« Ca vous fera quarante-deux euros et cinquante centime ‘il vous-plaît ». demandais-je souriante derrière la caisse. Je pris l’argent que me tendu la jeune femme qui venait de faire quelques folies. Rangeant l’argent dans la caisse, je pris par la suite le ticket de caisse que je lui glissai dans son sachet. « Merci de votre visite. Je vous souhaite une bonne soirée. » Et voilà, c’étais la dernière cliente de la journée. Le temps que je m’occupe de faire la caisse, ma collègue se rendis à l’entrés pour fermer les portes. Chose faite, je rangeai les vêtements déposer sur la petite barre en fer que les clients n’avais pas prit pour x ou y raison après l’essayage. Les rangeant dans leurs riant, je papotais avec mon avis histoire que ça passe plus vite. Et voilà, la journée était enfin finit ! Je suis entoutiaste ce soir, pour la simple et bonne raison que j’allais pouvoir me reposer ce soir. Mon bosse de mon boulot de nuit est partit en week end, du coup la boîte est fermée et j’ai bien l’intention d’en profiter pour récupérer tout mon sommeil qui me manque. De plus, j’étais heureuse de ne pas être oblige de me trémousser devant tout ses sales pervers. J’enfilai ma veste, je pris mon sac à main que je pris le soin de déposer sur mon épaule, avant de dire au revoir. Sur ce je partis en direction du métro afin de pouvoir rentrer chez moi, du moins chez mon meilleur ami, Johan qui m’héberge depuis plusieurs années. Mon MP3 sur les oreilles le temps du trajet, repensant à ma vie, la retraçant en quelques instants. Je n’ai jamais une enfance et une adolescence joyeuse... D’un père absent qu’il me maltraite une fois qu’il refait surface, ma mère qui décède, ma belle famille qui me fiche à la porte lors de ma sortis à l’hôpital. Je me demande ce que je serais devenue si mon meilleur ami n’avait pas était aussi présent et aussi important depuis mon arriver dans cette belle ville de Paris. Surement à la rue, trainant au restaurant des cœurs pour avoir un repas ou je ne sais quoi… Ne nous n’imaginons pas le pire, j’ai eu de la chance je ne vais pas m’en plaindre. Je descendis, une fois arriver. Je marcher à travers les rues de paris pour rejoindre rue caille. Le vent se leva légèrement. Je grimpai les escaliers pour retrouver le deuxième étage. Une fois devant la porte je fouillai dans mon sac à main pour trouver les clefs. Une fois trouvé, je les glissai dans la cernure de la porte, mais impossible de tourner… Serait-il déjà là mon cher ami ? Je les enlevai avant de poignet el poignet de la portière pour la baisser et le pousser. Et oui, mon instinct ne s’était pas tromper, Johan était bien là, puisque j'entendais l'eau de la douche couler. « Coucou c’est moi ! Je suis rentrée! » Je déposai les clefs sur le petit panier à côté de la porte, déposant mon sac dans le placard avec mon manteau. Je m’avançai vers la table du salon ou se trouver le courrier, aucune lettre pour moi, pas de nouvelle bonne nouvelle comme on dit. Je pris mon petit ordinateur portable, histoire de voire mais mails, en attendant l’arriver du jolie blond.
Invité Invité
Sujet: Re: Ca faisait longtemps que l'on avait pas passer du temps ensemble ♦ Ft. Johan Dim 11 Mar - 9:06
La tête posée sur l’oreiller, le bras positionné derrière la nuque, je profite de la douceur de la couverture sur ma peau nue. Je dirais même de la douceur de la couverture sur mon corps complètement nu. Je garde mes yeux fermés, laisse mon esprit vagabondé. Je réfléchis, tout simplement. Encore une journée qui risque d’être surchargée, je n’ai pas envie d’aller travailler aujourd’hui. Mais l’on ne fait pas ce que l’on veut dans la vie n’est-ce pas ? Je pousse un léger grognement à cette idée, avant de me retourner dans mes draps. J’ai travaillé sur les dessins des intérieurs des maisons que l’on m’avait attribuées, absolument tout le week-end. Si je ne me repose pas le week-end, il faut au moins me laisser me reposer le lundi. Il faut que j’appelle le cabinet d’architecture où je travaille, après tout, qui ne tente rien n’a rien comme on dit. Alors si je ne leur demande pas un jour de congé, c’est sûr qu’ils ne me donneront pas automatiquement. Je bascule mes jambes à l’extérieur de mon lit, repoussant violement la couverture. Je passe rapidement ma main sur mon visage, essayant de chasser la fatigue dans mon esprit, au moins pour le temps d’un appel. J’ouvre mes yeux ensommeillés et la morsure des rayons du soleil me prend tout de suite d’assaut. Ah le salop ! Il veut me faire du mal exprès, j’en suis sûr. Je place ma main devant mon visage, en guise de pare-soleil. Je fais une grimace avant de pencher la tête vers mon réveil où je regarde l’heure. Seize heures trente-quatre. Une heure convenable pour se réveiller. Je me mets plus ou moins facilement debout, me mettant à arpenter la pièce à la recherche du téléphone. C’est alors que la réalité me prend d’assaut. Il n’est pas six heures trente-quatre mais bien seize heures trente-quatre. Je reste un instant figé, peu sur de moi, avant de me ruer vers mon réveil. Ce n’est pas possible, mon réveil est réglé pour sept heures ! Pourtant, lorsque j’arrive devant le boitier métallique, je m’aperçois que je n’ai pas rêvé. Oh non, la merde ! Je m’empresse finalement de retrouver mon téléphone, peut-être plus rapidement que tout à l’heure, niveau recherche. Je cherche partout : table de chevet, table de salon, salle de bain, tiroir de commode. Rien à faire, je ne le trouve nulle part. Je pousse un soupir de dépit tandis que je me dirige vers la buanderie. Si ça se trouve, je l’ai oublié à la soirée d’hier et je n’ai aucun moyen d’appeler mon cabinet d’architecture. Je ne connais pas le numéro par cœur et il n’est en mémoire que dans mon portable. Je finis cependant par mettre la main sur mon cellulaire, en fouillant dans une bassine de linge sale. Il est dans le jean que j’y ai placé hier, sans faire attention. Je m’en saisis avant de faire le chemin retour vers ma chambre tout en cherchant le numéro dans le répertoire avant de me mettre à appeler. Le secrétaire me répond aussitôt. J’hésite un peu avant de parler, mais de toute façon, mon numéro est sûrement affiché de l’autre côté. Le secrétaire sait sûrement qu’il a affaire à moi. Heureusement que ce n’est que lui le lundi. Car le mardi, c’est mon patron qui s’occupe de la réception. « Luc ? Ouais, c’est Johan. Je suis désolé de ne pas être venu aujourd’hui… » Je me mords légèrement la lèvre inférieure, cherchant une idée d’excuse tandis que le secrétaire commence à me passer un savon comme quoi mon patron n’a pas arrêté de gueuler comme quoi je n’étais pas là dans la journée. Surtout parce que je n’avais pas prévenu en fait. Parce que non, je ne suis pas son meilleur architecte, loin de là. Je me demande d’ailleurs pourquoi il me garde dans son cabinet d’architecture, quelques fois. Mais je ne devrais pas me poser ce genre de question, car oui, cela m’arrange qu’il me garde. Car bien que je ne sois pas réellement dans le besoin à proprement parler, cela fait toujours du bien de voir que quelque chose rentre dans la caisse tous les mois. Je finis par arrêter de me mordre la lèvre inférieure et je coupe le secrétaire en plein dans sa phrase où il m’explique que mon principal client est passé aujourd’hui, pour me transmette les mesures que je lui demandais la semaine dernière. Je m’en fous de ce qu’il peut bien dire de toute façon. « Ecoute Luc, j’avais une forte migraine et je ne tenais pas debout. T’expliques ça au boss et tu fous ça sur mes congés maladies. » Après quoi, je raccroche, ne lui laissant pas le temps de répondre. Je balance mon cellulaire sur mon lit et me dirige vers la cuisine où je