COLTON ☞ Être parisien, ce n'est pas être né à Paris, c'est y renaître.
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Sujet: COLTON ☞ Être parisien, ce n'est pas être né à Paris, c'est y renaître. Ven 18 Nov - 19:49
danaé s. nightingale et colton m. wineanton
Le petit air frais me chatouillait le bout du nez, et seul mon paletot retenait cette chaleur qui m'aidait à ne pas plonger dans une congélation instantanée. Stupide, c'est ce que j'étais.. Comment ai-je pu croire une seule seconde que tout aurait pu être comme avant ? Après la mort de ma mère, rien n'était semblable. Durant ses dernières années elle avait fait de moi son pantin, je ne vivais que pour elle, même depuis son départ tout tournait autour de sa personne, et rien ni personne n'avait réussi à la sortir de ma tête. J'essayais de faire comme si tout allait bien et j'avais réussi jusqu'à présent mais le fait de retrouver tout ses souvenirs, et de voir à quel point j'avais été idiote de partir sans leur expliquer que j'avais retrouvée la plupart de ma mémoire c'était comme un revirement, et la réalité m'avait rattraper. Vous savez ce que c'est de se sentir trahit, de se sentir piétiner, d'avoir le cœur endolorie tellement les blessures sont multiples et de croire qu'en même que les choses peuvent s'arranger ? C'était peut-être un rêve mort-né mais je m'y accrochais. Car même si la vie était pénible, elle valait la peine, il fallait croire que je n'étais pas seulement un être parmi tant d'autres puisque nous ne sommes pas sur cette terre pour rien, les choses arrivent et s'en vont, mais il y a toujours quelque chose de mieux qui nous attend. Je levai les yeux vers le ciel, qui se trouvait jusqu'ici, noir, et je passai mes doigts doucement sur la photo qui se trouvait entre mes mains. Même si elle n'était plus parmi nous, qu'elle n'était plus sur cette terre, je devais venir ici, dans cet petite boutique-souvenir qui m'avait porté réconfort pendant cette période où tout était sombre. C'était ma seule façon d'être quand même près d'elle, sachant que c'était ici que mes parents adoptifs l'avaient rencontrés.. Je ne voulais pas repartir de cet endroit, mais il le fallait bien. Pour moi, maintenant, elle n'était que celle qui m'avait donnée la vie et qui m'avait laissée souffrir de sa perte.. Cela faisait presque deux années que j'étais de retour à Paris, mais depuis mon voyage pour aller revoir ma famille et retrouver ceux qui m'avaient élevés, je ne me sentais pas très en forme, j'étais un peu plus sur la défensive qu'à l'habitude. Mes soi-disant parents auraient bien voulus que je reste avec eux, ils voulaient tout choisir pour ce qui était de mon cas, ils ne voulaient pas que je fréquente qui que se soit, prétextant que j'aimais toujours Colton. Qui soit dit en passant n'avait jamais été mon petit-ami, même si c'était une vérité qu'il avait déjà fait parti de mon coeur. Mais je ne voulais pas me rappeler de tout ce que nous avions vécus, tout ses moments qui ne voulaient sortir de ma mémoire, c'était bien ceux que je voulais oublier qui résistaient. J'aurais tellement voulue oublier tout, rester inconsciente de tout ce qui c'était passé, mais rien ne voulait disparaitre. Peut-être avais-je eut tord de partir sans l'avertir que je me souvenais de presque tout, de lui surtout. En revenant à Paris, je n'avais pas vraiment revue personne, par manque de temps et manque de volonté je crois. Ses derniers jours, je n'avais fait qu'essayer de reconstruire se qui c'était brisé pendant ce périlleux voyage, et puisque à présent, tout était à peu près réglé, j'avais décidée de recommencer ma vie antérieure, soit revoir mes amis, reprendre là où j'en étais dans mes cours de droits, et ainsi de suite. Ils devaient se demander où je pouvais être, même si je crois que quelques uns d'entre eux avaient su où je me trouvais. Bref, je ne me fis pas prier et je me leva de la table, déposant ma main une dernière fois sur la photo qui se trouvait entre mes doigts, où on pouvait apercevoir mon père, ma mère, Colton et moi, quand je n'avais que sept ans. En me retournant vers la sortie, je pouvais apercevoir la tour Eiffel un peu plus loin. Je m'avançais tranquillement, traînant des pieds. On pouvait entendre l'orage faire des siennes au loin et il s'approchait peu à peu de là où je me trouvais. La pluie fit son apparition peu de temps après, ma chevelure se frisotant à son contact. Je mit mon manteau sur ma tête pour ne pas trop me faire mouiller et je courue vers elle, ce qui me valu un bon éclaboussement de la part d'une voiture passante. Je lui cria des injures en continuant ma course et en y arrivant enfin, je me mit sous quelque chose qui pouvait me protéger de cet pluie et je me blottie dans la chaleur de mes vêtements. Les gouttes d'eau frappait quand même mon visage, tandis que je me tenais devant je ne savais qu'elle chose en regardant les passants. Après un bon moment de répit, je regardai où il y aurait pu avoir un moyen de monter mais tout ce qu'il y avait c'était des escaliers bloqués et un