Sujet: Tu veux bien de moi ? [Cyprien & Dimitri] Jeu 3 Nov - 18:44
Cela en était de trop je venais de me disputer avec mon père par un bon matin, en revenant chez moi, enfin chez nous, là où nous vivions avec mon père dans notre petit cocoon, sauf que j’avais eu une surprise de taille en voulant franchir le seuil de sa porte de chambre, j’avais trouvé là mon paternel et cette femme sur lui en tenue légère sur lui, ce ne fut autre que ma mère, cette femme qui m’avait mise au monde avant de m’abandonner !
Des éclats de voix avaient fusé ici et là mais le plus dur avait été cette révélation que je ne pouvais pas avaler. Même cette Mandy avait pris part à la discussion essayant de me dire de ne pas quitter le foyer familial, mais pour qui se prenait-elle ? Mon père avait eu une réaction violente en me balançant mon sac de voyage à l’autre bout de la pièce, j’étais perdue, triste, en colère, mais il m’était indispensable de quitter les lieux. Je ne pouvais jouer à la bonne famille et fermer les yeux sur ces 16 dernières années, c’était tout bonnement de la folie. Ils ne se rendaient pas compte de ma détresse ni du mal être qui m’habitait. Alors ayant quitté les lieux après que Mandy ait reçu un appel je décidais de partir pour aller je ne sais ou même si mon idée première était d’aller chez Cyprien, celui qui avait toujours été mon protecteur, alors mon sac sur l’épaule de bon matin je me rendis à son appartement avant de frapper, les larmes coulant à flots, Mandy venait de me séparer de mon père par sa présence, par son intrusion dans ma vie. Je me sentais incomprise, seule et dépitée.
Marchant dans les rues je vis enfin celle de Cyprien, dans le 11ème, je tournai au coin du pâté de maison avant de me retrouver face à sa porte au numéro 7 , sur son seuil essayant de contenir mes larmes mais au moment de toquer fortement et à plusieurs reprises, je ne pus m’empêcher de pleurer. Mon sac semblait peser une tonne tandis que je vis la porte s’ouvrir devant moi, pensant qu’il devait encore être couché à cette heure matinale, je le vis à peine vêtue, que ma première réaction fut de me jeter dans ses bras après avoir lâcher mon sac de voyage à même le sol.
Cyprien…dis –je en pleurer tout contre lui, telle une enfant, je ne savais que faire ni vers qui aller excepté lui, qui avait toujours été présent pour moi.
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Sujet: Re: Tu veux bien de moi ? [Cyprien & Dimitri] Ven 4 Nov - 1:52
Cela devait bien faire un peu plus de deux mois qu'il n'avait pas revu Sylvain, il n'avait aucune nouvelle de lui, ni de Marie sa petite protégée... En même temps depuis qu'il avait vu son protecteur, quoique lorsqu'il l'avait vu les rôles on été inversé Cyprien se retrouvant le protecteur et Sylvain le protégé... Et Cyprien ne sait toujours pas pourquoi son aîné a été dans cette état et cela avait longuement inquiétait le policier... Mais deux ou trois semaines plus tard un autre problème avait retenu son attention, ce problème avait un nom et un seul : Déborah... Cette garce avait envoyé son meilleur ami avec des potes tabasser Dimitri, sauf que lorsque c'est arrivé Cyprien ne se trouvait pas avec son homme, mais avec un étudiant en médecine du nom d'Aaron... Il n'était pas prêt d'oublié cette fin de journée, à l'hôpital... Il détestait cet endroit depuis qu'il avait dû aller identifié le corps de son père... Depuis ce jour-là, il détesté ce lieu où régnait la mort... Le policier avait bien entendu tout raconté à son homme, enfin surtout la partie où Déborah cherche à lui faire du mal, Cyp' était honnête avec son homme, quoiqu'il se passe il lui raconte... Et comme si cela ne suffisait pas et comme le dit le vieux proverbe « Jamais deux sans trois...» Et le troisième c'était Grayson, il l'avait croisé lorsqu'il été de garde avec Marc & Alex à la sortie d'une boîte de nuit. Cyprien avait longuement insisté auprès d'Alex pour qu'il relâche et après l'intervention de Marc, Alex avait fini par le relâché... C'est bien connu, Cyprien protège tout le monde et encore plus ses proches, alors imaginez un peu si jamais c'est Dim qui se retrouve en danger ? Cyprien fera sans doute pas de quartier ce jour-là... D'ailleurs en parlant de son prince charmant, avec lequel il vivait depuis qu'il avait atteint sa majorité, ce qui comblait de joie, le coeur du policier... Policier qui d'ailleurs venait de se réveillé avec son homme dans ses bras, ce qui le fit sourire tendrement. En faisant attention à ne pas le réveiller, car il savait que le sommeil c'était sacré pour son homme, il lui caressa avec amour les cheveux, en se demandant où ils pourraient bien allaient en vacances à noël. Un petit voyage en amoureux, pour être loin des problèmes durant quelques jours cela ne pouvait que leurs faire du bien... Cyprien réfléchissait, caressant toujours amoureusement les cheveux de son homme sans le réveiller, il ne voulait pas que son amour lui fasse la tête durant toute la matinée, alors qu'ils sont samedi... Cyprien venait de pensé à Disneyland Paris, il paraît que c'est beau à