me sers un bon verre de jus d’orange. Je suis toujours nu mais je m’en fiche, il n’y a personne dans la maison à cette heure là. Je suis seul. Seul avec ma nudité. Je n’en ai rien à faire. Le jus d’orange m’a toujours aidé à garder la forme, j’adore ça. Alors que je suis en train de boire, j’aperçois un papier posé sur le plan de travail. Il porte l’écriture de Mady – ma meilleure amie – et semble m’être destiné. Je m’en saisis et commence à le lire. Elle m’annonce ainsi que ce soir elle peut rester à la maison parce qu’elle n’a rien de prévu. Cela faisait longtemps que nous n’avions pas passé une soirée ensemble, il vaut donc mieux que je reste ce soir. Je jette un petit coup d’œil à l’horloge murale de la cuisine. J’ai le temps de passer chez le fleuriste, c’est bon. Je me précipite dans ma chambre et me saisit de vêtements que j’enfile rapidement avant de sortir. Je crois même avoir oublié de mettre un caleçon, ce n’est pas grave, je ferais ma douche en rentrant. Je débarque donc chez le fleuriste et y achète le plus beau bouquet avant de rentrer chez moi et de le poser au centre de la table du salon. Je me saisis d’une petite cartonnée dans un tiroir et y inscrit ce mot : « JE RESTE AVEC TOI CE SOIR. CE BOUQUET EST UN CADEAU EN GUISE DE NOS RETROUVAILLES. » Bon, c’est plus une composition florale qu’un bouquet, mais on s’en fout, non ? Enfin bref, je dépose la carte au milieu des fleurs pour ensuite retourner dans ma chambre où je me déshabille. Je jette mes habits par terre un peu n’importe comment. Je m’en fiche, Mady ne va pas venir vérifier par ici si j’ai bien rangé ma chambre. Je me dirige ensuite vers la salle de bain. Je ne ressens réellement aucune gêne à l’idée de promener, nu, à l’intérieur de ma maison. Au pire, je tombe sur qui ? Sur ma meilleure amie. Elle me pardonnera. Pourtant, je sais qu’elle ne rentrera pas avant une bonne demi-heure, sinon je suis sûr que je me serais déshabillé dans la salle de bain et surtout que j’aurais fermé la porte à clé. Parce que là, je laisse la porte ouverte. Bien sûr. Je me glisse sous le pommeau de douche. C’est une belle douche italienne comme on n’en fait plus. L’eau froide colle mes longs cheveux blonds sur mon visage, je les écarte d’un simple geste de la main. Je n’arrive pas à garder les yeux ouverts avec la pression de l’eau. Alors je les ferme. Je me savonne rapidement et je suis en train de commencer à me rincer lorsque j’entends la porte claquée, suivie d’une voix qui s’élève. « Coucou c’est moi ! Je suis rentrée ! » Un sourire s’étire sur mon visage tandis que je rince la dernière portion de mousse de ma peau. J’arrête ensuite l’eau et sors de ma douche. Je suis à présent complètement propre et la morsure de l’eau froide contre ma peau est fraichement interrompue. Bon Dieu, qu’est-ce que ça peut faire du bien ! J’attrape ma serviette à la volée et commence à me frotter les cheveux, dire de les éponger un peu. Après quoi je noue ma serviette autour de ma taille, je suis obligé de faire un gros détour pour éviter de croiser Mady alors que je suis dans cette tenue légère. Mais je le fais. Je reviens alors à ma chambre – décidément, ma chambre est la pièce de la maison dans laquelle je passe le plus de temps. Une fois arrivé, je finis rapidement de me sécher les cheveux avant d’enfiler une belle chemise que je ne mets que les jours importants, ainsi que l’un de mes plus beaux pantalons. Je ne me mets pas sur mon trente-et-un, mais presque. Enfin bref, je rejoins ma meilleure amie dans le salon. Elle installée sur le canapé, son petit ordinateur portable posé sur ses genoux. Je me glisse en souplesse à ses côtés, passant mon bras derrière ses épaules. Je la fixe, un sourire heureux collé sur le visage. « Alors ? Ta journée ? J’espère qu’elle s’est bien passée. » Je lui dis ça d’un ton content, mes paroles sont tout le contraire de sèche. En vérité, je suis heureux de retrouver Mady. Plus qu’heureux même. J’ai des centaines de millions de papillons qui volent à l’intérieur de mon vente.
Dernière édition par Johan E. Shannon le Ven 16 Mar - 6:38, édité 1 fois
Invité Invité
Sujet: Re: Ca faisait longtemps que l'on avait pas passer du temps ensemble ♦ Ft. Johan Dim 11 Mar - 14:20
J’allais enfin pouvoir me détendre, me reposer, et profiter de mon meilleur ami Johan. Ce week end, pas de danse sensuel pour ces sales pervers, qui se feront un plaisir solo le soir arrivant huez eux… Je détester ce métier. J’espère trouver autre chose et rapidement… En même temps, j’ai besoin de cet argent pour pouvoir me payer mes soins médicaux. Evidement personne n’est au courant que je suis diabétique… Je ne veux pas qu’on s’apitoie sur mon sort… J’ai assez souffert comme ça étant jeune, je ne veux pas inquiétait mais amis. J’étais come ca, da nature discrète et mystérieuse voire réservé. Je sortis de la boutique, heureuse à l’idée de passe un peu de temps auprès de celui qui m’a pris sous son ail au décès de ma mère après l’accident de voiture et 6 mois de coma pour ma prune. Rien que d’y penser, j’en ai la chaire de poule de ce très mauvais chapitre de ma misérable petite vie. C’est incroyable comme elle me manque, j’aurais tellement aimé qu’elle soit encore en vie. Il y a tans de chose que l’on n’a pas encore fait toute les deux… Je me souviens la façon qu’elle avait à me consoler lorsque je n’étais pas en forme, avec douceur. C’était la seule qui arrivait à me redonner el sourire. Elle ne doit pas été fier de moi voyant la petite trainer que je suis devenue… Enfin, ce n’est pas le moment de m’apitoyer un peu plus sur mon sort. Le matin, j’avais prit le soin de prévenir Johan de ma présence à l’appartement, puisque je n’avais rien de prévu. Pour une fois. Et au fond, j’avoue, que ces petites soirées me manquer. C’était jours sans prise de tête, juste de la bonne humeur et des rigolades sont dans l’aire autour d’un bon petit verre d’alcool. Le trajet dans le métro dura guerre longtemps, peut-être un quart vont minutes tout a cassé. Je m’étais rapidement réfugier dans l’immeuble de la rue Caille dans le 18 iem arrondissement. J’avais essayé de rentre mes clefs dans la serrure de la porte d’entré, sauf que celle-ci était déjà ouverte. Johan devait être déjà présent à l’appartement. Peut-être qu’il avait finit plus tôt. Qui sait ? Me faufilant dans les yeux, je déposai mes clefs dans le petit panier se trouvant à côté de la porte. Puis je rangeai par la suite mon sac à main et mon manteau. Sur la table je regardai si par hasard des lettres m’étaient destinées. Heureusement pour moi, aucune ! Je m’assis sur le canapé du salon. Pui, je remarquai le magnifique bouquet de fleur en plein milieu de la table. Voyant une petite carte au milieu, je pris soin de la rendre et de la lire. Ces fleurs m’étaient destinée, c’&tait de la part du joli blond se trouvant actuellement sous la douche. Je souris bêtement à son petit mot. Cette attention me toucha beaucoup. Je me levai pour les sentir et je confirme qu’elle sentait merveilleusement bon. Je me rassis sur le canapé, les regardant un instant avant de prendre mon ordinateur portable, afin de regarder mes mails. A peine mord ordi fut allumer, que j’entendis raisonner dans la pièce la douce voix de Johan. Je levai les yeux de mon écran pour e regardé tout en le refermant. « Longue et pénible avec des clients qui ne sont jamais content, après dans l’ensemble ça allait. Et la tienne ? Je pensais que tu rentrerais un peu plus tard que moi. » Ma phrase finit, je déposai mes ordinateurs sur table de salon regardant à nouveau les fleurs offertes par mon ami. « Merci pour les fleurs, elle sont magnifiques. Il ne fallait pas. » Répondis-je en souriant.
