Eléonora & Maureen

« Le meilleur moyen de résister à la tentation c'est d'y céder. »

Vendredi soir, encore une de ses soirées en solitaire. Piégée dans cette sphère infernale de solitude dans laquelle j'avais eu l'excellente idée de m'enfermer. Tous les jours, elle était là. Me rappelant à chaque secondes de mon existence monotone à quel point j'étais seule. Pas franchement beaucoup d'amis, pas de parents, juste une tante qui a toujours pris soin de moi uniquement parce qu'elle n'avait pas d'autre choix. Cette putain d'impression qui vous serre le coeur. Vous avez pas votre place ici. Ni ici, ni ailleurs. Vous êtes là pour vivre, pour rien d'autre. Survivre, même si la vie nous met à genoux. Savoir se relever, c'est le plus important. Je suis à genoux, je saigne et pourtant, je me plais à me débattre pour ma perte. Voir la lumière du jour, s'imaginer un instant être heureux et se rappeler les blessures du passé. On aura beau vouloir avancer, quelque chose nous retiendra toujours. Putain de souvenirs, putain de cauchemars. Pourquoi tout ça? Pourquoi ne pas simplement arrêter tout ça? Pourquoi est-ce si dur d'oublier, de tourner la page? Notre passé nous hante, tout le temps, même dans les moments heureux. Ils nous emprisonnent. Quand on vit dans le passé, c'est beaucoup plus dur d'avancer vers le futur.
J'avais décidé de sortir, sans grande idée de quoi faire. Rester cloîtrée dans mon appart n'était pas une bonne idée. Carthago n'était même pas là, alors à quoi bon se morfondre au milieu de la centaine de bougies allumées pour faire fuir la noirceur de la nuit. Je les ai toutes éteintes, une à une, après avoir allumer la lumière. La peur du noir. Elle me paralyse bien plus que je ne l'aimerais. J'attrapais mon portable et balayais du regard la liste de mes contacts avant de bloquer sur le nom de Maureen. L'une de mes amies. Une amie, voir plus. C'est tellement étrange et intriguant à la fois. Fascinée par le moindre de nos gestes. Je lui envoyais un message en disant que j'allais passé. Je ne savais même pas si elle était là, mais rien que l'idée de la voir me plaqué un sourire le visage. Étrangement, je m’imaginais déjà dans ses bras, contre elle, oubliant le reste du monde. Juste nous deux. Rien d'autre. Une partie de l'univers s'efface le temps de notre entrevue. C'est toujours comme ça. C'est magique. C'est reposant. C'est agréable. J'enfile alors un haut tout simple, un débardeur blanc, mon jeans, des victoria grises et mon perfecto. Je relève mes cheveux en une queue de cheval et je fonce chez Maureen.
Quelques mètres. Mon coeur se remet à battre rapidement, comme à chaque fois que je vais rencontré quelqu'un. Je souris, bêtement, naïvement, depuis que j'ai eu l'idée d'aller la voir. Sa présence m'apaise, elle me fait tout oublier, même ses cauchemars, ses peurs. Tout devient plus simple quand nous sommes toutes les deux. Comme si j'avais trouvé le moyen d'échapper à ce monde que j'ai toujours rêver de fuir. Le pays des bisounours existe peut-être en fin de compte. J'arrive, je me garre. Je sors de la voiture, resserre mon perfecto contre ma poitrine et m'avance. J'hésite un instant, posant mon regard sur la poignée de la porte puis je relève le regard et frappe à la porte. Aller sweety, ouvre. Fais moi oublier la dureté du monde.

Eléonora & Maureen

Cigarette au rictus de mes lèvres la fumée dansaient délicatement sous mes yeux s'évaporant de plus en plus dans l'aire frais marqué par l'arrivé du printemps. Moment de solitude , parfait , rien que moi et mon âme innocente au gré du soleil couchant. Sur mon petit perchoir j'observais de là la rue et les gens arpentant celle-ci s'arrêtant parfois pour rentrer dans les nombreux immeubles . La brise éveillait mes joues les parsemant de plus en plus de la couler rougeâtre et me volait des frissons de mes avant bras dénudé de vêtements. Un peu dans ma bulle de rêveur je ne cherchais point de réponses se soir seulement le me calme m'avait emporté jusque là. Tasse de chocolat chaud à la main j,avais enfilé le breuvage pour déposer par la suite le contenant sur la rambarde de métal et perdre mes prunelles dans le ciel. Rose , rouge , orange , chaque couleurs chaudes prenaient sa forme avant de laisser sa place pour les étoiles qui ne tarderait pas. Je jetais mon petit mégot en bas du balcon et je repassais par la porte . Un petit garçon avec un grand sourire s'élança devant moi m’attrapant par les jambes et souriait jusqu'aux oreilles comme si j'avais un cadeau à lui offrir. Eliott le fils de Grayson que je gardais encore se soir. Non ça ne me dérangeait point vu qu'il était loin d'être un enfant difficile et que surtout vu qu'il doit travailler c'est la moindre des choses que je l'aide. Je le pris dans mes bras lui bécotant une de ses joues avant de l'emmener à sa chambre pour lui compter une histoire et le glisser sous les draps. Ce qu'il avait là sous les mains c'était justement ce que je refusais par dessus de tout de laisser partir. L'enfance , la parfaite innocence tout semble merveilleux et magique. Rien n,empêche notre esprit de voyager à travers les étincelles du bonheur . Quand on devient adulte on doit mettre un trait à ça . Je ne comprendrai jamais pourquoi il faut laisser ce qui nous fait sourire en arrière. Je n'eu pas de seconde repos une fois le petit endormi puisque mon portable sonna. Un message de Eléona. Un sourire ne tarda pas à prendre l'emprise de mes lèvres. Elle était un de ces grands mystères de la vie qu'on pose sur notre long chemin , je n,arrivais pas à poser la réponse sur son jolie minois. Proche oui on l'est ça il n'a pas de doute encore tout semble partir loin dans une direction que des amies ne sont pas censé s'abandonner. En moins de deux elle était déjà là. Je m'empressais d'ouvrir la porte et une fois ouverte je la pris dans mes bras la serrant fort. Une grande calinours que voulez-vous. Je ne pouvais me le cacher d'une façon elle m'attirait il y avait quelque chose d'électrique entre nous deux certes je ne voulais aps me torturé l'esprit seulement vivre le moment présent. «Ça va ma chérie ? Tu veux un chocolat chaud.» Ses traits me semblaient un peu affaissé vers la mélancolie j’espérais lui apporter une chaleur sur une blessure qui semblait ouverte.