noël, pourquoi pas tient... Il fallait aussi qu'il cherche un cadeau de noël pour son prince charmant, tout un tas de chose à faire et si peu de temps... Il trouverait bien quelque chose de toute manière. Mais pour le moment il avait envie de réveiller son homme de la plus tendre et câline des manières, il commença par lui déposé de tendres petits baisers sur la joue, puis la mâchoire, pour finir dans son cou où il fit un petit suçon, petit mais visible. Pendant se temps-là ses mains se baladèrent avec amour sur le corps de son ange endormi, Cyprien abusait de son homme pendant qu'il était endormi ? Non ce n'est pas son genre, il préféré amplement quand son homme était réveiller. Cyprien, s'amusé à passé sa langue le long du torse de son homme, une fois qu'il arrivait au niveau du bas-ventre de son homme, il remonta le long de son torse... Il ne s'aperçu du réveil de son homme que lorsque ce dernier exigea plus, alors qu'il s’apprêta à faire une petite gâterie à son homme, il entendit cogné à la porte... Frustré ? Oui, il avait pas put finir ce qu'il avait commencé, de plus c'est comme s'il venait de réveillé son homme pour rien... Comme pour s'excusé le policier l'embrassa avec amour quelques secondes avant de se levé et d'enfiler son boxer et son jogging, enfin seulement le pantalon. Il avait fini par ouvrir la porte et qu'elle ne fut pas sa surprise en voyant sa petite protégée en larmes, ce fut la première chose qu'il avait vu et qui lui faisait mal au coeur par la même occasion, mais en moins de temps qu'il en fallait pour le dire, elle fut dans ses bras pleurant à chaudes larmes... Lorsqu'elle fut contre lui, il garda un bras autour de sa taille pour la garder contre lui et ferma la porte. Une fois chose, faite il la serra contre lui et la berça... Il imaginé le pire. « Je suis là ma puce, je suis là. » Il ne c'était certes pas attendu à ce que ça soit Marie qui vienne frapper chez lui de bon matin, le coupant dans un moment câlin avec son homme, qui d'ailleurs ne tarderait pas à faire son apparition, à moins qu'il ne boude toute la matinée d'avoir été interrompu... Il fini par emmener Marie s'asseoir sur le canapé et la reprit dans ses bras. « Raconte moi tout ma puce. »
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Sujet: Re: Tu veux bien de moi ? [Cyprien & Dimitri] Ven 4 Nov - 17:49
Je m’étais littéralement effondrée contre Cyprien, je ne savais plus ou aller et il était le seul à qui j’avais pensé, il était mon second père, toujours présent et prévenant. Il me serra dans ses bras ou je ne pus dégoiser un seul mot tant j’en avais sur le cœur alors refermant la porte derrière nous il m’attira sur le canapé ou je pleurais toujours et après un instant reprenant mon souffle le regardant je me calais contre lui essuyant les larmes qui coulaient le long de mes joues…
C’est mon père…je suis arrivée ce matin à l’appartement et là…et là, je l’ai vu avec elle, avec amandine. Elle est revenue dans nos vies, et on s’est disputé, papa m’a hurlé dessus et il a décidé de reprendre la vie commune avec elle, contre mon avis, il s’en fou royalement de ce que je peux ressentir alors…alors je suis partie, ils veulent être ensemble, et elle se permet de me dire des choses qu’elle n’a pas le droit, je suis toute seule maintenant, j’aurais jamais du revenir, et rester à l’internat au moins la bas on voulait bien de moi…
Je repartais en sanglot sachant que mon récit était presque dénué de sens, presque incompréhensible dans la logique des choses mais il fallait que je vide mon sac de quelques manières que ce soit.
Elle nous a abandonné et là elle est revient comme si de rien et mon père l’accueille les bras grands ouverts ! Ce n’est pas possible d’être autant aveugle, et je refuse de partager son…semblant de bonheur ! Elle n’est pas ma mère et le sera jamais, mais lui il se trouve dans une bulle avec elle et fais abstraction de tout ce qui l’entoure y compris moi. Soit je vais dans leur sens, sois ça n’ira pas ! J’ai pris mon sac, j’en ai profité pour les laisser à l’appartement tous les deux. J’espère qu’il n’aura pas de crise, je ne sais même pas si elle est au courant de son état de santé, surtout que son traitement ne semble plus tellement fonctionner…
Je ne savais si Cyprien était au courant ou non mais tout devait être extériorisé pour me sentir apaiser.
Je ne sais pas comment vont tourner les choses mais s’il te plait ne me renvois pas chez eux, je peux rester cii quelques temps, de plus mon internant est fermé pour les deux semaines à venir, pour des stages que les internes doivent effectuer à l’extérieur, s'il te plait Cyp’ garde moi cii, je me ferais toute petite et n’appelle pas mon père, il ne sait pas que je suis ici et je doute que cela l’inquiète…
Je reniflais me sentant quelques peu mieux même si j’avais cette crainte qu’il aille dans le sens de mon père et qu’il me dise que ma place n’était pas ici mais auprès de mes parents ? N’étais pas d’humeur à entendre des choses du genre « Laisse leur une chance ou autre » sinon sans Cyp à mes côtés je serais réellement seule.