Invité Invité
Sujet: Re: Ca faisait longtemps que l'on avait pas passer du temps ensemble ♦ Ft. Johan Dim 11 Mar - 18:17
Je lui demande comment s’est passé sa journée, d’une voix douce. Après quoi, je me pose en douceur à côté d’elle sur le canapé. Je regarde un instant la composition florale posée sur la table. Ces fleurs valent la peau du cul, mais je m’en fiche, parce qu’au final je le trouve vraiment magnifique. Et je suis sûr que Mady aime le geste – l’admire même, ce n’est pas n’importe quel mec qui offrirait des fleurs à sa meilleure amie. Je finis par détacher mon regard du bouquet, pour finalement poser mes yeux sur Mady. Elle rentre d’une dure journée de travail – j’ai conscience d’à quel point c’est dur de travailler dans une boutique – et pourtant elle à l’air aussi fraiche que lorsqu’elle est en vacances. Ou alors, c’est moi qui me l’imagine parce que je ne peux la voir que comme une personne parfaite. Dans tous les cas, je m’en fiche, elle est magnifique. Je la regarde fermer le petit ordinateur portable avant de le poser sur la table basse, juste à côté des fleurs. Elle me regarde ensuite et mon sourire s’élargit aussitôt sur mon visage. Je suis en train de me rendre compte de quelque chose : enfin une soirée que nous pouvons passer tous les deux ! Rien que l’idée me rend joyeux, alors savoir que je suis en train de vivre cette soirée… Vous ne pouvez pas imaginer la libération intérieure que je ressens. Je passe mon bras derrière ses épaules, continuant de la contempler. « Longue et pénible avec des clients qui ne sont jamais content, après dans l’ensemble ça allait. Et la tienne ? Je pensais que tu rentrerais un peu plus tard que moi. » Je tourne la tête et lève un sourcil, laissant échapper un rire léger. Je m’imagine bien la journée de Mady : complètement insupportable à mes yeux. Mais je sais bien que ma meilleure amie est beaucoup plus patiente que moi. Parce que j’ai toujours envie d’en coller une aux gens qui se plaignent alors que je fais mon possible pour les satisfaire. Il y a cette peur aussi. Voir les gens passait devant la fenêtre de la boutique, en voir certains rentrer. Toujours cette idée d’être juger par tout le monde dès le premier regard, qui me met réellement mal à l’aise. Non, il n’y a pas, Mady est plus courageuse que moi. Je l’admire d’ailleurs pour ça. « Attends, laisse moi deviner… Je suis sûr que dans le lot des clients chiants, il y avait une petite vieille ! » Je lui donne un léger coup de coude dans les côtes – vraiment léger, le genre qui ne fait mal à personne -, ce qui donne un moment complice à la scène. Après quoi, je pars de nouveau dans un rire léger. Je suis toujours euphorique lorsqu’elle est avec moi. C’est vraiment bizarre, mais bon, j’aime ça. Alors, pourquoi m’en priver ? Je lui adresse un nouveau sourire. Je sens que je vais grandement apprécier cette soirée. Pour le moment, j’ai envie de lui dire quelque chose. N’importe quoi du moment que cela lance la conversation en fait. Alors, j’en profite pour répondre à sa question. « Cela aurait été vrai si j’avais été travaillé. Mais pour dire vrai, je viens de me réveiller... » Je me mords la lèvre inférieure, m’en voulant un peu. Je me sens redevable envers Mady, je ne sais pas pourquoi. Mais en tout cas, je sais pourquoi je me sens débile face à elle. Bon, peut-être pas débile mais peu un lâche en tout cas. Me dire qu’elle a travaillé toute la journée comme une dingue pendant que moi je dormais alors que j’étais censé travailler aussi. Quel crétin. Je suis vraiment un crétin. J’aurais dû lui dire que c’est parce que j’avais demandé pour rentrer plus tôt, dire de passer plus de temps avec elle. En même temps, je ne veux pas lui mentir. Je serais vraiment un crétin si je lui mentais en fait. Bref, crétin ou pas crétin ? Je cesse de me mordre la lèvre inférieure tandis que je me pose cette question. Le miens serait de demander à ma meilleure amie, mais je sens que ce n’est pas le moment. Je ne veux pas risquer de tout casser alors que la soirée vient à peine de commencer. Je regarde ses yeux se posés sur la composition florale que je lui ai ramené et mon regard fait le même trajet. Nous restons ainsi un moment, à contempler les feuilles, en silence. Avec toutes leurs couleurs, elles semblent si sauvages ! Mais en même temps, trop apprivoisées. Elles sont bizarres. Complexes. On dirait qu’une personnalité leur est propre. Je comprends maintenant, lorsque les filles disent que la couleur des fleurs a une signification. Je n’ai peut-être pas pris des roses, mais en tout cas, la couleur dominante de la composition est le rouge. J’espère que Mady comprendra le message. Si elle ne l’a pas déjà compris, s’entend. « Merci pour les fleurs, elle sont magnifiques. Il ne fallait pas. » Je retire mon bras d’autour de ses épaules. J’attrape son menton entre mon index et mon pouce et l’oblige à tourner la tête vers moi. Une fois qu’elle me regarde, je lui lâche le menton. Mes mains se ferment en deux poings desquels seuls les pouces ressortent. Je les brandis vers mon torse, pour bien qu’elle comprenne que je me désigne. Je les bouge d’avant en arrière rapidement, tandis qu’un sourire s’étend sur mon visage. « Eh oh ! Je suis le meilleur ou pas ? » Je laisse retomber mes mains sur le canapé tandis que je réponds à sa sourire par un autre sourire.
Invité Invité
Sujet: Re: Ca faisait longtemps que l'on avait pas passer du temps ensemble ♦ Ft. Johan Dim 18 Mar - 18:42
Assise sur le canapé, le joli blond montra le bout de son nez dans la pièce de la maison, c'est-à-dire le salon. Ses cheveux encore humide du au fait qu’il est prit une petite douche, lui donner un aire super sexy, qui m’attirais beaucoup. Bref, ce n’et pas vraiment le sujet de conversation. J’étais contente de e voire, j’espérais simplement que ce dernier n’avait rien de prévus ce soir. J’avais envi de passer la soirée entre meilleur ami, ça fait une éternité que ça ne sais pas produit entre Johan et moi, en fait depuis que j’ai décidé de prendre ce sal job afin de payer mes petits soins médicaux pour mon diabète. J’espère vraiment trouver autre chose rapidement car je commence à en avoir ra le bol de danser sensuellement pour ses hommes qui rêve de me retrouver dans leur lit… Enfin, comme on dit, c’est la vie et non le paradis… Une chose est sure, a mère doit faire des bonds dans sa tombe, elle ne doit pas être bien fière de moi, elle doit penser que je suis une salle petite traîner… enfin, c’est comme ça. Je fermai l’ordinateur portable. Je pris el soin, de le déposait sur la table basse du salon, histoire de ne pas paraître impoli. Par la suite, je croisais son regard, un sourire béat s’illumina sur mon visage. Il finit par venir s’asseoir à mes côtés, sur le divan du salon. Je le suivais du regard, le laissant faire lorsqu’il passa son bras autour de mes petites épaules. Il finit par rire. Je lui donnais une petite tapette de rien du tout sur son torse, avec beaucoup d’ironie en répondant avec un grand sourire : « Hey ! Ne rigole pas. Ce n’est pas drôle ! J’aimerais t’y voire tiens ! » C’est vrais après tout, il n’aurait pas eu cette réaction s’il était passé à coup de vent au magasin ou si ce dernier avait étais on collègue de travaille. Peut –être, d’ailleurs que la journée aurait eu une pointe de sympathie. « A croire que tu étais présent au magasin aujourd’hui ! Oui ! Pour commencer il y avait un monde fou, et cette petite sexy à râler par ce que je n’étais pas assez rapide pour venir vers elle, elle était impatiente ! De plus, elle cherchait un cadeau pour sa petite fille, au final elle m’a fait sortir des centaines de model pourquoi? Pour repartir au bout d’une heure les mains vide… Si j’avais pu avoir des mitraillettes à la place des yeux, j’aurais fait un meurtre. » Répondis-je en rigolant. Mon rire se mélangea au sien. Sur le coup, ça nous fait vraiment chier, mais après c’est vrais que l’on en rigole. Puis, de nature polie et gentille, je lui retournais la question, en lui demandant comment s’étais passé sa journée au travaille. Un petit rire m’échappa de ma bouche en attendant sa réponse. Comme on dit, il faut en rire. Je repris très vite mes esprits, en répondant : « Ben dit donc, il y en a qui se la coule douce dis moi.Comment tu as fait ? Enfin, je veux dire, tu n’avais pas mis ton réveil ? Ou tu es allé faire la fête hier et tu as pris une bonne cuite… Et ton patron, il a dit quoi ? J'espère pour toi que tu ‘n’auras pas d’ennuie… Tu l’as appelle pur le prévenir je suppose, quel excuse tu lui as donné ? Dit moi tout dans les moindre détails, je veux absolument tout savoir ! » Je le taquiner, qui aime bien, chatille bien comme on dit. Et j’avoue que je l’adore Johan. Il a toujours était présent dans ma vie depuis mon arrivé à Paris. Qu’est ce que je serais devenu si ce dernier ne m’avais pas pris sous son ail, lorsque a belle famille me mit à la porte à la sortis de l’hôpital et à la perte de ma mère.Je détournai mon regard du sien, pour reposer mon regard sur les fleurs que ce dernier m’avait offert. C’est un petit geste, qui vaut une grande valeur à mes yeux. Je le remerciai, de ce petit geste. Je rigole en le poussant légèrement à sa réponse. « Je ne sais pas, surement le voisin du haut. Tu sais ce petit jeune séduisant qui vient d’emménager » lui répondis-je avec beaucoup d’ironie.
