❥ Ziggy Dove Zahri

Âge, date et lieu de naissance ⇝ J’ai déjà 27 ans. Né à Jérusalem le 2 janvier 1985. J’aime bien le préciser d’ailleurs, ça donne un petit exotisme n’est-ce pas ? Statut ⇝ Oui je sais, à mon âge on se mari, et on a déjà trois gosses à charge. – Oué quand on ne connait pas le sens du mot pilule. Mais moi, je dois être accro à la solitude, un truc comme ça. Célibataire. Nationalité ⇝ Né à Jérusalem en Israël, je suis Israëlien. Métier/Études ⇝ Ancien livreur, j’ai été expatrié en France par ma compagnie, mais ayant perdu ma place entre temps, j’ai enfin trouvé ma voix. Je suis tatoueur (sur peau). Sexualité ⇝ C'est-à-dire ? Parce qu’il y a des hommes qui sont capables de se priver des grands canyons ?! Hétérosexuel. Groupe ⇝ Un autre monde. J’sais pas pourquoi. Juste parce que le romantisme, c’est pas pour moi, et les larmes non plus.

⇝ Accro aux cacahuètes. Il peut en avaler un nombre incalculable de paquets par jour.
⇝ Il cache une profonde aversion pour les dinosaures. Il a été choqué par les films de Jurasic Park quand il était plus jeune, et cauchemarde souvent de la renaissance des tyrannosaures… Ho bien sûr il préfère ne pas en parler. Avec ça il a tendance à ne pas approcher les zones des reptiles dans les Zoos.
⇝ Il fume bien trop et ce depuis des années. Mais quand il essai d’arrêter, il se ruine encore plus en cacahuètes…
⇝ Il a une peur bleu en avion, il s’assomme de somnifères quand il doit en prendre un.
⇝ Il déteste cuisiner, et quand il essai, il empoisonne ses invités. Alors ses placards sont pleins de plats préparés, et de quoi se faire des sandwichs.
⇝ Quand il est nerveux, il a du mal à tenir en place. Il s'appuie d'un pied à l'autre.
⇝ Grand musicien, il écrit beaucoup de textes et de musiques, qu’il interprète lui-même… Dans sa salle de bain. Il aurait certainement rêvé de percer dans le milieu, mais quand on lui fait remarquer que sa voix le mériterait, il leurre en affirmant que ça ne le fait pas rêver.

Votre pseudo sur le net ⇝ Bebop
Où avez vous connu OLLP ⇝ Par une demande de partenariat sur un autre forum.
Age ⇝ 23 y.o
Présence sur le forum ⇝ Je pense tous les jours.
Votre avatar ⇝ Bruno Mars
Pour nous aider ⇝

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[color=#FF0080]▬▬[/color] <b>Bruno Mars</b> ◈ Ziggy D. Zahri