Eléonora & Maureen

« Le meilleur moyen de résister à la tentation c'est d'y céder. »

Si il vous arriviez d'ouvrir les yeux, vous découvriez un monde différent. Bien loin du sexe, de la drogue, de l'alcool, du boulot, des potes. Voir l'endroit où l'on vit d'une manière différente. Finit la brutalité des relations, juste de la douceur et de la sagesse. Vouloir un baiser sans qu'il soit forcement contre nos lèvres mais plutôt sur notre joue. Vouloir une simple étreinte pour faire disparaître le chagrin à la place de ses nombreuses bouteilles qu'on s'entête à descendre dans l'espoir d'oublier. Affronter ses peurs, cette réalité tellement effrayante que la plupart des gens contournent avec des moyens de plus en plus absurdes. Vivre avec. Avoir les couilles pour supporter le fardeau dont la vie nous a chargé. On peut vivre avec, même si parfois, la charge s'accentue et que l'on perd pied. Ne jamais perdre espoir. Y croire, constamment. Un jour le ciel redeviendra bleu, un jour on pourra être heureux. Il y a des jours où tout est noir, sombre et désespérant, puis le lendemain tout devient coloré et extravagant. Retrouver la joie perdue dans des petits instants répétitifs, dans la chaleur d'une amitié. Fuir ses pires craintes c'est lâche. Je suis lâche. Complètement avachie devant la peur, je m'agenouille. Je suis faible, tellement faible. Comme un roseau qui se plie au moindre coup de vent. Arrachée, détruite, perdue. Plus de repères, plus d'attaches, juste des souvenirs auquel j'essaye de me retenir. Et je tremble de peur face au monde extérieur. Ma bulle, mon appartement, est mon seul moyen s'y échapper. Et encore, la noirceur de la vie est toujours là. Cherchant par quel moyen fourbe elle pourrait m'atteindre, de l'intérieur, et me ronger plus que je ne le suis déjà. Être à genoux. Vouloir se relever. Se prendre un poing dans la gueule qui nous propulse encore plus loin. Tout est à refaire.

Étrangement, la compagnie de Maureen fait disparaître toutes ses horreurs. La vie reprend ses couleurs. Elle m'illumine. Elle m'aide à me reconstruire rien qu'en étant elle même. Il y a quelque chose, je le sens. Entre nous, c'est électrique, c'est un coup fort, vif et prenant, un coup tendre et doux. Aller ailleurs à chaque fois que ses bras m'entourent. Avec innocence, sagesse, mêlées à la folie. Tout un mélange à la fois intriguant, captivant et apeurant. Elle fait partie de ses nombreuses mystères de la vie qu'on rêve de pouvoir découvrir, explorer. Percer à jour ce qu'on a toujours admirer. Alors je suis là, plantée devant la porte. Je me mordille la lèvre, frissonnant quand une brise fraiche vient caresser ma nuque dénudée. Je frappe, la peur au ventre. Elle ouvre alors la porte et mon coeur s'arrête l'espace de quelques secondes avant de se remettre à un rythme normal. Je souris alors que ses bras réconfortants et tièdes passaient autour de moi. Je me laisse aller contre elle, passant moi aussi mes bras autour de son corps fin pour la serre un peu plus contre moi, profitant de cet instant de tendresse. J'aime ses câlins. Ils ont cette petite différence. Ils sont mieux. Mieux que tout ceux qu'on a jamais pus me faire. Je me sens en sécurité, comme si elle empêche toute douleur de s'échapper. Il y a elle, il y a moi, il y a nous. Je ne cesse de sourire, ne pouvant pas afficher un rictus douloureux sachant le bien que la voir me procurer. « Ça va ma chérie ? Tu veux un chocolat chaud? » Cette question que toutes les lèvres s'arrachent. " Ca va? ". La réponse est tellement dure à donner quand nos pensées s’emmêlent, sont confuses. Je détourne le regard alors que j'enfonce doucement ma tête dans le creux de son cou. Je prend une grande inspiration. « Ca va.. Comme d'habitude... » J'esquisse un léger sourire. C'est toujours comme ça, comme d'habitude. Jamais mieux, jamais pire. Il y a toujours des hauts et des bas, mais ce n'est rien. Juste le reste de mon coeur qui cri à l'aide. « Et toi? J'espère que je ne te dérange pas.. J'avais envie de te voir.. » Encore un petit sourire alors que je pose sa tête contre son épaule. Je me sens comme une enfant lorsqu'elle se retrouve avec une peluche dans les mains. Impossible de l'en séparée. Apaisée par son contact, je me sens plus légère, plus moi. « Je veux bien oui, il fait vraiment froid dehors... » Rien qu'à cette idée là, un frisson parcourt mon dos. Je me resserre alors instinctivement contre le corps frêle de mon amie. Oublions le monde extérieur, ce soir, c'est toi et moi, rien de plus.