][bHS[/b]: Désolée de mon retard :s
Invité Invité
Sujet: Re: Ca faisait longtemps que l'on avait pas passer du temps ensemble ♦ Ft. Johan Sam 31 Mar - 14:03
Je l’écoute me raconter sa journée, un sourire flottant au coin de mes lèvres tandis que je découvre enfin sa routine journalière. J’admire ce qu’elle fait. Son métier n’est peut-être pas celui le plus reconnu au monde, puisqu’il n’est certainement pas celui demandant le plus d’études ; mais je l’admire tout de même pour ça. Car être vendeuse, c’est avant tout un métier social. Voir des centaines de personnes passer devant soit, sentir leur regard perçant à chaque fois, les critiques et les demandes qui tombent en cascade, tout ça tout en essayant de toujours remanier la situation à son avantage pour ne pas être trop mal vu par son patron. Il n’y a pas. Je n’y arriverais pas même si je me forçais. Trop de pression, trop de personnes, je perdrais vite pied. Rien que pour aller faire mes courses, c’est un parfait désastre, alors rester carrément des heures par jour dans un magasin ; non merci. Rien que tout à l’heure, pour rentrer chez le fleuriste pour acheter la composition florale, j’ai hésité. La boutique était bondée et la peur me tordait le ventre. Juste une horreur. Je crois bien que j’en ai assez de stresser ainsi sur ce que peuvent bien penser les gens à chaque fois que je les croise. Mais en même temps, je n’y peux rien. N’y pourrais jamais rien. Et je resterais sûrement ainsi jusqu’à la fin de ma vie. Disons que j’ai choisi le bon métier. Car seul derrière ma table lumineuse, je me sens bien. Personne pour me juger et puis ce n’est même pas moi qui me charge de montrer les plans finis aux clients. Juste un bonheur complet de ne pas avoir cette partie de contact qui me terrorise tant. Enfin voilà, là n’est pas le sujet. Du moins, je ne souhaite pas aborder le sujet, là, maintenant, avec Mady, cela ruinerait totalement la soirée. Alors je préfère sauter sur l’occasion, quand sa phrase sur les personnes l’ayant ennuyé, se présente. Je lui paris que dans le lot il y avait une petite vieille. Parce que rien de mieux que les petites vieilles pour vous pourrir la vie à n’importe quelle heure du jour et de la nuit. Toujours à dire que vous voulez voler leurs sacs à main alors que vous n’aviez même pas remarqué qu’elles étaient là. Je n’apprécierais vraiment pas de travailler dans une maison de retraite, les petites vieilles – avec les groupes de jeunes filles – étant certainement les personnes pouvant le plus juger les gens. Tout est prétexte à critique : la couleur de vos cheveux, votre façon de vous tenir droit, votre manière de parler. Bref, de quoi donner un véritable complexe à toutes personnes vivant sur cette planète. « Hey ! Ne rigole pas. Ce n’est pas drôle ! J’aimerais t’y voire tiens ! » Ma meilleure amie m’assène sur le torse, l’une de ces petites tapettes qui ne font vraiment pas mal, avant de se mettre à rigoler de bon cœur avec moi. Le bonheur complet. Je finis par arrêter de rire, me concentrant un peu plus sur elle. Enfin, sur Mady quoi. Pour une fois qu’elle est présente, autant que j’en profite à fond. Parce que nos moments ensemble se font rare et que donc, par la même occasion, nos instants de complicités se font plus rare aussi. Cela provoque généralement un véritable manque dans ma vie, surtout dans mes moments de stress puisque je sais que je ne pourrais pas décompresser en sa compagnie par la suite. En même temps, je ne peux rien dire lorsqu’elle s’éclipse le soir pour aller je ne sais où. Après tout, peut-être a-t-elle rencontré quelqu’un ? J’imagine bien que ce n’est pas les prétendants qui manquent. Et à chaque prétendant supplémentaire, c’est une chance pour moi qui s’envole. Dommage. « Si tu réagis comme ça, c’est que j’ai vraiment visé dans le mille ! » Lui dis-je avec un clin d’œil. Il est vrai que je ne vois plus ma meilleure amie aussi souvent qu’avant, mais ce n’est pas pour autant que je ne la connais pas ou que je ne sais pas comment elle est ou comment elle fonctionne. Et à chaque fois, c’est juste un régal que de me rendre compte que je la connais aussi bien, puisque cela veut dire que je suis capable de partager avec elle une complicité que personnes d’autre ne peut prétendre connaitre ou partager. C’est ça, le sentiment d’être puissant en amitié : la joie de savoir que tu connais ton ami – pour le cas présent, ton amie – sur le bout des doigts. Pouvoir prétendre anticiper chacune des ses envies, de ses pensées ou de ses intentions ; comme ça, juste sans y penser, parce que c’est naturel de connaitre ses amis comme l’on peut connaitre un frère, une sœur ou encore ses parents. Je crois que l’on appelle ça la complicité, mais moi je pense que l’on ne peut pas donner de nom à ces choses, que c’est trop personnel, beaucoup trop intime même, pour pouvoir placer un nom dessus. C’est un sentiment de joie inexpliquée, lorsque vous pouvez vous rendre compte de quelque chose concernant quelqu’un qui vous est cher avant elle. Mais – parce qu’il y a toujours un mais – cette façon de toujours tout savoir à l’avance, peut rendre une amitié beaucoup plus terne. Pour l’instant, ce n’est pas le cas avec Mady et ça ne le sera jamais. Du moins, je l’espère. En tout cas, il y a toujours des choses d’elle que je ne sais pas : ce qu’elle fait toutes les nuits, si elle a un copain, si elle m’apprécie plus que comme un meilleur ami… Tant de questions et pourtant jamais de réponses. Et pourtant, je n’ai pas envie de lui poser toutes ces questions pour en obtenir les réponses. Je préfère laisser planer le doute sur certains points. Parce que jouer sur l’imagination peut aussi être pas mal, de temps en temps. « A croire que tu étais présent au magasin aujourd’hui ! Oui ! Pour commencer il y avait un monde fou, et cette petite sexy à râler par ce que je n’étais pas assez rapide pour venir vers elle, elle était impatiente ! De plus, elle cherchait un cadeau pour sa petite fille, au final elle m’a fait sortir des centaines de model pourquoi ? Pour repartir au bout d’une heure les mains vide… Si j’avais pu avoir des mitraillettes à la place des yeux, j’aurais fait un meurtre. » Elle commence à rire et je me joins à elle. Nos deux rires s’emmêlent et la chose que je peux dire avec conviction, c’est que c’est comme ça que j’imagine le bonheur. L’amitié aussi. Enfin, comme ça que j’imagine la vie. La vie parfaite, en gros, si vous préférez. J’imagine à quel point cela a dû l’embêter, de s’occuper de cette petite vieille. Mais maintenant elle en rigole. C’est drôle de pouvoir rire des mauvais moments que l’on a passé. Comme quoi, les amis peuvent servir au moins à ça. Enfin bref, elle me retourne ensuite la question sur ma journée et je lui réponds d’un air gêné que je n’aie pas été travaillé. Je me sens mal vis-à-vis d’elle, qui a dû avoir une journée vraiment dure et longue. Je me sens flemmard et connard. C’est ma meilleure amie, je devrais la soutenir et à côté de ça, bah non, je ne vais pas bosser. Quel con je fais ! Moi qui me suis promis de ne pas lui faire payer le loyer, je me demande bien comment je vais faire pour lui demander de ne pas payer, si je ne travaille pas à côté de l’argent pour tout payer moi-même. J’aurais écrit « BOUFON » au marqueur sur mon front, que je ne me sentirais pas plus bête. Finalement, elle lâche un léger rire, qui détend pas mal l’atmosphère. Tant mieux, je commençais à me sentir vraiment mal. Je mêle une nouvelle fois mon rire au siens, mais cette fois, j’ai bien conscience qu’il sonne faux. « Ben dis donc, il y en a qui se la coule douce dis moi. Comment tu as fait ? Enfin, je veux dire, tu n’avais pas mis ton réveil ? Ou tu es allé faire la fête hier et tu as pris une bonne cuite… Et ton patron, il a dit quoi ? J'espère pour toi que tu n’auras pas d’ennuis… Tu l’as appelé pour le prévenir je suppose, quelle excuse tu lui as donné ? Dis-moi tout dans les moindres détails, je veux absolument tout savoir ! » Ma meilleure amie est très curieuse, je ne peux pas le nier. D’ailleurs, cette curiosité détends légèrement l’atmosphère et je m’accorde de nouveau pouvoir me mettre à l’aise au fond de moi. Je lui souris, ne sachant pas vraiment comment aborder le sujet. Après tout, ce n’est pas un exploit et je ne me souviens plus vraiment de pourquoi j’ai bien pût me lever aussi tard. Autant, je peux raconter des bobards à Luc, que je ne peux pas mentir à Mady. Comment lui mentir en même temps ? Et puis, mon absence au travail n’a rien d’exceptionnelle. Enfin, je ne veux pas dire par là que je suis souvent absent, mais, cela arrive à tout le monde d’oublier de se réveiller, non ? « Franchement ? Je sais pas. J’ai peut-être fait une soirée, je ne m’en souviens pas. En fait, j’ai sorti l’excuse ultime : une forte migraine. J’ai mis ça sur mes jours d’arrêts maladies et puis voilà. Je crois que j’ai éteins mon réveil en dormant, puisque je me souviens de l’avoir mis hier soir… » Je lui adresse un léger sourire, comme l’aurait fait un gamin cherchant à s’excuser d’une connerie qu’il aurait faite. De toute façon, c’est simple, je sais bien que je suis toujours un gamin dans ma tête, mais je ne m’en inquiète pas vraiment. Je ne vois pas pourquoi je devrais de toute façon. Enfin, je veux dire, mieux vaut rester un peu gamin plus longtemps, que de devenir mature et barbant trop vite. N’est-ce pas ? Enfin bref, notre conversation part sur la composition florale et je me désigne tout de suite comme étant le meilleur des meilleurs amis. En même temps, qui d’autre aurait pût lui acheter de telles fleurs ? Certainement pas sa famille en tout cas. « Je ne sais pas, surement le voisin du haut. Tu sais ce petit jeune séduisant qui vient d’emménager. » Je lève un sourcil, interrogateur, tandis qu’un sourire narquois et enfantin, se dessine sur mon visage. Le voisin du haut, vraiment ? Je sais qu’elle se paye ma tête et j’ai bien envie d’entrer dans son petit jeu. Retirant mon bras d’autour de ses épaules, je me relève et m’approche du buffet dans lequel je range les vers et les bouteilles d’alcool. Je sors deux verres ainsi que les bouteilles de verre contenant nos alcools préférés, à Mady et moi. Je commence d’abord par servir mon verre avant de me stopper net, de faire mine de froncer les sourcils et de faire semblant de ranger tout ce qui concerne ma meilleure amie – soit son verre et son alcool préféré – dans le placard. Puis, je me retourne vers elle, un sourire narquois toujours scotché au visage. « Bah quoi ? Tu t’attendais vraiment à ce que je te serve ? Pourtant, je suis sûr que tu préférerais que ce soit le voisin du haut qu’il le fasse. Après tout, je comprends tout à fait que sa verrue sur le nez et que son strabisme super prononcé, plaise à toutes les nanas qu’il croise. » Je fais semblant de jouer au jaloux. Mais je sais très bien que je l’aurais joué d’une autre manière si le voisin de l’étage du dessus était vraiment une beauté fatale ou tout autre truc du genre. Techniquement, heureusement pour Mady que ce ne soit pas le cas, car je sais que je peux me montrer jaloux quand je le veux. Surtout à son sujet, même si je sais que ses relations ne me regardent pas.