Il y avait aussi cette révélation que j’avais faite à mes parents, celle que je m’étais faite agressée sexuellement, cette fameuse mauvaise passe, à trainer n’importe, ou, à ne pas rentrer, à boire et fumer des joints. Un soir de dispute j’avais grimpé en haut d’u immeuble complétement droguée, était montée sur le rebord en ouvrant les bras pour faire le saut de la mort mais Dim’ était la lui aussi, ne m’en étant pas rendu compte et grâce à lui j’étais aujourd’hui toujours en vie… J’attendais patiemment la réaction de Cyp lui avouant le reste sur mon comportement passé plus tard…
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Sujet: Re: Tu veux bien de moi ? [Cyprien & Dimitri] Sam 5 Nov - 2:21
Autant le dire, Cyprien n'avait pas apprécié d'être dérangé dans un moment comme celui-ci, il adorait réveiller son homme ainsi les week-end, bon il ne le faisait pas tout le temps non plus, il savait à quel point Dimitri tenait à ses heures de sommeil... Et bien, qu'il était frustré de ne pas être aller jusqu'au bout, lorsqu'il avait vu enfin aperçu Marie devant chez lui en larmes, il n'avait pas le courage de lui en vouloir, il avait plus envie de faire son rôle de protecteur, surtout lorsqu'elle vint se jeté contre lui. Après avoir fermé la porte, il les avaient guidés jusqu'au canapé, il la gardait contre lui écoutant son discours, bien que sa tenue n'était pas très adéquat, mais s'était pas très grave... Avoir des nouvelles de son protecteur de bon matin, lui faisait bien entendu plaisir, mais qu'il soit la raison des larmes de Marie, il ne pouvait pas lui pardonné... Amandine ? C'était qui celle-là encore ? Comment ça revenue ? Il avait loupé des épisodes encours de route... « Je ne pensais pas qu'on pouvait être ainsi avec sa propre fille... Mais si tu me racontais tout depuis le début ma puce, histoire que je comprenne ton état de détresse... Je suis désolé ma puce, j'aurais dû me faire plus présent pour toi ses dernières semaines...» Ben il fallait l'avoué, Cyprien était légèrement perdu, elle lui avait débité un flot de mot, mais il ne connaissait même pas le début de l'histoire, alors autant se renseigné, il la berçait doucement, tout en lui caressant les cheveux. Mais il comprenait le fait qu'elle veuille vider son sac et il l'écouta à nouveau parler, essayant tout de même de comprendre au fur et à mesure... Sa mère ? ? ! ! Cyprien était vraiment perdu, lui qui croyait qu'elle était morte... Il commençait à comprendre son état de détresse, il la serra tendrement contre lui, en lui déposant un baiser tendre baiser sur sa tête. État de santé ? Sylvain était malade ? Non, il ne l'avait pas enguirlandé car elle avait passé la nuit dehors, elle était déjà assez mal, sans qu'il en remette une couche. « Ne connaissant pas toute l'histoire, je vais m'abstenir de le traiter d'imbécile pour le moment. C'est ton père qui devrait pleurer en ce moment, pas toi ma puce, il n'aurait pas dû faire ce qu'il a fait, c'est égoïste de sa part, très égoïste. Et quand à cet Amandine c'est ça ? Je suis d'accord avec toi, elle ne sera jamais ta mère, une femme ne devient pas mère seulement parce qu'elle a mit au monde un enfant, cela va bien plus au-delà de ça... Comment ça son état de santé ? Qu'est-ce qui se passe avec Sylvain que je ne sais pas ? » Oui, bon c'est vrai il s'est permis de traité Sylvain d'égoïste, il fait passé ses besoins avant celui de sa fille et cela ne plaisait pas trop à Cyprien... Il avait toujours connu Sylvain être près à tout sacrifié pour sa fille, pleuré pour elle lorsqu'elle faisait des bêtises, lorsqu'elle découchait où bien lorsqu'elle se retrouvé au commissariat... Mais là, il avait l'impression que les rôles était inversé, enfin il ne savait pas comment Sylvain prenait le fait que sa fille soit partie du cocon "familiale", donc bon... Lorsqu'il avait parler d'Amandine, il avait parlé en connaissance de cause, sa mère l'avait mit au monde, mais elle ne l'a jamais élevé, pas un geste tendre... Il avait été élever par sa nounou... Dans un geste d'apaisement, il lui caressa tendrement les cheveux. « Chut, calmes-toi ma puce d'accord ? Il est hors de question que je te renvoie chez ton père, j'ai pas envie que la situation tourne mal... Très bien, si c'est ce que tu veux je ne dirais pas à ton père où tu te caches c'est promis. Au sujet de rester ici, pour moi ça ne me pose aucun soucis, mais je ne suis pas le seul à prendre la décision...» Comment annoncé à sa petite protégée, qu'il vivait en couple avec un homme de 18 ans ? Histoire qu'elle ne soit pas prise au dépourvu sur le fait qu'il vive avec un homme, il préféré le faire étape par étape... « Ma puce je ne suis plus avec Déborah... Je vis avec quelqu'un d'autre... Un homme pour être précis... » Lorsqu'il été encore avec Déborah, tout le monde mes as toujours considéré comme le couple parfait, jamais de disputes, jamais de break... Jusqu'à ce que Dim rentre dans sa vie... D'ailleurs en parlant de lui, Cyprien se demandé s'il comptait descendre un jours ou boudé encore dans leur chambre. Il se demandé s'il disait le reste des choses où s'il laissait son homme faire... « Il s'appelle Dimitri et il a 18 ans... » Il n'était pas censé connaître toute les fréquentations de son homme et comme elle les a dérangés dans un moment crucial, il n'avait pas envi qu'il soit désagréable ou grincheux avec elle.
