Sujet: Orias Bathory Queen Loskady || I don't need to flirt, I will seduce you with my awkwardness Mar 30 Oct - 3:48
Orias Bathory Queen Loskady
► « Et de longs corbillards, sans tambours ni musique, Défilent lentement dans mon âme; l’Espoir, vaincu, pleure, et l’Angoisse atroce, despotique, Sur mon crâne incliné plante son drapeau noir. » - Baudelaire
Orias Bathory Queen Loskady ▲ écrire ici. Lieu de naissance ▲ Békécsaba, Hongrie âge ▲ 23 ans nationalité ▲ Hongroise-Française diplômes, études ▲ Infirmier interne métier ▲ Infirmier statut matrimonial ▲ Bonne question... orientation sexuelle ▲Bleue ‘_’ Diegosexuel *SORT* situation financière ▲ Ce matin, j’ai ouvert mon porte feuille et trouver un mot : « si tu lis ce mot, c’est que tu es pauvre.» idole(s) de vie ▲ Tout ses gens qui savent écrire et sont publier, un peu de jalousie, aussi... Et Marilyn Manson nombre d'amis facebook ▲ Facequoi ?. moyen de déplacement ▲ J’ai un vélo, les transports en commun l’hiver et les transpire en commun l’été. groupe ▲ écrire ici. avatar ▲ Tomax crédits ▲ Tumblr.
dix points sur ton personnage
premier point ▲ ici, t'écris une habitude, un truc insolite, un trait de personnalité, des défauts ou des qualités, une ambition, un rêve, bref, un truc que nous devons savoir à propos de ton personnage. deuxième point ▲ ici, t'écris une habitude, un truc insolite, un trait de personnalité, des défauts ou des qualités, une ambition, un rêve, bref, un truc que nous devons savoir à propos de ton personnage. troisième point ▲ ici, t'écris une habitude, un truc insolite, un trait de personnalité, des défauts ou des qualités, une ambition, un rêve, bref, un truc que nous devons savoir à propos de ton personnage. quatrième point ▲ ici, t'écris une habitude, un truc insolite, un trait de personnalité, des défauts ou des qualités, une ambition, un rêve, bref, un truc que nous devons savoir à propos de ton personnage. cinquième point ▲ ici, t'écris une habitude, un truc insolite, un trait de personnalité, des défauts ou des qualités, une ambition, un rêve, bref, un truc que nous devons savoir à propos de ton personnage. sixième point ▲ ici, t'écris une habitude, un truc insolite, un trait de personnalité, des défauts ou des qualités, une ambition, un rêve, bref, un truc que nous devons savoir à propos de ton personnage. septième point ▲ ici, t'écris une habitude, un truc insolite, un trait de personnalité, des défauts ou des qualités, une ambition, un rêve, bref, un truc que nous devons savoir à propos de ton personnage. huitième point ▲ ici, t'écris une habitude, un truc insolite, un trait de personnalité, des défauts ou des qualités, une ambition, un rêve, bref, un truc que nous devons savoir à propos de ton personnage. neuvième point ▲ ici, t'écris une habitude, un truc insolite, un trait de personnalité, des défauts ou des qualités, une ambition, un rêve, bref, un truc que nous devons savoir à propos de ton personnage. dixième point ▲ ici, t'écris une habitude, un truc insolite, un trait de personnalité, des défauts ou des qualités, une ambition, un rêve, bref, un truc que nous devons savoir à propos de ton personnage.
l'autre débile
Prénom ▲ K.Pseudo ▲ Romie.. Feather. Mika. Zou. âge ▲ 21. pays ▲ Canadass j'ai connu ollp grâce à .. ▲ Diego, Derp et Naïs (a) suis-je un ex-membre, un dc, ou un petit nouveau? ▲ un p'tit nouveau. est-ce que je souhaite participer à l'intrigue des équipes ? ▲ oui/non venir ici pour plus d'information l'type de lien que je préfère ▲tordu et ceux qui dérapent, allez savoir pourquoi XD ma chanson du moment ▲ Rape me ma fréquence de connexion ▲ souvent recenser son avatar ▲ Tomax et mon super mot d'la fin .. ▲ Fromage
Dernière édition par Orias Bathory Q. Loskady le Jeu 1 Nov - 16:40, édité 8 fois
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Sujet: Re: Orias Bathory Queen Loskady || I don't need to flirt, I will seduce you with my awkwardness Mar 30 Oct - 3:48
he just stares at the wall
Il appelle sa mère au travers d’une porte verrouiller à tout. Verrouiller à la lumière qui traverse qu’à peine par dessous, laissant un léger, trop léger filet rassurant qui lui rappel chaque jour qu’il est coincé ici, de ce côté de la porte du garde robe et que de l’autre côté, sa mère parle toute seule. Plutôt, elle parle à son père, aux anges, à dieu, à Satan aussi, parfois. Il ne les connait pas, ceux là, est-ce que c’est des nouveaux amis ? Il ne sait pas. Il sait seulement que maintenant... Sa propre mère l’effraie. Elle ne lui ouvre pas la porte, jamais sinon pour manger et lorsqu’il demande à aller à la salle de bain et parfois... Comme maintenant, il pleure, il l'appelle, il crie son nom parce qu’il est trop jeune, il ne supporte plus cette incarcération. Cela fera bientôt un mois après tout... Il a quelques jouets, oui, un bol d’eau qu’elle prend soin de remplir comme si il était un animal... Sa mère à changé. Elle est devenue une étrangère et il est confus, il ne sait plus si il peut lui parler comme avant, lui demandé de jouer avec lui, de lui montrer comment dessiner des crocodiles... Il l’entend s’approcher, il reconnaît sa voix féminine qui le rassurait lorsqu’il faisait des cauchemars et qu’il le rejoignait la nuit, dans son grand lit vide. Elle frappe la porte un grand coup qui le surprend et ne l’effraie que d’avantage, il recule, pleurant d’avantage... gémissant qu’il a besoin d’aide et lui posant mille et une questions auxquelles elle ne répond que vaguement.
