ce que j'ai écris dans mon histoire;Cette bande de Bourges me cassait littéralement les couilles (excusez moi de ma vulgarité), je détestais cette famille mais mes parents eux les adorait. C'était une des familles les plus riche de Marseille tout comme la mienne, normal que l'entente était bonne, nous étions en quelque sorte en affaire, c'est grâce à eux qu'on gagne autant d'argent. Ouais vous allez me dire, pourquoi tu les déteste ? Parce que la fille Deschamps me colle au cul et parce que le fils Deschamps me touche le cul justement. En gros j'en ai ras le cul d'eux quoi. (out)
Au niveau hypocrisie c'était la meilleure la mère Deschamps. Son accent du nord me donnait la gerbe tellement elle exagérait. Son style me donnait des envies de meurtres, c'était plutôt bizarre que ces deux enfants soient totalement différents d'elle, la fille au look rebelle et le fils en mode "j'me la pète un peu beaucoup quand même".
« Adrien, viens dire bonjour, ton amie Vittoria est là. » Alors là je soupira deux fois, rien que pour "ton amie" alors que je détestais ce mec et le "Vittoria", Vittoria est mon vrai prénom à la base, mais tout le monde me prénomme Victoire et puis c'est plus puissant, plus grandiose, en gros ça me caractérise bien quoi.
« C'est Victoire. » Elle me lança le regard genre "je m'en fou complétement", quand je vous dis que je déteste cette famille. Le voilà lui avec sa démarche sur de lui et sa colle de sœur qui courrait pour me sauter dans les bras. Je l'attrapa au vol, je n'étais pas si méchante mais je rigolais intérieurement à l'idée de me pousser.
« Tiens tiens tiens, voilà la plus belle. » Me dit-il en posant ses lèvres sur ma joue.
« Désolé si je ne te retournes pas le compliment, mais je n'ai pas appris à être hypocrite. » Je lui souriais, fière de moi sur le coup. Le regard d'Adrien était amusé, il avait l'habitude de mes vannes, j'avais 16 ans et cela faisait 16 ans qu'on se connaissait maintenant, je les connaissais même quand ils étaient encore au Nord de la France. J'étais une vraie petite peste, mes parents ne s'en doutaient pas, mais j'avais une double personnalité, celle que j'avais avec ma famille et en dehors de celle-ci, mais comme on dit chassez le naturel il revient au galop, ils allaient vite prendre connaissance de la vraie Victoire.
***
« Alors bébé, t'as enfin compris que j'étais l'homme de ta vie ? » Encore lui ? J'en avais marre de sa tête et en plus je ne comprenais rien à ce qu'il disait, il était toujours plongé dans ses délires.
« Vas voir ailleurs. » Je soupira, j'étais toujours très accueillante.
« Tu peux m'embrasser tu sais. » Disait-il avait son air sûr de lui, coquin et son sourire narquois. Mais qu'est-ce qu'il racontait ?!
« Jamais je me rabaisserais à embrasser ta bouche, tu vois je préfère même les crapauds à toi. » « Mais oui, tu disais pas ça avant, vu que ta mère est venue à la maison pour nous dire que tu étais d'accord. » Je me réveilla d'un coup, regardant Adrien avec les gros yeux, qu'est-ce qu'elle avait fait derrière mon dos ? J'allais le découvrir. Il voyait que je ne comprenais rien, il fallait me regarder pour le comprendre, même le plus stupide des mecs.
« Ta mère est allée voir ma mère pour dire que tu étais d'accord pour le mariage. » Attends une minute... MARIAGE ?! Moi me marier avec Adrien ? Je n'avais que 18 ans et nos deux mères avaient arrangées un mariage sans même nous en toucher un mot. C'était la guerre, elle était belle et bien déclarée et je comptais la gagner. Ma mère m'avait fait un coup de pute comme on dit, elle allait en payer le prix fort. Je n'eus pas le choix pour le mariage, à 18 ans j'étais déjà destinée à me marier avec ce connard d'Adrien Deschamps, tout ça parce que j'avais perdue ma virginité avant le mariage, qu'elle connasse.
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« Adrien ?! C'est Victoire. Dis moi, tu serais prêt à m'accueillir chez toi ? Il faudrait qu'on s'habitue avant de se marier. » Ça m’écorchait la bouche de dire ça, mais je n'avais pas le choix, il était pété de thunes et j'allais me marier avec lui, j'étais déjà fiancée. Voilà comment je suis arrivée à Paris, je suis venue m'installer chez lui.