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Sujet: Re: Tu veux bien de moi ? [Cyprien & Dimitri] Sam 5 Nov - 19:18
DIMITRI, MARIE & CYPRIEN ♥
Les heures de sommeil chez le lycéen c’est quelque chose de primordiale. Tous les jours de la semaine, il se lève à des heures matinales parce qu’il n’a pas d’autres choix que de mettre les pieds au lycée. L’heure à laquelle son réveil se met à retentir dans l’enceinte de la chambre est matinale mais l’heure à laquelle il décide de lever ses fesses du lit, l’est déjà moins puisque même s’il arrive très souvent en retard à cause de ça, il ne sort des couvertures que très peu de temps avant l’heure à laquelle comment son premier cours. Chaque minutes de sommeil est importante alors pas besoin de mettre des heures et des heures pour prendre une douche et enfiler trois vêtements. Alors c’est sans étonnement que le weekend est quelque chose de très important pour lui étant donné qu’il peut passer des heures et des heures bien au chaud sous la couette. Avec depuis quelques temps, les bras de son policier qui l’entoure. Là, c’est vraiment le paradis ! Aujourd’hui était l’exception. Tranquillement entrain de dormir, les lèvres de Cy’ sur son corps commencèrent à le réveiller petit à petit ce qui était loin d’être dérangeant. Un réveil comme celui-là, même un samedi matin, il ne pouvait pas râler. Pire encore, il en demandait plus. Seulement, un bruit extérieur retentit. Quelqu’un venait de toquer à la porte d’entrée. Evidemment une énorme grimace fit son apparition sur les lèvres du jeune homme qui n’eu pas vraiment le temps de râler puisqu’au presque aussitôt son charmant policier vînt poser ses lèvres pour un baiser de quelques secondes avant d’enfiler quelque chose afin d’être dans une tenue plus ou moins correcte pour ouvrir la porte. Quant à Dim’, dès que son homme avait passé la porte de la chambre, son regard rencontra l’heure du réveil. « Non mais ce n’est pas possible. Qui peut venir à cette heure là ? » Son visage vînt s’enfoncer dans son oreiller alors que son bras ramené la couette sur lui, le recouvrant en entier. Ca y est, le jeune homme était de très mauvaise humeur. Déjà quelqu’un venait les déranger un samedi matin alors que cette personne pourrait être sagement sous ses couvertures. Ensuite, son charmant policier avait eu la délicate intention de le réveiller en douceur d’une manière qu’il ne peut apprécier mais dont il n’avait pas pu profiter puisqu’il n’avait pas attendu une seconde de plus entre le moment où le bruit retentit et le moment où il l’embrassa pour s’enfuir de la chambre à toute jambe. Et pour terminer, Dim’ se retrouvait à présent réveillé, frustré. Du coup, c’était quasi certain qu’il ferait la tête pendant un moment. Au moins toute la matinée. Et le meilleur endroit pour la faire c’est en restant cloitrée sous sa couette, attendant patiemment le retour de Cy’. Seulement, il n’avait pas l’air d’être très pressé ce qui énervait le lycéen qui aurait bien voulu retrouver le sommeil tout contre lui. Quelques minutes après, encore plus ronchon qu’il l’était, Dim’ sortit de la chambre vêtu de son boxer et d’un tee-shirt à la recherche de son policier. En fait, il ne le cherchait pas vraiment. Puisqu’il l’avait abandonné, seul dans ce grand lit, il comptait le remplacer par son amant qu’est le chocolat. Avant de se rendre dans la cuisine, il était passé par le salon, croisant au passage Cy’ & une jeune fille, assis tous les deux sur le canapé. Ne faisant pas réellement attention à qui était la personne, bien que son regard s’était posé sur eux, il prononça quelques mots, continuant doucement son chemin vers la cuisine. « Ne faîtes pas attention à moi, je viens juste chercher du chocolat avant de me recoucher. » Mais après avoir fait trois petit pas de plus, il s’arrêta subitement, réfléchissant une demi-seconde à la personne qu’il venait de voir aux côtés de son charmant policier. Il fit un demi-tour, se retournant vers les deux intéressé, une mine fatiguée certes mais aussi surprise. « Marie ?! » Etant donné qu’il était loin d’être de très bonne humeur et encore moins d’être complètement éveillé, il voulait être sur de l’identité de la personne qu’il venait de reconnaitre. Il s’était rapproché du canapé et c’était bel et bien, elle. Et très vite, la question du pourquoi du comment elle est ici, vint traverser son esprit. « Mais … Qu’est ce que tu fais là ? Qu’est ce qui ce passe ? Tu vas bien ? » Il n’avait peut-être pas les yeux en face des trous mais il voyait quand même que quelque chose n’allait pas. En ce qui concerne le fait qu’elle discutait avec Cy’, soit qu’ils se connaissent déjà, ça ne lui avait pas traversé l’esprit pour le moment.
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Sujet: Re: Tu veux bien de moi ? [Cyprien & Dimitri] Dim 6 Nov - 12:40
Je n’avais même pas fait attention à l’heure qu’il pouvait être, que ma détresse fut telle que je voulais et devais aller dans un endroit où je trouverais des personnes de confiance tel que Cyprien, mon protecteur. Il était comme mon parrain, un second père même s’il n’avait rien à voir avec le mien. Cyp’ était peut-être plus ouvert, plus expressif, et surtout il n’allait pas par quatre chemin pour dire les choses ; combien de fois il m’avait sauvé la mise au commissariat, des fêtes qui dégénèrent ou lorsqu’on trainait dans les rues, ivres parfois ayant été ramassé sur la voie publique surtout lors de ma mauvaise passe de l’an dernier suite à mon agression sexuelle.
Pleurant et essayant d’évacuer toutes ces choses qui me rongeaient de l’intérieur, je ne savais si Cyp comprenait très bien la situation et s’il savait qui était Amandine ? Cyprien prit la parole lui aussi tentant de tout remettre dans l’ordre des choses même si ce que je racontais était plutôt fouillis ! « Je ne pensais pas qu'on pouvait être ainsi avec sa propre fille... Mais si tu me racontais tout depuis le début ma puce, histoire que je comprenne ton état de détresse... Je suis désolé ma puce, j'aurais dû me faire plus présent pour toi ses dernières semaines...»
Prenant une profonde inspiration je remis tout en place, mes pensées, mes émotions, et repris une respiration des plus normales du moins j’essayais de faire au mieux.
J’ai pas été très clean depuis l’an dernier je ne t’apprends rien mais ensuite j’ai décidé d’aller dans cet internat militaire pour soulager papa, je pensais que ça pourrait l’aider à vivre mieux, sans m’avoir dans les pattes mais lors de mon départ j’ai appris que ma mère était toujours vivante, qu’elle nous avait abandonné. Ça a été un tel choc ! Mon père parlait d’elle tout le temps au passé donc j’en avais déduit qu’elle était morte, on n’en parlait jamais à la maison et là j’apprends son existence, mais jamais je ne voudrais la voir, elle est partie c’est tout !
J’essuyais les larmes de mes joues avant de rendre mon récit.