«Chut ! Arrête de pleurer ! Je déteste quand tu pleures !» Elle est autoritaire... Un silence s’impose, seul les couinements d’Orias se font entendre. Parce qu’il est trop jeune et qu’il n’arrive pas à retenir ses larmes qui coulent sur ses joues. Il voudrait sortir parce qu’il ne supporte plus cette situation.
«m-...Maman...» Elle s’éloigne de la porte... Il est seul, recroqueviller dans un coin de son univers renfermé, sombre. Il avait faim, faim des bras de sa mère autours de son corps frêle, faim d’un peu d’amour maternel, d’un peu de sommeil. Il soupira, tentant de calmer ses pleures, se couchant de lui même, dans une petite boule d’enfance, la tête sur un petit coussin et le corps engourdis d’avoir si souvent dormir sur le sol, il serra sa peluche que sa mère lui avait donné la veille dans un moment de clémence. Après tout ce «démon» portait le visage de son fils... Et parfois, les voix au creux de son esprit tordu, n’avait plus la même force et la même autorité sur la mère de cet enfant pourtant tellement loin d’être agressif... Cette fois, au moins, il n’aurait pas de marquer sur son dos, pas de bleus de coups de ceintures sur les fesses. Parce qu’enfermé dans son garde-robe, il ne lui était pas possible de faire quoi que se soit qui puisse être suspicieux aux yeux de sa mère... Fuir ne lui serait tout simplement jamais venu à l’esprit parce qu’auparavant, tout était différent...
Leur situation n’était pas parfaite, il fallait l’avouer, son père, le mari de sa mère ne vivait pas avez eux. C’était plus facile de cette façon parce que la tentation était trop forte autours de son fils. Il avait surmonté ses tendance, i avait apprit à se contrôler autours de jeune enfant du même âge qu’Orias et jamais, non, jamais il n’avait fait l’erreur de toucher son fils. La psychologie ayant... plutôt bien fonctionné sur lui, Il avait même ce petit élastique autours de son poignets et lorsqu’il voyait ses mains se faire trop baladeuse, il tirait dessus, remplaçant les idées salaces par la douleur, effaçant la tentation par le mal... Mais il savait, il savait parfaitement qu’un jour, il ne pourrait plus rester avec eux, dans cette famille, avec cet enfant qui lui faisait étrangement effet. D’avantage que tous les autres. Il vivait avec cette culpabilité trop forte, consumant peu à peu les derniers vestiges de sa lucidité, de sa fierté de lui... Petit à petit, il sentait son corps lui échappé. Ses mains glisser et ses désirs se faire plus fort pour son fils. Plus fort que pour les autres enfants qui lui paraissait parfois... tellement quelconque. Peut-être voyait-il trop de sa femme dans le regard de ce garçon...
Au final, ce petit problème, lui en attirerait des plus gros. Il devenait agressif, au fur et à mesure que le temps avançait, que son mariage s'effritait et qu’il s'affaiblissait. Et pourtant... Il aimait sa femme. Sa parfaite et délicieuse femme avec ses cheveux cours et sa taille certes plus gonflée depuis la naissance d’Orias, mais tout de même parfaite et belle. On aurait dit... un rêve qu’il s’évertuait à garder en vie...Et qui peu à peu lui glissait entre les doigts.
Toute cette frustration le pesait. Il fixait son garçon, si jeune et innocent lécher sa glace ou mordre dans une banane avec insistance, incapable de se calmer. Petit à petit, les fantasmes prenaient le dessus, transformant les nuits entre amoureux dans véritable combat interne... Si bien qu’il abandonna. Baissant les bras sur les quelques moments de bonheur de vie commune qu’ils avaient. La douleur ne suffisait plus. Le contrôle de lui même s'effritait. Les engueulades familiales empiétaient les unes sur les autres. Les petits détails chez sa femme qu’il avait aimé ne devenait plus que des horreurs, des erreurs et il ne supportait pas d’entendre son fils pleurer et tenter de protéger sa mère lorsque le ton montait. L’enfant avait prit se plis protecteur de son père. Il se glissait entre eux, jeune, autours de 7 ans et serrait la jambe de sa mère contre lui, fort, le regard sombre poser sur son père. La pression trop lourde, sur lui même. Au finale... La pression était trop forte, trop lourde à porté, il craqua. Son cou se brisa lorsque la corde se resserra autours de son cou et que la chaise sous lui bascula sur le sol. La pression était finalement retomber. Pour de bon.