Spoiler:
Également désolée de mon retard largement plus grand que le tiens, j'ai eu pas mal d'empêchements et... Je sais que je suis complètement impardonnable. Alors, encore désolée (aà).
Invité Invité
Sujet: Re: Ca faisait longtemps que l'on avait pas passer du temps ensemble ♦ Ft. Johan Mar 10 Avr - 17:00
J’étais bien contente de me trouver à l’appartement, en compagnie de mon meilleur ami. Nous étions tous les deux, assis sur le canapé du salon, qui sépare le salon de la salle à manger. Je lui racontai ma journée, plutôt fatiguant au final… Des clients chiants, j’étais rentré tardivement la veille, peut-être trois heures du matin, pour être levé à sept heures ce matin… peut-être que ça venait de moi tout simplement… Il faut que j’arrive à retrouver cet équilibre du sommeil. Vendeuse est un chouette métier, contact avec le personnel, aider les gens, du moins les renseigner. J’ai toujours aimé ces milieux-là. Peut-être que je suis faite pour ce genre de métier, ou alors que peut-être dans deux semaine je vais tout lâcher. Après qui sait ? A croire que mon ami était présent aujourd’hui. Comment avait-il deviné qu’une petit vieille m’avait embêter pendant des heures pour une robe pour sa petite fille, un cadeau d’anniversaire dit-elle, pour au final repartir les mains complétement vide ! J’étais outré, furieuse ! Elle m’avait déranger pour rien ! Evidemment, aimant mon métier, ne voulant pas le garder, j’avais était diplomate. Je me demande encore comment j’ai réussis à rester aussi calme. La réaction de Johan, ne me surprenant guère. A vrais, dire je savais déjà qu’il allait soit se moquer, soit me mener en boîte. Ayant un peu de répondant, je lui donnant une petite tapette, de fille comme on pourrait dire, surtout amicale, ne lui faisant pas mal, pour lui confirmer que ce n’était pas drôle ! %Un rire léger sortit de ma bouche, à sa phrase. Mon coude posé sur le rebord du canapé du haut, ma main sur mon visage, regardant le jeune homme. Je savais qu’on allait passer une superbe soirée ! J’avoue, que ça m’avais beaucoup manqué, car les simple bonjour au revoir à coup de vent… voilà quoi… « Non, d’abord, ce n’est pas vrai ! Qu’est ce qui me prouve que tu as tapé pile dans le mille très cher Johan ? Dis-moi tout, je suis toute Ouïe.» Un rire moqueur s’échappa de ma bouche, avant de changer de sujet. Puis, inversement, le sujet de conversation se reporta sur le joli blond, qui me confia de son somme prolongé au lit. Je l’envi ! J’aurais tellement aimé pouvoir avoir quelques heures de sommeil en plus…Enfin, si je veux me soigner, je n’ai pas le choix que de suivre ce rythme de vie très difficile. De nature curieuse, j’eus souhaité qu’il me raconte comment se faisait-il qu’il est loupé le réveil ce matin. Je n’allais pas lâcher le morceau tans qu’il ne m’aura rien avoué. Il le savait parfaitement bien d’ailleurs. Il faut avouer, le jeune homme me connaissais parfaitement par cœur, tout comme moi je le connais par cœur. Il a toujours était aussi aimable et gentil depuis que l’on se connait. D’un sourire, j’attendis impatiemment sa réponse. « Tu te serais au moins souvenu que tu étais parti en soirée je pense… Peut-être que tu as eu un gros coup de fatigue, voilà tout ! Pas besoin de te trouver d’excuse :p ou alors, tu as trouvé une charmante demoiselle dans ton lit et que tu ne souhaites pas me raconter comment c’était ! Et ton boss à gobbe ton excuse, il n’a rien dit ? » Nous changions à nouveaux de sujet de conversation, sur le magnifique bouquet de fleurs, qu’il avait prit le soin de m’offrir. Une petite attention qui me toucha énormément. De dernier me demanda qui était le plus fort et évidemment, je me mis à le chambrer, en lui répondant que c’est le voisin du dessus. Ce dernier, se retira du canapé. Vexé ? Non, pas pour si peu, ou alors, il y a beaucoup de point que je ne connais pas chez lui§… après tout, on ne connait jamais la personne avec qui on vit. Ma première impression s’envola, lorsqu’il s’approcha du buffet dans lequel se trouvaient les verres, mais l’essentiel de la chose, l’alcool ! Et oui, une soirée sans alcool, n’est plus une soirée, et généralement, notre soirée prenait une autre tournure lorsque l’on commençait à boire. « Et mon verre ? Tu as oublié ce que je buvais ? » Répondis-je en rigolant, me levant en me dirigeant vers le joli blond. M’appuyant contre le buffet, je lui souris, en répondant« si j'écoutais mon petit doigt, c'est à croire que tu es jaloux. Et si c’était le cas, que je trouver super méga séduisant et que je couchais avec lui tous ces soirs d’où je suis absente ? » Il m’a tendu la perche, je rentrai directement dans son jeu.
Invité Invité
Sujet: Re: Ca faisait longtemps que l'on avait pas passer du temps ensemble ♦ Ft. Johan Jeu 12 Avr - 19:10
Un rire léger sort d’entre les lèvres de la jolie demoiselle, tandis que j’affirme être sûr d’avoir viser directement dans le mille. Après tout, je la connais plutôt pas mal depuis le temps et il n’est plus aussi dur qu’auparavant, pour moi, de deviner ce à quoi elle pense. Du moins, en admettant que cela ait été dur un jour, de deviner ce à quoi elle pense. A vrai dire, j’ai toujours eu une sorte de sixième sens en ce qui concerne ma meilleure amie. Comme-ci depuis notre première rencontre, j’avais toujours sût de quelle manière tournerait notre relation. Comment tout ce que nous vivons, effleurerait de ses petites ailes, le bonheur à l’état pur. D’ailleurs, la voir sourire ainsi, se mettre à rigoler à mes petites blagues innocentes, me donne l’impression de me remettre à côtoyer ce bonheur. Enfin, je veux dire, le vrai bonheur, celui que l’on a du mal à croiser et que l’on n’a plus jamais envie de lâcher, une fois que l’on a réussi à l’attraper. Je lève la main pour la passer dans les cheveux doux et soyeux, d’un blond éclatant, de Mady. C’est le moment exact qu’elle choisit pour se mettre à protester contre le fait que j’affirme avoir raison. C’est au moins une chose qui n’a pas changé depuis le tout début de notre amitié, nous ne sommes jamais d’accord. Ou du moins, nous ne le laissons jamais paraître, cherchant toujours à avoir raison même lorsque l’on a tord. Comme de vrais gamins, je l’admets sans protester. Justement, car c’est cela qui est bon. « Non, d’abord, ce n’est pas vrai ! Qu’est-ce qui me prouve que tu as tapé dans le mille, très cher Johan ? Dis-moi tout, je suis toute ouïe. » Un rire moqueur s’échappe une nouvelle fois d’entre ses deux lèvres pulpeuses, tandis que je laisse retomber ma main sur le canapé. Je lui adresse un sourire narquois avant de me mettre à lui caresser la joue du bout des doigts. Puis, d’un seul coup, je la retire pour lui asséner une petite tape amicale sur la joue. Bien sûr, je ne cherche pas à lui faire de mal. Le coup n’a pas pût lui faire plus de mal qu’une caresse, cependant je prends tout de même quelques instants afin de m’assurer qu’elle n’ait pas eu mal, avant de lâcher moi aussi un léger rire moqueur. « Parce que si j’avais faux, tu ne chercherais pas à te justifier ainsi. » Puis, le sujet dérive sur ma journée à moi. Je ne vois même pas pourquoi nous nous attardons là-dessus puisque de toute évidence, il n’y a rien à dire. Je viens de me lever, j’ai juste eu le temps d’acheter un bouquet de fleur avant de prendre ma douche et de rejoindre ma meilleure amie. Pourtant, Mady à l’air d’apprécier l’idée de pouvoir me taquiner sur ce sujet. Alors, je la laisse faire. Après tout, moi aussi j’aime la taquiner, alors ce serait injuste envers elle que de lui interdire de faire ce qu’elle souhaite. Ce qui lui fait plaisir, pour être tout à fait exact. Je la laisse donc me demander ce que j’ai bien pût faire la veille pour ne pas réussir à me lever le matin même et l’excuse que j’avais pût sortir au boulot pour que l’on me fiche la paix. Je lui réponds alors que je n’ai pas la moindre idée de ce que j’ai pût faire la veille : que j’aie pût me rendre à une soirée comme rester seul à l’appartement. Pour l’excuse que j’ai sorti pour mon patron, je lui sers celle de comme quoi j’étais malade. C’est l’excuse qui serait la mieux passée auprès de moi si j’avais été patron. « Tu te serais au moins souvenu que tu étais parti en soirée je pense… Peut-être que tu as eu un gros coup de fatigue, voilà tout ! Pas besoin de te trouver d’excuse, ou alors, tu as trouvé une charmante demoiselle dans ton lit