« Mesdames et messieurs, sous vous applaudissement monsieur Savary. » Toute une salle se levait devant un homme d’une trentaine d’années, des cheveux légèrement blond vénitien, marchant sur la scène comme un nouveau diplômée le ferait, d’un pas décidée mais stressé a l’intérieure. « Mesdames, messieurs bonsoir. Je suis très heureux d’être parmi vous ce soir. Je tiens a vous dire qu’aujourd’hui est un jour très spéciale pour moi, ma fille vient de fêter ses dix ans et je ne peux être avec elle. Je suis venu pour vous parlé d’un projet qui me tiens a cœur. La coproduction du futur film de Spielberg. Cela sera un travail difficile a fournir, des jours sans dormir ou voir sa famille, tout ceux qui sont d’accord faites un pas en avant. ». Pendant ce temps la, c’était toujours la même chose, maman était a la maison, soignant sa petite fille et son petit garçon, pour leur donnée une bonne éducation. C’était toujours la même chose, il partait seulement avec un au revoir et sans rien dire. C’est comme si son travail compté plus que nous, comme si tout ça n’avait pas d’importance.

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« T’es vraiment qu’une salope » Encore une fois pour changé papa et maman se disputaient comme d’habitude, comme tout les vendredi soir. Cette fois si c’était différent. Papa venait d’apprendre que ma mère l’avait trompé il y a quelques semaines de ça, et qu’elle sortait avec l’autre personne en même temps. On entendait que ça, Charles voulait déménager et avec nous en prime. « Charles, Catherine. Je dois vous parlez.. C’était Jules, mon frère. Je pars en Irak la semaine prochaine. Je me suis engagée dans l’armée et je pars bientôt. Je tenais a vous le dire, j’ai toujours rêver de faire ce métier et j’espère que vous êtes fière de moi. ». A cette époque, je devais avoir douze ans et j’avoue que j’étais fière de mon frère comme personne.

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Nous voici, quelques années plus tard, j’ai seize ans et je viens d’arriver en France. Papa a finalement quitté maman depuis la mort de Jules il y a deux ans. Je m’en souviens comme si c’était hier .. Le téléphone avait sonné cette nuit la. « Madame, nous sommes vraiment désole .. » Mort pour la France, mort, tué comme un vulgaire lapin dans les champs. J’avais eu du mal a m’en remettre, d’ailleurs j’ai toujours du mal. Je savais que s’il ne serait pas dans l’armée il voudrait être réalisateur de film, en hommage a lui, après le lycée je devenais réalisatrice enfin plutôt en études pour le devenir.