Les couleurs explosaient sur la toile , des lignes , un paysage quelque chose de total abstrait. Le pinceau à mes lèvres l'aire pensive , je venais d'adopter une tâche verte sur la chaire rosée. D'autres avaient atterris sur ma chevelure. Le tissus de lin avait céder sa place et je devenais la toile. Aucun sens ne pouvait être apporté aux multitudes formes que je tentais de reproduire et pourtant tout se percutait dans ma tête. Mes multitudes pensées venaient s'écraser prêtent à fissurer mon crâne. La lueur chaude su soleil s’amorçait sur ma peau froide. Je lançais un regard dehors pour voir que la journée commençait et que la nuit était bien terminé. Les premières heures. Je délaissais mon pinceau puis je liais mes mains l'une dans l'autre. On aurait pu les comparer à de la vrais glace , ce n'était pas étonnant comme j'avais de forte tendance à tenir mon appartement à la froideur. Je n'avais pas l'intention d'aller chercher l'argent nécessaire en vendant des barbes à papa aujourd'hui. J'avais déjà quelque chose d'autre au menu et un papier installé sur ma palette de couleurs étaient là pour me le rappeler à ma mémoire défaillante. Mon portable déposé plus loin avec plusieurs appelle manqués de mon père et de mes frères. Le nid familiale me ramenait toujours à l'ordre même si j'ai pris mon envole. Ils ne peuvent s'empêcher de vérifier ce que je fais sous les étoiles , malheureusement je ne reprendrai pas le bon chemin pour le faire plaisir. Certes je ne consomme plus aucune substance. Je retire mon œuvre non terminé du chevalet et la dépose contre le mur avec tout les autres délaissé dans leur travaux en chantier. Le manque d'inspiration est sur le point de me rendre dingue comme dans une grande frustration qui se rabat sur mes nerfs beaucoup trop tendus. La fenêtre entrouverte qui filtre une brise froide est ouverte après un coup de main que je lui inflige et je jette mon pinceau à travers. Je ne me retourne même pas pour voir si un passant à été victime d'un bâton sur la tête. Sourire en coin j'imagine la scène et même que je lâche un fin rire. Je rentre dans ma chambre et je pousse le tas de vêtements entasser pour enfiler des vêtements un peu plus propre et moins déchirés. Je ne prend même pas la peine de filer à la salle de bain pour essuyer mon visage et mes cheveux. Je glisse la tignasse rose sur ma tête avec élastique. Coiffure improvisé du matin. Il serait étrange de me mettre coquette en fait pour ma meilleur amie qui devrait arrivé d'ici quelques minutes. Salime une jolie brune âgée du même nombre que moi. La seule femme dont je suis proche depuis mes dix-neuf ans. À croire que c'est ma jumelle parfois. Nos pensées qui se ressemble beaucoup trop , nos personnalités similaires qui aiment s'unir par leur points communs. La même passion , la même phobie , on est relié . Ma tête croit mal à une telle amitié et pourtant je lui offre si naïvement. Si j'augmente le temps sur les horloges et les calendriers je nous vois déjà , le visage ridée , à rire encore autant toujours . Je viens à voir que lorsqu'elle est loin de moi je me sens un peu vide. Des oiseaux inséparables . On pourrait dire une amitié parfaite sauf que ce mot ne peut-être attribué à aucune chose. On cogne à la porte et je sais déjà que c'est elle. Je lui ouvre . «T'as apporté Gus j'espère ?» Ce n'est nu l'autre qu'un petit hérisson qui porte son nom. Oui la garde partager des animaux existent faut croire. Je lui prends sa main et je la tire à l'intérieur. «Coucou ! Je me demandais quand tu allais arriver.» Je dépose un bisous sur sa joue avant de lui pincer celle-ci en lui faisant une grimace.
