« Lou-Anne et Alexie »


Cette matinée devait-être magnifique est pourtant rien de cela arriva. Déjà, je me réveillai en retard et j'ai du me presser pour arrivé tout de même en retard au lieu ou nous tournions la première scène du film. Forte heureusement, il n'y eut aucun problème en cela. Une fois que j'eus finit de tourner des scènes, j'étais partie manger un petit quelque chose au restaurant pas loin de là. Malheureusement pour moi, j'eus le malheur d'avoir en face de moi au restaurant, un espère de casse pied qui n'arrêtait pas de me reluquer toute les deux minutes. Il ne lui fallut que cinq minutes pour venir m'accoster. Autant dire que j'aurais préféré rester seule ! Cependant, pendant que celui-ci papoter avec moi, je ne faisais que penser à Lou-Anne. La jeune femme avait ce petit quelque chose qui me rappelait mon ex. Et, ce petit quelque chose me faisait craquer. Je n'avais pourtant pas pour habitude de faire de réelle relation avec une femme, sachant que je cache plutôt cet aspect de ma personnalité mais cette jeune femme à sut me séduire et ça depuis ma rencontre avec elle. Et puis ce baiser échangé. Enfin si on peut appeler ça échanger. Elle m'a repoussé certes, mais j'ai senti dans son regard une once d'hésitation. Elle était perdue à ce moment-là. Elle ne savait plus trop quoi penser surement et ne savait que faire. Alors elle a préféré me laisser seule. Depuis, je ne l'ai toujours pas revue même-ci j'espère un jour, la revoir, car je sais très bien que c'est loin d'être fini entre nous. Elle devait surement être dans cette passe si difficile. Cette passe, qui signifie tant de choses. Nous n'avons plus de repères, nous sommes perdus. Nous ne savons que faire alors nous préférons éviter la personne qui vous fait cet effet si bizarre. Il se pouvait aussi que je me fasse des films, elle est peut-être ce genre de jeune femme qui préfère éviter ce genre de relation sachant qu'elles sont vraiment hétérosexuelle et rien d'autre.

Quand j'eus fini de manger, le casse-pied était toujours là, mais j'osais enfin le quitter pour marcher un peu jusqu'au parc de la Vilette. Je voulais visiter un peu plus Paris, ses alentours et tout. Et sachant que j'avais toute mon après-midi, tout m'était possible. Et sa serait aussi l'occasion d'apercevoir peut-être Lou-Anne. je marchais, encore et encore, posant mon regard sur divers choses jusqu'à elle. Ses yeux, ses cheveux, son physique. C'était elle. J'accourais alors derrière elle jusqu'à lui faire face et lui dire :

- Lou-Anne ! Il faut que nous parlons !