Nom complet ▲ CHAMBLAS, Simon GrégoireLieu de naissance ▲ Paris âge ▲ 24 ans nationalité ▲ Française diplômes, études▲ Diplômé de Science Po Paris, Master Finances & Stratégies métier ▲ Analyste financier statut matrimonial ▲ célibataire orientation sexuelle ▲ hétérosexuel situation financière ▲ gros bourge aisé idole(s) de vie ▲ Si il n'avait pas été un obsédé sexuel, DSK aurait très bien pût être mon modèle puisqu'être le chef du FMI, c'est trop la classe, mais manque de bol il a du problème à contrôler paupaul, du coup je dirais... Steve Jobs. Paix à son âme. nombre d'amis facebook ▲ 1521. moyen de déplacement ▲ la voiture. groupe ▲ 4 murs & 1 toit. avatar ▲ oscar spendrup. crédits ▲ tumblrrrrr of course.

DE 8H00 à 12H00▲ C'est à 7h que sa journée commence, il se lève, prend une douche, un petit-déjeuner et puis direction le boulot où il doit être à 8h30 sans faute, pas la peine de venir plus tôt, les heures sup ne sont pas comptabilisées (elles donnent seulement droit à des RTT) - et interdiction d'arriver après 8h31. Là, il commence à travailler, il évalue les actions, la rentabilité, les ressources humaines, les restructurations à opérer... C'est lui qui conseille les placements, les achats, les ventes et il se doit d'être TOUT LE TEMPS informer de ce qui se passe en bourse. A midi, c'est l'heure de la pause.


DE 12H00 à 14H00▲ L'heure de pause, généralement, il sort de son bureau des chiffres pleins la tête et choisit au hasard (et parfois pour s'amuser à pile ou face en calculant la probabilité pour que la pièce tombe sur pile) un endroit où déjeuner. Il n'aime pas le mcdo et préfère des repas un peu plus sains. Pendant ce temps, il déjeune parfois avec des amis ou l'une de ses soeurs, parfois même avec son père ou sa mère lorsqu'ils ont un peu de temps libre. Si la pause ne dure que deux heures, c'est un moment très agréable qu'il ne remplacerait pour rien au monde !


DE 14H00 à 17H00▲ Retour au bureau. Il restera là bas jusqu'à 18h voir 19h30 selon les jours. Généralement les après-midi ont lieu des rendez-vous, conférences, réunions et autres meetings durant lesquels il devra s'exprimer et expliquer aux actionnaires, clients et responsables financiers ce qu'il faut faire et ne pas faire, ce qu'il faut acheter, ce qu'il faut vendre, où il faut investir, etc... Passionnant n'est-ce pas ? Il y a des hochements de tête attentifs, des sourires hypocrites qui trahissent de mauvaises intentions, il y a des " Bon.. Très bien, nous allons donc procéder ainsi... " les femmes croisent les jambes et jouent avec leur stylo, elles cherchent le petit détail sur lequel il aurait put se tromper, les hommes réfléchissent, consultent leurs données, secouent ou hochent la tête, encore et encore avant de finalement prendre une décision ou de dire " bon, nous en reparlerons demain, rendez-vous à 15h. " alors il retourne dans son bureau devant son ordinateur et ses papiers de presse, et c'est repartie.


DE 17H00 à 20H00▲ Généralement jusqu'au bureau jusqu'à 18h voir 19h30 dans le pire des cas, il se rend ensuite chez lui il passe parfois dans le super marché du coin pour faire quelques courses et avoir de quoi se faire à manger, puis il rentre chez lui pour se préparer à diner. Si il n'a pas envie de cuisiner il commande, ou bien il propose à ses soeurs d'aller au restaurant ou de venir manger des pizzas ou du riz cantonais, ou des sushis.


