... J'ai faim. » Un léger sourire avant que je regarde le chien de mon ami, assis près de moi. J'ai jamais eu de chien. Dommage. Un jour peut-être.

Je dois dire que je n'étais pas le genre de garçon à se laisser combler par tant de problèmes... Enfin ça c'était autre choses j'étais plutôt du genre patient avec moi-même et des fois avec les autres mais ma patience avait bien des limites... L'arrivé de Zaza aller m'apporter quelque chose qui me manquait en ce moment je ne retrouve plus le mot hélas. Oh oui la solitude... Je doit dire que Paris était bien beau et que je me plaisais beaucoup ici... Mais je me retrouvais seul a chaque fois. J'étais Italien il me fallait de la compagnie sinon je dépérit tel un tas d'humus dans un champs de blé.
Je l'entendis frapper et je décider alors de lui ouvrir, hélas mon chien s'empressa à ma place évitant tout pour l'assault final sur le palier je tena mon chien pour faire rentrer Zaza dans l'appartement, quand je le vis ce fut le smile direct... Mon coté italien qui ressort a sourire à tout le monde même à ceux que je n'aimais pas, il rentra en regardant mon chien intriguer avant de poser son regard sur moi je doit dire que je ne m'attendais pas a une tel question tout de même : « Tu parlais en quoi là? J'ai rien compris. » Je le vis rire, je suis mis a froncer des sourcils cinq minutes, il ne connaissait pas l'Italien? Dommage pour lui c'est l'une des plus belles langues quand même l'origine du Français faut pas l'oublier! je lui répondit: « C'est de l'Italien... Je te l'avais pas dit ? Je suis de Naples tou sais ! » Pourtant mon accent ne tromper jamais normalement ce la m'étonnais qu'il n'est pas reconnu, je me redressa en le voyant rougir des joues, comme si il avait un coup de chaud. C'est vrai que l'appartement était un peu surchauffé, j'ai un gros problème avec le Proprio il a installer un chauffage sous le plancher et ca chauffe un peu trop et je ne peut rien n'y faire après tout ca me dérangeait pas ca me rapelle L'italie tout simplement. « Pongo au Panier!» Ordonnai-je a mon chien pour qu'il arrete de renifler les chaussures de Zaza... Ce chien était un peu trop collant dommage ça! Et il m'avoua :« J'suis content d'être là. Ca m'fait plaisir. » Je dois dire que quoi que les gens pensent des autres, je préfére me faire une opinion moi même, Je trouvais Zaza agréable et très gentil. Ce qu'il me dit me fit énormement plaisir, je me suis légérement à rougir sur le coup je ne pensais pas que fairait autant plaisir a quelqu'un je pense simplement que c'était dù aux bonbons mais il éclaira ma vision avec ceci: « J'dois avoué que c'est mon bide qui m'a décidé... J'ai faim. » Je me suis mis à rire en l'écoutant, Pongo etait assis dans son panier a coté de lui, il le regardait. La façon d'on Zaza regardait Pongo me rapellait moi quand j'ai eu Pongo, on aurait dit un enfant devant une chose qui lui était presque inconnu. J'étais sous le charme d'un coup. Je me resaisissa en lui disant: « Cela ne m'étonne pas... Je reviens je prend ma veste et on pourra y aller. » D'un pas plutot normal j'allais dans ma chambre enfiler un pull en laine et ma veste en cuir de couleur marron, je sortis assez vite de la chambre pour eviter de faire attendre mon invité j'avais dans ma main le bon d'achat, en voyant Zaza j'eu un sourire : « On vas pouvoir y aller maintenant. » Je pris la laisse et attacha Pongo et j'alla donc ouvrir la porte laissant Zaza passer en premier et nous partions de mon appartement pour nous rendre au 8ème en sortant de l'immeuble nous croision Echo mon voisin, un jeune homme que je ne pouvait supporter ayant gacher ma relation avec sa soeur il y a quelques années... Pongo tira sur la laisse et j'essayais de le calmer ne voulant pas aller plus vite que Zaza et je discutais alors avec Zaza nous discutions un peu de tout et de rien. J'avais remarquais que Zaza ne parlais pas beaucoup de lui il garde une certaine barrière mais l'honneur était charitable, mais cela le rendait mystèrieux et j'avais envie d'en savoir plus sur lui... J'étais curieux. Nous prenions les escaliers pour prendre le souterrain le Metro 14 direction pour St Lazare. Passant le portillon je laissa glisser mon chien en premier et je prit des lunettes de soleil non pas que je n'aimais pas les lumières du souterrain mais les chiens sont généralement interdit dans les Metro et pour eviter de me taper une amande je me fais passer pour un aveugle oh je vous donne volontier le baton pour me faire battre mais faites le bien. Je dit à Zaza: « Je ne peut pas faire autrement... Et puis si on te pose la question dit que je suis un aveugle que tu ramène à l'hospice... Je sais pas se qu'on les Parisien avec les Hospice mais ils sont concilliant a chaque fois! Allez viens on vas louper le Metro! » Nous marchions j'avais un grand sourire je devais surement etre pris pour un abruti et nous prenions le Metro après cinq minutes interminables nous sortions du Metro direction la Galerie Marchande en face du Quick de St Lazare...