Eléonora & Maureen

Eléo , Eléo ce mystère si fragile que je caressais du bout des doigts le long de sa chevelure dégringolant son dos. Ce dernier s’élevait doucement tremblant sous la respiration de son corps si mince que je me forçais de serrer d’avantage unissant nos chaleurs dans une parfaite étreinte. Le temps semblait s’arrêter et à ce moment tout m’avait semblé parfait.. La porte se refermait derrière nous alors nos deux âmes étaient la seul chose qui flottaient sur la terre errant dans nos rêveries, nos merveilles, pour quelques heures, quelques minutes. Nos sourires guettait nos lèvres d’une façon si innocente, mais pourtant ces moments là que nous partagions je n’aimais point les remettre en doute. Seulement est-ce que tu crois qu’on se dirige vers l’interdis ? Un chemin que deux amies n’ont point le droit de s’aventurer, d’emprunter et de goûter. Ces moments qui devienne parfois si ambigu les sentie tu ? Ils me prennent par surprise et mon instinct n’a envie que de continuer dans cette voie, par insouciance, sans savoir dans quoi ça me mènera. Tes prunelles, ton visage si parfait, un vrais ange, je me perdais dans leur secret, cher petite boîte de pandore. Cette soirée ? Oublier que au de là des murs qui se referment autours de nous il y a un monde. Un monde qui nous demande d’être adultes. Nous confronte à des choses qui nous semblent horrible. Livre-moi les réponses que j’attends toute fois ? Suis-je la seul qui a parfois l’envie de parcourir plus loin ? Te serrer plus fort ? Glisser une main sur ta peau fraiche. Ton petit bout de nez se colle au creux de mon cou et malgré moi un frisson s’empare de mon épiderme et je sourie gaiement. J’essaie d’oublié. Après tout qui sait si elle le remarquera. Ces réponses parviennent rapidement à mes tympans me décrivant ces états d’âmes qui essaient de s’essouffler par un sourire forcer, mais que j’accepte tout de même. «Non tu ne me dérange pas du tout ma belle moi aussi j’avais envie de te voir.». Je me mis à rire idiotement et fila rapidement à la cuisine d’un pas enfantin après une dernière accolade. Je ne peux la faire patienter d’avantage sur le breuvage chaud qui ne tarde d’émoustiller ces papilles. Je la regarde s’installer sur une chaise de la table à manger et je glisse la tasse fumante sur le meuble en direction de ses mains. Première gorgé rapidement engloutis et je me surprends vite à dévier vers sa bouche dont je mordille ma lèvre inférieure à l’envie irrésistible d’y goûter. Tentation qui hante de plus en plus et je tombe dans une transe s’en m’en rendre compte. C’est quand je croise son regard de nouveau que je me secoue la tête et me mets à rire de nouveau faisant comme s’y rien n’était. Je prends place à ses cotées et la regarde les yeux étoilées. Une étincelle ? J’ai l’aire d’un enfant devant un gâteau. «Je suis contente que tu es décidé de passer tu m’as manqué ». Je pris sa main , geste impulsif et apaisant qui ne voulait sans doute rien dire aux yeux de bien des gens, mais je ne savais pas pourquoi je me sentais le besoin d’entrer en contact avec sa chaire. Je resserrais mes doigts contre les siens balançant un peu nos membres contre la table en riant de plus belle. Bizarre ? Oui j’agis souvent comme ça c’est tout à fait naturel. Je fais peur il parait pourtant Eléo ne m’a jamais fuis prise de peur, cela doit être dû au fait de nos grands points communs. Je commence à me tortiller les ventres en passant peut-être que je la rend mal à l’aise et la brusque dans quelque chose qu’elle ne veut pas, je range donc rapidement ma main avec mon autre en les agitant nerveusement. «Pardon» Mes pupilles volent vers l’horizon , l’appartement un peu en désordre et reviens par la suite à elle coupant le silence qui devient trop lourd. «Il est bon ce chocolat chaud ?»

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« Le meilleur moyen de résister à la tentation c'est d'y céder. »

