❝La franchise ne consiste pas à dire ce qu'on pense, mais à penser ce qu'on dit. ❞
ye m'aime, pas toi?
Âge, date et lieu de naissance ⇝ 22 ans, 23 Juin 1990, Paris.Statut ⇝ Célibataire. Nationalité ⇝ Franco-Anglaise. Métier/Études ⇝ Journaliste de mode. Sexualité ⇝Hétérosexuelle Groupe ⇝ La Javanaise.
je veux en savoir un peu plus.
extravertie ⇝ sociable ⇝ hyperactive⇝ vient d'une famille bourgeoise ⇝ donne trop vite sa confiance ⇝ bavarde ⇝ jalouse ⇝ sincère ⇝ sensible ⇝ déteste pleurer en public ⇝ a tendance à juger trop vite⇝ ne croit plus en l'amour
et toi, et toi, et toi ?
Votre pseudo sur le net ⇝ yass Où avez vous connu OLLP ⇝ PRD. Age ⇝ 16 ans (:. Présence sur le forum ⇝ au moins pendant les WE. Votre avatar ⇝ la magnifique frida gustavsson. Pour nous aider ⇝ écrire ici. (remplir correctement avec les codes indiqués plus bas, cela nous permettra lors de votre validation, de vous inscrire dans le bottin des avatars.)
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[color=#FF0080]▬▬[/color] <b>Frida Gustavsson</b> ◈ Daphné A. Emerson
Dernière édition par Daphné A. Emerson le Mer 22 Fév - 23:12, édité 6 fois
Je regardais mes parents un instant avant de retourner dans ma chambre pour remplir mon sac de quelques babioles dont je ne pouvais me séparer. Un baume à lèvres au gout de framboise qui mettait mes lèvres en valeur, un petit flacon de parfum Dior, et enfin la montre que m'obligeait à porter mon père. Papa, John Emerson, était un franco-anglais issu de la haute bourgeoisie anglaise qui était revenu à Paris depuis une vingtaine d'années, après son mariage avec ma mère. Celle-ci, Rose de Nerval, faisait évidemment partie son tour de l'aristocratie française, et c'est notamment lors d'un grand bal organisé à Paris que les deux familles s'étaient rencontrées. On n'avait demandé l'avis ni à l'un ni à l'autre: il était décidé qu'ils seraient mariés. Une immense réception se déroula près d'un an plus tard pour témoigner de cette union. Et voilà où ils en étaient vingt ans plus tard: au même stade, si ce n'est une fille en plus sur les bras. J'aurais été de mauvaise foi de dire qu'ils ne s'occupaient jamais de moi, et qu'ils préféraient plutôt me confier à la femme de chambre Lisette au poste depuis une dizaine d'années, mais je n'avais jamais eu aucun contact fusionnel, ni avec ma mère, ni avec mon père, comme si on vivait encore au 18e siècle en gros. On ne se faisait pas de câlins, pas de bisous, et on disait encore moins "je t'aime". Non, tout ce qui témoignait de l'amour était banni dans l'immense appartement de 250 m2 situé dans le 16e arrondissement de Paris, il n'en restait plus que des pales et froides embrassades lors de grandes occasions, pendant lesquelles ces contacts-ci étaient de rigueur. Je les regardais une nouvelle fois et ne pu m'empêcher de sourire. Père, à sa place habituelle sur le grand fauteuil en cuir, lisait le journal, ses lunettes sur le bout du nez, tandis que Mère était près de la cheminée, une tasse de thé sur les genoux, un petit doigt en l'air, et le regard vague comme toujours. Elle fixait toujours la fenêtre et la noirceur du paysage, et, comme à chaque fois que je l'observais dans un tel état, je me demandai ce à quoi elle pensait. Regrettait-elle son mariage et sa vie? Oui, ce devait etre ça, puisque rien, rien dans son comportement ne laissait supposer le moindre geste amoureux de sa part. Elle était d'une froideur à faire peur. Je ne pus m'empêcher de sourire en me demandant également comment ils avaient fait pour passer à l'acte, cet acte justement d'amour qui avait mener à ma naissance. J'haussai vaguement les épaules et, une fois mon sac prêt, et mon manteau sur les épaules, je fis un pas dans le salon dont la superficie était égale à certains appartements des quartiers pauvres de la capitale:« Je m'en vais maintenant. J'en aurais pour quelques heures. Ne vous inquiétez pas, je serai de retour vers 20h30 pour le diner. Ne m'attendez pas si j'ai du retard.» Mon père, toujours plongé dans son journal ne daigna pas lever les yeux tandis que le regard de Rose vacilla brusquement vers moi. « A cette heure-ci? Vraiment, les Bourgeons ont une fâcheuse tendance à relâcher l'éducation de leur fille.» Je me retenais à grande peine de lever les yeux au ciel. Il n'était que cinq heures trente, elle pouvait me lâcher deux secondes! «Mère, s'il vous plait, il s'agit de cours à étudier. Nous serons chez elle, vous n'avez rien à craindre!» Ma mère ouvrit la bouche pour protester une nouvelle fois, mais cette fois-ci, mon père intervint d'une voix forte et autoritaire. «Rose, ça suffit! Quand est-ce que tu vas enfin faire confiance à ta fille? Elle n'est plus une enfant, elle a seize ans, ne l'oublie pas! Va Daphné, mais rentre à l'heure. Et passe le bonjour à Roger.». Je souris d'un air entendu le remerciant par la pensée, et me précipitant vers la sortie. Cela n'avait pas été facile, comme à chaque fois que j'essayai de devenir un minimum indépendante, mais j'allais enfin pouvoir le voir. Le pauvre devait attendre dans le froid glacial parisien.