J’ai eu une sorte de perm’ pour avoir été une élève modèle en si peu de temps et quand je suis rentrée tout s’est écroulé, j’ai appris que mon père était malade, il souffre d’une maladie auto immune, quelque chose comme ça, c’est assez sérieux alors j’ai décidé de rester quelques peu avec lui pour le soutenir mais amandine est réapparut et ils vont vivre ensemble, c’est affolant, j’en reviens pas et moi dans tout ça, j’ai tellement souffert de ne pas avoir de mère et elle s’en fiche que je sois d’accord ou pas elle a dit qu’elle était revenu pour lui, pas pour moi !
Cela me crevait le cœur, mon père passait avant moi pour ma mère… Cyp avait traité mon père d’égoïste, ne semblait pas savoir que ma mère était toujours de ce monde et que Sylvain était gravement malade, tout un tas de choses qui me mettait dans une position inconfortable, gênante et me sentant comme une pestiférée, comme un rebus de la société me faisait jeté à cause de cette Mandy qui venait de foutre en l’air une partie de ma vie et la relation retrouvée, paisible et stable d’avec mon père. Désormais nous étions comme de vulgaires étrangers lui et moi, tout autant qu’avec ma progénitrice. J’étais toutefois rassurée d’avoir Cyp’ à mes côtés pensant pareil que moi sur le fait que d’être mère ce n’est pas seulement mettre un enfant au monde !
Mon protecteur me caressa les cheveux, un geste tendre qui me fit du bien me sentant accepté ici dans ce lieu à ses côtés. « Chut, calmes-toi ma puce d'accord ? Il est hors de question que je te renvoie chez ton père, j'ai pas envie que la situation tourne mal... Très bien, si c'est ce que tu veux je ne dirais pas à ton père où tu te caches c'est promis. Au sujet de rester ici, pour moi ça ne me pose aucun soucis, mais je ne suis pas le seul à prendre la décision...»
Je fis un hochement de tête quand il me dit que la décision devait être partagé avec quelqu’un d’autre, probablement Déborah ce qui devait être logique, mais je fus surprise par le reste de ses dires que les yeux larmoyants je le regardais surprise à ses aveux ! « Ma puce je ne suis plus avec Déborah... Je vis avec quelqu'un d'autre... Un homme pour être précis... « Il s'appelle Dimitri et il a 18 ans... »
Ok...dis-je avec un air un peu abasourdi, ne sachant pas vraiment si j’avais bien compris la portée de ses mots, mais je fus vite rattrapée par la réalité quand je vis un jeune homme sortir de la chambre de Cyp’ en boxer et tee-shirt, ou je posais les yeux dessus par curiosité peut-être mais aussi ne sachant pas comment se passerait les choses avec cet homme qui bizarrement me disait quelque chose, était ce possible que ce soit mon dimitir, enfin mon ami, mon confident ?
. « Ne faîtes pas attention à moi, je viens juste chercher du chocolat avant de me recoucher. »Cette voix j’aurais pu la reconnaitre entre mille, il m’avait sauvé la vie une fois lorsque défoncée j’avais voulu sauter de ce toit du bâtiment. Dim’ était une personne bien, c’était un très bon ami, nous avions des choses en commun… « Marie ?! » « Mais … Qu’est-ce que tu fais là ? Qu’est ce qui ce passe ? Tu vas bien ? » Me demandais-je en s’approchant du canapé.
Alors là je me laissais à faire couler les larmes sur mes joues tentant de lui répondre avec un léger sourire.
Je viens squatter quelques temps chez vous enfin si vous voulez bien de moi, j’veux pas être un fardeau non plus…
Par mes paroles je venais de confirmer comme mon approbation à leur situation amoureuse, même si je n’avais pas mon mot à dire. Mais j’étais heureuse pour eux, je les regardais tous deux avant d’attirer Dim à venir s’asseoir avec nous.
Vous formez un beau petit couple tous les deux, dommage pour ces dames…enchérissais-je sur un ton plus léger pour essayer de ne pas accaparer la situation, pour ne pas monopoliser toute l’attention sur moi et le fait d’avoir vidé mon sac me fit un bien fou mais Dim’ m’avait posé la question à savoir pourquoi j’étais là et si tout allait bien. Baissant un peu le regard et inspirant je tentais de garder le sourire pour lui répondre.
