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 Le bonheur est une illusion d'optique, deux miroirs qui se renvoient la même image à l'infini. N'essayez pas de remonter à l'image d'origine, il n'y en a pas. (r)

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Le bonheur est une illusion d'optique, deux miroirs qui se renvoient la même image à l'infini. N'essayez pas de remonter à l'image d'origine, il n'y en a pas. (r) Empty
MessageSujet: Le bonheur est une illusion d'optique, deux miroirs qui se renvoient la même image à l'infini. N'essayez pas de remonter à l'image d'origine, il n'y en a pas. (r)   Le bonheur est une illusion d'optique, deux miroirs qui se renvoient la même image à l'infini. N'essayez pas de remonter à l'image d'origine, il n'y en a pas. (r) EmptyLun 17 Sep - 22:02

Citation :
Le bonheur est une illusion d'optique, deux miroirs qui se renvoient la même image à l'infini. N'essayez pas de remonter à l'image d'origine, il n'y en a pas.
Jules/Camille.

Après avoir passé ces putains de gala de charité, Camille était enfin libre. Oui, LIBRE. Ce mot qu'elle avait l'impression de ne connaître que le soir entre deux coupes de champagnes, à danser jusqu'à en avoir mal aux pieds et à rire aux éclats sans aucune manière. C'était tellement mieux que ces soirées mondaines, cependant la compagnie de son cousin avait été des plus agréables. Elle regrettait de ne pas passer plus de temps avec lui et qu'il ne connaisse qu'une partie d'elle, bien qu'au fond elle était persuadée qu'il savait ce qu'elle avait au plus profond de son coeur. Sa gouvernante, Natacha, une française âgée, tira les rideaux de sa fenêtre, laissant pénetrer la lumière dans sa chambre sombre. Camille étouffa un juron, qu'est-ce qu'elle détestait sa gouvernante qui pensait pouvoir contrôlé sa vie. Si ses parents n'accordaient pas autant leur confiance en cette vieille elle n'aurait pas tardé à lui dire ses quatres vérités. « Camille, lèvez-vous ! Il est onze heures, vous avez rendez-vous avec Mr Dubois. » Ah oui. Ce pervers qui ne savait que regarder sa silhouette de la journée et se mordre la lèvre d'un geste plutôt écoeurant que sensuel. De toute façon elle allait pas y allé, non, elle allait rendre visite à Aurélie, une de ses fidèles qui se pliait à ses moindres désirs -comme la plupart des Parisiens-.

L'avantage d'être riche, est sans doute la nourriture délicieuse et d'être servie dans son lit. Sauf quand on n'a pas d'appétit comme Camille qui maigrissait à vu d'oeil. Elle ne porta même pas un regard sur son plateau d'argent. La bourgeoise se déplaça jusqu'à sa salle de bain, prit un bain moussant, qui dura une éternitée avec un verre de vin à côté. Camille la futée savait que ses parents n'étaient pas là, elle prit un jean slim, un haut décolleté et des bottines à talon haut, qu'elle accompagna d'un peu de rouge à lèvre et de mascara. Simple, elle se fondrait facilement dans la masse, personne ne se douterait qu'il s'agit d'elle. Elle en profita pour envoyer un message à Aurélie, son toutou préférée. « J'suis chez toi dans cinq minutes, t'as intérêt à être là. » Puis, elle partit silencieusement derrière le dos de sa gouvernante. Sans doute allait-elle soupçonnait qu'elle était partie voir Mr Dubois. Si seulement elle savait ... elle eut un sourire niais à cette seule pensée.