DE 20H00 à 24H00▲ Moment de détente. Il regarde un film ou surfe sur internet lorsqu'il est trop crevé pour sortir, là, il se cultive, se renseigne, il préfère les films d'auteurs plutôt que les blockbusters, il aime les livres qui racontent réellement quelques choses, les musiques qui transportent. C'est en soirée, lorsqu'il a la tête complètement vide qu'il s'autorise à s'enivrer de musique ou de bonnes littératures. Sinon, il lui arrive bien entendu comme n'importe qui de sortir boire un verre, d'aller à des soirées et si il ne travaille pas le lendemain il s'autorise même à boire quelques verres, mais il y a longtemps qu'il n'a pas été complètement bourré.


DE 24H00 à 8H00▲ Et bien lorsqu'il travaille la journée, Simon dort la nuit, logique. Il n'est pas un surhomme et il a besoin de ses 8h de sommeil quotidienne pour pouvoir assurer pleinement au boulot. Le week-end il se fiche de se coucher tard, ça ne lui pose aucun problème, au contraire, il est toujours prêt à passer une bonne soirée et une bonne nuit tant que la compagnie est bonne également, logique ! Cinémas, soirées, concerts, bars, expositions, tout y passe pour ce gourmand de nouveauté.

CHAMBLAS UN JOUR... « - Si tu veux réussir, tu dois t'en donner les moyens, il serait beaucoup trop simple que ta mère et moi te donnions tous les outils et toutes les aides, tu seras beaucoup plus fier d'y parvenir par toi même. Et c'est le plus important. Le mérite. C'est ce qui fait les grands hommes. » me dit un jour mon père. Il optait parfois pour ce ton psycho-philosophique, tel un sage qui était parvenu à la réussite après des années de durs labeurs, comme si il connaissait tous les secrets du dépassement de soi. C'était peut être le cas mais j'étais à cette époque trop jeune pour le comprendre et dés lors je ne gardais que l'essentiel de tout son apprentissage shamanique ( si l'on peut appeler ça comme ça ); je n'avais pas été stupide au point de croire que mes parents ne me donneraient aucune aide, ils n'étaient pas égoïstes, ils n'étaient pas non plus des personnes hautaines et sans valeurs, au contraire, c'était ce qu'ils essayaient de m'inculquer et je savais qu'ils seraient là dans les moments où j'en aurais besoin. En attendant, je devais parvenir à mes fins par moi même et aller aussi loin qu'il m'en était possible sans leur secours paternels. J'avais deux soeurs cadettes, Azénor et Anaëlle et j'avais toujours pris mon rôle de grand frère très au sérieux, et ce, depuis le commencement. Azénor avait toujours été celle dont j'avais été le plus proche, il y avait une connexion entre nous, un lien indestructible qui s'était tissé au fil des années et qui nous avait rendu si fort que nous étions à nous un réel cauchemar pour qui osait nous défier : nos parents compris. La crise d'adolescence n'aillant pas faillit à sa tâche, nous étions toujours sur la même longueur d'onde, toujours prêt à nous entraider et à se défendre bec et ongle contre les affronts de nos parents, des attaques banales que portaient sûrement tout parents dignes de ce nom à leurs ados « Tu fais trop la fête » ou « Concentre toi sur tes études » ou « Ah si tu connaissais les pubs à la télé aussi bien que t'es cours ! ». Et pour cause, j'avais toujours fait les choses au mieux, si bien que j'avais du mal à supporter d'éventuels conseils et reproches que pouvaient me donner mes paternels, j'avais l'impression qu'ils me prenaient de haut et Azénor était toujours là, soit pour me