ascenseur fermé.. Je décidai donc d'aller me prendre un petit réchaud avant de repartir vers mon logement, rejoindre Elliott, son colocataire. Je me dirigeai vers un petit café non loin de là et commanda un cacao chaud ou chocolat chaud, si vous aimez mieux. Bref, quand je reçue mon breuvage, je me dirigeai vers un parc non loin de là, juste à côté de la tour. Je n'en pouvais plus de tout ça, de tout ses problèmes qui faisaient surface en si peu de temps. J'avais essayé tellement fort d'oublier mes parents adoptifs, d'oublier celle qui m'avait donnée la vie, d'oublier Colton ainsi que mon frère, d'oublier tout simplement mes problèmes mais il fallait croire que personne, à part moi, ne voulait que je les oublie, alors revenir aux sources, avant que tout chamboule pendant ce petit périple dans mon ancienne ville, était sûrement une bonne chose. Je m’essaya sur un banc et entoura mes doigts autour de ma boisson, regardant le paysage qui s'étendait devant moi. Je fis un petit sourire puis fermai les yeux, essayant de faire le vide, les lumières de la ville me calmant un peu, je rouvris les paupières et me retournai vers les personnes qui se promenaient, heureuse du silence de mon âme.
Dernière édition par Danaé S. Nightingale le Lun 28 Nov - 0:40, édité 1 fois
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Sujet: Re: COLTON ☞ Être parisien, ce n'est pas être né à Paris, c'est y renaître. Mer 23 Nov - 21:02
Danaé && Colton
«L'amour donne des ailes»
Colton était revenue de Paris depuis peu. Une belle ville. Il eut un moment d'hésitation pour rechercher Danaé dans cette grande ville magique. Il avait eu peur d'un rejet totale. Mais il l'aimait et forcerait à Danaé de l'admettre car il était sur d'une chose : c'est la femme de sa vie. C'était apparut une évidence dès son départ. On dit souvent que c'est lorsqu'on perds les personnes, qu'on se rend compte de leurs valeurs. Danaé était une valeur essentiel pour le bonheur de sa vie. Il ne le voyait pas sans elle c'était comme sa. C'est comme si on privait Nala à Simba. Même s'ils ont eut quelques différent, à la fin ils sont fini par avoir un lionceau. Même si la comparaison d'un Disney semblait incrédule, c'est comme sa qu'il percevait les choses. Mais les recherches ne furent pas facile, il réalisa que Paris était une grande ville. Une grande ville avec pleins de lignes de métro, d'arrondissement. C'était comme chercher une aiguille dans une botte de foin. Mais il était déterminé. Mais aujourd'hui, il n'avait pas vraiment envie de chercher. Alors il décida d'aller dans un parc et jouait de la guitare. Mais lors de son chemin de la route, il se mit à pleuvoir, alors il fit tout ce qu'il peut pour protéger sa merveille. Une fois calme, il alla sur un banc et se mit à jouer une de ses chansons favorites de Disney. Mais il fut très vite interrompu par une belle apparition. La vie lui avait appris que des fois ce sont les choses qui viennent à vous et non le contraire. Et aujourd'hui c'était la personne qu'il avait tant cherché. Au début il crut à un mirage, ou une ressemblance trop parfaite car il était arrivé que Colton crut l'apercevoir. Alors il essaya de ne pas y penser. Mais ses yeux ne cessent de la regarder et de la dévisager. Son cœur accélérait fut et à mesure des secondes qui s'écrouleraient. Colton en était sur, Danaé était sur le banc juste à côté de lui. Il hésitait à venir à elle. Il ne savait pas comment la jeune femme le prendrait. Elle pourrait très bien partir en fuyant. Alors il réfléchi à comment il pourrait l'aborder. Il ne savait pas quoi faire pourtant il s'était imaginé cette rencontre des milliers de fois mais rien ne se passe jamais comment on le pense car les réactions des personnes sont souvent imprévisibles. Il avait peur. Mais il réalisa aujourd'hui qu'il avait sa guitare avec lui, ce qu'il lui donnait du courage. Alors il se mit à jouer, une de leurs chansons. Une chanson qu'il aimait beaucoup joué pour attiré le regard de la jeune femme. Le résultat fut excellente. Au début, il ne vint pas à elle, il voulu savourer l'instant de son regard curieux. Et puis une fois qu'il est terminé sa chanson, il s'avança vers elle. Tout était devenu soudainement claire pour lui. Il s'avança vers elle et prononça ces mots devant elle. « Danaé, je t'ai enfin retrouvée. Tu es la femme de ma vie, je ne vois aucune autre personne qui pourrait te remplacer. Tu es l'idéal même. Même si tu as perdu ta mémoire, j'ai aimé la Danaé que j'ai vu, je t'aime pour toutes tes facettes et je suis prêt à découvrir d'autres. Veux-tu nous donner une nouvelle chance ? Qu'on repart à zéro dans cette ville si magique. Moi c'est que je souhaite, et tant pis si je dois ramper pour que tu acceptes. Je te donnerai ma vie car tu es le sens de la mienne. » L'émotion avait agit sur lui, il savait que c'était trop soudain et que cela représentait presque à une demande. Mais il était sur de ses sentiments. Il serait prêt à affronter son rejet sans abandonner car après tout la clé de son cœur c'est elle qui la détient.