Dernière édition par Orias Bathory Q. Loskady le Mar 30 Oct - 4:50, édité 6 fois
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Sujet: Re: Orias Bathory Queen Loskady || I don't need to flirt, I will seduce you with my awkwardness Mar 30 Oct - 3:48
sink or swim
► My guilty pleasure... You know... I don’t like to admit it but sometimes I do enjoy a cup of baby blood from the chalice or eternal evil and also arthur.
Il ne sut jamais ce qui c’était passé. On avait juste ouvert la porte de sa chambre et on l’avait trouvé là, sur son lit, affamé aux milieux des boîtes de biscuits et des boîtes de thons ouvertes. L’odeur de renfermé se mêlait au son de la voie ferrée qui s’échappait par la fenêtre vitrée. Il ne pouvait pas l’ouvrir, le mécanisme d’ouverture avait été arraché par sa maman préférée, l’empêchant toute fuite après qu’il aie tenté, malencontreusement de s’évader par le petit balcon de l’appartement, les voisins l’avaient alors ramener chez sa mère après l’avoir vu escalier la rembarre conjointe de leurs deux balcons. L’enfant n’avait pas pleuré ni râler... Il avait pris la main de la voisine, sagement et l’avait suivit, le regard bas, sans dire un seul mot. À son âge, les enfants silencieux de ce genre n’existent tout simplement pas. Mais Orias ne dit rien, il n’ouvre que rarement la bouche sinon pour répondre brièvement et bien que tout le monde trouve cela étrange, personne ne pose de question. Il est juste timide, pense-t-on.
Si ça se savait, de toute façon, on aurait séparé la mère et le fils bien longtemps avant. Orias aimait sa mère, plus que tout... Mais à cet âge, peu de chose sont en sont contrôle, trop jeune, il n’a que peu de pouvoir décisionnel.
Il n’avait pas décidé d’être trouvé de cette façon, dans son pyjama de Star Wars, il n’avait jamais demandé à ce que sa mère disparaisse sans l’avertir. Sans dire « je sors, Orias, j’espère que tu seras sage durant mon absence » comme elle le faisait à chaque fois. Les voisins ne faisait jamais attention à eux autrement que pour frapper dans le mur pour signifier qu’Orias pleurait trop fort ou que le bruit des jouets qui heurtait le mur après que Dorottya ne les y ai lancé, les jugeant trop satanistes à son goût était trop les dérangeait. Ils l’avaient même vu partir du petit appartement, ils l’avaient croisé dans l’escalier sans jugé bon demandé où elle pouvait aller. Ils l’avaient trouvé calme, comme toujours, elle n’avait prit que sa petite sacoche rouge qu’elle n’osait sortir que pour les grandes occasions. Sa belle robe rose pâle avec les belles petites fleurs blanches, habillée pour l’été avec son châle pardessus ses épaules pour se garder du frisquet du matin fraichement levé. Ils avaient pensés à un petit déjeuné en amoureux, que la mère, Dorottya, avait enfin trouvé un nouvel homme pour remplacé le père d’Orias et qu’ainsi, la relation houleuse –ils ignoraient à quel point- se stabiliserait. Personne ne pouvait savoir que Dorottya venait de faire son entré dans un asile. Que l’homme qu’elle avait effectivement rencontré quelques semaines plutôt l’avait finalement convaincu de se faire soigné, pour de bon. Ils ignoraient qu’elle n’avait jamais mentionné son fils où qu’elle puisse être capable de l’abandonné de la sorte.
C’est parce qu’elle ne revenait pas qu’ils avaient appelé la police, ne serais-ce que pour s’assurer que l’enfant était toujours en vie… Les policiers avait été horrifié de trouver l’enfant là, tout seul, dans l’odeur forte de la nourriture qui pourrissaient au fond des boîtes ouvertes, baigné des tâches.
L’approcher fût plus ardu que prévu. Il n’avait vu que de rares étrangers dans sa vie qui lui avait adressé la parole et l’un d’entre eux avait tenté de l’inciter à grimper sur le banc arrière de sa voiture avant de se faire arrêter par des policiers. Sa mère ayant assisté à la scène, l’avait dénoncé sans se faire prier. Il reculait lorsqu’on approchait de lui. L’odeur forte de l’ammoniaque émanait de la pièce et la température ambiante couvrait l’enfant d’une couche d’humidité.
Il n’hésita pas à se rouler en petite boule dans un coin propre de la pièce avant qu’on ne lui offre de la nourriture. La barre granola que lui tendit le policier suffit à l’attirer suffisamment près pour qu’ils puissent toucher ses cheveux gras et sales. Les yeux attendris et plein de pitié des agents de police le regardaient alors qu’il gobait littéralement la barre de noix. Heureusement, tu n’as aucune allergie. Les policiers tentèrent à force de mots doux d’extirper l’enfant de la chambre, mais rien n’y faisait. Et lorsqu’on lui demandait pourquoi pas, sa jeune voix claire s’élevait, presqu’en un murmure, délicat et timide. Trop retenue.