Dès que je fus hors de vue de la maison, je me mis à courir. Rose était vraiment une folle de la vie. J'étais certaine que si elle l'avait pu, elle m'aurait espionnée ou plutôt, non, elle aurait envoyé Lisette le faire. Bouffone, heureusement que père était là pour la modérer un peu dans ses excès de folie sinon on était pas sortis. Tout en courant dans l'immense allée qui me conduisait au lieu de nos rendez-vous habituel, je me pris une sorte de caillou qui manqua de me faire tomber «Connerie!» Oui, comme vous aviez du le remarquer, dès je me trouvais hors de l'appartement, j'étais soudainement beaucoup plus vulgaire et avait lâché cet air angélique. Je continuai à courir, espérant qu'il ne s'inquiéterait pas de mon retard. Puis finalement, je le vis, et, comme toutes les fois où je le voyais de loin, je ne pus m'empêcher de savourer la vue qui s'offrait à moi. Il était ..magnifique. Grand, les cheveux bruns, une pilosité plus ou moins importante sans être le fils de la foret amazonienne, bref il était parfait sauf..qu'il avait avait 22 ans. Et qu'il ne faisait pas parti de la classe bourgeoise de la société. Ca posait pas mal de souci, malgré cette soit-disant "ouverture des esprits". Ouverture rien du tout ouais! Si j'osais le présenter à mes parents, non seulement je ne pourrais plus jamais le revoir, mais j'aurais droit à un exil au fin fond de la Sibérie. Avec une énorme baffe en plus. Donc merci, mais non merci. Je préférai encore mentir et le retrouver en cachette. Et puis avouons-le: c'était tellement plus excitant. Lorsqu'il me vit arriver, il fit un pas vers moi et je sautais à son cou pour l'embrasser avec ferveur. Miam, il sentait le parfum Calvin Klein que je lui avais offert pour sa fête. Jérome me regarda avec amour dans les yeux, avant de m'attirer à lui. « T'as mis du temps! Les vieux voulaient pas te lâcher?» Je souris et collai ma tête à son torse.«Rose, surtout, était trop relou. Je te jure que si on fait prendre, ce sera par elle! Honnêtement, ça m'étonnerait pas qu'elle ait demandé à toutes ses potes bourgeoises de merde de me surveiller.» Je tournai mon visage vers lui, qui devait bien faire une bonne dizaine de centimètres de plus que moi, et lui dis d'un air aguicheur «On va chez toi? J'ai besoin de me réchauffer et je sais que toi aussi..Grouille, j'ai que jusqu'à 8h30 sinon ils me font un crise.» Jérome me renvoya ce sourire coquin puis me murmura à l'oreille d'une voix suave. « Tu sais très bien pour ce genre de choses, je saurais toujours me grouiller.» Il me prit ensuite la main tendrement comme si il assumait clairement d'être avec une fille de seize ans et héla un taxi. Je soupirai d'aise. La soirée, bien qu'il soit à peine six heures, s'annonçait particulièrement réjouissante.