et que tu ne souhaites pas me raconter comment c’était ! Et ton bosse à gober ton excuse, il n’a rien dit ? » Je lui sors mon plus grand sourire. Comment répondre à cela de la façon la plus diplomate qui soit ? Enfin je veux dire, sans mentir ni rien, ce n’est pas comme-ci j’avais laissé le temps au secrétaire de me passer le bosse au téléphone. Je m’étais rapidement fait réprimander et puis voilà. Pour l’instant, je peux profiter de la soirée, la véritable sanction n’arrivera que demain. Enfin, je ne pense pas non plus qu’on puisse me dire grand-chose. D’accord, j’ai prévenu un peu tard que je ne viendrais pas travailler – en admettant que le préciser à la fin de la journée de travail soit juste « un peu tard » - mais d’un autre côté, c’est la première fois que je touche à mes congés maladies. J’ai toujours été plutôt présent pour ma boîte même si je ne suis pas le meilleure architecte d’intérieur qui travaille là-bas, je ne me débrouille pas encore trop mal et j’ai pas mal de clients. Enfin bref, je ne suis pas encore trop à la ramasse. Donc au pire, mon patron me retire la paye d’une journée de travail et voilà tout. Je ne vais pas en faire un drame. Je lâche donc un petit rire moqueur avant de reprendre : « Et oh, t’as cru que j’allais me laisser faire par un abruti ? Je lui ai juste dit de mettre ça sur mes congés maladies et j’ai raccroché, pas besoin d’attendre sa réponse ! » Je hausse les épaules avant de me lever d’un seul coup pour rejoindre à pas lents le buffet contenant les bouteilles d’alcool et les verres les accompagnant. Je commence par sortir deux verres avant d’en ranger un en prenant un air faussement vexé, tandis que je ne me sers que l’alcool que moi je préfère, faisant semblant d’oublier – ou d’ignorer, c’est vous qui voyez – Mady. La réaction de ma meilleure amie ne se fait d’ailleurs pas attendre puisqu’elle se lève tout aussi vite pour me rejoindre près du buffet. « Et mon verre ? Tu as oublié ce que je buvais ? » Elle me regarde avec un sourire malicieux en rigolant légèrement. Après quoi, elle termine la route menant jusqu’à moi en s’appuyant contre le meuble en bois massif. Je me tourne vers elle, affichant une moue boudeuse sur mes lèvres tandis que je lui lance un regard navré. Puis, désignant le plafond d’un geste de la main, je réplique : « Non vraiment, je crois que le voisin du haut doit être mieux renseigné que moi à ce sujet là… » Je laisse ma phrase en suspense avant de lui adresser un clin d’œil complice. Puis, je me tourne de nouveau vers le buffet et me penche une nouvelle fois pour reprendre le verre que je viens de reposer. Je le sors de l’armoire et y verse l’alcool préféré de Mady avant de lui tendre son verre. Puis, me saisissant du miens, j’entrechoque nos verres ensemble en laissant échapper un léger rire. « Si j’écoutais mon petit doigt, c’est à croire que tu es jaloux. Et si c’était le cas, que je le trouvais super méga séduisant et que je couchais avec lui tout ces soirs où je suis absente ? » Je lève légèrement la tête en faisant semblant de faire une moue contrariée avant de porter mon verre à mes lèvres et de commencer à boire. Je fais aussitôt volte-face et commence à m’éloigner de Mady pour rejoindre à nouveau le canapé, dans lequel je me laisse tomber – sans aucune classe, je l’avoue – manquant par le même temps de renverser le contenu de mon verre au sol. Puis, levant la tête vers ma meilleure amie, je lui fais signe de venir s’asseoir à côté de moi, en tapotant l’épais tissus juste à côté de moi. « Dans ce cas là, je te dirais d’arrêter d’écouter ton petit doigt parce que c’est un sacré menteur ! » Je fais mine de réfléchir quelques secondes avant de reprendre : « Je te dirais aussi qu’il vaudrait mieux pour toi que tu caches ton amant de voisin du dessus, parce que je n’accepterais pas que ma meilleure amie s’envoie en l’air avec une mocheté pareille. » Puis, je pose mon verre sur la table et commence à farfouiller dans les divers tiroirs de la table basse, à la recherche de bougies tandis que je sais que la blonde s’est assise à mes côtés. Je finis enfin par trouver ce que je recherche. J’allume donc la bougie dont je me suis saisis à l’aide d’une allumette, avant de reposer l’allumette éteinte sur la table basse et de garder la bougie entre mes mains. Je me tourne ensuite de nouveau vers ma meilleure amie. « Je te dirais aussi que je t’offrirais une bougie de la même façon que je t’offrirais mon cœur, qu’ensuite je t’embrasserais fougueusement et que par la suite, je te montrerais que tu n’aurais aucune raison de faire l’amour avec le voisin du haut puisque je suis bien meilleur que lui dans tous les domaines. » Pendant que je parle, je lui tends la bougie avant de me mettre à lui caresser délicatement la joue. Mais je ne vais pas plus loin, j’ai bien trop peur de la brusquer.
Invité Invité
Sujet: Re: Ca faisait longtemps que l'on avait pas passer du temps ensemble ♦ Ft. Johan Ven 13 Avr - 0:55
Depuis notre rencontre, une réelle alchimie est passée en nous. Chose assez blizzard, puisque je suis de nature à ne pas avoir confiance aux hommes. Pourquoi ça ? Pour le simple et sale exemple que j’ai eus enfant et adolescent, mon père, qui a laisser ma mère pour une sale belle-mère pour qui j’étais l’esclave. Je sais, on se croirait un peu au conte de Cendrillon, sauf que je n’avais pas les petite souris comme amies… A vais dire, je n’en ai jamais eu beaucoup… J’ai même pour don de me faire plus souvent des ennemie oud es connaissances vite fait. En même temps, avec la vie que je mène, je n’ai absolument as le temps de profiter. Mais je ne sais pourquoi, j’ai eus confiance en Johan. A vrais dire, il n’y a que deux hommes en qui j’ai confiance, lui, et son frangin, le séduisant médecin qui m’a sauvé la vit après l’accident de voiture. Je crois, que je craque pour les deux. Je profite des moments, je prends ce que l’on me donne. J’ai juste besoin de me sentir aimé et en sécurité. Et il se trouve que c’est ce que je ressens lorsque je suis en compagnie de Kellian et Johan. Vous allez peut-être me trouver libertine, ou sale ou je ne sais quoi… Même si j’ai un métier don je ne suis pas fière, je reste tout de même une femme qui a des attentes. La vie m’a offert deux merveilleux et séduisants jeunes homes qui prennent soin de moi. Sauf qu’il y en a un des deux qui est sur le point de se marier et que les frangins se détestent…Pourquoi me prendre la tête ? Depuis petite je ne fais que ça avec tous les soucis de famille. Je n’ai qu’une chose à dire, je verrais ce que la vie m’a réservé. Peut-être que je m’enfonce les doigts dans l’œil espérant qu’un de ces deux séduisant frangins même. Seuls les pages de mon livre, qui tournent chaque jour, me dévoileront la suite de ma vie. Assise sur le canapé, auprès du plus jeune Shannon, je contai ma journée, qui l’amusait assez, pour tout dire. A croire que le jeune homme se trouvais cacher dans les rayons entre deux vêtements pour savoir ce qui s’est passé. Enfin, ça ‘amusais assez à vrais dire. C’est incroyable comme il me connait si bien, tout comme moi je le connais soit dit en passant. Nos rires se mélangèrent et ‘j’avoue que ça me fait le plus grand bien, me changeant amplement les idées. J’avais déjà ma petite idée de comment se terminerais la soirée. En même temps, elle se finit toujours de la même façon. Chaque petit contacte avec lui, me fit frissonnais, comme une sorte de grande bouffé d’oxygène qui nous permet de tenir en vie. Oui, Johan était ma bouffé d’oxygène de bonheur, qui me fait rappeler à chaque instant passé à ses côtés la femme que je suis et non celle que je veux cacher. Ses doigts se glissèrent sur ma joue, un tendre geste qui me fait rappeller comme sa tendresse m’avait manqué. Ca petite tape amicale, me fit retomber sur terre « Hey ! » Répondis-je avec un petit sourire, je savais qu’il n’avas pas eu l’intention de me faire de mal. « Mais qui te dis que je cherche à me justifier ? » Je soutenu son regard, comme si je voulais le prendre de haut, mais très vite je le baissai en répliquant « Tu m’énerves de me connaître aussi bien, j’arrive même plus à te faire douter. » De nature non égoïste, je fus curieuse à mon tour de savoir comment s’était dérouler sa journée. Comment c’était au boulot, si il avait un nouveau projet passionnant, enfin toute les petites choses qui peuvent vous marquez, come