« Maman veut pas qu’je sortes… » Il fallut de longues heures et une assistante sociale afin de faire sortir le gamin de sa grotte. Il ne faisait pas confiance aussi facilement qu’ils l’auraient espéré. Mais comment lui en vouloir ? Et encore, il n’accepta qu’à condition d’être nourrit et de pouvoir garder sa peluche avec lui. Si cette peluche avait encore eut sa tête, ça n’aurait surement poser aucun problème, mais non, non, non seulement changeait-elle constamment de prénom, la peluche avait perdu sa tête. Et lorsqu’on demandait ce qui était arrivé à Kurt, il avait répondu sur le même ton enfantin, les yeux fixé sur le ventre de ce qui avait dû être un petit ourson noir.
« Maman à couper la tête de Monsieur Moustache parce qu’elle trouvait ses yeux bizarre. Elle a dit que le démon était dans son corps et que c’était juste comme ça que je pourrais jouer avec lui.» Il allait même chercher la paire de ciseau qu’elle avait utilisé pour trancher la tête de sa victime. La fine couture était pratiquement invisible, laissant présagé un geste baigné d’amour et de tendresse malgré l’acte toutefois sordide que cela pouvait représenter.
La femme s’appelle Sam. Du moins c’est ce qu’elle a dit. Évidemment, Orias ne peut qu’hocher la tête. Il ne l’a croit pas plus que cela, maman lui a toujours dit de faire attention aux étrangers, qu’ils ne sont, la majorité du temps, que de vilaines personnes qui ne veulent qu’abuser de toi.
Mais lorsqu’on pose le bol de céréales sucré devant lui, il ne peut pas être plus en désaccord. Le goût du lait, le sucre des flocons lui ont tellement manqué qu’il ne se formalise même pas d’entrevoir les policiers vider la chambre dans laquelle il était enfermé. De grands sac de poubelles, deux, exactement, remplis de ses jouets que l’ont juge inadéquats et auxquels ils manquent chaque fois une partie différente de corps. Pas de crinières ou de pattes arrière pour le lion. Les dinosaures n’ont parfois plus de queue ni d’œil. Les jouets sont étranges et on n’imaginerait jamais qu’un enfant puisse accepté de même les tenir entre ses doigts. Mais Orias ne s’en ai jamais plaint. Il jouait, il était un enfant et c’était tout ce qui comptait à ses yeux.
On lui demanda si il avait de la famille et il haussa les épaules d’abord, la bouche trop pleine de lait, il voulait d’abord terminer son goûté avant de répondre, ce qu’il fit, évidemment. Il essuya ses lèvres et sa moustache de lait avant de parler de ses grands-parents. On pensait sincèrement que les choses s’amélioraient en l’y envoyant là bas. Aucun des deux vieillards n’avaient de cassier judiciaire, sinon pour avoir conduit en était d’ébriété. Mais monsieur Istvan Loskady à rapidement réglé le problème, il a arrêté de conduire. Tant qu’à Monika, à part son prénom de pin up, c’est une femme plutôt rangée, en apparence, du moins. Ils s’étaient épris lors de la guerre, mais c’était retrouvé séparer par le mur au début de l’adolescence. Et ne c’était retrouvé qu’à l’âge de 42 ans. Elle, avait participé aux manifestations et lui ? Lui avait tenter de survivre du mieux qu’il avait pu, cachant ses idées de conspirations ou n’en discutant que lors de rare rencontres tenues secrètes avec deux autres de ses amis. Au final, ils n’avaient jamais agis. Et à 42 ans. Monika, bien que toujours amoureuse d’Istvan, avait eut un enfant. Un garçon qui deviendrait le père d’Orias plusieurs années plus tard.
Désormais, ils vivaient en France. Quittant Berlin pour retourner en Hongrie y élever le fils. Monika avait eut la garde de l’enfant lors du divorce de son premier mari. Et à leurs retraites ? Ils avaient choisit Florence. Aussi, on les contacta. Une photo d’Orias fut envoyer et moyennant que le gouvernement Hongrois ne paient pour l’avion, les effets de l’enfant et une allocation, ils acceptèrent de prendre le jeune Loskady sous leurs ailes.