La chaleur m'envahit. Pas simplement parce qu'il fait plus chaud à l'intérieur, mais aussi parce qu'elle est blottit contre moi et que cela me réchauffe un poil de plus. Je me sens bien, comme jamais. J'ai besoin de sa chaleur en quelque sorte, pour me sentir revivre. Je suis en vis, là, au creux de ses bras. Je n'ai pas à me demander si je survivrais, si je vais encore faire des cauchemars cette nuit, je me demande juste si elle restera là, à me tenir dans ses bras. Ne t'enfuis pas, ne me lache pas. Serre moi contre toi. J'ai envie de sentir son coeur battre la mesure contre ma poitrine. Nos coeurs en harmonie sont les seuls bruits qui percent le silence. La chaleur corporelle qu'elle m'apporte me fait fondre et je m'avance un peu plus pour la ressentir encore. Plus fort. Une envie d'aller plus loin, de creuser cette relation, voir ce qu'il se passe quand on frôle l'indécence. Allons voir ailleurs, explorons toutes les facettes de ce qui nous unis. C'est trop pour deux amies, ce n'est pas assez pour deux amantes. Que sommes nous? Des amies? Plus? Je la regarde, tendrement. Elle m'attire, elle me plait. Elle est vraiment très mignonne. La magie qu'elle dégage m'envahie. Tout semble plus simple quand elle est là, comme si elle savait ce que je pensais, ce qu'il me fallait pour aller mieux. Mon remède secret. Celle qui me fait oublier qu'en dehors de nous, il y a une vie, un monde qui ne nous attend jamais pour avancer, foncer vers l'avant. Je suis perdue dans ce flot. Il est trop rapide pour moi, je m'y perd, je tombe. La main tendue pour que je me relève, c'est elle. C'est Maureen. Je respire contre son cou, je m’imprègne avec lenteur de son odeur. Je ne veux pas oublier cette senteur qu'elle dégage. Fruité, familière, douce. Je me serre un peu plus contre elle. «Non tu ne me dérange pas du tout ma belle moi aussi j’avais envie de te voir.». J'esquisse un sourire alors que son rire s'échappe de ses lèvres alors qu'elle se détache de moi. Je laisse retomber mes bras le long de mon corps avant d'attraper mon coude droit avec ma main gauche en l'observant. Elle est belle. Une vraie bouffée d'air frais. Je me mord la lèvre alors que je me surprend à la détaillée dans les moindres recoins, balayant la courbe de ses reins du regard. Je rougis, légèrement. Je vais m'installé à l'une des chaises autour de la table. Je saisie la tasse tiède qu'elle me pose entre les mains. Je frémis en sentant la chaleur envahir mes mains encore froides. Je souris et murmure un merci timide avant d'avaler une gorgée du chocolat chaud. Je savoure le breuvage et me réchauffe encore un peu, balayant complètement la froideur de la nuit de mon corps frêle. «Je suis contente que tu es décidé de passer tu m’as manqué ». Elle s'est assise à côté de moi, je pose mes yeux sur elle et je souris. « Toi aussi tu m'as manqué ». Sa main vient trouvée la mienne et une fois de plus, je me met à sourire. Un frisson parcourt néanmoins mon bras, ce qui me fait rougir alors que je baisse les yeux sur nos deux mains qui se balancent. Elle rit. Je pose mes yeux sur elle, la trouvant de plus en plus attirante. Sa main se retire brusquement de la mienne, me sortant de mes rêveries. Je fais une moue légèrement déçue que je tente de cacher. «Pardon» « Pourquoi tu t'excuses? C'est rien... » Des murmures alors qu'un sourire se dessine sur mon visage. Timidement, j'avance ma main vers la sienne et la saisit doucement, enroulant mes doigts avec les siens. Pourquoi avait-elle retirer sa main? Son contact me plaisait bien à moi. Pas à elle? «Il est bon ce chocolat chaud ?» Je hoche la tête. « Très » Je caresse tendrement sa main avec le pouce. Je me lève, comme ça, d'un coup, et je viens m’asseoir sur ses genoux, comme une enfant qui a besoin qu'on la serre dans ses bras pour se sentir à l'aise. Je pose ma tête contre la sienne. « Tu le dis si je te dérange ok? » Dis moi que je ne te dérange pas. Je n'ai pas envie d'être ailleurs que là, à cette instant précis.

Eléonora & Maureen

Son visage qui s'empourpre de plus en plus , ses traits si fin suivit de ses sourires qui me font tout simplement fondre sur place. J'ai l'impression de tomber dans une vague d'étoile lorsque son regard chocolaté plonge dans le mien , elle le baisse si rapidement et je ne peux m'empêcher de rire comme une enfant voyant sa timidité qui fait surface. Un lien ? Quelque chose qui nous unit , mais le mot amie ne suffit plus. Une futur amante ? Cette idée me plait tant . L'envie irrésistible d'unir nos deux peaux dans une chaleur en faire bouillir ma tête. Celer ses lèvres cerises contre les miennes laissant nos bouches endiablés s'attiser pendant de long moment. Tendrement ou passionnément déjà les frissons parcourent le long de ma colonne vertébrale. Ma conscience ne fait plus les efforts de résister à quelques simples gestes sans plus. À des accolades amicales que toute filles quelconque se font entre elles.La tentation de découvrir plus , cette envie qui m'a poussé à prendre sa main à m'approcher d'elle encore plus. Oh belle brune tu commence à me rendre dingue. Une chaleur naissante dans le fond de mon estomac me permettrait tu une seule fois à découvrir ta bouche ? Goûter une seule fois ? Te serrer plus fort que jamais ? Découvrir chaque parcelle de ta peau douce et fraiche au bout de mes doigts. Sans idées chastes j'aimerais pouvoir t'entendre soupiré au creux de mon oreille lorsque que j'embrasserais pour la première fois ton grand cou de cygne. J'ai si peur de t'effrayer. De brusquer , toi , ma petite créature fragile. L'assurance revient de plus belle lorsque tu refuse mes excuses en disant que tu as aimé et que viens cherché de nouveau ma main timide sous la table. Un sourire réchauffe mon visage. À ma plus grande surprise tu te retrouve sur mes genoux. Mon cœur commence à tambouriner à l'intérieur de ma poitrine. Proche de plus en proche. Dangereux bientôt les tentations ne seront plus que des files tremblant , bientôt j’envoyais balader ce que j’appelle le bon sens et j'écouterai seulement cette petit voix qui me dit de me rapprocher d'avantage.«Non pas du tout. Tu ne me dérange pas» Mes mains son encore coller l'une contre l'autre alors que la suivante ne bouge plus et hésite à parcourir sa chevelure et glisser par la suite contre son dos. Je me mords la lèvres sous ses yeux et je me retrouve au moment où la question revient encore une fois de plus. Fait le Maureen et voit sa réaction il sera toujours possible de recoller les pots cassée. Dans une telle chimie les morceaux s'assemble toujours de nouveau. Je pris son menton l'emportant proche de moi. Front contre front nos prunelles s'embrasèrent et s,en plus tarder je l'embrasser le plus doucement possible. Rejeter le plus possible la peur que je pourrais lui créer. Oh bordel pardonne moi , seulement c'est possible , je suis trop faible , je dois céder. Une main s'emporte sur sa nuque et je la libère de mon étreinte inattendu. Pardon tu aurais sans doute préféré que je continue à observer tes jolies mouvement de courbes féminines sous silence et en oublier cette attirance. Eléonora tu me perds...oh je t'en prie embrasse moi et dit moi que tu en avais tant besoin aussi de l'essayer.