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Sujet: Re: Twins ✽ Salime-Patate Lun 12 Nov - 23:05
Mes yeux se promènent de droite à gauche, ils ne manquent pas un seul détail, comme s'ils étaient à la recherche de quelque chose d'important, comme si ma propre vie en dépendait. Ma vie dépend de ce truc sur quatre pattes et pourquoi, je ne crois pas que pour lui ça soit réciproque. Je me mords la lèvre inférieure, inquiète. Portable à la main, j'hésite à l'appeler, j'ai peur qu'elle vienne et me reproche d'avoir perdu notre bébé à toutes les deux. Tête contre le tapis, mon doigt tape légèrement contre le sol, j'ai un faible espoir qu'il va apparaître comme par magie. Je soupire en prenant la position indienne, dos légèrement courbé vers l'intérieur, je regarde l'écran de mon téléphone cellulaire, je compose lentement le numéro de Cybèle, prenant plus de 3 secondes à tous les chiffres espérant entendre un petit couinement puis le son de petites pattes qui courent. Dernier numéro, j'ai le coeur qui bat tellement fort que lorsque je dépose mon portable contre mon oreille, ce n'est que ça que j'entends. Première sonnerie, deuxième, elle ne répond pas. D'un coup, du coin de l'oeil, je vois un minuscule truc qui bouge. Pouce appuyé contre l'arrête de mon appel, je commence à marcher à quatre pattes, lentement, regardant ma proie, Gus apparaît et lève son petit nez dans les airs, flairant un prédateur. Je prie pour ne pas qu'il court et se faufile dans un endroit impossible à atteindre. 'Gus, ne bouge pas, s'il te plait.' Il se retourne, me regarde du coin de l'oeil et fait un pas vers l'avant. Il veut ma mort ce petit hérisson, ce n'est pas possible. Plus de deux heures que je le cherche, je n'ai pas envie de le perdre deux heures de plus et de retrouver ma tête sur un piquet à cause de Cybèle. Un pas à la fois, je me rapproche de Gus, finalement il ne bouge plus, je crois qu'il a compris la situation dramatique dans laquelle je me retrouvais. Entre mes mains, il est plein de poussière. Un soupire de soulagement traverse mes lèvres et je lui enlève pour qu'il soit beau et le remet dans sa cage le temps que je me prépare pour sortir. Tous mes vêtements se retrouvent au sol, j'enfile des trucs simples et une énorme veste en laine, car dehors c'est l’Antarctique. Un frisson parcours mon dos. Une couverture sur la cage de Gus, c'est l'heure de partir et je n'ai pas envie qu'il se retrouve avec un petit igloo comme maison. Assise sur un banc dans le métro, je lance un petit coup d'oeil sous la couverture, il dort. Mes yeux se déposent sur mon portable, faisant défiler des peintures sur lesquelles notre prochain projet va se porter, je souris, déjà une idée germe dans ma tête. Rose, comme les cheveux de Cybèle, j'ai hâte d'arriver, elle va sûrement m'embrasser la joue, demander Gus ensuite je vais la prendre dans mes bras, heureuse de la voir et on va se trouver quelque chose à faire. Comme quoi on était trop prévisible, comme quoi la Terre continuait de tourner, comme quoi ma meilleure amie était une partie de moi rosée, comme quoi j'étais une partie d'elle, plus brunâtre, comme une merde. Je pouffe de rire. Elle est de la barbe à papa et moi, un caca, on est belle, on s'aime. Je sors de la station et je marche rapidement jusqu'à chez elle, il fait encore jour, mais je suis sur le point de mourir de froid. Poing contre sa porte, je tente de faire un code secret, mais je sais qu'elle sait que c'est moi avec notre enfant. Gus. 'Toi aussi tu m'as manqué meilleure amie, j'espère que tu vas bien.' Je me mets à rire, me laissant tirer vers l'intérieur. Elle me salue enfin, ouais tente de te rattraper. Ses lèvres contre ma joue je souris, mais une moue remplace vite ce sourire lorsque ses doigts prennent la relève. 'Tu fais maaaaaal.' Ma langue sort de ma bouche, poussant son bras plus loin, la prenant entre mes bras et l'embrassant sur la joue à mon tour. Gus couine. Déposant la cage sur le sol, je tire sur la couverture, en petit bonhomme, je le prends entre mes mains et le montre à Cybèle. 'Il a décidé de s'évader ce matin, je le trouvais pas ...' Et je le dépose entre ses mains pour enlever mon manteau et mon écharpe, mes souliers. Elle est plein de peinture dans ses cheveux, je souris.'Tu vas me montrer ce que tu as fait ?' Les petits yeux pour qu'elle dise oui, j'aime ce qu'elle fait, j'aimerais qu'elle vienne étudier avec moi tous les jours.