moi et la veille dame qui m’a pris la tête pendant des heures pour au final ne rien acheter. Mais lorsqu’il m’avoua qu’il n’avait pas mis le bout de son nez au boulot, je pris les devant en décidant de le taquinait à mon tour. Après tout qui aie bien châtilie bien ! Mais, de nature curieuse, je voulus savoir ce qu’il avait fait de sa nuit. Une fête un peu trop arrosé, ou une jolie mannequin au fond de son lit dont il me cache l’existence. A vrais dire, la panne de réveille j’y crois seulement à moitié. C’est grave docteur ? Mais apparemment, c’étais la vérité, d’ailleurs ce dernier me l’affirma, presque les deux poings ferme posé sur la table. « Je sais que tu n’es pas le genre d’homme à te laisser faire. Mais ca me surprend de toi quand même cette panne de réveille. Après tout, tu as toujours étais ponctuel, depuis que je te connais. » Ce dernier finit par se lever, se dirigeant vers le petit bar, dans lequel se cacher notre douce folie favorite, l’alcool qui nous donne à chaque fois des ails pour passer une nuit de folie, dedans tout les sens du terme. Je l’observai, ne perdant pas une miette. Non, il n’a pas osé ! Et si… Il a osé se servir un verre sans m’en servir un. Mais c’est quoi ca ? Et la galanterie dans l’histoire ? Je lui fis directement la remarque, me levant en me dirigeant à mon tour à ses côtés. De toute manière, on est jamais mieux servis que par soit même. Mais, je m’appuyai sur le meuble, je savais qu’il finirait par cédé et m’offrir un verre, comme si c’était un premier rendez-vous. « Peut-être bien, je devrais aller voire pour ‘en assurer. Qu’est ce que tu en dis Johan ? ». Puisqu’il avait décidé de jouer, ben on va joueur le jeu jusqu’au bout ! Comme prévus, le jeune homme céda et m’offris un verre d’alcool. Je le remerciai avant de prendre mon verre d’alcool. Ce dernier s’était souvenu de celui que je préférais. Puis, je continuai à jouer le jeu, lui faisant remarquer de sa jalousie par rapport au séduisant voisin se trouvant à l’étage au-dessus. Sourire amusé, mais avec un visage sérieux à la fois, je rapprochai mon verre de mes lèvres afin d’en boire quelque gorgée en attendant sa réponse. Frustré, e jeune homme alla se rasseoir sur le canapé, d’une élégance « épatante », se renversant à moitié de son verre. C’est du gâchis. Mais cela me prouvais qu’il tenait à moi, puis son petit côté garçon jaloux e plait beaucoup. Lui obéissant comme une enfant, je viens le rejoindre à ses côté, m’asseyant sur le canapé. Je bus une autre gorgée de mon verre, avant de le poser sur la table basse se trouvant au milieu de la pièce. Son aire complètement sérieux, me fis comprendre qu’il était grand temps d’arrête de jouer et de le taquiner avec ça. Je l’écoutai avec beaucoup d’attention, ne perdant aucune miette des mots sortant de sa bouche. Curieuse et impatiente de savoir la suite. Il se faisait quelque peu mystérieux sur ce coup-là, un côté que je ne connais encore guère bien chez lui, même si ça fait plusieurs années que je vis sous son toit. Le suivant du regard, sans dire un mot, il farfouilla pour chercher je ne sais quoi dans les tiroirs. Apparemment, l’objet voulut était une bougie, qui s’empressa d’allumer avant de e rejoindre. Que signifiait tout se remu méninge ? Une chose étant sure, c’est que j’allais bientôt le découvrir. Mon regard croisa le siens, mes yeux se plongea dans les siens. Ses mots, me fit fondre. Comment arrivait-il à faire tout ça ? Enfin, je veux dire, comment arrivait-il à me faire sentir comme tel ? Un frisson parcourra mon corps au contacte de la peau de ses doigts sur ma joue. Que m’arrive-t-il ? Fixant un moment ses lèvres, avant de remonter vers ses yeux. Oui, je tombe littéralement sous son charme. Ne sachant quoi dire, je préfère laisser les gestes parler à ma place. M’approchant doucement, sans pour autant déposer es lèvres sur les siennes, peur de me faire des idées.
Invité Invité
Sujet: Re: Ca faisait longtemps que l'on avait pas passer du temps ensemble ♦ Ft. Johan Sam 14 Avr - 14:59
J’essaye de faire comprendre à ma meilleure amie que je la connais mieux que ce qu’elle ne pense. J’affirme des choses sur elle avant même qu’elle ne les ait affirmé, peut-être même avant qu’elle ne les ait pensé. Bon d’accord, peut-être pas à ce point là, mais c’est drôle de le croire. Je lui assène une petite tape amicale sur la joue – un simple effleurement, rien d’autre – alors qu’elle essaye de me faire croire que je dis n’importe quoi alors que je sais que ce que je dis est tout à fait vrai. Sa réaction ne se fait pas du tout attendre : « Hey ! » Elle pose aussitôt sa main sur sa joue et comme elle a la tête baissée, je crains tout de suite de lui avoir fait mal. Pourtant, je l’ai à peine effleuré ! Mais elle redresse alors la tête, m’adressant un petit sourire narquois. Trop tard. Mon cœur a déjà fait un raté. Je ne peux m’empêcher de tourner la tête et de lui faire les gros yeux en la regardant de côté, tandis qu’un sourire narquois se dessine aussi sur mon visage. Je me mets ensuite de nouveau face à elle et commence à rigoler en secouant la tête de gauche à droite. « Mais qui te dis que je cherche à me justifier ? » Elle soutient mon regard sans lâcher le moindre rire. Je balance ma tête en arrière mais continue de la fixer. Il ne faut pas qu’elle joue à ce petit jeu avec moi. Elle s’est très bien que cela ne lui sert à rien de me mentir, je sais toujours ce à quoi elle pense au final. Pas besoin de me forcer, c’est naturel. Et puis, quelque part, elle devrait trouver que c’est parce que je m’intéresse à elle que je la connais aussi bien. Elle baisse finalement les yeux, se contentant de fixer le sol. « Tu m’énerves de me connaître aussi bien, j’arrive même plus à te faire douter. » Elle adopte une moue de gamine, que j’arrive à apercevoir entre les mèches de cheveux qui tombent en cascade sur son visage, qui me fait totalement fondre. Mais en même temps, je ne supporte pas de la voir comme ça, cela me fait mal au cœur. Je me rapproche un peu plus d’elle et passe mon bras autour de ses épaules, l’obligeant ainsi à se coller contre moi. J’écarte ses cheveux blonds, les remettant soigneusement derrière son oreille. J’attrape ensuite son menton entre l’index et le pouce de ma main droite et l’oblige à relever la tête. Puis, la fixant dans les yeux, je lui murmure d’une voix douce : « Et oh, pas de ça ce soir, on fête nos retrouvailles… » Je lâche ensuite son menton et me réinstalle confortablement sur le canapé. Je garde tout de même un œil bienveillant sur elle. Je ne veux pas qu’elle se laisse aller comme ça. A cause de moi en plus. Je suis en rage contre moi-même. Elle finit par se retourner, son visage ayant repris un air souriant. Ce qui détend assez l’atmosphère, je dois le dire. J’adopte moi aussi un grand sourire que je n’hésite pas à étaler sur tout mon visage. Personne ne pourra m’empêcher d’être le plus heureux garçon du monde ce soir. Après tout, je retrouve enfin ma meilleure amie, il n’y a pas de meilleure excuse pour que l’on me laisse tranquille. En fait, nous rebondissons sur une conversation des plus banales, par rapport à ce qu’il vient de se passer. Elle me demande toute simplement comment s’est passé ma journée et je suis bien obligé de lui avouer que j’ai dormi à poing fermé toute la matinée et une bonne partie de l’après-midi. Du coup, elle n’hésite pas le moins du monde avant de se mettre à se moquer de moi. Je ne suis pas vexé le moins du monde, c’est même plutôt drôle. A vrai dire, si l’on m’avait dit la veille que j’oublierais de me lever ce matin, j’aurais envoyé balader la personne en lui disant qu’elle était complètement malade. « Je sais que tu n’es pas le genre d’homme à te laisser faire. Mais ça me surprend de toi quand même, cette panne de réveil. Après tout, tu as toujours été ponctuel, depuis que je te connais. » Je lève les bras en signe d’impuissance, lâchant un petit rire par la même occasion. Je sais que c’est surprenant venant de ma part, je ne l’ai pas crût moi-même lorsque j’ai vu l’heure affichée sur mon réveil tout à l’heure, à mon réveil. Mais bon, j’ai bien été obligé d’admettre que c’était vrai. Et Mady sera obligée de faire la même chose, car ni elle ni moi ne pouvons changer ça. « Cela m’a surpris aussi. A croire que ça peut arriver à tout le monde, une panne d’oreiller. » Je lui adresse un clin d’œil avant de me lever