ß ß ß
Il avait l'air agité, et c'était bien la première fois qu'il me donnait rendez-vous en plein jour, à la vue de tous. Etait-il devenu complètement fou, ou avait-il simplement oublié les conséquences de ce qui adviendrait si nous étions découverts? Il s'arrêta net lorsqu'il me vit arriver. « Il se passe quoi là? Tu sais que j'ai bien galéré à échapper à mes parents? Heureusement, j'crois qu'ils se doutent de rien.» Jérome ne semblait même pas m'avoir entendue puisque trop absorbé par ses propres pensées pour m'écouter. Quelque chose n'allait pas, je le savais, je le sentais, cela faisait maintenant huit mois que nous étions ensemble, et je le connaissais par coeur. Quelque chose clochait. Je m'approchais doucement de lui, et lui touchai le bras . « Tu m'as entendue?» Un silence s'ensuit à cette interrogation pendant lequel je fixai son visage tandis que son regard était rivé au sol. Ce serait pas mal qu'il réponde tout de même, ça nous ferait gagner du temps: il savait très bien à quel point j'avais horreur d'être ignorée, alors pourquoi n'ouvrait-il pas la bouche bordel de merde? Puis finalement, après quelques minutes qui me parurent des heures, il releva les yeux pour les planter dans les miens, mais m'écarta presque violemment de lui.«C'est fini Daphné. C'est fini ces conneries. On arrête tous les deux.» Tout mon monde s'écroula en une seule seconde, en une seule parole. Je tentai de garder malgré tout mon calme.«Tu m'expliques? Ca t'es venu comme ça alors qu'hier on était tous les deux en train de baiser dans ton pieu? Bah j'sais pas, raconte un minimum merde.» Il soupira alors et ferma les yeux quelques instants. Ces marques de faiblesse, à défaut de m'inspirer de la pitié accentuèrent la colère que je ressentais à ce moment-là.« Sois un homme Jérome, vas-y bordel, explique! Assume.» Finalement, il rouvrit les yeux lentement, et ouvra la bouche pour me parler d'une voix doucereuse qui me parut presque stridente tellement elle était fausse. «J'ai compris...j'ai compris que nous deux on avait pas d'avenir. Regarde-nous deux secondes. Toi, en terminale, fille d'une famille aristocrate française et moi, en master 2, 23 ans, d'une famille que tes parents qualifieraient de "classe ouvrière". On allait nulle part Daphné, tu le sais, on se faisait des films. Mais c'est pas de ta faute, tu n'es pas assez mature, c'est moi qui.. » Je l'arrêtais par un cri en me jetant dans ses bras. « Dis pas ça! On s'en fout de mes parents, t'entends? J'en ai rien à foutre! On s'enfuira et..et..on se mariera et..on aura des enfants..tu peux pas m'abandonner..» J'avais commencé à sangloter, chose que je détestais faire en public tandis qu'il me repoussait lentement, mais avec force. Il m'avait regardé dans les yeux avant de dire «Je suis désolée, j'aurais aimé que ça se passe autrement. Adieu, tu me reverras plus jamais.» Je m'étais une nouvelle fois jetée sur lui, ayant depuis longtemps perdu toute dignité, et l'avais empoigné pour le retenir. Exaspéré, il m'avait écarté d'un geste d'une telle violence que je tombai à terre. « Bordel, tu comprends pas que j'ai rencontré une autre fille? Quelqu'un avec qui j'aurais pas honte de marcher? Quelqu'un qui me ressemble? Ca t'a pas traversé l'esprit? Alors j'te le dis. Et n'essaie pas de me retrouver Daphné, je t'en interdis. Tu dois m'oublier. Ces mois avec toi, c'était..(il ferma les yeux et dans un dernier mouvement de souffrance balança), c'était simplement pour rigoler. T'es rien pour moi alors..casse-toi. Enfin non, c'est moi qui pars, salut. ». Je l'avais regardé partir sans se retourner, et avais observé son dos docile et musclé qui ne trahissait aucun sentiment de remord ou de ressentiment. J'étais restée là, assise sur le trottoir, telle une catin, les yeux dégoulinant de noir, les souvenirs qui me traversaient le coeur par leur netteté, et le sentiment d'avoir raté ma vie à dix sept ans.
Dernière édition par Daphné A. Emerson le Mer 22 Fév - 23:18, édité 7 fois
YASS, putain. Je t'aime, tu le sais ça ? jor, ahahah, comment je m'attendais pas à te voir ici. Mais ohlala. - en plus, j'avais pris Frida en DC, mais je l'ai suppr -
T'as fais un choix de BG meuf, comme d'hab. Et ton pseudo. T'as intérêt de me réserver le meilleur de tes liens ou je te botte les fesses. (a)
Léonie: c'est moi qui te bénies, sans toi j'en serais encore là, en mode clodo sans avatar :heartt: et ce sera avec graaaaand plaisir pour le lien
Laurie: COMMENT JE SUIS TROP HEUREUSE! Tu le sais ça, hein tu le sais ça? joteeeem à la folie baaaabe heureusement que t'as abandonné Frida alors merci ma grosse, ton avatar déchire tout aussi, et EVID que t'auras le meilleur des liens t'as cru quoi?
