Nom complet ▲ Louis Paul Henry, mes trois prénoms. utilité d'en avoir trois ? aucune. mais ça faisait plaisir à mes géniteurs alors bon. Ucello-Thomas, c'mon nom, mais en vrai j'utilise juste Ucello, le nom d'mon père, et je délaisse le nom d'ma mère. il est trop simple et après c'trop... long, genre à écrire et tout. Lieu de naissance ▲ j'suis d'paris, depuis et pour toujours. âge ▲ j'ai dépassé les vingt et un ans depuis six mois. nationalité ▲ française. diplômes, études ▲ étude d'art/histoire de l'art. métier ▲ j'fais genre j'suis artiste plasticien. statut matrimonial ▲ le néant total, ça touche le fond du fond. orientation sexuelle ▲ inconnue de tous, surtout de moi-même. situation financière ▲ disons que "ça va", c'pas trop mal mais ça pourrait être mieux. idole(s) de vie ▲ les autres. nombre d'amis facebook ▲ un peu plus de cent. moyen de déplacement ▲ mes jambes généralement, ou une bagnole, une longboard ou un bmx, tout dépends d'mon énergie. groupe ▲ la javanaise. avatar ▲ bo develius. crédits ▲ tumblr.

ton personnage se promène dans la rue lorsque soudainement, un chaton abandonné et maigrichon lui fait les yeux du chat potté. (you know what i mean). sa réaction? ▲

« oh merde putain non. » Tu vois cette boule de poils à tes pieds. Tu sais pas quoi faire. Tu regardes aux alentours, nerveux. Tu regarde au sol. Puis encore au loin. Tu tournes la tête, cherchant de l'aide. Tu n'sais pas quoi faire. Ce n'est qu'un chat bordel. Juste un putain de petit chat. S'il est là, c'est bien pour une raison, tu peux rien y faire. Mais putain, de chat te fixe. La bestiole à un regard. Et il te transperce. Il te rempli d'émotions. Il te trouble. Tu sais pas quoi faire. Ce chaton te fait penser à toi. Il est seul, à errer dans la rue. Comme toi. Il est tout frêle, perdu. Il ne sait pas quoi faire. Comme toi. Tu paniques. Tes toc reviennent. Tu sers les mains. Tu te ressaisis. Tu prends le dessus. T'attrape le chaton. T'es un peu maladroit, tu sais pas comment faire. Tu le mets dans tes bras, comme un enfant. Il a l'air satisfait, confortablement installé. Il a l'air heureux. Tu as rendu un être heureux. Et c'est tout ce qui t'importe. Tu es fier de toi.

aoutch, ton personnage se retrouve dans la rue. pas de job, pas d'appartement et pas d'argent.. et le tout du jour au lendemain. sa réaction? ▲

« fait chier putain » T'es comme un con maintenant. Tu vas faire quoi hein ? T'es à la rue. T'as plus rien. Tu passes ton putain de temps à te demander pourquoi. Enfin, tu commences par faire ça, c'est normal, comme tous les enfants tu t'interroges sur le pourquoi du comment de cette chose inconnue que tu vis. Tu te lamentes ensuite sur ton sort, tu chiales, tu stress, tu t’énerves. Ton adrénaline est au summum. Mais t'aimes ça. T'aimes cette sensation de pouvoir tout faire, tout réussir. C'est chimique. Tu te sens capable de repousser n'importe quelles limites. Alors tu te décides. Tu te lèves. Tu te secoues un peu bordel. Et tu décides de pas rester comme ça. Tu fais tout pour refaire ta vie, ou au moins l'améliorer. Tu fais tout pour pas finir en mode déchet. Tu survis. Tu veux vivre. Parce que t'aime ça, vivre, c'est ce que t'aimes le plus. Alors tu te dis qu'il faut pas se laisser aller. Quand quelque chose est cassé, tu répares.

digne du titanic, ton personnage se trouve à bord d'un navire qui coule. deux choix s'offrent à lui : aider la vieille dame qui galère dans l'eau avec sa jupe au risque de mettre sa vie en péril, ou la laisser tomber et avoir l'assurance de finir sain et sauf? ▲