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« Le meilleur moyen de résister à la tentation c'est d'y céder. »

Le monde disparaît l'espace de quelques secondes. Mon coeur s'emballe sans pouvoir s'arrêter. Je n'entend que ça, le ba-boum rapide de mon coeur. Je ne peux rien faire, je suis bloquée sur place, clouée sans savoir quoi faire. Mon visage s'empourpre et je sens ma colone vertébrale me chatouillée. Tout semble différent. Plus rien n'importe à cet instant précis. Mes yeux se closent, lentement alors que mes lèvres se font plus douces. Une véritable tentation. J'ai cédé à l'envie de la laisser faire. Ses lèvres contre les miennes, mon souffle court et mon battement de coeur qui s'emballe dans ma poitrine. Elles sont tièdes, appétissantes. Une horrible tentation. Petit à petit, alors que j'arrive à reprendre contrôle de mes pensées, je me rend compte que c'est mon premier baiser, le premier, le plus important. Le moment est parfait, comme j'en avais toujours rêver. Bien mieux qu'en rêve, bien mieux que je ne l'aurais jamais imaginer. Je fond contre ses lèvres, me laisse timidement aller dans cette étreinte passionnée. Une nouvelle sensation. Des papillons dans le ventre. Je ne veux pas que tes lèvres se décollent des miennes, je veux juste pouvoir continuer, encore et encore. Je ne veux pas arrêter de sentir cette chaleur au creux de mon ventre. Je ne veux pas que mon coeur arrête son battement fou. Lentement, ma main droite vient se posée contre sa joue et la caresse tendrement. J'en avais envie. Ses lèvres me tentaient depuis que je m'étais approchée d'elle. Une envie d'essayer que je n'avais jamais ressenti. Tu m'attires, tu m’envoûtes, me fascines. Fais moi oublier, encore et encore. Embrasses moi jusqu'à la fin, jusqu'à ce que j'en perde mon souffle, jusqu'à ce que nous serrons trop proches pour continuer. Je décolle doucement mes lèvres des siennes. Tu m'as embrassé? A mon tour.. Je m'approche après l'avoir regardée droit dans les yeux, le visage vermeil. Je dépose de nouveau mes lèvres contre les siennes en un tendre baiser timide et pourtant passionné. Je ne sais pas comment il faut faire, j'improvise alors que les battements de mon coeur reprennent de plus belle. Je n'entend que ça. Tout mon corps est rythmé par ses battements. Je tremble légèrement, je perd tout contrôle sur mon corps. Tu m’envoûtes ma douce. Tu me rends folle. Je caresse doucement sa joue puis rompt lentement le baiser quand le souffle me manque. Boum, boum, boum. Il continue de battre la chamade alors que mon visage rougit de plus en plus. Ma douce tentation, ma folie. Je souris timidement, puis me laisse emportée par un rire nerveux alors que je tente de me cacher à travers mes cheveux bruns. Je me blottis une fois de plus et tente de reprendre une respiration normale. Quel baiser, quelle tentation, quelle envie de recommencer. Je regarde son visage aux traits si parfaits, si simples et je souris. Tu es si belle. Je lui embrasse la mâchoire en douceur avant d'enfouir ma tête dans le creux de son cou et de frotter lentement mon nez contre son cou. « tu as les lèvres douces... Elles sont agréables... » Je souris, innocemment. Ma douce tentation, mon envie secrète.

Eléonora & Maureen

Rencontre de deux corps , éclair de fusion sous nos lèvres qui reviennent l'une contre l'autre , deux aimant qui n'ont envie que de se coller , de s’entrechoquer , laissant les flammèches fusées. Chaleur au bas de mon ventre qui me pousse à me coller contre elle encore plus , prendre sa nuque la tenir près de moi le plus longtemps jusqu'en perdre le souffle. Nos bouche se séparent laissant nos respirations saccadé s’emmêler et nos regards s'enflammer. Les frissons ne lâche plus mon épiderme et éveille chaque parcelle de ma peau qui n'a pas été éblouit encore par ce contact. Je la libère , mais alors ces secondes ou ces millièmes me paraissent une éternité qui ne finisse plus. Le besoin de la capturer à nouveau au sons de mon coeur palpitant. Ça tourne , les images chavirent , ma tête est envouté , hypnotisé. Tes membres délicats s'ébranlent et mes fins doigts viennent caresser ta peau blanchâtre de ton visage ne laissant pas une seule parcelle impatiente. Tu nous joins de nouveau et tes embrassades me font vite comprendre que la distance , ces simples millimètre était beaucoup trop dure. Les enfreindre , s'attiser pour en perdre la tête en sachant ce que L'on veut le plus c'est de se perdre dans un nouveau baiser à chaque fois. Sensation différente , encore plus folle à chaque fois. Mes doigts serrent les tiens . Mes soupires marquent tes joues les voyant se couvrir de rouge encore plus et ton petit rire effrite ta gorge en essayant de te cacher. Tu as aimé , oh je le sais ne t'en fait pas. Ta douce âme est venu s’emmêler à la mienne ne forment plus qu'une. Il ne s'agit pas que d'une étincelle , mais bien plus, j'en perds tout simplement la tête. Papillon dans mon ventre , mes doigts viennent courir sur tes lèvres entrouvertes , encore sous l'effet de la première union. Tu ne tardes pas à venir te recroqueviller contre moi une nouvelle fois. Ton bout de nez qui se frotte contre mon cou et qui s'approche toujours plus de ma faiblesse. Mes dents mordille la chaire de ma bouche encore et encore. Je me lève et te tire t'entraine avec moi et je ne t,ai pas encore dit un mot. Mes pas volent jusqu'au salon où je ramène tes courbes parfaites à moi te serrant contre moi laissant tes bras de velours passé sur mon cou. Je laisse nos deux corps retombé contre le sofa moelleux et je te regarde. J'en perds les mots tu es encore plus indescriptible qu'avant. Une simple aventure ? Oh je t'en prie dit moi que ce n'est pas seulement ce que tu veux. J,aimerais tellement bien plus. Une douce nuit contre toi ou plusieurs , sentir nos deux coeur martelée leur battement de plus en plus fort sur notre cage thoracique les unissant dans une douce mélodie subtile et parfaite. Tu m'épine de nouveau de ta chaleur alors que tes prunelles me lancent encore un nouveau regard. Je n'en peux plus , je vais devenir folle. «Je..Je peux ?» Mes yeux se baissent sur tes lèvres hésitantes que lu veule encore. Peur de te brusquer , peur que tu m'échappe de mes mains. Dit moi que tu ne te sens pas comme une de ses proies d'un prédateur en quête de chaire fraiche. Une nouveau corps dansant sous ses membres pour quelques heures sous la noirceur du ciel enveloppé des âtres étincelants. Fait moi simplement confiance et tu verras... Eléo je n,arrive pas à te dire ce que tu me procure , mais je ne me suis pas sentie aussi bien contre quelqu'un depuis un fort moment. Tu me touches et mes sens s,emballent en quelque secondes. Je ne répond pas à mon esprit et encore moins à l'attente de ta réponse et je viens t'embrasser de nouveau. L'étreinte ne s'éparpille plus au même endroit et se répand avec une douceur mortelle sur ta mâchoire , tes joues , ton front et même sur tes paupières closent...

