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 Jaimie-Rose ♣ Paris je t'aime à la foliiiiiiiiiie

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MessageSujet: Jaimie-Rose ♣ Paris je t'aime à la foliiiiiiiiiie   Jaimie-Rose ♣ Paris je t'aime à la foliiiiiiiiiie EmptySam 25 Juin - 22:55



Jaimie-Rose Prune ST JAMES

« fiche technique »

Date de naissance : 11/04/1987
Ville natale : Liverpool, Angleterre
Surnom : Jaimie
Emploi : Interne
Statut : Célibataire
Groupe : La javanaise
Avatar : Olivia Wilde

Pseudo : October
Note du forum : 20000/20
Validation : OK PAR OCTOBER


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MessageSujet: Re: Jaimie-Rose ♣ Paris je t'aime à la foliiiiiiiiiie   Jaimie-Rose ♣ Paris je t'aime à la foliiiiiiiiiie EmptySam 25 Juin - 22:55

« il était une fois... Moi »

Mes parents étaient censés s’aimer, on étaient censés être tout les trois, enfermés dans une prison doré, mon père étaient censé m’aimer, ma mère était censée vivre. J’étais censée n’être qu’une enfant. Mon histoire est triste, oh oui bien triste. Si vous ne vous sentez pas assez fort pour lire mon histoire, ne vous gênez pas, vous pouvez l’ignorer où attendre le chapitre où le bonheur éphémère fait son apparition !

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CHAPITRE I
Ne t'en fais pas, la vie est facile
Je naquis le 11 avril 1987, les fleurs avaient commencé à montrer leur cœur colorés & les oiseaux chantaient avec beaucoup de timidité leur chant aigu. A cette époque, Liverpool était une ville banale qui n’avait pas une si bonne équipe de football ! Mes parents s’appelaient Johnathan Gordon & Rose St James. Oui, deux noms différents car ils n’étaient pas mariés, j’étais une bâtarde. Jonathan n’avait pas su retenir ses hormones & avait convaincu ma mère qu’elle n’allait pas tomber enceinte, qu’il allait se retenir… Quel ordure, vous pensiez peut-être que j’allais l’appeler « papa » ? Cet homme n’est pas mon père, je refuse de penser que le père que je me suis imaginé jusqu’à mes 8 ans soit une telle pourriture. Il a abandonné ma mère alors qu’elle était à sa dernière semaine de grossesse, il disait qu’il ne pouvait plus supporter cette grossesse, qu’il n’avait jamais demandé à être père & qu’il avait rencontré une fille qu’il aimait et que eux aussi allait avoir un enfant. Ma mère fut sous le choque… Il a osé la tromper, allez voir ailleurs parce qu’elle portait leur enfant, parce qu’elle me portait. Il n’a jamais voulu de moi, et ne me voudra jamais ! Alors, je naquis son le nom de famille de ma mère, pour ne pas retrouver plus tard la trace de mon père biologique & je n’en voulu jamais à ma mère pour cette attention. Elle me nomma Jaimie-Rose Prune St James. Jaimie car ce prénom lui plaisais & Rose pour son prénom dans le mien. Ce prénom devait réunir uniquement elle et moi, j’étais sa chair & son sang. J’ai toujours trouvé que Prune était un prénom ridicule pour une personne. Prune c’est quoi ? C’est une couleur ? C’est un fruit ? Si ma mère avait choisi Prune c’était pour la couleur de la robe de sa mère qu’elle n’a jamais connu. Elle avait juste une photo où sa mère posait avec cette fameuse robe couleur prune. Ma foi, pourquoi pas ?… Et bien entendu St James pour son nom.

J’étais heureuse avec ma mère, nous étions qu’elle et moi, c’était parfait. C’était le foyer que n’importe quel enfant rêvait. Je me souviens encore de madame Fingings, notre voisine, qui me disait toujours : « Si j’avais eu une fille comme toi, je l’aurais bichonné autant que ta mère ! », sa aurait pu être mignon mais ces longues griffes & ses cheveux gras me faisaient peur à l’époque alors, je serrais ma poupée contre moi, la bouche grande ouverte & hochait la tête. Ce fut quelques jours avant mon 9ème anniversaire, le 26 février, que ma mère eut une soudaine crise cardiaque, cela frappa aussi fort que l’assiette qu’elle tenait dans les mains contre le sol. J’étais pied nu sur le carrelage froid et tenta de l’appeler sans la toucher, j’avais peur de mourir à mon tour si je la touchais. Alors je courus bêtement me réfugier dans ma chambre en pleurant. Je ne savais pas quoi faire, je ne savais pas qui avertir, je ne savais pas pourquoi elle était morte. Quelques heures après, madame Fingings sonna à la porte pour nous emprunter du sucre. Lorsque j’ouvris la porte, elle se douta qu quelque chose c’était passé & arrivée à la cuisine, elle poussa un cri effroyable. Parfois, la nuit je l’entends encore crier. Elle appela les secours & aussi un membre de ma famille. S’agissait-il d’oncle Horton ? Je l’appréciait beaucoup, il faisait des spectacles de marionnettes qui me faisaient toujours rire. Je dormis chez elle la première nuit, enfin, j’avais essayé mais je voulais ma mère. J’avais pleuré toute la soirée & m’était écroulé peu avant minuit. Le lendemain matin, madame Fingings m’aida à faire mes valises, et nous partîmes à Londres rencontrer mon tuteur. Je ne savais toujours pas de qui il s’agissait mais, peu importe qui il était, sa maison aurait été toujours plus accueillante que celle de madame Fingings. Lorsque nous arrivâmes devant le foyer, je distingua sur la boîte aux lettres le nom « Gordon », je ne connaissais pas de Gordon… Madame Figings me présenta à Jonathan, mon père. Ah. Alors c’était lui ? C’était lui qui avait les mêmes yeux que moi. Je serra ma poupée Molly et ne lui adressa pas un seul mot, ni à ma belle-mère Jenny, ni à ma demi-sœur Deborah. Je ne leur avaient pas demandés de m’accueillir, je voulais retourner à la maison ! Il ne se passa pas un soir où je pleurais la mémoire de ma mère, elle me manquait, rien ne pouvait la remplacer. J’étais sa chair, son sang. C’était elle & moi… Il ne restait plus que moi.