« Non, non, non ! Pitié ! Eh.. » à force de chercher de partout du réseau, portable en l'air, Camille ressemblait à une idiote. Elle était depuis un quart d'heures sur le bord d'une route complètement déserte. Sa mini-cooper l'avait abandonné, plus d'essence... et dire qu'elle avait demandé à Pierre, le chauffeur de son père de lui mettre de l'essence. Mais à quoi il servait ce bon à rien ? Maudite Aurélie qui était à sa maison de campagne en train de faire la fête du siècle de bon matin (rectification : après-midi). Ce qui n'étonnait pas Camille, qui, si elle appréçiait tant sa compagnie était du au fait qu'avec Aurélie c'est toujours la fête, autant de jour que de nuit. Au bord de la route, Camille tournait en rond comme un animal sauvage. Manquerait plus que de rencontré DSK, elle était foutue. Le pire était qu'aucune voiture ne passait à cette heure-ci... L'idée de rentrée chez elle à pied était totalement im-po-ssi-ble. Une Legendre marchait ? Non, ça c'est jamais vu et ça se verra jamais ! Elle mourrait ici, s'il le fallait ! Et elle était persuadé, en tant qu'invétéré romantique dans l'âme que son prince charmant viendrait la chercher... En parlant de prince charmant, une voiture luxueuse qui devait avoir coûté une fortune s'approcha à toute vitesse d'elle, puis il pila. Oui c'était son prince ! Dieu soit loué ! A la plaque d'immatriculation, que seul-lui avait, elle reconnu qui était dedans. Et ce fut pire que l’hécatombe. LUI ? Son prince charmant ? IM-PO-SSI-BLE, c'était plutôt un gueux sans aucune manière qui ne pensait que ce qu'il avait entre les jambes ! « Seigneur Jesus, qu'est-ce que j'ai fait pour que tu me haïsses à ce point ? » dit-elle en l'implorant. Dire qu'elle avait oublié ce prétentieux et idiot de Lacasse. Elle aurait préféré se jeté dans la Seine que de lui demander quoi que ce soit, d'ailleurs elle ne feignit même pas de regarder sa voiture m'as-tu-vu. C'est bien, Lacasse, plus chèr la prochaine fois la bagnole non ? Tout ce qu'il savait faire, c'était baisé comme un dieu. Pour une première fois, elle avait été comblé, et elle pouvait confirmé que sa réputation était vraie. D'ailleurs elle prenait un mâlin plaisir à l'éviter soigneusement, quoi, il croyait qu'elle allait retombée dans ses bras ? Plutôt mourir !
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MessageSujet: Re: Le bonheur est une illusion d'optique, deux miroirs qui se renvoient la même image à l'infini. N'essayez pas de remonter à l'image d'origine, il n'y en a pas. (r)   Le bonheur est une illusion d'optique, deux miroirs qui se renvoient la même image à l'infini. N'essayez pas de remonter à l'image d'origine, il n'y en a pas. (r) EmptyMar 18 Sep - 3:29


Camille & Jules
Comme à tous les matins, ma journée commençais par un petit jogging à l'extérieur. Qu'il fasse beau ou qu'il pleuve, j'adorais courir à l'extérieur. C'était le seul moment de la journée où je ne pensais à rien et je pouvais me défouler. Courir encore plus loin pour épuiser mon corps et dépasser mes limites. À chaque jour, c'est la même histoire. Je cours jusqu'à temps que mes jambes s'arrêtent seul, je me dépasse pour être le meilleur. Et croyez-moi, je le suis probablement. Contrairement aux autres journées, ce ne fut pas les belles fesses de la jeune jardinière que je remarqua, mais bien la belle température. Le soleil était fort et dégageait une chaleur assez accablante, mais le vent doux rendait la température très agréable. Une journée idéale pour sortir ma belle Shelby. Vous croyez probablement que c'est un chien, et non la Shelby GT 500 est une automobile. Pas qu'une simple diraient les connaisseurs, il est très rare de pouvoir s'en procurer une. Heureusement tout s'achète avec le portefeuille bien garni. Conçue en 67, il n'en reste qu'une infime partie sur la terre c'est pourquoi je ne la sors que dans les jours idéaux comme aujourd'hui. En revenant de mon footing, je pris une bonne douche froide pour me désaltérer. Ensuite, je ne me vêtis qu'un d'un simple jeans armani et enfila une jolie chemise à carreaux rouge et blanche. Une tenue fort simple certes, mais je ne m'en allais que faire un tour de bagnole alors pourquoi se compliquer la vie ?