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Sujet: Re: Twins ✽ Salime-Patate Mer 21 Nov - 3:39
Des vrais enfants , mais je n'ai pas honte , car elle me fait vivre. Oui c'est ma petite exception qui n'a pas le droit à mon sale caractère à créer des tempêtes . Faut dire que son sourire est si apaisant à regarder une vrais douceur , une jolie fleur de printemps. Je regarde gus qui s'agite dans sa cage. Il me fait rire avec son petit museau qui fouille l'aire bien curieux d'un endroit qu'il semble reconnaître. Après une pincée sur son visage , j'ai le droit à une grimace puis à un grand câlin comme elle a l'habitude de les faire. J'ai l'habitude de me raidir à ce genre de contact quand je ne le fais pas moi même , mais mes muscles finissent par trouver sérénité dans les bras de ma meilleure amie . Oui je vais bien . Je vogue toujours de toute manière dans un océan d'incernité . Les émotions se frappent , mais ne s'entremêlent pas pour former un tout . Alors je reste avec un hochement de tête et un sourire , car de toute manière j'ai toujours agis dans cette procédure . Sous la glace , sous l'illusion . Je passe un pouce sous ses yeux juste où je peux dessiner des cernes dû à sob manque d'évadement dans le pays des rêve Et toi ça va ? Toujours aussi peu de sommeil dans ton petit corps ? [/color][/b] Si on serait le soir , je saurais déjà qu'une nuit blanche sous la lumière tamisée des chandelles pour éviter la moindre parcelle de noirceur pour éviter qu'on tremble dans l'encre. Elle sort notre petit compagnon de son abris et je l'entends faire un petit son comme s'il voulait me dire bonjour . Il faut croire que le petit monstre avait envie d'une escapade ce matin . Je me penche vers lui en prenant ma plus douce voix. Maman sali s'occupe pas bien de toi c'est pour ça que tu tes caché , oui oui tu préfère cycy t'en fais pas tu vas venir passer la semaine ici . La petite bête se referme en boule me laissant une couverture de pique comme simple image . Mon nez se plisse . Faut croire que je lui fais peur à chaque fois . Le rose ne doit pas être sa couleur préféré. Cela ne me tracasse point , car il est loin d'être le premier à prendre peur en voyant mon visage dans ses pupilles. Je prend la main de mon amie et je la tire vers le salon après avoir déposé ses habits d'extérieur sur le sofa . La pièce ressemble à un champs de bataille . La peinture ne se trouve pas que sur les toiles . Elle coule le long des murs , s'égoutte sur le sol et s'écrase sur les murs . N'oublions pas les multiples pinceaux qui sont éparpillé comme des armes après avoir affreind la lois. Je m'avance vers mes oeuvres . Mes doigts frôlent longuement les parties de mes pensées , mais aucun ne semble vouloir s'arrêter sur l'une d'entre elle . Je me mords la lèvre , gratte la peau qui se soulève proche de mes ongles , puis en saissie une par le pure hasard. Je me retourne vers elle et lui donne. En fait elles sont tous non terminées donc je n'ai rien à te montrer vraiment. Un fin rire éclaircie l'atmosphère. Je tire un tabouret et je la fais asseoir appuyant mes paumes sur épaules. Donc tu n'as pas le choix tu vas être ma toile aujourd'hui. Elle s'attent sans doute à ce que j'avance un plan de travail vierge vers elle , mais les poils du pinceau s'abat plutôt sur sa joue rosée fondu sur son visage blanc éclatant. Je barbouille , mais je suis ses traits sur des mouvementa frôlant la perfection. Souvent après ce genre d'activité j'arrive à finir ce que je n'ai pas complété. Je décide de m'amuser en continuant dans ses cheveux avec un grand sourire . J'irais m'armer le plus vite d'un oreiller de peur qu'elle me massacre sans pitié , pour avoir violé sa jolie chevelure brune. Mouhahaha
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Sujet: Re: Twins ✽ Salime-Patate Mer 21 Nov - 5:19
