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| Sujet: « Dog days are over. » [Cameron L.] Ven 20 Jan - 14:15 | |
| “Dog days are over„ A ujourd'hui, j'avais rendez-vous avec ma jeune sœur, Cameron. Par chance, je en travaillais pas de la journée. J'étais libre de prendre mon temps pour déjeuner avec elle. Quant à Aaron, lui, bossait à l'hôpital. J'avais un jour de repos avant de reprendre le lendemain matin. Et pour ce jour de congés, j'avais décidé de la passé avec elle. Enfin, elle avait décidé pour moi. La connaissant, elle m'avait dit "on se retrouve demain pour le déjeuner au Andy Wahool". C'était Cameron et je l'aimais comme ça. Sans cette petite blonde, je ne sais pas ce que je ferais. Après qu'elle est squattée mon canapé - et mon lit au passage - pendant quelques mois, je dois bien avouer que son absence m'avait fait drôle. Mais je préférais de loin qu'elle est son chez elle plutôt que de voir ses vêtements étalé dans ma chambre ou dans la salon comme ces pièces faisaient parti de son dressing. Avoir une sœur chez soi est une véritable mission suicide. Heureusement, j'ai survécu, malgré ces intrusions continuelles dans mon lit alors que je dors habituellement dans le plus simple appareil. Au départ réticent et gêné, j'ai fini par m'y faire. Cameron était ma sœur après tout et quoi qu'il fasse je l'aimerais toujours de la même manière.
En me rendant au restaurant, je m'étais tout de suite mis en tête que j'arriverais le premier. Connaissant parfaitement la jeune Lefèvre, je pris tout mon temps pour prendre le métro. Près d'une vitre, j'observais Paris, la Tour Eiffel que j'apercevais entre les immeubles et les passants qui marchaient dans la rues. Je me perdais dans mes pensées lorsqu'un voyageur s'écroula presque devant moi. Tout le monde (ou presque) s’empressa autour de cet homme qui convulsait. Je me levais rapidement et écartais ces personnes. « Laissez-lui un peu d'air. Écartez-vous, s'il vous plait, je suis infirmier. » Je tentais de protéger la tête de cette personne pour qu'il n'est pas plus de dommage. je ne pouvais rien si ce n'est le mettre dans la position latérale de sécurité pour éviter qu'il n'avale sa langue. Je sortis alors mon téléphone portable pour appeler le numéro d'urgence. Lorsqu'une vois retentit, je commençais alors à décrire la situation. « Un homme d'une trentaine d'année est en train de faire une crise d'épilepsie dans le métro. Je l'ai protégé mais je ne peux rien faire sans le matériel nécessaire. On arrive bientôt à la station... » Je regardais alors les passagers pour qu'il m'aide sur notre prochaine destination. « Je suis sur la ligne 7 et on arrive à la station Châtelet. Dépêchez-vous, je vous attendrais sur les quais avec le patient. » Arrivé à la station en question, je réussis à sortir avec l'aide de deux autres personnes l'homme qui nous faisait une crise d'épilepsie. Le remettant dans la position de sécurité, je n'avais plus qu'à attendre les secours qui ne tardèrent pas. Je leur expliquais tout en détail et ils emmenèrent l'épileptique. Je soupirais. Avec cet imprévu, j'étais maintenant sûr d'être en retard. J'engouffrais alors dans les couloirs du métro pour attraper l'autre ligne qui me mènerait tout droit vers le 3ème arrondissement.
Je descendis et quittais enfin les souterrains pour sortir d'ici et me retrouver dans une foule de touristes. Je les esquivais avant de reprendre ma route en direction du restaurant. J'avais envoyé un sms à ma sœur pour ne pas qu'elle s'inquiète. Moi qui était toujours ponctuel, elle aurait été surprise de ne pas me trouver. Passant devant le restaurant, j'aperçus Cameron, je toquais à la vitre avant d'entrer et de la rejoindre. Je l'embrassais avant de m'asseoir en face de la demoiselle. « Excuses-moi pour le retard. J'ai eu un petit imprévu dans le métro. Un homme a fait une crise d'épilepsie et j'ai dû attendre les secours avant de pouvoir venir ici. » Je lui souris. « Et puis pour une fois que c'est moi qui arrive en dernier... » Je la taquinais et j'aimais cela. Depuis quelques années maintenant, notre relation avait évolué. Depuis ce jour tragique, nous nous étions rapprochés et plus rien ne pouvait nous séparer. Elle restait ma seule sœur. Je n'avais plus ce grand frère que j'admirais depuis tout petit. Cameron était devenu mon unique lien fraternel de la famille et je ne voulais pas la perdre. Bien qu'elle puisse quelques fois m'énerver, elle restait ma sœur, ma petite sœur que je devais protéger. « T'as déjà commandé quelque chose ? » Lui demandais-je alors en examinant la carte.
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| Sujet: Re: « Dog days are over. » [Cameron L.] Ven 20 Jan - 15:55 | |
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Cassandre & Cameron. Dog days are over. Uc Uc
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