Dernière édition par Orias Bathory Q. Loskady le Mar 30 Oct - 4:55, édité 5 fois
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Sujet: Re: Orias Bathory Queen Loskady || I don't need to flirt, I will seduce you with my awkwardness Mar 30 Oct - 3:49
I have Issues
Florence différait de son chez lui. Orias ne s’y sentait toujours pas chez lui, pourtant, plusieurs mois avaient coulés depuis son déménagement. On ne lui avait rien gardé. Plus de pyjama de star wars, qu’un horrible chandail de laine, quelques dessous et un pantalon. Il faudrait tout lui racheter… En mieux, des peluches avec toutes leurs parties de corps, au pire, avec de mineurs défauts. Des vêtements, il lui en faudrait forcément, d’où l’utilité de l’allocation demandé par ses grands-parents pour le bien de l’enfant… et évidement pour arrondir les fin de mois, un chèque du gouvernement était loin d’être refusé… Le voyage en avion lui avait semblé interminable. Assit là, à côté d’une assistante sociale qui n’avait pas sut le rassurer malgré ses tentative et les tentations sucrées qu’elle lui avait offert. Ses mots doux, gentil, n’avait pas attendrit le cœur d’Orias. Il n’avait pas trouvé le sommeil et même ses crayons de couleurs et son cahier à colorier n’avait pas retiré de sa mémoire qu’il se trouvait suspendu entre ciel et terre. Pourtant, l’idée de se rapprocher de ce paradis dont sa mère lui avait parlé, physiquement, ne semblait pas lui plaire du tout… Confiné, c’est en pleurant dans les bras de l’assistante qu’il finit par s’endormir, appelant sa mère, espérant, soupirant ne pas l’avoir laissé seule. L’assistante sociale ne trouva pas les mots adéquats pour le rassurer suffisamment. Endormit contre elle, elle le laissa là, le gardant serrer entre ses bras, maternelle autant qu’elle le pouvait.
Elle ne le réveilla que pour l’atterrissage qui sembla fasciné l’enfant… Il resta pourtant accroché à elle et ne quitta pas ses bras avant qu’on le pose entre les bras de son grand-père pour mieux se rendormir dans les bras de cet inconnu. Istvan n’avait jamais vu l’enfant jusqu’à maintenant mais la ressemblance était surprenante. Le regard de sa mère sur le visage de son grand-père. Il était encore un petit enfant, mais on devinait que dans de nombreuses années, il serait grand, plus grand que son grand-père. Il était déjà plus grand que les autres enfants.
Tout les soirs il avait droit à son histoire, son anecdotes d’un mur construit qu’il n’avait pas connut, sans se douter que ses histoires de violences qu’il aimait tellement, était teinté de vérité. La plupart du temps, Monika s’y opposait, mais le vieil Istvan avait cet attitude de capitaine, de conteur et au final, elle se retrouvait toujours attirer par ses mtos et sa façon de raconter son histoire, bien que parfois, elle en ai vécut chaque virgule, chaque soupir et chaque rebondissement. Jamais l’histoire d’une guerre aurait pu être raconter à un enfant avec autant de détails et de pédagogie à la fois. Mais c’était Istvan, sa bouteille de grappa invecchiate qui imbibait ses mots et son attitude. Jamais Orias n’eut de problème n’eut de problèmes avec lui. Sa relation était particulière et quelque part, unique et ce, pour de bon. Les seuls moments où leurs relations prenaient des tournants relativement houleux, c’était lorsque Orias avait des problèmes à l’école, qu’il se bagarrait avec quelques compagnons de jeu et que le châtiment physique était de mise. Rarement, autrement, jamais il ne levait la main sur lui.
L’homme plein de sagesse aimait sa femme autant qu’il le put. Orias raffolait de son odeur de musc masculin, les tatouages sur sa peau, fané par le temps, lui avait donné un air inhabituel pour un grand père. Les autres enfants le respectaient, bien que jamais aucun ne se soient risquer dans la petite maison. Du moins, pas avant les 13 ans d’Orias. Monika était une femme solide et rieuse, jamais un jour ne passait, jamais une seconde ne passait sans qu’elle ne sourit de son rictus trop doux et délicat, ses dents bien droite à peine jaunies par les cigarettes qu’elle enfilait les unes après les autres. C’est elle qui lui apprit la première à lire, au travers de livres particuliers. Les classiques de l’enfance ne suffisaient pas, à l’avis de la femme. Winnie de poo et Candide le rassurait. L’ironie des événements et la naïveté de Candide l’amusait. Il aimait à savoir que l’idiot apprenait et bien qu’il ne comprenne pas le sens profond, les tournures de phrase et les mots de Voltaire l’amusaient. Il avait reconstitué la famille Thunder-ten-tronckh avec ses petits dinosaures de plastique mais ne supportait que le regard de Candide la nuit, la peluche-lapin, à qui il manquait une oreille et une patte, avait le privilège de partager son lit alors que tout les autres personnages devait être enfermé dans une boîte et ne jamais regarder Orias dans les yeux sous peine de faire pleurer l’enfant. Et dans ces cas, c’était Monika qui s’occupait de sécher ses larmes.
Sa nouvelle famille lui plaisait. Rapidement, bien que Florence ne lui donna jamais ce sentiment d’appartenance, dans la petite maison, Orias se sentait bien. L’hongrois y prenait sa place la majorité du temps, le rassurant. Au final, Orias avait trouvé, sinon sa place, un bout d’espace bien à lui… Son chez lui.