Ma mère que je croyais « morte » est finalement en vie, elle vient me pourrir la vie en ayant réussi à embobiner mon père souffrant d’une grave maladie de se remettre avec elle et de reprendre là où ils s’étaient arrêté il y a 16ans et il faudrait que j’accepte cette situation sans broncher, il en est hors de question, alors j’ai décidé de venir ici voir Cyprien, c’est comme mon second père, il s’est toujours occupé de moi et m’a toujours surprotéger pour dire vrai, mais si ça vous gêne de m’avoir dans les pattes j’irais ailleurs, j’veux pas être la source de problème entre vous, j’peux comprendre que vous ayez besoin d’être que tous les deux…
J’attendais désormais une réponse de leur part, passant mes mains sur mon visage pour effacer toute trace de larme coulée, me pinçant les lèvres tentant de faire cesser ce mal de crâne et stressée de ne savoir ce qu’ils décideraient tous les deux pour moi…
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Sujet: Re: Tu veux bien de moi ? [Cyprien & Dimitri] Lun 7 Nov - 18:59
Cyprien, ne c'était pas du tout attendu à retrouvé sa petite protégée devant sa porte et en larmes qui plus est... Il a imaginé le pire des scénarios, qu'elle s'était fait agressé, que son père était à l'hôpital... Mais dès que Marie s'était blottit dans ses bras en pleurant, Cyprien est passé en mode protecteur... Il avait essayé de comprendre à ce que Marie lui avait débité quelques minutes avant, mais il avait beau être un flic très doué, là il avoué qu'il ne comprenait pas vraiment... De plus elle lui parlé d'une femme qu'il ne connaissait absolument pas, femme qui apparemment la mettait dans un profond état de détresse ainsi que son père d'après ce qu'il avait put comprendre... Mais avant de pouvoir émettre un jugement sur cette femme, il avait demandé à Marie de lui tout lui expliqué depuis le début et il écouta très attentivement les explications de sa petite protégée et à mesure du récit de Marie, Cyprien, comprenait mieux la détresse de sa petite protégée... Bon, il ignoré totalement qu'elle avait été dans une école militaire, mais était-ce si important là maintenant ? « Ça c'est sûr tu es loin d'être clean, je l'avoue... Mais bon j'ai fini par me dire que tu avais sans doute des raisons valables qui puisse justifié ton comportement... Je n'étais même pas au courant, ton père ne m'a pas reparlé depuis qu'il c'est lui même fait arrêté par un de mes collègues... Écoute ma puce, personne ne te forcera à la voir si tu ne le veut pas, même pas elle tu m'entends ? Tu es en droit de décidé de ce qui est bien ou non pour toi. » Pourquoi ce sont toujours les mères les origines des problèmes ? Prenait la mère de Cyp par exemple, durant 22 ans elle n'a jamais été la pour lui, jamais elle ne lui avait dit "je t'aime", jamais elle ne l'avait bordé le soir quand il été bébé... Ce ne fut qu'à la mort de son père qu'elle s'intéressa à lui, uniquement parce qu'il voulait vengé la mort de son père... Mais Cyprien n'a jamais été dupe, il savait bien que ce n'était uniquement par profit, mais il avait été un comme Marie, il avait espéré, qu'elle était présente uniquement pour lui et non pas pour ce qu'il pouvait lui rapporté.... C'était pour lui faire plaisir qu'il s'était mis en couple avec Déborah, d'ailleurs ça ne l'étonnerait guère que son ex et sa mère soit complice... Bien que plongé dans ses pensées, il avait été attentif à ce qui lui disait Marie et il avait de la peine pour elle... Maintenant qu'il en savait un peu plus il pouvait se permettre de jugé... « Depuis combien de temps ton père est malade ? Pourquoi il ne m'a rien dit l'imbécile la dernière fois, il va m'entendre il n'avait pas le droit de me cacher un truc aussi énorme pas à moi... Je le répète ton père est un idiot, non pire c'est un imbécile et franchement je ne l'imaginais pas ainsi... Montre toi plus forte qu'eux ma puce, montre leurs que tu es capable de vivre sans eux, où plutôt sans elle... Fait lui du mal autant qu'elle t'en a fait, insulte-là, fait ce qui te semble être juste... De toute manière elle n'a strictement aucun droit sur toi, juste celui de se taire d'accord ? Et qu'elle n'ose même pas te frapper, sinon risque de se retrouvé derrière les barreaux pour coups et blessure sur sa fille. Je ne te laisserais pas tombé ma puce sois-en certaine... » Oh non, ça il ne laisserais pas tombé, mais il allait tout de même avoir un sérieuse discussion avec Sylvain, lui faire comprendre qu'il n'avait pas à traité sa fille ainsi, pas après l'avoir élevé seul durant ses seize années... Cette Amandine, n'avait aucun droit sur Marie. On n'est pas une mère simplement parce qu'on donne la vie, on apprend à devenir mère en étant présent pour son enfant chaque fois qu'il est malade, chaque fois qu'il pleure... Cyprien se demandé si sa mère n'avait pas donné de cours à cette Amandine afin qu'elle soit une mauvaise mère voir pas une mère du tout, vu qu'elle revient après 16 ans d'absence...Cependant Cyp' avait précisé qu'il n'y avait pas que lui qui décidé pour qu'elle vive ici le temps qu'elle voudrait et il avait aussi précisé qu'il ne vivait plus avec Déborah mais avec un homme, son homme, son prince charmant, l'amant de ses nuits... D'ailleurs en parlant de lui, c'est à se moment là que l'homme de sa vie fit son apparition, il était d'ailleurs mécontent et Cyp' savait le pourquoi du comment... Il aperçut vite la mine fatigué de son homme, la prochaine fois il le laisserait dormir, mais il fut surpris de voir que Dim' connaissait Marie... Il leva les yeux au ciel en entendant parler Marie... Il observa son homme. « J'ai dit que je verrais avec toi, vu que tu habites aussi ici maintenant, je ne suis plus le seul à décidé. » Il lui fit un tendre sourire avant de reporté son attention sur sa petite protégée. « Tu ne seras pas un fardeau ma puce et même si tu fais des bêtises. Tu ne l'as jamais été, pas pour moi en tout cas... » Il faisait bien entendu référence à son père qui préférer cette femme à sa fille. Il laissa Marie attiré Dim' vers eux pour un petit câlin à trois matinale. Il sourit tendrement à sa petite protégée et lui déposa un baiser sur sa tête. « Merci ma puce. » Vivre avec une femme au quotidien, cela ne lui manquerait pas. Il avait eut son compte avec Déborah et maintenant qu'il été heureux avec son homme pour rien au monde revivre ce qu'il avait vécu avec Déborah. Il laissa le soin à Marie d'expliqué la situation à Dim', pour qu'il prenne lui aussi la décision à savoir si oui ou non, il accepté Marie ici. Il fut énormément touché par ses paroles. « Et dire qu'il t'a élevé seul durant 16 ans, je pensais pas qu'il serait tombé aussi bas au point de retourné avec celle qui l'a fait souffrir en vous abandonnant... Je vais te dire ce que je pense de cette Amandine, c'est qu'une garce... Revenir après 16 ans, pour le coup on dirait ma mère... Tu as bien fait devenir ici ma puce, je suis flatté que tu me considère comme ton second père, oui je te surprotège, mais tant fait pas tu n'es pas la seule, Dim' aussi je le surprotège... » C'était pas faux, depuis qu'Aaron s'était fait attaqué à la place de son homme, Cyprien était méfiant, très méfiant, une femme jalouse, en colère et humilié ce n'était jamais un bon mélange... Il attendait de voir la décision de son homme pour Marie...