« Je suis né il y a de cela déjà 27 ans, à Jérusalem, en Israël. J’étais un petit chanceux là bas. Ma mère, d’origines Hawaïenne mais née en Israël, héritières d’une grande famille, ne travaillait pas, pour s’occuper de nous. Je dis bien nous, car j’étais l’aîné d’une fratrie de huit enfants. Mon père lui, dirigeait une des plus grandes sociétés de livraison internationale à Jérusalem et dans le pays. Nous ne manquions de rien. Nous vivions dans un bon quartier, ou tout le monde se connaissait, bien qu’à mon gout, tout cela n’était qu’hypocrisie. Moi j’ai toujours eux les yeux ouverts sur ce monde. Je ne l’aimais pas. Je rêvais d’évasion, de pouvoir aller jouer avec les autres gosses dans les rues. Mais il fallait se plier à mon père qui dirigeait absolument tout à la maison. Et qui désirait entre autre, que ses gosses fassent de grandes études.
Moi les études, ça n’a jamais été mon fort. Il n’y avait que les langues pour les quelles j’étais plutôt doué. Au grand désarroi de mon père, qui rêvait de me voir reprendre la société familiale. C’était compréhensible après tout, j’étais l’aîné, son espoir. Surtout que derrière moi, il y avait trois filles avant mes frères, et que mon père a toujours été très bloqué sur le féminisme. Si ça ne tenait qu’à moi, j’aurais donné ma place à ma sœur, Ziva, qui n’a qu’un an de moins. Elle, elle est très intelligente, surdouée à l’école, calme, posée, très réfléchie. Elle aurait fait de grandes choses dans la société. Mais je n’ai jamais su entendre raison à mon père. Jusqu’au jour ou.
Ma majorité. A 18 ans, j’avais déjà entamé ma première année d’université, quand j’ai tenu violement la tête à mon père. Une vraie crise. Je voulais lui faire comprendre que je ne voulais pas faire d’études, et que je m’en sortirais très bien comme ça. Il a fini par lâcher l’affaire devant mon entêtement, me donnant une simple place de livreur dans sa société, m’assurant que je finirais par ramper à sa porte. Je suppose qu’il attend toujours. Et puis cette même année, il y a eu sa connerie de fiançailles. Il voulait que j’épouse la fille de son meilleur ami, que je reprenne des études pour l’honoré, et blablabla. S’en est découlé une nouvelle dispute, et comme nous étions aussi buté l’un que l’autre, j’ai profité de ce froid entre nous, pour postuler au recrutement de la société à Paris. M’évader, c’était tout ce dont j’avais besoin. Mon dossier à été accepté par les ressources humaines, sans même que mon père ne s’y oppose. Peut-être étais-je devenu une tâche sur son arbre généalogique. Quoi qu’il en soit, je suis parti. Sans lui dire au revoir. J’ai appris quelques mois après, qu’il avait brulé mes affaires restées à la maison, et avais affirmé que si j’osais remettre un pied là bas, j’en prendrais pour mon grade. Pourquoi ? Tout simplement parce que j’ai refusé qu’on guide ma vie, tout simplement parce que je voulais suivre mon propre chemin. Je n’ai plus jamais eu de nouvelle de mon père ou de ma mère. Mes frères et sœurs eux, m’écrivent dans l’ombre, grâce à ma tante, Yasmina. Une femme ouverte, contemporaine, qui m’a toujours soutenue. Je passe mes vacances chez elle quand je veux voir mes frères et sœurs sans que mes parents n’en sachent rien. Elle est une vraie mère pour moi.
Après avoir donc, tiré un trait sur ma famille en Israël, j’ai posé le pied sur le sol Français, à Paris. Je l’avoue, les débuts n’ont pas été très faciles. La langue Française a été difficile à acquérir, mais ayant toujours été attiré par les langues étrangères, j’ai très vite su me faire comprendre. Aujourd’hui mon français est d’ailleurs très bon, peut-être mieux que certains français. Mais il est toujours trahi par un sérieux accent.
Quelques jours après mon arrivé, j’ai repris mon ancien travail de livraison, mais à travers Paris. N’ayant pas le permis de conduire, c’était à vélo à l’époque.
Le permis, parlons en. J’ai tenté de l’obtenir à 20 ans, après avoir gagné assez pour le payer. Et je tente toujours de l’avoir… C’est une vraie galère en France. Un dos d’âne devient un Cassis, il faut mesurer la moindre distance, calculer la moindre distance, et moi, j’ai pas toujours un mètre ou une calculatrice dans les poches. Le vélo et le métro ont toujours été mes meilleurs amis.
Petit à petit, je me suis très bien intégré dans ma cité. J’avais de bons colocataires – enfin sauf la première année, quand la police nous a défoncer la porte pour attraper ce premier colocataire pour trafique de drogue ôo. De bons amis, un job qui me plaisait. Et j’ai fait la connaissance de Merlin. Non pas l’enchanteur, un pseudonyme. Un type dont je n’ai jamais connu la réelle identité. Un homme de couleur, d’au moins deux mètres, que tout le monde aimait appeler Tonton. Un type en or. Il m’a énormément aidé pour mon intégration, il m’a apprit tout ce qu’il fallait savoir sur Paris, les meilleurs endroits à fréquenter, les gens qu’il fallait éviter. Il était tatoueur, et je passais mon temps dans son salon après le boulot. Petit à petit je venais l’aider à ranger son cabinet le soir, et il a commencé l’air de rien, à m’apprendre l’art du tatouage, après avoir remarqué que j’avais un sacré coup de crayon. Sans vraiment que je n’en prenne conscience, ayant pris ça pour un simple amusement sur le coup, il m’a formé au métier de tatoueur sur peau. Et j’ai très vite jonglé entre son cabinet et mes livraisons, prenant une grande place dans son cabinet. En effet, je faisais les dessins que les clients cherchaient à se faire tatouer, ce que lui avait toujours eu du mal à opérer. Puis un jour, il m’a proposé de m’engager. C’était après tout, un bon moyen de me détacher totalement de ma famille, en quittant la société de mon père. Et je suis devenue tatoueur. On dit souvent que c’est un métier miteux, mais bien au contraire. Merlin est quelqu’un de très cool, il n’y jamais le moindre stresse dans sa boite. Et contrairement à ce que l’on pourrait penser, les tatouages sont en pleine expansions. Il y a toute sorte de clients aujourd’hui, de la jeune fille un peu timide qui cherche à s’affirmer avec un petit papillon dans la nuque, jusqu’au grand dealer de drogue qui pense en imposer en cachant la moindre parcelle de peau sous des litres d’encre. Il nous arrive même de voir défiler des célébrités dans notre salon, qui se fait de plus en plus connaître. Ce métier me plait vraiment. Je ne crois pas être quelqu’un de très ambitieux, je me laisse porter par les vents, je prends la vie comme elle vient. Mais honnêtement, je pense avoir réussis ma vie. Ho bien sur elle n’en est même pas la moitié, et je n’ai pas encore gagné la plus lourde bataille : Avoir ma propre famille. Mais je suis quelqu’un de bien dans ses baskets, qui a adopté la France depuis sept ans maintenant – A moins que ce ne soit la France qui m’ait adopté. Et pour rien au monde, je ne regretterais mes choix.