Dernière édition par Orias Bathory Q. Loskady le Sam 17 Nov - 2:03, édité 4 fois
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Sujet: Re: Orias Bathory Queen Loskady || I don't need to flirt, I will seduce you with my awkwardness Mar 30 Oct - 3:49
WE DANCE AROUND
► « I’ll take death into my life, achnowledge it, and face it squarely. I will free myself from the anxiety of death and the pettiness of life and only then I be free to become myself.» -honey booboo
►Orias avait de l’orgueil et une personnalité forte. Il soupirait, Orias reprenait son souffle. À peine entrait-il dans l’adolescence, qu’il devait apprendre à survivre. Parce que la vie, c’est une jungle, un putain de jungle et toi, Orias, tu es un survivant, tu viens d’une famille qui à vécut la guerre, qui s’en ai sortit, qui a soupirer des absences et apprit à vivre malgré les problèmes. Tu es le survivant du garde-robe et de la chambre d’amis. Tu avais perdu du poids quand ils t’ont trouvés et t’ont envoyé ici. Florence. Tu ne l’aime pas. Tu ne la connais pas, cette ville. Mais, maintenant, tu t’y ai habitué. Comme deux ennemis qui gravite l’un autour de l’autre et finisse par s’éprendre éperdument. Cette ville te hait. Chaque recoin, chaque détour ; quelque chose te tombe dessus. Tu es victime de ses aléas. De ses dealer, tu n’as même pas 18 ans qu’on t’abordait déjà. « T’veux du crack ? » tu refuse. Tu n’accepte rien, parce que les étrangers son fourbe et tout ce que tu veux, à ton âge, c’est rester seul.
L’amitié ne t’intéresse pas du tout, les autres enfants sont tellement ordinaire et sortes de ta normalité, qu’il te dérange. Pourquoi agissent-ils tous de la même façon, écoute les mêmes musiques, parlent la même langue… Toi, tu es jeune encore, tu as 13 ans et tu mélangeais encore le français et l’hongrois. Ça te plait comme ça. Les autres te trouvent différent. Tu as treize ans et tu fume. Clope au bec, l’avis des autres ne t’intéresse pas non plus. Écouteurs au fond des oreilles, tu les regarde te regarder fumé et tu jettes ton mégot à même le sol. Tu es un prodigue. Un surdoué, parce que tu ne partage pas leurs jeux d’enfants. D’autres choses t’intéressent, tu passe la plupart de son temps penché sur des livres ou de petits cahiers à écrire des textes que tu ne publieras jamais. Ta maturité n’a égale que ton envie et ton besoin de créer. Tu en ai à ton troisième roman, tu sais que tu ne laisseras jamais personne le lire et quelque part, tu sais que c’est une perte, mais tout ça, ces histoires qui se mélangent dans ta tête, ce sont les tiennes, les partager te serais inutiles et futiles. Tu les écris parce que sinon, elles te démangent. Le papier, c’est ton exutoire, parce que tu dois te canaliser quelque part, autrement, tu fume trop et tu t’énerve facilement. Tu es jeune et déjà tellement sauvage. Tu n’as même pas remarqué que ta relation avec ce grand-père que tu aime tellement, c’est légèrement envenimé. Mais peut-être que c’est simplement le fruit de ton imagination, ça aussi... Tu vis dans un monde de fantôme, Orias et les gens réels, autours de toi, sont les macabés qui te hantent...
Tu jètes un dernier regard au petit groupe de garçons que tu observais sagement, planifiant leur mort comme tu le fais toujours lorsque tu croises des étrangers ou que tu rencontre de nouvelles personnes. Tu es comme ça c’est tout. Obsédé par la mort si jeune. C’est qu’elle t’inspire, cette salope en long manteau. Et pis tu rentre chez toi. Tu connais toute les rues et tes espadrilles Converse noires connaissent le chemin par cœur. Tu le fais tout les jours. Tout les jours tu t’arrête là, exactement là et tu fume ta dernière malboro de la journée en regardant ce petit groupe de garçon qui fume quelque chose d’autre. Parfois, ils te remarquent, te jètes des regards interloqués, puis, haussent les épaules, se concentrant sur leurs petites cigarettes qu’ils roulent et fument. Tu hésites, rentrer te semble être la meilleure option, mais personne ne sait vraiment ce qui t’attend à la maison, tout change tellement souvent dans ton environnement, que tu ne sais jamais comment tu dois agir, vraiment. Alors parfois, parfois tu décides que tu ne rentre pas directement après l’école. Tu préfères rester là et observer ce petit groupe de garçons que tu jalouse d’être amis et de s’entendre aussi bien, sans toi. Autant tu t’en fous des autres, autant tu voudrais qu’on fasse attention à toi, ne serais-ce pour réaliser que bien que tu es étrange, tu es parfait comme tu es. Ce soir, tu décide que tu ne rentreras. Tu t’avances, t’approche peu à peu du groupe de garçon. Nerveux, tu t’attends déjà à te faire rabaisser, à ce qu’on te dises de retourner d’où tu viens. Tes doigts jouent avec ta manche un peu trop longue. À quelques pas, à peine, tu t’arrêtes. Tout les yeux du groupe se tourne vers toi, interloqué et tu les fixes, tu regarde ce qu’il fume, tien, ça n’a pas l’odeur de la cigarettes. Qu’est-ce que c’est ? Tu l’ignores, tout ce que tu sais, c’est que ça sent bon, bizarrement bon. Et ça t’attire, les bonne odeurs, comme tout les enfants, quand ça sent la nourriture. Tu craques, tu fixe la petite cigarette roulée qui n’en ai pas vraiment une et hésite un peu. Parfois, quand ton grand père se lasse de Monika et qu’il ne veut pas voir personne, il s’enferme dans son petit bureau et la même odeur s’échappe de sous la porte. Ça t’échappe, tu ne sais toujours pas ce que c’est, en fait. Juste que ça te rassure. C’est une odeur familière pour toi.