Eléonora & Maureen

« Le meilleur moyen de résister à la tentation c'est d'y céder. »

Nous avons basculés dans l'interdit. Nous sommes tellement tentées. Envoûtées, l'une pas l'autre, perdues dans nos envies. Ma faiblesse, mon envie. C'est fou ce que quelques centimètres représentent quand on arrive à les rétrécir. Ils deviennent tellement loin et durs à supporter. Mes lèvres contre les siennes, c'est tout ce que je désire. Rien de plus pour l'instant. Pas qu'une simple amie, ce n'est pas ce que je veux. Partir plus loin, lui remettre mon coeur entre les mains. Fais attention, il est fragile, ne lui fais pas de mal. On ne sait pas combien de temps cette magie va durée, alors on la pousse à son maximum. Plus de souffle, on s'arrête, puis on reprend. Ne plus quitter ses tendres lèvres rosées qui m'appellent. Je ne peux pas. Je ne veux pas. Emportes moi bel ange, vers des endroits meilleurs où je pourrais te montrer ce que je suis, qui je suis. Je n'ai pas peur, du moins, je n'en ai plus peur. Plus peur de cette tentation qui m'anime depuis le début. Ce désir de vouloir poser avec douceur mes lèvres les tiennes pour nous liés en un baiser empli d'amour. Que signifies ce baiser pour toi? Ces baisers même. Qui suis-je? Une simple conquête ? Plus? S'il te plait, dis moi que c'est plus. Je ne veux pas être moins que ça, je ne veux pas qu'un jour, quand je me réveille, tu m'annonces que je ne suis rien du tout. Juste un coup de passage. Je sens déjà mon coeur se brisé en milles morceaux alors que pourtant, ses battements sont toujours là. Deux âmes réunies par un baiser, scellées l'une à l'autre par cette rencontre de nos lèvres. Un monde, ailleurs, qui se forme avec uniquement deux places pour nous. Alors que je frotte doucement mon nez contre son cou, elle se lève et m’entraîne sur le canapé. Pourquoi ne parles-tu pas? Mon coeur encore affolé, se serre légèrement. Va-t-elle me rejeter? Que fait-elle? Par instinct, je me tiens à sa main. Ne me laisse pas, ne m'abandonne pas. Serre moi contre moi sans que je ne puisse m'échapper. Je ne veux pas te voir ailleurs, loin de mon corps qui hurle le besoin nécessaire pour qu'il se sente bien vivant. Nous basculons sur le sofa et je lache un léger bruit de surprise alors que je me recroqueville contre elle. Je dégage mon visage de ses cheveux qui m’encombre et l'observe. Je pose mon regard sur ses lèvres. Je me mord la lèvre. Un baiser, juste un encore. «Je..Je peux ?» Oui. Oui. Et oui. Trois milles fois oui. Ne te gènes pas, je t'en prie. Délivres nous à nouveau de cette torture que notre distance nous impose. Elle ne se fait pas prier et à nouveau elle m'embrasse. Je ferme les yeux et je me laisse aller dans ses bras. Je me sens bien, en sécurité. Il y a ses papillons qui, par centaines, me chatouillent le ventre à tout va. Ses moindres gestes s'accordent aux miens. Deux corps parfaitement en harmonie alors que nos lèvres ne se décollent pas. A mon plus grand regret, ses lèvres se baladent. Mon visage tout entier est proie à ses baisers et je sombre peu à peu sous cette ivresse, cette douceur. Mes mains parcourent doucement son visage à leurs tours. Je détaille le moindre de ses traits, m'attardant sur ses lèvres que je fixe avec douceur avant de continuer. Je finis par m'arrêter et briser le silence entre nous. « C'est... C'est magique... » Je me sens bête. Je bredouille et rougis. Je suis ridicule. Je me mordille la lèvre avant de la regarder droit dans les yeux en approchant lentement mon visage. Ma folle tentation. Je suis tienne, juste à toi. Je l'embrasse à nouveau, appuyant doucement mes lèvres contre les siennes. Un baiser, une union. Je me recule lentement, laissant place à nos soupirs saccadés. Je la regarde tendrement alors que ma main et toujours contre sa joue. Nous sommes plus, tellement plus. Mais quoi au juste? Des amantes? Non; c'est plus fort, plus puissant. « Toi aussi tu les sens...? Les papillons dans le ventre... » Je souris alors que je ne quitte pas son visage des yeux. Et je suis là, un peu naïve, à penser que mon avenir est au creux de ses bras, après quelques baisers échangés alors que je ne sais rien de ce qu'il se passe dans sa tête. Un geste, un mot, un sentiment. Tout est fort, amplifié à chacun de nos gestes. Je saisis sa main et la pose contre mon coeur. Entends le, sens le. Il bat à cause de toi, grâce à toi.