Un frisson de passion me parcourut tout le corps alors que je mis les clés dans le contact de ma vieille Shelby. Le grondement que le vieux moteur, toujours en bon état, était un des sons les plus beaux que je n'avais jamais entendu. D'ailleurs, je n'arrivais toujours pas à me décider quel bruit je préférais entre une femme qui crie mon nom ou bien le rugissement de mon vieux moteur. Probablement que les deux en même temps, serait la plus belle chose jamais entendu, du moins à mes oreilles. Je me décida enfin à sortir de l'immense garage où j'étais, admirant les autres magnifiques bagnole qui m'appartenait. Il est vrai que j'en avais une belle collection à en faire jalouser plus d'un, mais ma mustang 1967 était ma préféré. Chaque fois que mon pied appuyait une pression sur l'accélérateur, je ressentais le même élan de passion alors qu'elle rugissait toujours et encore plus fort. Je me dirigeais vers les chemins de campagne de Paris, histoire de ne pas trop rouler en ville avec cette automobile de collection. De plus, je voulais éviter tous les vautours qui regarderaient mon auto avec perversion. C'est donc sur une grande route où il y avait des champs des deux côtés que je fis rouler ma chérie à toutes vitesse.

Je n'en avais jamais assez de rouler avec cette belle voiture, mais malheureusement pour moi la noirceur arrivait rapidement et on ne roule jamais sur une chaussée où l'on ne voit rien avec une auto de collection. Je me mis donc en route vers le chemin du retour. Mon regard s'arrêta rapidement sur de jolies petites fesses bien ferme. Des pensées coquines me vinrent à l'esprit en imaginant ce qui se trouvait sous cette jupe. J'aurais bien aimé m'arrêter pour le découvrir, mais l'idée même de prendre une femme qui marchait sur le bord de la route me dégoûtait. Puisque j'étais trop préoccupé par les fesses de la jeune dame, je ne remarqua même pas la voiture qui se trouvait à quelques mètres. Je me consolai donc à l'idée que ce soir, j'allais me tapper une belle blonde qui venait de mon milieu. Elle était toutes à mes pieds de toute façon, alors pourquoi baiser une pauvre qui marche le bord d'un champ !? Alors que je la dépassais, je regarda dans mon rétroviseur pour reconnaître le visage de la belle Camille Legendre. C'est à ce même moment que je vis la voiture en panne derrière et compris enfin ce qu'il se passait. Malgré toute l'indifférence que je démontrais, la petite Legendre me rendait fou. Cette peste au visage d'ange était parfaite tout simplement. Depuis que je l'avais baisé dans les chiottes du Queen, je ne pouvais arrêter de penser à ses doux cheveux et son bon parfum. Ce fût donc plus fort que moi que de reculer tranquillement pour arrêter à sa hauteur. J'ouvris la fenêtre du côté passager pour lui demander d'un air moqueur. « tu passes une belle journée Legendre ? » Certes, elle m'avait interdit de lui parler, mais je savais que c'était parce que je lui faisais de l'effet et qu'elle en avait peur. Et puis, on ne peut pas résister à un beau gosse au volant d'une voiture de collection n'est-ce pas ?
Fiche (c) Espe
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MessageSujet: Re: Le bonheur est une illusion d'optique, deux miroirs qui se renvoient la même image à l'infini. N'essayez pas de remonter à l'image d'origine, il n'y en a pas. (r)   Le bonheur est une illusion d'optique, deux miroirs qui se renvoient la même image à l'infini. N'essayez pas de remonter à l'image d'origine, il n'y en a pas. (r) EmptyVen 21 Sep - 19:26