Julia/Liam: HAAAAAAAAAAN :gaeljer: tu m'as manqué avec tes -meurt- (a) J'exige un lien sa mère en string de guerre vu que j'ai bien capté que t'avais kiffé l'expression héhé
Mars: OH OH OHHHHHHHHHHHHH MAIS EPOUSE-MOI MON ENFANT ! avec un avatar(RJ KING ) pareil j'peux difficilement refuser mais y'a que des bg par ici c'est ouf !
T'auras le plus beau mariage, et j'te ferai plein de bébés magnifiques & on fera l'amour tous les matins & soirs jusqu'à ce que mort s'en suive hé hé (a) J'ai hâte de voir ce que tu vas faire de ta petite Daphné (a)
mais mais..tu sais que je t'aiiiiiime toi? GENRE VRAIMENT TOUS LES MATINS &SOIRS ? et j'ai le droit les après-midi de 2 à 4h aussi? (va vraiment falloir que je calme mes ardeurs moi )
ahah, le pire c'est que j'ai pas encore d'idée précise pour elle..on y va en freestyle wesh!
Laurie: COMMENT JE SUIS TROP HEUREUSE! Tu le sais ça, hein tu le sais ça? joteeeem à la folie baaaabe heureusement que t'as abandonné Frida alors merci ma grosse, ton avatar déchire tout aussi, et EVID que t'auras le meilleur des liens t'as cru quoi?
AHAHAHAH. Yass ou comment t'afficher en trois secondes. "Laurie" omg.. je te déteste là. :roll: - mais vu que jotem et que tu m'a grave manqué, je vais pas en tenir compte. - ET AZY COMMENT QUE J'SUIS TROP HAPPY AUSSI. J'étais en mode folle furieuse devant mon pc, genre comme ça : ET MOI AUSSI JOTEEEEM A LA FOLIE, des folies même. et ahah, ouais, t'as eu de la chance, je l'ai suppr y'a deux jours. Elsa Hosk, normal babe. OUAIS. Faudra que tu me mpotte quand t'aura une idée de ce que tu veux en faire de ta Daphné. :heartt:
Ella Maresquo membre
✧ ÂGE : vingt et quatre. ✧ JOB : assistante sociale dans une association ✧ COEUR : célibataire. ✧ MESSAGES : 11185 ✧ HERE SINCE : 07/05/2011
mais mais..tu sais que je t'aiiiiiime toi? GENRE VRAIMENT TOUS LES MATINS &SOIRS ? et j'ai le droit les après-midi de 2 à 4h aussi? (va vraiment falloir que je calme mes ardeurs moi )
ahah, le pire c'est que j'ai pas encore d'idée précise pour elle..on y va en freestyle wesh!
tu m'aimes, je t'aime...On dirait presque un remake d'un conte Disney lalalère (en plus trash ) parce-que t'as une bonne bouille qui me fait bander, je t'accorde aussi mes après-midi (a) /commejesuistropsympa!
moi non plus j'avais pas d'idées de mon perso au début, j'ai fait ça au feeling
LAURIE LAURIE LAURIE : avoue tu m'aimes trooooooooooooop malgré le fait..que je t'appelles par ton prénom N'AIE PAS HONTE bref oui oui, j'te mpotte don't worry jotem
Alexie: BLAKE :heartt: elle est belle hein Frida ? J'suis contente qu'elle plaise autant en tout cas
Mars: RAAAAAWRRRRR MON AMUUUUUUR "Disney Trash, la nouvelle chaine Disney..pour les adultes." j'imagine trop les gros porcs regarder avec envie tsais miam miam ! bref bref, si tu m'accordes tes aprem, alors là j'suis comblée
bon là, j'ai déjà un peu plus une idée, on progresse, on progresse!
Dernière édition par Daphné A. Emerson le Mer 22 Fév - 23:18, édité 1 fois
Félicitation, tu es désormais officiellement un Ooh la la Parisien. Nous t'invitons maintenant à faire grandir ton personnage parmi nous à travers les liens et les topics. De plus, Ooh la la Paris adhère au système facebook qui consiste à créer un vrai compte facebook à ton personnage afin de faciliter l'intégration avec les autres membres du forum. Évidemment, la chatbox et le flood sont deux autres moyens très efficaces et nous vous encourageons à y participer pour connaître l'ambiance de fou qui règne ici. Si les moyens cités plus haut sont inefficaces, n'hésite surtout pas à demander à un administrateur ou à un habitué d'ollp de te parrainer. Nous te souhaitons de merveilleux moments parmi nous et nous espérons que tu pourras trouver ton bonheur ici.