Eléonora & Maureen

Ma tête bouillonnait , et j’avais l’impression que j’allais exploser. Sa respiration à court au creux de mes oreilles et le doux sons de nos lèvres qui s’enflammaient de plus en plus était tout simplement en train de me rendre folle. C’est magique , tout est arrêté , les secondes ne font plus surface et les heures ne sont que des poussières envolées. Une sorte de bulle nous protège , nous enveloppe et nous laisse nous abandonner dans quelque chose de nouveau. Goûter à une expérience qui ne laisse pas nos esprits indifférent. Je ne sais pas si c’est vraiment moi ou mon cœur qui me donne tant envie de la serrer contre moi et l'agripper autant que je peux de peur qu,elle se volatilise, qu’elle m’échappe , entre temps ses doigts qui se faufilent dans sa chevelure chocolat se sente rassurer la sentant se presser davantage contre ma poitrine. Une illusion ? c,est maintenant ma seule peur que je me rend compte que aux premier rayon du soleil tu ne sois en faite pas là et ma tête à décider de me faire rêver encore.. Comme une chanson tout suit la cadence . La mélodie transporte nos corps se caressant l'un contre l'autre jamais assez satisfait du contact alors que les paroles prennent paroles sortant de nos lèvres laissant nos bouches réponde à nos poèmes. Soyons folle. Oui prenons cours à cette folie , à ces sentiments nouveau. On va trop vite ? J'en sais rien , mais si le destin en a décidé ainsi j,ai envie de plonger tête première dedans et me dire que ces marques de temps auront été les plus beau. Sa main sur ma joue , un simple geste et elle en tire de nombreux soupire de bien être. Comment fais-tu pour me faire sentir aussi bien? Je me sens si faible , une petite feuille volant dans le vent et tu m’attrape tu me serre au creux de ta paume m'envahissant d,une douce chaleur qui picote ma peau. Je plaque Eléo encore plus sur le sofa alors que j,effectue un balayage de baiser sur son visage. Plus et encore plus je veux découvrir mieux que son visage , mieux que ses lèvres , chaque partie de sa chaire contre ma bouche , ses frissons par millier et ses soupires à mes tympans. Glisser une main le long de sa colonne vertébrale et la sentir frémir sous une respiration allaitante et les millimètres qui nous sépare , une distante affolante . Ma main se retrouve contre son coeur qui bat à la chamade. Mes paupières papillotent laissant mes yeux s'agrandirent voyant à quel point il s'y met et ne sait plus où donner de la tête. Pour moi ? C'est vraiment pour moi ? Ma chérie tu me prive le dont de paroles me montrant des significations si simple que j'ai dû mal encore à réaliser qu'elles sont réel. Ma tête ne répond plus. «C'est pas que quelques papillons il a une centaine que je sens...» Je la regarde alors d'un grand regard qui veut tout dire pendant un moment tout ses traits sont passer au détecteur de mes yeux. Belle , magnifique les adjectifs ne suffisent plus pour exprimer ta beauté. Je m,avance vers toi de nouveau et t'embrasse pour la dixième fois , mais d'une façon si douce que personne encore n'aurait oser le faire. Pure et merveilleux une main timide se glisse sous ton haut découvrant la douceur interminable de ton ventre. Nos fronts chauds se collent , nos yeux sont voilé par les paupières et nos souffles s’emmêlent. «Oh bon dieu Eléo...» Après cette courte phrase entrechoqué de quatre mots je me rabats une fois dans un baiser plus langoureux partant à la recherche de ta langue.

Eléonora & Maureen

« Le meilleur moyen de résister à la tentation c'est d'y céder. »