pour me diriger jusqu’au bar. Je commence par sortir deux verres puis la conversation se dirige vers le nouveau résident de l’immeuble, installé juste au-dessus de notre appartement. Un jeune moche prétentieux qui donne tout sauf envie de lui parler. Elle commence à me dire qu’elle pourrait peut-être bien lui rendre visite dans son lit tous les soirs et bien que je sache que ce n’est pas vrai, je décide de rentrer dans son jeu. Je range donc le verre que j’avais sorti pour elle et ne sert que l’alcool qui m’est destiné. Je lui dis donc d’aller voir ce fameux voisin du haut si elle veut quelque chose à boire. Bref, je joue le gros jaloux. Mais je sais que je suis un piètre acteur et que Mady ne doit pas y croire une seule seconde. De la même façon que moi je savais ce qu’il se passait dans sa tête tout à l’heure. « Peut-être bien que je devrais aller voir pour m’en assurer. Qu’est-ce que tu en dis Johan ? » Je hausse les épaules tout en sortant un verre que je commence à lui servir avant de lui donner. Je m’écarte ensuite pour marcher un peu dans la pièce tout en buvant un peu de l’alcool contenu dans mon verre. Puis, je me retourne vers ma meilleure amie que je fixe bien dans les yeux tandis qu’un petit sourire narquois s’affiche sur mon visage. Sourire qui disparait bien vite quand je tente de prendre un air sérieux et que je lève les sourcils en fermant les yeux pour dire : « Sûrement que cela pimenterait votre relation, si tu allais boire ton verre chez lui. Je suis tout à fait sûr que la prochaine fois qu’il te verra, il saura dans quel genre d’alcool mettre de la drogue pour que tu ne vois rien venir. » J’ouvre de nouveau les yeux et lâche un léger rire. J’adresse aussitôt un léger clin d’œil à Mady. Elle doit déjà savoir que je prends notre nouveau voisin pour un pervers fou. Il faut dire aussi que je ne le cache pas. Mais il suffit de voir sa tête pour comprendre ce que je cherche à dire. Car s’il ne drogue pas les femmes, comment fait-il pour les amener à lui ? Parce que là, ce n’est carrément pas possible. C’est un cas extrême. Et vous penseriez la même chose si vous le croisiez. Je me jette sur le canapé, manquant de renverser mon verre au passage. Mais heureusement, je ne perds pas une seule goutte du précieux alcool que je me remets aussitôt à boire. Puis, je pose mon verre sur la table et fais signe à ma meilleure amie de venir s’installer à côté de moi, en tapotant l’épais tissus. Elle s’exécute et aussitôt, alors que je suis toujours en train de répondre à sa question, je me mets en quête d’un objet. Pour cela, je fouille de nombreux tiroirs de notre table basse, qui possède un important nombre de rangements. Je finis enfin par trouver ce que je recherche : une bougie. Je m’en saisis et m’empresse de l’allumer à l’aide d’une allumette, avant d’éteindre celle-ci et de tendre la bougie à la jolie blonde. Celle-ci s’en saisit et je commence à lui caresser la joue tandis que de belles paroles – du moins, j’espère que ce sont des belles paroles – s’échappent d’entre mes lèvres. Alors, ma meilleure amie pose tendrement sa main au dessus de la mienne, nos deux mains étant ainsi toutes les deux positionnées sur sa joue. Elle commence à s’avancer vers moi, approchant ses lèvres à quelques centimètres des miennes avant de s’arrêter. Je fixe un instant ses lèvres pulpeuses, puis pose mon regard dans le siens. J’ai l’impression que c’est une invitation. Alors, après une lutte intérieure contre ma timidité naturelle, je m’autorise à fermer les yeux. Je parcours les derniers centimètres nous séparant et, je pose mes lèvres sur les siennes.
Invité Invité
Sujet: Re: Ca faisait longtemps que l'on avait pas passer du temps ensemble ♦ Ft. Johan Dim 6 Mai - 21:51
Je me trouvais dans ses bras, un endroit que j’apprécie assez bien. A vrais dire, ce sont les bras d’un grand frère protecteur qui a sut me protéger, de me prendre sous son aile, dès que je fus à la porte de chez moins, trouvant mes valises à l’accueil de l’hôpital. Je pense que si on meilleur ami n’était pas étais présent, je pense que j’aurais vécut à la rue, et au lieu d’être stripe tesease pour me soigner j’aurais était prostitué. Rien que de penser à cette idée, un large frisson froid traversa mon dos. Même si je déteste mon métier du soir, je le préfère largement que d’offrir mon corps à de sale pervers pour être un objet sexuel. Si je suis vivante, si aujourd’hui j’ai un toi et que je suis en sécurité c’est bien grâce à lui. Touchant le tatouage sur mon poignet avec le prénom de ma mère, je me demande ce qu’elle peut penser de moi, de mon parcours, je l’ai certainement déçut… Puis, je ferais de nombreux déçut si quelqu’un de mes proches, du moins du peu d’ami que j’ai, découvre a sale garce que je suis le soir… Pour le moment, ça ne sait jamais passé et je croise les doigts pour que ça ne se passe pas. Peut-être que si je parler de ma maladie je pourrais avoir de l’aide, mais avec tout ce que j’ai traversais je ne veux pas me plaindre et surtout, ne pas gâcher notre soirée. Cela faisait un long moment que l’on n’avait pas passe un peu de temps tout les deux. Oui, cela me faisait du bien de passer du temps avec le joli blond. De plus que cette soirée commençait à merveille, puisque les fous rires et la bonne humeur étaient au rendez-vous. Comme à son habitude, il me mena en boite, un de ses passe temps favoris, notamment avec le voisin qui venait d’emménager dans l'immeuble il y a peut-être un moi de ça. de nature un peu naïf, ben il faut avouer qu’il se régale. Je ne peux pas lui en vouloir, mais ce soir, sachant qu’il s’amuse avec moi et étant de bonne humeur je décide de ne pas me laisser faire, en rentrant dans son jeu. Puis, une fois chose faite, je déviai la conversation sur sa journée, en me moquant à mon tour de son réveil loupé. Se sont des choses qui arrivent. Après tout, l’erreur est humaine ! Seul celui qui ne fait rien, ne fait pas de bêtise. Je croise les doigts purs luire que Lundi, il ne se fera pas trop jeté. Enfin, je sais que c’est un grand garçon et qu’il assumera pleinement ses actes. Je buvais une nouvelle gorgée de ma boisson alcoolisé, le laissant bafouiller entre ses paroles. Son attitude me faisait rire, mais je garder mon sérieux. A croire qu’il est jaloux… Je dois surement me tromper. « J’avoue que ta proposition est très tentant, mais à vrais dire, si je passe la soirée à ses côté cela signifierais que tu ne passeras pas la soirée avec moi. Après si tu veux que je passe la soirée ailleurs, dit e moi, et je part de ce pas, pour te laisser dans la plus grand intimité ». J’aimais rentrer dans son jeu, lorsque je n’étais pas fatigué et cela se faisait rare qu’il est le dernier mot. Je suis de nature têtu et il le sait très bien, On peut jouer très loin à ce jeu. Les bêtises continuées, renversant son verre, lorsqu’il s’assit sur le canapé… Il y a des jours ou il vaut mieux resté au lit. J’exécutai à son signe, le rejoignant sur le canapé. Le côté rigoleur et joueur du jeune homme, se transforma en un instant de secondes à un home complètement romantique. Son geste de cette bougie et ses paroles me fit fondre. Aurais-je quelque sentiment pour le petit frère de Kellian, pour qui je suis son amante ? Peut-être bien, à vrais dire je n’en sais rien. A cet instant précis une alchimie s’installa entre nous. Comme à peu prêt à chaque fois que l’on passe une soirée tout les deux, sexe et alcool son au rendez-vous, sans oublier notre jeu favoris, cap ou pas cap. Mes yeux noisette plonger dans les siens, laissant mon visage se rapprocher du sien, sans pour autant lâcher son regard. Ce dernier parcourra les derniers millimètres pour déposer ses lèvres contre les miennes. Un tendre baiser s’échangea entre nous. Lorsque nos lèvres se quittèrent, je souris, ne sachant ce qui m’arrive réellement. Mais quelque part, je me sentais gêné… je coupai le silence. « Tu m’avais gâché ce côté romantique Johan… Et si pour fêter ça, on se servait un autre verre ? Qu’en dis-tu ? » Sur ce, je pris mon verre que je finis cul sec, lâchant une petite grimace, à la fin, avant de mettre ma main sur la bouche, échappant un petit rire, m’imaginant la tête que j’ai dus faire.
Contenu sponsorisé
Sujet: Re: Ca faisait longtemps que l'on avait pas passer du temps ensemble ♦ Ft. Johan
Ca faisait longtemps que l'on avait pas passer du temps ensemble ♦ Ft. Johan