Ne rien connaitre des difficultés de la vie extérieure, voilà dans quelle situation je me trouvais. Je ne parvenais pas à comprendre tant de complexité, je n'arrivais pas à voir les choses de la même façon que la normale. J'étais ce type un peu à part, en dehors d'une société de consommation stupide. J'étais juste vivant, comme la plupart des humains. Je me contentais de survivre au milieu de ceux qui ne me ressemblait pas forcement. J'étais un cas à part. Être différent tout en étant pleine constitué comme tous les autres humains présents sur cette fichue planète ronde. Parce que oui, la Terre est ronde. Elle tourne sur elle même. Et quand on arrive au bout du monde, non, on ne tombe pas. C'est fou le nombre de gens qui croient encore à ses conneries. Moi, je ne suis pas si stupide. Je sais très bien que les mers, les océans, s'étendent encore et encore. Je sais qu'on ne peut tomber puisqu'il n'y a que des immensités d'eau et rien de plus.

Pourquoi je faisais entièrement confiance à Vincenzo? C'était une bonne question. Je l'appréciais à sa juste valeur. Je l'appréciais et c'était réciproque. Surement l'une des plus belles choses au monde, la réciprocité. Je pourrais le détesté, dans ce cas là je préférerais qu'il en soit de même pour lui. Une sorte d'équilibre qui me paraissais totalement normal. Mais dans le cas précis, je l'aimais, bien. Pas comme j'aimais Vinz, loin de là. Il n'y avait pas autant de puissance, pas autant de hargne. Pour Zozo c'était plus doux, plus calme, tout mon contraire. Il était posé et étrangement à ses côtés, je parvenais à l'être un minimum. Un peu plus qu'avec n'importe qui. C'était une bonne chose. Je ne voulais pas le faire fuir avec mes conneries. Bien que j'avais conscience qu'il finirait par fuir loin, loin de ma folie et de ma connerie. Une connerie énorme. Et j'étais là, planté dans son putain de beau salon chauffé. J'me sentais minable, au fond du trou. J'étais qu'un guitariste dans un groupe de rock, j'avais pas les moyens d'avoir de quoi m'chauffer, moi. Cette situation ne me plaisait pas. Une véritable merde. J'étais une merde. Faire de la musique ne rapportait rien mais c'était la seule chose que j'étais capable de bien effectué. La seule chose que j'aimais faire. « Cela ne m'étonne pas... Je reviens je prend ma veste et on pourra y aller. » Me dit-il. Je posais mes yeux sur lui alors que Pongo s'approche de moi. « J'suis jaloux. Il fait chaud chez toi... » Pongo se frottait doucement contre moi, balançant sa queue de gauche à droite. Un chien était le rêve de tous les gosses. Même moi étant petit j'en avais voulu un. « On vas pouvoir y aller maintenant. » Je hochais la tête alors qu'il prenait Pongo en laisse pour partir. Je pénétrais dans la nuit parisienne le premier et la fraîcheur de la nuit m'envahit. Malgré le temps plus que raisonnable de ses derniers jours, la nuit, il faisait vraiment froid. Je suivais sagement Zozo. Une fois la nuit tombée, les ruelles de Paris m'étaient soudainement inconnues. Je ne sortais pas le soir. Je n'avais pas confiance.

Mes yeux vacillaient dans tous les sens pour inspecter les lieux puis finalement nous arrivâmes au metro où Vincenzo commença un drôle de manège. Il mit des lunettes noires et sortit une canne. Je fronçais les sourcils avant qu'il ne m'explique. « Je ne peut pas faire autrement... Et puis si on te pose la question dit que je suis un aveugle que tu ramène à l'hospice... Je sais pas se qu'on les Parisien avec les Hospice mais ils sont concilliant a chaque fois! Allez viens on vas louper le Metro! » Je fronçais les sourcils sans vraiment comprendre. Pourquoi être obligé de faire ça? Ce n'est qu'un chien. « C'est complètement con de ne pas accepter un chien dans un métro. C'est pas un repris de justice? Il a tué personne? Pourquoi il pourrait pas rentré? Qu'elle société stupide. » Je soupirais longuement alors que nous rentrions dans le métro et qu'une vieille aux idées surement bien arrêtées sur la vie me fixait comme si j'étais le dernier des abrutis. « Vous avez un problème madame? Non? Très bien, foutez moi la paix avec votre regard de mégère qui croit tout savoir sur la manière de bien se comporter en société. » Je devrais peut-être lui demander des conseils de savoir vivre après tout. Je faisais l'animation dans le métro, si fade et sombre à cette heure si. Pour une fois que quelqu'un osait dire ce qu'il pensait au plus profond de lui. Néanmoins, je n'en abusais pas. Finalement nous arrivions à notre arrêt et nous sortions. Enfin de l'air, loin de tout problème. « Désolé pour le spectacle dans le métro, mais elle m'a fixé comme si j'étais un demeuré et ça m'a foutu en rogne. » Je n'avais pas tellement d'excuses. J'étais comme ça. Toujours sur les rotules, prêt à dégainer à la moindre agression. « Bref c'est pas grave. Où est la boutique? » Un léger sourire se dessinait sur mes lèvres alors que je me tournais vers Vincenzo. Passer du temps avec Vinz m'apprenait à me contrôler, un minimum. C'est peut-être la seule personne qui parvenait à me calmer quand j'étais énervé. Là, je ne l'étais qu'en surface. J'avais tellement l'habitude de la stupidité des gens qu'au bout d'un moment je n'y prêtais même plus attention.