« ouais bah j'veux bien t'sauver mais faut m'aider un peu aussi » Tu l'aides, t'essayes de la sauver. Mais putain de bordel de nom de dieu. Comment vous vous êtes retrouvés dans cette situation ? Et pourquoi elle se fait si lourde ? Tu peux même pas la traîner sans couler. Alors tu lui demande gentiment de t'aider. Ou de donner du sien. Un minimum. T'as pas voulu partir, la laisser crever sur place, la laisser geler puis couler. C'est ce qu'on t'as appris. Le respect, et l'amour aussi. Ouais, cette petite vieille, tu l'avais croisée deux trois fois, mais tu t'y étais attaché, elle était pleine de vie, et son histoire était émouvante. Elle même l'était. Alors t'avais décidé de la sauver, par respect, et par dignité, et parce que ça se fait pas de laisser crever les vieux.

ton personnage se fait offrir 20 000€ .. que s'il dénonce le crime qu'a réalisé l'un de ses meilleurs potes. sa réaction? sa décision? ▲

Merde, vingt mille euros quoi. C'est beaucoup, et ça pourrait te tirer de pas mal de merdes. Ça pourrait t'aider à financer tes projets, tes études, ça pourrait t'aider à acheter du matos pour faire ton art, ou alors à payer ton loyer. Putain, tant de fric, ça te fait envie, t'en rêves. Tu le veux. Tellement. Pas parce que t'es qu'une petite pute vénale, mais parce que t'en as besoin. Réellement besoin. C'est vital. C'est l'instinct, tu vois quelque chose dont tu as besoin, alors t'es attiré, tu le veux. Mais là, tu ne peux pas, vraiment pas. Révéler quelque chose que tu as promis de garder secret. Non. C'est dans tes principes. Les amis avant tout. Tes amis, c'est tout pour toi. Ils t'aiment comme t'es. Et dieu sait que t'es pas un gars comme les autres. Mais ils le tolèrent. Ils l'acceptent. Et tu les aimes pour ça, tu ne pourrait jamais rien leur faire, même pour quelque chose de vital.