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CHAPITRE II
Un amour de parisien


Au fur & à mesure, j’eus appris à apprécier ma demi-sœur Deborah. Elle me rappelait ma mère parfois, nous avions le même âge mais, elle me brossait les cheveux, elle me portait mon sac lorsque j’avais mal à l’épaule, elle allait acheter du pain… Oui, je commençais à aimer ma demi-sœur. Nous avions un lien fort, elle était ma meilleure amie, c’était ma jumelle. Avec le reste de la soit-disant famille, je les appelaient par leur noms et ne leur racontait pas ma journée comme le faisait Deobrah. C’était normal, elle pouvait tout dire à ses parents… Pour moi ils n’étaient que des étrangers, je ne leur devais rien et ils ne me devaient rien non plus. Si Jonathan m’avait recueilli c’était par culpabilité, pour se persuader que le temps perdu on peut le rattraper : FOUTAISE. La seule chose qu’il m’apportait, c’était de m’emmener chaque été dans le sud de la France pour aller voir ma meilleure amie : Annabelle. Cette fille m’étonnera toujours, malgré que je la connaisse par cœur ! Elle était pétillante & pleine de vie, une fois par an, elle me faisait vivre un été de rêve, et celui jusqu’à mes 18 ans puisqu’elle déménagea à Paris. Deborah & moi rêvions de vivre un jour à Paris. A force d’aller rendre visite à Annabelle, je tomba amoureuse de la ville & j’eus de plus en plus de mal à quitter Annabelle et à aller dans l’Eurostar. Alors Deborah eut l’idée de folle d’aller emménager à notre tour à Paris. Oui, complètement folle mais je n’hésita pas deux fois ! Je fus admise à l’université Descartes & elle Paris Panthéon ! Nous poursuivîmes nos études et lorsque je rentra en internat, je décida que mon salaire allait m’être utile à payer mon propre appartement ( Bye bye Debo ! ). Je m’installa dans un bel appartement dans le 6ème, au dernier étage dans un coin tranquille. Mon internat en médecin se passa très bien, je voulais devenir diagnosticienne, c’est-à-dire que je prenais un cas & je devais diagnostiquer sa maladie pour le guérir. Bien sûr, les cas que je choisissais étaient les cas où aucuns cancérologues, cardiologues ou encore pédiatres n’avaient pu guérir la maladie. J’aimais la médecine, je parlais médecine : j’étais faite pour être médecin & je voulais être la meilleure ! Je ne pensais qu’à ma carrière & rien d’autre mais, soudain…

Lucas. C’était son prénom. Lorsque je l’ai rencontré, il venait de décrocher un contrat à la maison de la radio pour animer une émission à l’antenne. On était à une soirée chez un ami dans le 14ème arrondissement. Il m’avait repéré de loin, je l’avais repéré de loin mais, n’ayant jamais abordé de garçons, je ne savais pas si c’était lui qui devait venir à moi ou si c’était moi… C’était bête comme question mais, c’est lui qui fit le premier pas. Nous discutâmes longuement prêt de la fenêtre pour échapper à la chaleur & à toutes ses cigarettes allumés pour faire place au calme & aux premiers émois amoureux. Manque de chance, ce soir-là il rentra avec une fille, qui s’appelait Carole ou Carine, je ne sais plus bien. Je lui en ai voulu, oh oui. Je me sentais amoureuse de lui et, lui était reparti avec une autre ! Il m’envoya des dizaines de sms mais je n’y répondis pas, aucuns appels reçus ne furent décrochés. Ce fut un mardi, je m’en souviens encore, il avait été admis à l’hôpital pour un lavage d’estomac. Nous parlâmes une nouvelle fois & j’accepta de prendre un verre avec lui. C’est alors qu’une belle idylle amoureuse commença. Jaimie était enfin heureuse, elle avait un travail, un petit ami & un but dans la vie ! Mais, cela n’allait pas duré, c’était trop beau pour croire que le malheur avait choisi une autre cible que Jaimie ! Lors d’une énième soirée en compagnie d’une amie, Jaimie aperçut Lucas entrain d’embrasser et plotter une fille. La douleur qu’elle avait ressenti lors de la mort de sa mère. Elle se jura de ne jamais pardonner Lucas d’avoir tant jouer avec son cœur, cette histoire la rendit malade. Elle eut des difficultés à sortir, elle était souvent cloîtré au lit et manger tout ce qui lui passait sous la main ! La déprime ? Vu son état, il ne pouvait y avoir que sa. Cela fait 3 semaines que Jaimie a rompu avec Lucas, elle commence à accepter son absence & compense en allant faire la fête ou en plongeant dans son travail. Son travail est sa seule valeur sur, oui, le travail & seulement le travail.
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