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Sujet: Re: Tu veux bien de moi ? [Cyprien & Dimitri] Ven 18 Nov - 23:52
DIMITRI, MARIE & CYPRIEN
Extrêmement mécontent que son policier se soit levé pour ouvrir la porte à la personne qui avait osé les déranger alors qu’il commençait à peine à se réveiller d’une manière qui ne lui déplaisait pas bien au contraire, le lycéen avait décidé de se consoler avec une tonne de chocolat. Seulement pour pouvoir déguster ce fameux lot de consolation il n’avait pas d’autres choix que de bouger ses fesses de sous ses couvertures pour se rendre dans la cuisine, le chercher. Évidemment, s’il aurait pu s’échapper des placards et venir à lui sans qu’il ait besoin de se lever, ça aurait été mieux mais ce n’est pas réellement envisageable. Il aurait très bien pu crier à son policier de lui ramener du chocolat en revenant mais ça voudrait dire qu’il rompt son envie de faire la tête un moment ou d’abandonner sons chocolat complètement puisque si son Cyprien revient, sa dégustation devrait se remettre à plus tard. Du coup, avec la très grande intention de revenir dans son lit dans moins de trente secondes, Dimitri prit le chemin de la cuisine passant obligatoire par le salon où il vit son homme sur le canapé avec une jeune femme. Sans gêne, simplement vêtu d’un tee shirt et de son caleçon, le lycéen les avait prévenu de ne pas faire attention à lui puisqu’il venait seulement pour une chose. Il aurait très bien pu passer discrètement sans rien dire mais ça aurait été trop lui demander. Étant donné qu’il n’était que de passage, qu’il ne comptait pas s’arrêter au départ, il avait continué son chemin la tête dans les choux mais très vite au visage de la jolie blonde qui était assise près de son policier, un prénom vînt l’accompagner : Marie. Sans plus attendre, il fit demi-tour se rapprochant des deux jeunes gens, demandant quelques explications sur la présence de sa confidente là. Il eu très vite une explication qui lui fit froncer les sourcils. Mademoiselle avait prévu de venir habiter chez eux. Apparemment Cyprien avait déjà donné une réponse ou plutôt un semblant de réponse à la jeune fille même s’il attendait son avis puisqu’à présent ils sont deux à vivre sous dans cet appartement. Un hochement de tête fut la réponse du lycéen vis-à-vis des propos de son homme, restant un très bref instant sur place avant de se voir attirer par Marie auprès d’eux pour un câlin collectif. Un sourire amusé vînt s’afficher sur les lèvres du jeune homme à l’entente du compliment de sa confidente sur le couple qu’ils forment. S’ils se seraient retrouvés tous les trois à un moment plus tardif de la journée, il aurait pu sortir un peu quelque chose d’amusant que pour lui évidemment mais là, c’était beaucoup trop tôt. Il n’était pas encore complètement réveillé ou plutôt pas assez pour être complètement connecté mais les explications de Marie sur les raisons qui la poussaient à vouloir venir vivre parmi eux deux, ils les avaient bien assimilées : Une mère revenue après seize ans d’absence. Un père qui l’a choisi plutôt que sa fille. Impossible à supporter alors venir voir son père de substitution lui avait paru une excellente idée. « Je confirme. Tu n’es pas la seule à être surprotégée. » Un sourire amusé s’afficha sur les lèvres du lycéen à l’attention des deux. A Marie pour confirmer qu’il est bien dans le même sac qu’elle même si c’est adorable de la part de Cy’ de les surprotéger. A l’attention de son policier avec une pointe d’amusement puisqu’il trouvait ça trop mignon qu’il le fasse même s’il ne pensait pas toujours que ce soit utile. « Je comprends que tu ne veuilles pas accepter la situation alors si tu veux rester ici avec nous, tu peux. Ça ne me dérange pas au contraire. » Dimitri ne faisait part peut-être que maintenant de son accord pour son aménagement mais ce n’était pas non plus très surprenant. Après tout, c’est sa confidente. Il tient à elle alors il ne va pas la laisser sans un toit où dormir juste parce qu’il veut être seul avec Cy’. Ils peuvent bien partager l’appartement à trois autant de temps qu’elle le voudrait. « Alors ! Pour fêter ton arrivée parmi nous, quelqu’un veut-il un petit quelque chose à boire ou à manger ? Ou mieux je vais faire un peu de tout et sortir tout ce qu’il y a dans les placards. Ce sera plus facile. » C’était bien normal qu’ils fêtent tous ensemble autour d’un petit déjeuner l’arrivée de Marie parmi eux même s’il y avait aussi l’histoire du chocolat derrière qui n’avait pas qui quitter l’esprit du lycéen. Mais ce n’est pas vraiment ça qu’il faut voir mais plutôt le fait qu’il soit assez réveillé ou plutôt d’une meilleure humeur qu’il y a deux secondes pour se proposer à faire le petit déjeuner pour tout le monde.