Comment ne pas désirer plus que tout à ce moment de ne pas éclater contre un mur la belle gueule de Lacasse ? Ce porc qui baise à droite et à gauche sans aucun sentiment avec arrogance et fierté. Camille se retenait de lui balancer tous ce qu'elle pensait de lui tellement qu'il était inférieur à elle et d'un pathétique à en creuvé. En même temps, pour Camille, TOUT le monde, sans exception, est inférieur à sa petite personne. Et Jules était l'une de ses personnes dont elle avait très peu d'estime. Il représentait sa première fois, loin d'être élégante comme elle l'avait espéré... en fait c'était carrément bon, mais aussi dégueulasse. Les chiottes de Queen, quel romantisme ! Elle ne serait pas allée chez lui pour tout l'argent du monde, et sans s'y attendre, elle avait passé la soirée à baisé dans des toilettes crado. Puis, il était devenu une sorte "d'obession", sans en être réellement une. Elle ne le traquait pas, elle le regardait discrètement du coin de l'oeil en observant ses manières de dragué les jeunes femmes qui ne sortaient pas de l'ordinaire. Elles n'attendaient qu'une chose toutes, et Camille se déléctait de ce spectacle si pathétique... elle en aurait presque rit si elle n'était pas une pointe jalouse. Elle évitait soigneusement son regard, elle évitait d'être proche de lui, car il représentait une "menace", un sorte de désir qu'elle n'arrivait pas à contrôlé. De toute façon il feignait de ne pas la voir, Camille était persuadée qu'elle avait un charme dévastateur, alors ni lui avec sa belle gueule de don Juan, ni les autres idiots dans son genre, la feront une fois dans sa vie douté d'elle. JAMAIS. Alors en attendant que sa passion s'en va comme une fleur, elle traînait de moins en moins au Queen et elle cherchait à foutre quelque chose de sa vie, ce qui, était compliquée.

Comme là. Elle s'était retrouvée au milieu de nul part en train de tourner en rond et de prier son seigneur pour que quelqu'un vienne la sauvé, sinon la famille Legendre perdrait son unique héritière et que ... plus de Legendre et ça c'était impossible. Elle était en totale panique et aurait donné des millions d'euros pour celui qui la découvrait. Dire qu'elle s'était imaginée qu'elle allait rentré son "prince charmant" ici. Bonne blague ! Elle faillit s'étouffer en voyant Jules et sa foutu voiture à nourir une village entier d'Africais.

Foutu sourire moqueur à deux balles ! Elle se promit de lui faire la misère autant qu'elle le désirait jusqu'à qu'il enlève ce sourire moqueur et arrogant de son beau visage. Il ressemblait à un ange quand il n'agissait pas en parfait bâtard... Un sourire amusée s'afficha sur les lèvres de la jeune femme, si seulement il savait ... L'un comme l'autre étaient les mêmes, et c'était près de faire de gros dommages. « Excellente, merci. » qu'il ouvre sa putain de portière elle n'allait pas monté, c'était comme lui dire qu'elle allait finir dans ses bras dans la banquette arrière. Heurk. « Par contre, je ne peux pas en dire autant de toi. T'as rien d'autre à foutre de ta vie que de traîné par là Lacasse ? Ca m'étonne même pas de toi. Tu vas voir qui ? Ta prochaine pute ? » elle roula des yeux, désespérée. Oui, elle était méchante avec lui, mais c'était plus fort qu'elle. D'une certaine façon elle avait l'impression d'avoir été sali par lui mais d'une autre façon elle avait aimé ce moment, de ne faire qu'un avec lui même si c'était loin d'être aussi fort que lorsque deux personnes s'aiment. Elle se serait donné des giffles pour cette pensée. L'amour c'était par pour elle, elle l'avait compris très jeune. Mais surtout elle voulait enlevé ce foutu sourire moqueur sur ses lèvres et le rendre fou de rage.
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