Quand Istvan sort de son bureau, il est souriant, il rit parfois, devant la télé et tu viens te blottir contre lui et la même odeur s’évadait des plis et replis des vêtements de tes parents. C’est pour cette raison que lorsque la voix masculine d’un des garçons s’éleva, te tendant le joint, t’invitant à partager un peu de folie, un peu d’extase, tu ne refuses pas. Un fin sourire, ils te jugent un peu, leurs regards jeunes et critique caresse tes vêtements noirs, tes cheveux noir que tu porte assez longs, mais tu les rejettes vers l’arrière, découvrant ton visage et tes yeux bruns, foncé, dans lesquels on dénote toujours l’état tordu et difforme de ton esprit. Quelque part, ils sont comme toi, perturber. Autrement, comment des enfants de leurs âges pourrait être là, assit sur des bancs de béton, joints en bouche ? Tu souris, passe le petit filtre de papier sur tes lèvres et aspire la fumée délicate que tu retiens une longue minute avant de tendre la cigarette à quelqu’un d’autre. Ensuite, tu continus, tu laisse l’extase te prendre petit à petit et tu souris, tu ris… tu souris, tu perds le contrôle de toi, tu vis une aventure. Tu parle beaucoup, tu retiens qu’à peine les prénoms sinon celui de Franco.
Dernière édition par Orias Bathory Q. Loskady le Sam 17 Nov - 3:01, édité 5 fois
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Sujet: Re: Orias Bathory Queen Loskady || I don't need to flirt, I will seduce you with my awkwardness Mar 30 Oct - 3:49
I DON'T CARE IF YOU'RE CONTAGIOUS
► « I was never insane except upon occasions when my heart was touched.» - Edgar Alan Poe
► Orias n’a jamais été doué avec les autres humains. Il collait au train de Franco pour mieux se sentir accepté alors qu’en fait, en fait c’est l’inverse. Franco le repousse, il le rejète et le déteste. Sans qu’il ne saches vraiment pourquoi. C’est un peu l’amour-haine entre eux. Orias l’apprécie, il aime sa présence malgré les insultes et leurs façons un peu vache de partager leurs vies. Sauf qu’Orias reste là quand même. Parasite, il ne veut pas le lâcher. Il lui gangrène la vie, l’embête et l’agace de sa simple présence. Orias est différent, en même temps, c’est difficile de ne pas le trouver étrange et d’être vraiment confortable en sa présence. Mais Franco l’attire, quelque part. Il ne sait pas pourquoi, mais jusqu’à maintenant, il est incapable de le laisser aller. Parfois, même, il fait un peu peur aux amis de Franco, parce qu’ils se croisent tout le temps et c’est juste bizarre quand un gamin habillé de noir s’approche, vous fixe un moment avant de vous saluer... Et pis il y a Diego. Lui, Orias ne l’aime pas, mais Franco et lui trainent toujours ensemble et ça l’embête. Il ne sait pas pourquoi, mais Diego ne lui inspire pas confiance, alors là, pas du tout. Comme un mauvais pressentiment... Alors il reste loin et ne l’approche pas trop. Il agit comme un bouclier anti-Franco, quelque part et c’est tant mieux. Tant mieux pour les autres petits garçons autours d’eux. Et cette relation étrange, elle durera. Longtemps...
Et un jour, sans avertissement, Orias a disparut. Son grand-père est décédé et personne ne sait vraiment ce qui c’est passé. Les souffles de rumeurs s’évanouissent sur les lèvres, car l’homme est un mythe. Tout le monde sait qu’il jouait avec l’illégalité, on sait qu’Istvan Loskady mélange sa vie d’honnête homme avec des fréquentations étranges, que la mafia trainait toujours un peu trop autours de lui sans qu’il n’en fasse vraiment partie. On disait qu’il était la meilleure et la pire influence possible pour son petit garçon dont il avait la charge… Parce que malgré ses fréquentations, on lui aurait confié n’importe quel enfant sans jamais se poser de question sur sa sécurité… Un homme unique, particulier qu’on ne salua qu’à peine. Des funérailles solitaires, Orias et Monika seuls, sans prêtre parce qu’enterrer Istvan avec la présence d’un prêtre reviendrait à pisser sur son cadavre. Foncièrement athée, il aurait été plus facile de faire entrer un melon dans son entre fesse que de lui faire mettre les pieds dans une église. Cet homme… Marqua la vie d’Orias par sa mort mystérieuse... On enterra l’homme avec une bouteille grappa invecchiate
Dernière édition par Orias Bathory Q. Loskady le Lun 26 Nov - 17:47, édité 10 fois
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Sujet: Re: Orias Bathory Queen Loskady || I don't need to flirt, I will seduce you with my awkwardness Mar 30 Oct - 3:57
j'aime beaucoup la place que t'as pris pour pouvoir caser ton kilomètre de fiche mais azy j'te fais un autre gosse, amour
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Sujet: Re: Orias Bathory Queen Loskady || I don't need to flirt, I will seduce you with my awkwardness Mar 30 Oct - 4:21
j'espère en avoir suffisament, tu comprends huhu.