{Milles excuses pour cet énorme retard }
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Sujet: Re: Tu veux bien de moi ? [Cyprien & Dimitri] Ven 25 Nov - 15:58
Bon me voilà donc arrivée ici chez mon protecteur de bonne heure, en larmes et apeurée de voir à quel point la situation avec mon père venait de se briser en si peu de temps tout cela à cause du retour non souhaité de ma mère Amandine Leduc. J’avais tout déballé en trombe, pour me vider, pour me faire retirer cette chose qui me rongeait de l’intérieur. Oh je n’avais pas fait d’éloge me concernant, je n’avais pas toujours été une fille modèle, surtout après mon agression, qui désormais seuls mon père et ma mère savaient désormais. « Ça c'est sûr tu es loin d'être clean, je l'avoue... Mais bon j'ai fini par me dire que tu avais sans doute des raisons valables qui puissent justifier ton comportement... Je n'étais même pas au courant, ton père ne m'a pas reparlé depuis qu'il c'est lui-même fait arrêté par un de mes collègues... Écoute ma puce, personne ne te forcera à la voir si tu ne le veux pas, même pas elle tu m'entends ? Tu es en droit de décidé de ce qui est bien ou non pour toi. » Ces paroles de Cyprien me firent un bien fou, je me sentais soutenue et rien que cela avait le don de me faire sourire légèrement en preuve de remerciement, rien que du fait de m’avoir ouvert sa porte et de m’avoir écouté. Tous les sujets avaient lancés, le retour de ma mère, la maladie de mon père, le fait que je fasse des études en dehors de la capitale en école militaire…Que cela intrigua Cyp’ concernât l’état de santé de mon paternel, que je pensais être au courant d’ailleurs. Des raisons valables…et comment, tout le monde n’avait pas la malchance de de se faire agresser en pleine ruelle sombre un soir en rentrant du Lycée, jour où ma vie bascula et ou je fus changeante en tout point…
« Depuis combien de temps ton père est malade ? Pourquoi il ne m'a rien dit l'imbécile la dernière fois, il va m'entendre il n'avait pas le droit de me cacher un truc aussi énorme pas à moi... Je le répète ton père est un idiot, non pire c'est un imbécile et franchement je ne l'imaginais pas ainsi... Montre toi plus forte qu'eux ma puce, montre leurs que tu es capable de vivre sans eux, où plutôt sans elle... Fait lui du mal autant qu'elle t'en a fait, insulte-là, fait ce qui te semble être juste... De toute manière elle n'a strictement aucun droit sur toi, juste celui de se taire d'accord ? Et qu'elle n'ose même pas te frapper, sinon risque de se retrouvé derrière les barreaux pour coups et blessure sur sa fille. Je ne te laisserais pas tombé ma puce sois-en certaine... »
Je n’en sais trop rien pour être honnête je l’ai découvert par hasard, et comme je n’étais pas là depuis ces dernières semaines, je n’ai pas pu m’en apercevoir bien que je sois étonnée qu’il ne t’ai rien dit, mais probablement avait-il autre chose en tête, ou quelqu’un d’autre… J’avais fait le bon choix en me ramenant ici, assise sur le sofa à ses côtés pleurnichant je devais l’avouer, j’étais avant tout une personne humaine, avec des sentiments des ressentis et un cœur… Puis Dim fit son apparition, étonné de me voir ici, mais content à la fois, je pus le voir sur son visage tandis que Cyp s’adressait à Dim pour lui dire que désormais il n’était plus seul à décider qu’ils étaient deux et donc que le choix, la réponse de pouvoir rester chez eux, leur appartenait à chacun, d’un commun accord, mais je ne souhaitais pas m’imposer avant que mon protecteur ne s’adresse de nouveau à ma personne. « Tu ne seras pas un fardeau ma puce et même si tu fais des bêtises. Tu ne l'as jamais été, pas pour moi en tout cas... »Je leur fis part de ma joie de les savoir ensemble, certes ce fut une surprise…mais cela me ravit pour eux, c’étaient deux personnes merveilleuses qui s’étaient trouvés alors c’était parfait, et ils formaient un couple très mignon que Cyp me lança même un « merci ma puce ». Puis quelques peu soucieuse j’étais impatiente, de savoir si Dim m’accepterait un tant soit peu chez eux, dans leur vie…Ce qu’il confirma d’un hochement de tête que je les attirais tous deux contre moi, heureuse et soulagée !
Puis je dus expliquer à Dim les péripéties de ma journée, le fait d’avoir été repoussé par mon propre père pour une femme qui l’avait détruit il y a de cela 16ans… « Et dire qu'il t'a élevé seul durant 16 ans, je pensais pas qu'il serait tombé aussi bas au point de retourné avec celle qui l'a fait souffrir en vous abandonnant... Je vais te dire ce que je pense de cette Amandine, c'est qu'une garce... Revenir après 16 ans, pour le coup on dirait ma mère... Tu as bien fait devenir ici ma puce, je suis flatté que tu me considère comme ton second père, oui je te surprotège, mais tant fait pas tu n'es pas la seule, Dim' aussi je le surprotège... » Dim confirma ses dires « Je confirme. Tu n’es pas la seule à être surprotégée. » Puis il enchaina sur ma situation, tandis que je baissais quelque peu la tête… « Je comprends que tu ne veuilles pas accepter la situation alors si tu veux rester ici avec nous, tu peux. Ça ne me dérange pas au contraire. » Je ne sus quoi dire excepté lui lancer un regard rempli de gratitude que de nouvelles larmes coulèrent sur mes joues entendant de nouveau la voix de Dim’ mon confident. « Alors ! Pour fêter ton arrivée parmi nous, quelqu’un veut-il un petit quelque chose à boire ou à manger ? Ou mieux je vais faire un peu de tout et sortir tout ce qu’il y a dans les placards. Ce sera plus facile. » Je serrais la main de Cyp qui était toujours à mes côtés, lui murmurant un timide merci mais si sincère. Que je pris ensuite une profonde respiration avant de reprendre la parole.
J’aime bien manger du chocolat dans ce genre de situation ca a toujours eu le don de …me remonter le moral. Puis le voyant s’activer je me levais du canapé, retirais mon blouson et remis ma chevelure en place comme pour m’éclaircir le visage. Je peux aider à faire quelque chose… La pression, la colère, la peur, tout retombé que j’éprouvais un sentiment de fatigue, me sentant oppressée et las de toute cette histoire, qu’au final je n’avais même plus d’appétit mais je ferais tout de même acte de présence à la table du copieux petit déjeuner que Dim s’apprêtait à nous faire.
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Sujet: Re: Tu veux bien de moi ? [Cyprien & Dimitri]