Tu jettes ta veste. Tu poses ton p'tit cul sur ton lit, tu t'avachis. T'enlèves tes chaussures, tu les propulse au loin. Tu t'allonges deux secondes, tu mets les mains derrière ta tête, pensant. T'es heureux d'être là, chez papa maman, pour une petite semaine de repos. Ils sont partis, ils se sont éloignés de la ville, et donc de toi, quand tu es devenu un homme. Maintenant, t'es là, chez eux, tu viens d'arriver. T'as déjà sortis toutes tes affaires que tu as aussitôt rangées. T'es bien ici. C'est plutôt beau et calme. Tes parents ont achetés une maison à la campagne, eux qui ne pouvaient pas se passer de la ville. Tout ça t’intrigue, mais tu préfère oublier, et ne penser à rien.
C'est l'été, il fait chaud, très chaud et beau, très beau. Tu sens que ton pull est de trop. Tu décide de l'enlever. Tu poses ta main gauche en bas et tu le tire vers le haut, laissant au passage apercevoir le bas de ton ventre d’éphèbe que tu t'empresses ensuite de recouvrir de ton t-shirt. Tu expires fortement avant de te relever. Tu choppes ton ordi posé sur ton sac et tu fous ta musique. T'essaye de mettre le plus fort possible, sans pour autant te faire engueuler par tes géniteurs. Tu fermes les yeux. Tu savoures ton orgasme auditif. La musique te fais frissonner.
Tu te bouge, t'es motivé pour faire quelque chose d'inutile. T'en as vraiment envie. Tu vas voir ta mère, cette femme que tu admire. Tu lui demande quelque chose, elle te dis de la suivre. Tu t'exécute. Elle t'emmène dans un petit couloir. Au fond, une armoire. Elle en sort une grosse caisse en plastique, et te la donne. Tu retournes ensuite dans ta chambre. Tu poses la boîtes près de ton lit, et tu t'assois.
Tu restes là, pensif à regarder les détails du couvercle. Tu te décides enfin à ouvrir la boite. Tu vas renouer avec le passé, tu vas le toucher du doigt, flirter avec les souvenirs. T'hallucine devant la masse de paquets de photos extrêmement bien rangés devant toi. Tu les touches un à un du bout du doigt, toujours aussi pensif. Puis, tu te décides. T'attrapes la caisse, tu la poses sur tes genoux et tu commences à la vider en classant les paquets, temporairement. En fait, ils étaient déjà classés comme ça, mais les plus récents étaient sur le dessus, et tu voulais commencer par les plus anciens. Tu les ranges bien en deux lignes droites. Tu t'installes confortablement, enfin, de manière à ne plus sentir le poids de ton corps qui engourdit tes jambes pliées sous ton cul. T'es serein, t'es prêts, tu respires profondément. Tu vas juste regarder des photos, mais pour toi, c'est autre chose, c'est renouer avec le passé, ce passé que personne ne voulais te montrer, nul ne sait pourquoi. Cette boîte ne contient que des photos de toi. De ta naissance, à tes quinze ans environ. Tu te lances, t'attrapes un paquet, tu l'ouvre. Dessus est écrit « AVRIL 91 ». C'est ta date de naissance. Ici, dans ce petit morceau de carton plié, on peut te voir, toi, dans le plus simple appareil à ton plus jeune âge. Ton visage est angélique, tu dors. Tu ne cries même plus. Tu enchaînes paquets en paquets. Tu en prends un. Tu regardes son contenu. C'est toi, tu as environ trois ans. Tu es dans les bras des tes parents. Tu les vois jouer avec toi, tu les vois te nourrir, s'occuper de toi. L'idée de vouloir être père te traverse l'esprit et ressort juste après t'être dis que ce n'est très sans doute pas pour toi. Tu ne sais même pas comment te débrouiller en amour, alors pourquoi tu saurais te demmerder avec un gosse ?
Tu continus. T’enchaînes. Tu souris parfois aux scènes comiques et tu te rappelles de certaines choses. Un air de nostalgie parcours ton visage. Tu passes aux dessus du paquet qui représente tes dix ans environ. Tu l'ouvres, et tu commences à feuilleter les photos. La première, c'est toi, tu porte une chemise beige avec un p'tit pantalon rouge. Cette image de toi te fais sourire. T'as pas l'habitude de te voir jeune, enfin, enfant... vraiment enfant. Tu passes. Tu tournes une, deux puis trois photos. Tu frottes tes yeux qui te piquent, puis la vision trouble, tu regardes la photo empoignée dans ta main. Tu te vois toi, assis sur un banc, souriant, avec une fille à tes côtés. Tu ne sais pas qui c'est. Bien sûr tu en as des souvenirs, elle te rappelle quelque choses, mais tu ne connais rien d'elle, même pas son prénom. Tu te dis que tu demanderais à ta mère plus tard.
Puis tu tournes, et prends d'autres paquets, tu passes les années et tu te vois grandir au fur et à mesure. Mais rien, il n'y a rien à raconter sur toi dans ces photos. Rien ne se passe dans ta vie. Rien ne s'est passé dans ta vie.

T'es canon, t'as fini ta fiche et on peut officiellement tebouffer, te considérer comme un sexy ollpiens. Évidemment, on va pas t'laisser comme une âme en peine va, si tu peux dès à présent rp, tu peux et dois également gérer les différents services et demandes à ta disposition dans le coin approprié comme faire une demande de logement ou participer à la vie du forum si tu as des idées à proposer. Histoire de ne pas être forever alone, on te conseille de ne pas hésiter à envoyer des MP aux autres membres afin de commencer un sujet ou de se trouver un lien. Tu peux également avoir une fiche de lien et répertorier tes différents sujets. D'ailleurs, n'oublie pas qu'en choisissant ton groupe tu as été automatiquement placé dans une équipe et que tu vas ainsi pouvoir gagner un tas de points pour elle, si tu veux plus d'information, viens donc faire un tour ici. Si tu as envie de rendre la vie de ton personnage plus excitante tu peux posséder un téléphone, un journal intime ou encore utiliser le système de mini-rp pour aller plus vite.
De plus on te conseille fortement de te rendre régulière sur il parait que pour suivre les potins et en poster à ton tour.
pour finir et parce qu'on t'as vachement assommé (mais là on veut bien te soigner ) consultes régulièrement le tumblr du forum pour être au courant des news.
Pas besoin de te préciser que la chatbox, le flood et notre boite mp est grande ouverte, surtout n'hésites pas, le plus important, c'est vraiment que tu sois bien et heureux parmi-nous.
aller encore bienvenue, on est ravis de t'avoir, maintenant on te lâchera plus, c'est fini pour toi

Tay, Ella, Camel, Harriet, Ana et Elie.