soutenir soit pour m'aider à garder la tête froide. Avec le recul, je sais que leurs petites remarques dites avec un humour légèrement moqueur n'étaient destinées qu'à une chose : me dépasser. Et avec les années également, je constate qu'ils ont très bien fait leur travail puisque j'ai toujours travaillé dur et fait ce qu'il fallait pour y arriver. J'avais eu une scolarité relativement calme, comme tout garçon, je n'avais pas été particulièrement passionné par le lycée, j'aimais m'atteler à regarder les filles, ces nouvelles filles, parfois mes amies qui, du collège au lycée, devenaient toutes autres puisque leur corps changeait et qu'elles se mutaient, un peu comme des vilaines chenilles qui se transformaient en papillon : au revoir appareil dentaire, acnée et poils à la moustache, bonjour les jambes douces, la peau douce... et les seins. Malgré mes préoccupations de jeune mâle perturbé par ses hormones, j'avais toujours su maintenir un niveau largement (très largement même, comparé à certains de mes amis) acceptable, ma moyenne au lycée tournait autour de 15 (en ES) et j'appréhendais le moment du baccalauréat sans réelle crainte ni complexe, conscient que ce ne serait que l'aboutissement des trois années de lycée et que puisque j'arrivais à suivre, il n'y avait pas de raison pour que je rate l'examen final. J'avais calculé les probabilités de le louper et elles frôlaient les 0%, il n'y avait pas donc de quoi s'inquiéter. J'obtins le bac avec mention et réussit le concours science Po Paris cette même année ce qui me permit de continuer mes études post-bac dans la capitale, toujours près de ma famille. Je tiens à faire une petite parenthèse sur la benjamine de la famille cela dit, Anaëlle qui, atteinte d'une leucémie, avait toujours su rester forte. La nouvelle de sa maladie avait bouleversé la famille, elle n'était âgée que de neuf ans et l'on peut dire en quelque sorte que sa pathologie était le drame de notre famille, je savais que mes parents se sentaient coupables, si ce n'était pas vraiment de leur faute, ils avaient perçu pendant un moment sa maladie comme un échec, un endroit où ils auraient faillit et il était difficile pour eux, les rois de la réussite, d'accepter pareille nouvelle. Ils faisaient tout le nécessaire pour rendre la vie d'Anaëlle facile, la notre aussi d'ailleurs, avec leur revenu, nous n'avions jamais eu à nous plaindre de rien, pas la peine de se serrer la ceinture à la fin du mois.. Notre père était souvent en déplacement, mais pas assez pour que l'on puisse le lui reprocher, lorsqu'il était là, à Paris avec nous, il se dévouait entièrement, corps et âmes si je peux dire, à nous, sa famille, ses enfants, et il avait toujours été un père exemplaire. Même chose pour ma mère qui, talentueuse journaliste, un peu le stéréotype de la Parisienne branchée, je l'admet, avait toujours été là pour nous, toujours disponible, toujours aimante. Je prenais mon rôle de frère protecteur envers Anaëlle très au sérieux, beaucoup plus qu'avec Azénor d'ailleurs (mais c'était différent) car je sentais qu'Anaëlle en avait plus besoin, je la voyais plus faible, comme si elle avait été en sucre et que la moindre chose, le moindre coup de vent aurait put la briser. Je lui rappelais chaque jour de prendre méticuleusement ses médicaments et veillais toujours à son état de santé, je voulais qu'elle se sente bien, qu'elle soit heureuse. Je voulais qu'elle ait toujours le mieux, parce qu'elle méritait le mieux.