Une étreinte parfaite, un instant idéal. Deux âmes réunies. Dieu que je rêve que cet instant dure encore et encore pour que je puisse enfin comprendre ce qui nous uni sans que l'une de nous ne fuie. Ne fuies pas ma belle, restes là, contre moi. Amitié? Amour? Tout se confond. C'est trop incertain, c'est juste là, c'est juste affreusement agréable. C'est trop vrai, trop bon. Comme dans les comptes de fées, comme je l'avais toujours rêver, imaginer, espérer. C'était encore mieux que tout ce que j'avais pus imaginer, c'était tout simplement parfait. Elle était là, devant moi, cette âme soeur que j'attendais depuis toujours, cette promise à laquelle je m'offrirais entièrement, sans limites. Je suis amoureuse de toi, ça saute aux yeux, c'est une évidence. C'est là, ça commence à faire surface alors que la saveur de nos lèvres se mêlent. Tu es celle qui fait battre mon coeur, peu à peu, il renaît. Entends le, entends ce rythme endiablé qu'il a pris suite à nos baisers. Quelques baisers et me voilà déjà au paradis, emportée par toute la douceur de l'instant. Si ma vie devait avoir une fin, ce serait celle la. Essoufflée par les baisers de ma bien-aimée, le visage empourpré, les visages qui dansent à l'intérieur de mon estomac, mes mains sur sa peau tiède. Nous deux, nos corps en parfaite harmonie, en similitude. Il n'y a que nous à cet instant précis sur terre. Le temps est ralenti, plus aucun bruit hormis les battements harmonieux de nos corps ainsi que notre respiration saccadée. Pourvu que rien ne s'arrête. Continues, encore et encore, ne quitte pas mes lèvres. La distance infime qui reste entre nos corps me tue à petit feu. Je me presse doucement contre elle et caresse tendrement sa joue puis sa mâchoire et ses lèvres quand les miennes ne frôlent pas les siennes. Ses mains sur moi, ses lèvres contre les miennes, je laisse échapper quelques soupirs de bien être, de plaisir. Pour un premier baiser je ne rêvais rien de mieux. Embrasser à en perdre haleine. Il vient d'une fille, ce premier, le plus important. Je le savoure, comme si c'était le dernier. Mes lèvres s'appuient contre les siennes. J'essaye alors de lui faire tout ressentir, tout ce qu'il peut se passer en moi. Cette ivresse, cette douceur et cet amour grandissant au fil de ses baisers, de ses caresses. «C'est pas que quelques papillons il a une centaine que je sens...» Je souris, je ne peux m'en empêcher. Je laisse mes mains sur son visage. Ils dansent, encore. Ils me torturent, me chatouilles. Douce torture, affreuse tentation. L'interdis devient tellement accessible. Je me laisse aller. Je la regarde quelques instants et j'en perd le souffle. Elle est magnifique. Elle est sublime. Ses lèvres viennent rencontrer les miennes à nouveau et je m'allonge lentement sur le sofa, l’entraînant sur moi. Le moindre centimètre loin d'elle me semble un gouffre. Je frissonne violemment lorsque sa main se fraye un chemin sous mon haut. Je ne dis rien et frissonne en silence, sans quitter ses lèvres. Je suis folle. Je deviens folle. Chaque baiser me consume, me brûle, me fais fondre. «Oh bon dieu Eléo...» Je ne sais pas quoi dire, je la regarde. Mes yeux parlent pour moi. Je t'aime. Ils le hurle, mais l'entend-t-elle? Elle m'embrasse à nouveau et mon corps entier frissonne alors que sa langue part à la recherche de la mienne. Je mêle doucement la mienne à la sienne. Elles dansent, ensembles. Lentement je rompt le baiser et rougis alors que je joue avec ses doigts. Je relève les yeux et la regarde. « Je crois que je... Que je t'aime... » C'est dit, c'est lancer. Je la regarde. Ne me fuis pas, pitié. Pas après m'avoir pris ce premier baiser si important à mes yeux.

Eléonora & Maureen

Chaire frissonnante sous mes doigts découvrant ces parcelles magiques d'une douceur infinie en m'en faire perdre la tête. Les centimètres sont des années lumières et je n,ai envie que d'une autre chose la serrer à part entière sous les battement fous de mon cœur la regorgeant de ma chaleur raviver par ses baiser enflammer. Nos langues s’entremêlent entre elle. Autant nos lèvres s'unissent tendrement autant elles se frôlent sensuellement nous arrachant des soupirs d'excitation. Son regard me picote de nouveau et chatouille ma nuque dans sa mer chocolaté. Je le retiens et la respiration me manque sous sa révélation. Le temps arrête pour de bon et mes mains flottantes et tremblante s,accroche au tissus de son haut en restant figée. Le pouls prend un cadence encore plus folle et le silence me prend de cour. Tu m'aime. Oh bon dieu tu m'aime Eléo. Les papillons volent dans mon ventre il se tord et se engouffrer par les sentiments qui me prennent. Ton regard est insistant. Insistant de me perdre , que je te repousse et de te demander de filer , mais mes pupilles envoient les réponses tant attendu , mon coeur bat aussi pour toi ne t'en fais pas mon ange. La seule et bonne pensée qui s’immisce dans mon esprit c'est en voyant que la première personne qui m'est dit ces mots sont une femme. Tout en même temps que je suis sa première j'aimerais être sa dernière. Ma belle laisse moi unir nos corps dans une étreinte parfaite suivant la danse de notre amour qui nait , qui vient d’éclore , laisse la chrysalide tombé pour voir le papillon de notre relation prendre son envole. Je me presse encore plus fort contre elle , comme jamais , comme si elle allait devenir que poussière dans quelques secondes. Ne s'être jamais autant serrer contre une personne. Faible , être une petite plume sur le sol qui prend le bord. Prend la met la au creux de ta main et referme tes doigts , protège moi et je serai ta guerrière. Je passe mes jambes autours de sa taille rapprochant nos bassins de l'un de l'autre , l’attrapant par son dos de sirène et la ramenant pleinement à moi en finissant par cacher mon visage dans son cou parfait. «Je t'aime...» Je reviens à elle et la regarde la bouche entrouverte. Je retire doucement son t-shirt et observe chacune de ses courbes découpées. Mes doigts courent doucement sur sa peau faisant le tour de son nombril et frôlant son soutient-gorge. Je me penche doucement et vient déposer un baiser des plus tendres au bout de mes lèvres. L'évènement me dépasse tellement qu'un gémissement faiblesse m'échappe et j'embrasse ses épaules fraiches réduisant encore les centimètres qui nous séparent même si ils sont déjà disparu , elle ne me semble jamais assez proche.Ses mèches de cheveux viennent caresser mes joues. Son corps , j'en deviens juste complètement folle. Déboussoler je ne suis plus expliqué comment ces minutes qui s'écoulent se passe. La peur me ronge malgré moi , peur de la brusquer , de lui faire du mal alors que j,aimerais être celle qui ne c'est jamais autant bien occupé d'elle. «Dit moi que tu veux Eléo... Dit moi que tu seras là demain...Dit moi que tu n'as pas peur et que tu ne me feras pas de mal.» Mes mots sont des feuilles de papier aux gré du vent , instable et nerveux. Toute nos étreintes m'ont voler le dont de ma respiration , celle-ci devenu haletante m,a retirer le don de mes paroles bien alignés.Dit moi que j'ai bien fais. Dit moi Eléo que je suis une révélation. Je t'en prie ne part pas , laisse mon âme intacte...«Je t'en prie reste avec moi...»