" Vous êtes le fils de Mr de Jacquelin c'est ça ?" Il se put s'empêcher de mâter son interlocutrice. Qui était-elle ? Une maitresse a qui son père avait promit quelques millions à sa mort ? Peu importait, mais on ne pouvait dénier son goût en matière de femmes. "oui c'est moi, [x]." Il lui tendit une main qu'elle prit pour le saluer "Lumen. Toutes mes condoléances. Je ne connaissais pas très bien votre père, mais sachez que je partage votre douleur." Elle était certainement Anglaise, aux vues de son accent. Que faisait-elle ici si elle était étrangère et qu'elle ne connaissait pas son père ? Elle lui tendit un petit morceau de papier. "Tenez, voici mon numéro, si jamais vous avez besoin de parler." Elle lui sourit légèrement et allait prendre place à l'une des chaises face au bureau placé au centre de la pièce. les différentes personnes présentes sortirent pour ne laisser que la dite Lumen, Judicaël et la notaire face à eux.
"Vous savez pourquoi nous sommes ici bien sûr. Sachez tous les deux que la mort de votre père m'a énormément touchée, il était l'un de mes plus vieux amis."
Comment ça "Votre père" ? [x] était déboussolé, qu'avait-il voulu dire ?
"Commençons. << A mon fils, [x] [x], je lègue la moitié du contenu de mes compte et 51% des parts de mon entreprise. A ma fille, Lumen Freyja, je lègue l'autre moitié du contenu de mes comptes et 49% des parts de mon entreprise. Le reste de mes biens personnels pourra être partagé équitablement entre eux. >>
Sa fille ?! Non, ce n'était pas possible ! Quand aurait-il put avoir une fille ? C'était impensable ! Judicaël regarda la jeune femme qui se révélait être sa sœur avec incompréhension. Il ne prononça pas un seul mot et refusa de discuter avec Lumen à la fin de la lecture, il parti simplement en saluant le notaire.
Lorsqu'il fut chez lui, [x] essaya de comprendre toute cette histoire en vain.
Plus les semaine passaient, et plus il était tenté d'appeler Lumen. Ce n'était pas sa faute à elle, elle n'y pouvait rien et lui avait besoin de réponses. Il composa le numéro de nombreuses fois sans appeler mais un jour il tomba sur sa messagerie, il lui donnait rendez-vous chez lui, pour parler de tout cela. Il ne pouvait s'empêcher de la détester, tout en voulant la connaitre, avoir quelqu'un de sa famille avec lui, un point de repère dans ce grand Paris.