TOUT S'ENVOLE - « Elle a décidé de s'en aller vraiment. » racontais-je à Azénor encore un peu troublé par ma récent rupture. J'avais dix huit, l'avenir me souriait, j'entrais à Science Po Paris, une des plus prestigieuse formation de France, et pourtant, à ce moment là, je n'étais pas heureux. Je regrettais que Léa, celle que j'avais aimé durant toutes mes années de lycée, ne puisse pas vivre avec moi cette nouvelle vie qui m'attendait. Qui nous attendait. La fac, les soirées étudiantes, le début de la vraie vie... Elle avait décidé d'aller étudier aux Etats-Unis et qui étais-je pour la couper dans son élan d'ambition ? Personne. Alors j'avais décidé de battre en retraite, un peu vexé qu'elle ne reste pas en France, mais surtout déçu que les choses se terminent ainsi. J'avais le coeur brisé et elle n'était même pas encore parti qu'elle me manquait déjà. Elle avait décidé de rompre, pensant qu'une relation à distance ne serait pas raisonnable, je me résignais à me terre, décidant de ne pas me lancer dans de grands discours pour la récupérer, bien trop fier d'un côté, mais également pas assez sûr de moi pour pouvoir lui proposer de l'attendre. Pourtant j'en avais envie, je ne voulais que ça, attendre qu'elle revienne, venir la voir lorsque je le pourrais, la distance serait sans doute difficile à supporter mais et alors ? Si elle pouvait rester mienne, si je pouvais ne pas la perdre, c'était le prix à payer non ? Elle m'avait fait comprendre qu'elle ne désirait pas se lancer là dedans, elle voulait aller aux Etats-Unis étudiée la politique, commencer une nouvelle vie, et elle serait sans doute bien mieux intégrée en tant que célibataire, les choses seraient plus simples.. Je me demandais si à sa place j'aurais fait le même choix. J'imagine qu'à sa place je ne serais pas partie aussi loin, la preuve, j'avais décidé de rester à Paris pour ne perdre personne, être prés de mes amis et ma famille et résultat, je perdais Léa qui, à ce moment là, était une des personne qui comptait le plus pour moi. Azénor m'observa avec un regard désolé, attristée par la nouvelle. Il n'y avait qu'avec elle que je pouvais réellement m'ouvrir. Les lèvres pincées, elle m'observa un moment avant d'ouvrir la bouche pour parler « Tu savais que ça allait arriver... Elle t'avait déjà parlé de son inscription à Colombia et de son départ.. » dit-elle. Ses mots sonnèrent un peu comme un gros coup de massue sur ma tête et je haussais les épaules, penaud « - Oué... Mais.. J'imagine que j'espérais qu'elle décide de rester. - Tu le lui as demandé ? - Non. C'est à elle de prendre ce genre de décision. Pas à moi. - Il faut que tu passes à autre chose de toute façon, si elle est partie et bien... Tant pis, c'est que ce n'était pas celle qu'il te fallait, que vous deviez forcément vous séparer et que tu en rencontreras une autre. Une qui restera pour toi cette fois ci. - Sûrement. » Je soupirais. J'avais terriblement envie d'appeler Léa, de lui envoyer des messages, de lui dire de ne pas partir; j'avais envie de faire comme dans ces films romantico-niais et aller la chercher à l'aéroport pour lui dire de rester, lui dire que je l'aimais. Je doutais que cela puisse marcher, elle était déterminée et je ne pourrais probablement rien y changer. Dés lors je décidais de laisser les choses suivre son cours, Léa irait à Colombia, je resterais à Paris et la vie continuerait. Il le fallait.

Je suis aujourd'hui diplômé de Science Po Paris et détenteur d'un master en finances et stratégie. J'ai obtenu un poste dés ma sortie de l'université. Je travaille. J'ai un appartement depuis quelques années déjà dans Paris et je profite pleinement de mon indépendance. Enfin, avec modération tout de même.

Félicitation, tu es désormais officiellement un Ooh la la Parisien. Nous t'invitons maintenant à faire grandir ton personnage parmi nous à travers les liens et les topics. Évidemment, la chatbox et le flood sont deux moyens très efficaces pour t'intégrer aux autres et nous vous encourageons à y participer pour connaître l'ambiance de fou qui règne ici. Si les moyens cités plus haut sont inefficaces, n'hésite surtout pas à demander à un administrateur ou à un habitué d'ollp de te parrainer. N'hésites pas à t'inscrire à l'intrigue en cour : le festival de musique ! Nous recherchons des groupes, des danseurs mais aussi des spectateurs et même des bénévoles pour veiller à l'encadrement de la fête (a) Nous te souhaitons de merveilleux moments parmi nous et nous espérons que tu pourras trouver ton bonheur ici.

Yannie, Grayson, Ella, Cora, Bloko, Albane & Anaëlle