Cybèle. Elle va bien, j'aime l'entendre prononcer ces mots, j'aime savoir qu'elle va bien, j'aime quand les gens vont bien, les mauvais jours arrivent comme ils partent, les bons jours restent les meilleurs. Ma main glisse le long de ses cheveux rosés en souriant, j'ai envie de voir un autre sourire venant de ma meilleure amie, parce qu'ils me font plaisir et parce que je sais qu'ils ne me trahissent jamais ces petits. Son pouce sous mon oeil, je crois loucher en suivant son mouvement, j'ai une petite crainte qu'elle va me crever l'oeil dans un accident de doigt. Elle est voyante ce n'est pas possible, je feins la surprise en rigolant. Une main passe du contact de son pouce contre ma peau en soupirant. Les problèmes de sommeil ne sont pas nouveaux, tout comme le problème du manque de logistique de ma tête. Je suis professeur de mathématique maintenant ou de probabilité. J'arque les sourcils, je cherche loin. Soupire. 'Tu sais, je crois que je vais emménager à Vegas et vivre la nuit, avec toutes les lumières qui se trouvent là-bas, et dormir le jour.' Ça ne répond pas à sa question, mais je vais devenir un vampire, j'ai le teint, le mode de vie, il ne manquerait plus qu'une cape et voilà, je deviens officiellement un vampire, sauf que je vais mourir avant mon temps puisque je ne vais tuer tout le monde, donc être vampire végétarien, je vais être fatigué comme en ce moment, donc ça va revenir au même, allez je fais des scénarios aujourd'hui. 'Hey, je suis une bonne mère Cybèle, je m'occupe de lui, lui donne son bain, le sort, lui donne à manger, et même des cadeaux, il est juste dans sa période d'adolescence je crois, tu vas subir son mauvais caractère maman Cyboulette.' Le nez de cette barbe à papa se plisse et je souris, voilà, tu vois, il te renie toi aussi, il va te faire la tête. Ma main se dépose sur son épaule, preuve de solidarité. Me laissant traîner, mon sourire se perds et j'observe attentivement toutes les toiles qui se retrouvent dans son salon, mes yeux ne perdent pas le moindre détails, j'observe, j'écoute ce que les toiles disent, même si elles ne sont pas achevées, je parle toiles, oui. Je me retourne lorsqu'elle me tend l'une d'entre elles, je laisse mon index glisser contre la peinture, de nouveau, un sourire apparaît. 'Tu sais ... elles ne sont peut-être pas terminées, mais on voit déjà la profondeur et la beauté. Tu vas devoir les emmener à l'école lorsqu'elles seront terminées, je suis certaine que tu vas recevoir que des compliments.' Elle est talentueuse et je regrette amèrement qu'elle ne vienne pas avec moi, dans tous les cours, son talent pourrait être exploité à son maximum et en plus ma meilleure amie avec moi. Assise sur un petit tabouret, je suis naïve au point de croire qu'elle va faire un portrait de moi, une expression de méfiance apparaît sur mon visage lorsque je la vois approcher avec un pinceau, et voilà, ma joue vient de se prendre du rose. Un grognement sort d'entre mes lèvres et je ferme les yeux, me laissant faire, ne disant pas un seul mot. Mes jambes en position indienne, mes cheveux. Elle meurt, ça y ait. Mais je ne dis rien, ne réagit pas à son rire diabolique, je souris, mes mains glissent contre l'arrière de mon t-shirt, se déposent contre une bouteille de peinture. Me levant, je lui verse toute la bouteille de couleur mauve sur la tête, dégoulinant contre son visage, contre ses cheveux, puis ses épaules. 'Au final, le mauve te va bien.' Puis, je le laisse tomber la bouteille sur le sol et je mets à courir dans son appart pour trouver une pièce où m'enfermer en criant comme une gamine, je vais mourir, adieu monde cruel. 'TU CROYAIS POUVOIR TOUCHER MES CHEVEUX SANS EN SUBIR LES CONSÉQUENCES ?!?' La guerre commence à peine, je m'excuse pour les pauvres voisins. Son appart va terminer en truc d'arts, et moi je n'ai pas pensé à m'armer d'une autre bouteille pour l'attaquer à mon tour, la pâte à dents pourrait faire non ? Limite tout ce qui est liquide, de l'eau de toilette.
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Sujet: Re: Twins ✽ Salime-Patate Sam 22 Déc - 14:38
il y a t'il des âmes qui vivent ici ?
yo. désolée de devoir intervenir de cette manière là dans votre rp. mais.. n'ayant vu aucune réponse depuis le 22/11/12 (ou avant), j'voulais savoir si ce rp était toujours actif? dans l'cas où il le serait toujours, envoyez moi un mp pour que j'puisse effacer mon message. ou dans l'cas contraire, déplacer votre rp dans la corbeille. sans aucune réponse d'ici le 29/12/12, votre rp atterrira dans automatiquement dans la corbeille. ce qui serait dommage. ;_; alors manifestez vous mes amours!