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Sujet: Re: Orias Bathory Queen Loskady || I don't need to flirt, I will seduce you with my awkwardness Mar 30 Oct - 4:34
Orias B. Q. Loskady a écrit:
orientation sexuelle ▲ Bleue ‘_’
et là d'un coup, j'ai une image mentale bien dégueulasse d'un MST qu'on a montré en cours de prévention oui je sors
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Sujet: Re: Orias Bathory Queen Loskady || I don't need to flirt, I will seduce you with my awkwardness Mar 30 Oct - 4:39
mais ! non ; ; je te jure j'ai rien du tout. je sais plus pourquoi j'ai écrit ça. Pu' bleue, ayer *sor*
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Sujet: Re: Orias Bathory Queen Loskady || I don't need to flirt, I will seduce you with my awkwardness Mar 30 Oct - 6:51
Tu viens me tuer ! Bienvenue parmi nous beau mâle ! Bon courage pour ta fiche ! Un interne intéressant ( j'ai pas finis de lire la fiche aussi )
Louise Toscan du Plantier membre
✧ ÂGE : vingt quatre ans. ✧ JOB : éleveuse de chats. ✧ COEUR : perdu au dessus du pacifique. ✧ MESSAGES : 3600 ✧ HERE SINCE : 27/10/2012
Sujet: Re: Orias Bathory Queen Loskady || I don't need to flirt, I will seduce you with my awkwardness Mar 30 Oct - 7:57
bienvenue parmi nous. ça, ça va être de la fiche.
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Sujet: Re: Orias Bathory Queen Loskady || I don't need to flirt, I will seduce you with my awkwardness Mar 30 Oct - 8:03
bienvenue ici et bonne chance pour ta fiche
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Sujet: Re: Orias Bathory Queen Loskady || I don't need to flirt, I will seduce you with my awkwardness Mar 30 Oct - 8:21
Bienvenue & bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: Orias Bathory Queen Loskady || I don't need to flirt, I will seduce you with my awkwardness Mar 30 Oct - 9:11
Bienvenu parmi nous et bonne chance pour ta fiche
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Sujet: Re: Orias Bathory Queen Loskady || I don't need to flirt, I will seduce you with my awkwardness Mar 30 Oct - 10:12
bienv'nue à panaaaame. j'viens d'mourir en voyant la sexyness de ton avatar. rwar.
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Sujet: Re: Orias Bathory Queen Loskady || I don't need to flirt, I will seduce you with my awkwardness Mar 30 Oct - 10:25
Tu sais, dhabitude je prend autant de place pour écrire mon histoire Du coup c'est génial j'ai hate de lire ta fiche haha ! *sort*
Bienvenue au passage
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Sujet: Re: Orias Bathory Queen Loskady || I don't need to flirt, I will seduce you with my awkwardness Mar 30 Oct - 10:40
welcome in para... para... paradise :roll:
Ella Maresquo membre
✧ ÂGE : vingt et quatre. ✧ JOB : assistante sociale dans une association ✧ COEUR : célibataire. ✧ MESSAGES : 11185 ✧ HERE SINCE : 07/05/2011
Sujet: Re: Orias Bathory Queen Loskady || I don't need to flirt, I will seduce you with my awkwardness Mar 30 Oct - 10:59
bienvenue parmi nous. :heartt:
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Sujet: Re: Orias Bathory Queen Loskady || I don't need to flirt, I will seduce you with my awkwardness Mar 30 Oct - 11:59
bienvenue :heartt:
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Sujet: Re: Orias Bathory Queen Loskady || I don't need to flirt, I will seduce you with my awkwardness Mar 30 Oct - 12:11
Bienvenue!
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Sujet: Re: Orias Bathory Queen Loskady || I don't need to flirt, I will seduce you with my awkwardness Mar 30 Oct - 12:13
MIKA MON MIKA LE PLUS BEAU DES MIKA ( ici orias mais j'osef. j'arriverais pas à t'appeler autrement '_' )
bref. je t'aime et ça fait zizir d'te voir là. alors bienvenue et bonne chance pour ta fiche que tu auras sûrementt fini à noël.
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Sujet: Re: Orias Bathory Queen Loskady || I don't need to flirt, I will seduce you with my awkwardness Mar 30 Oct - 12:18
Un infirmiiiiiiiiier Bienvenue à Paris
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Sujet: Re: Orias Bathory Queen Loskady || I don't need to flirt, I will seduce you with my awkwardness Mar 30 Oct - 12:18
Bienvenue !
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Sujet: Re: Orias Bathory Queen Loskady || I don't need to flirt, I will seduce you with my awkwardness Mar 30 Oct - 12:31
Bienvenue sur OLLP.
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Sujet: Re: Orias Bathory Queen Loskady || I don't need to flirt, I will seduce you with my awkwardness
Orias Bathory Queen Loskady || I don't need to flirt, I will seduce you with my awkwardness