« Je ne peut pas faire autrement... Et puis si on te pose la question dit que je suis un aveugle que tu ramène à l'hospice... Je sais pas se qu'on les Parisien avec les Hospice mais ils sont concilliant a chaque fois! Allez viens on vas louper le Metro! » Je regardais Zaza du coin de l'oeil je me suis mis à sourire le voyant froncer les sourcil et soudain il m'expliqua son mécontentement « C'est complètement con de ne pas accepter un chien dans un métro. C'est pas un repris de justice? Il a tué personne? Pourquoi il pourrait pas rentré? Qu'elle société stupide. » C'est vrai que Pongo était le plus adorable des chiens, et le mieu élevé que j'ai pu voir dans ma vie encore a part les chiens de Cirque. Mais la société ne prend pas au car par cas se serait trop long. Je ne savait pas quoi effectivement en rentrant dans le métro, une vieille pimbêche regarde bizarrement et ce la me faisait rire quand j'ai entendu par la suite la remarque de Zaza à son propos il m'avais raconter que son caractère etait bien trempé je dois dire que maintenant je ne m'en doutais plus « Vous avez un problème madame? Non? Très bien, foutez moi la paix avec votre regard de mégère qui croit tout savoir sur la manière de bien se comporter en société. » Je posa ma main sur la sienne le regardant derrière mes lunettes noir en lui disant: " Calme toi ca sert a rien de t'enerver." Il ne disait plus rien enfin nous disions plus rien un peu pri au dépourvu. Nous sortit de cette enfer de labyrinthe en sortant du Dome en verre qui constituait l'entrée du Métro de St Lazare j'enlevais mes lunettes et ammena Pongo pres d'un poto pour qu'il puisse.. Oui voila vous aurez compris. Et Zaza s'excusa: « Désolé pour le spectacle dans le métro, mais elle m'a fixé comme si j'étais un demeuré et ça m'a foutu en rogne. » J'eus un sourire pour lui ce n'était pas bien grave c'était même assz drôle mais surement pas pour Zaza qui confrontait chaque regard sur lui comme un duel acharné de Pokémon... Je lui répondit " C'est pas bien grave, le principale c'est qu'on soit bientot arrivé. " In continua sur « Bref c'est pas grave. Où est la boutique? » " Par là! " Repondis-je en longeant les batiments préfrabiqué très moche soit dit en passant, Nous marchions en discutant un peu sur les choix de bonbons que nous allions choisir, nous traversion la route une fois passant la tour des horloges immondes! passant devant le Quick rien que l'odeur des Hamburgers me donnait extrement faim! Des marchant Ambulant était toujours là dans cette angle de rue a promouvoir des legumes de saison ou des fleurs me demandant je lui répondit distinctement: " Non merci j'ai personne dans ma vie " Et le pire c'est que cela rimait, nous traversions une nouvelle fois et nous rentrions dans la fameuse gallerie Marchande ou Marcia nous attendais ! Nous traversions l'allée avant de tourner une fois a gauche et là! Explosions de lumière l'hécatombe du Sucre et l'Enfer de la Dentition. bienvenue aux Paradis du Bonbon! Il y avait enorment de lumière diverse et varier, en sapprochant on pouvait distinguer des automates sur la fabrication des bonbon de l'ancien temps... Les Mistral Gagnant, les Nicklesdents...Je regardais Zaza: " Je pense qu'avec 50€ on aura de quoi faire pour la soirée non ? " Et la soudain je vis au loin Marcia, Marcia etait gentille et une très bonne amie de mon patron je ne pouvais pas lui dire simplement j'aime pas les vieilles bique et soudain en regardant Zaza baver sur les bonbons je lui dit : "El', tu peut me rendre un service? Tu vois la vieille bique labas? C'est celle qui ma offert les 50€ de bonbons, bon le truc elle veut me violer c'est mon patron qui me l'a dit et vu son regard quelle me lance quand elle me regarde c'est un cauchemard... J'ai une idée, tu peut te faire passer pour mon... Compagnon? S'il te plait?" Je lui lancais le plus grand le plus grand regard de lion larmoyant possible le truc même le chat potté n'y resisterait pas a voir sa répondre