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Sujet: Re: COLTON ☞ Être parisien, ce n'est pas être né à Paris, c'est y renaître. Lun 28 Nov - 0:38
danaé s. nightingale et colton m. wineanton
Que le temps était merveilleux à Paris, on pouvait presque croire que tout était parfait, Danaé y croyait. Après un bon moment de réflexions et de dilemmes, elle avait réussit à faire le vide en son fort intérieur. Tout ce qu'elle avait à faire c'était de regarder les passants, les étoiles, les lumières, le paysage et rien ne paraissait compliqué, ou du moins c'était ce qui s'en approchait le plus. Simple comme jamais, mais comme toute paix il y a un problème, parfois minime, il s'avère par contre que la plupart du temps, il est grand ce problème, ou plutôt énorme pour une certaine en particulier. Elle était assise tranquillement sur un banc, en pleins milieu d'un parc, tout près de la tour Eiffel. Elle sirotait son café qu'elle était allé chercher un peu plus tôt dans la soirée. Bref, elle se vidait la tête pour pouvoir repartir sur de meilleures bases, puisqu'en cet instant elle avait les nerfs à vifs. Et tous ceux qui la connaisse sache qu'il ne vaut mieux pas l'approcher quand elle est dans ses situations. Elle entreprit une énième gorgée, en soupirant, laissant ainsi échapper un nuage de vapeur d'entre ses lèvres. Savourant ainsi ses moments de solitude, elle écoutait tranquillement les bruits environnent. Pendant un moment elle crut se faire fixer, elle regarda donc d'un côté, puis de l'autre, ainsi qu'à l'arrière et se retourna, en regardant devant elle. Elle croyait avoir imaginée ce regard sur elle, alors elle fit comme si ce n'était rien et continuai à boire son breuvage, qui commençait à se refroidir peu à peu. Elle se leva un peu du banc, enlevant les quelques saletés qui se trouvaient sur ses vêtements puis leva les yeux vers le ciel. Une chanson se fit entendre à ses oreilles, et elle ferma les yeux, l'écoutant attentivement. Elle fronça les sourcils quelques instants puis ouvrit brutalement les yeux, comprenant qui était entrain de jouer. Elle croyait sur le coup que ce ne pouvait être vrai, mais se résigna à cette idée quand elle l'aperçu sur le banc adjacent, guitare à la main. Son coeur manqua un battement quand il s'approcha près d'elle, elle le fixa, les yeux grands ouverts. Elle n'en revenait pas qu'il était venu jusqu'ici. Elle ne savait pas comment réagir, tout ce qu'elle savait c'était qu'il lui avait manqué, mais elle ne pouvait pas faire comme si les années sans lui n'avaient rien étés. Elle resta figée, les mains se serrant de plus en plus contre son gobelet. « Danaé, je t'ai enfin retrouvée. Tu es la femme de ma vie, je ne vois aucune autre personne qui pourrait te remplacer. Tu es l'idéal même. Même si tu as perdu ta mémoire, j'ai aimé la Danaé que j'ai vu, je t'aime pour toutes tes facettes et je suis prêt à découvrir d'autres. Veux-tu nous donner une nouvelle chance ? Qu'on repart à zéro dans cette ville si magique. Moi c'est que je souhaite, et tant pis si je dois ramper pour que tu acceptes. Je te donnerai ma vie car tu es le sens de la mienne. » Les larmes aux yeux, elle baissa la tête, honteuse de lui avoir caché tant de chose. Elle laissa tomber son café par terre, éclaboussant sur elle et sur Colton, mais fit comme si de rien était et ramena ses mains contre son visage. Elle essuya ses joues, ravala ses larmes et se leva pour lui faire face. Danaé s'avança plus près de lui, regardant à travers ses yeux et soupira avant de lui souffler ses mots. « Tu.. Tu m'as suivis jusqu'ici ? Mais tu pensais à quoi ! Tu aimais peut-être l'ancienne moi mais elle a disparue, je ne suis plus cette fille qui te fait rêver, reviens-en. Je ne suis plus la même, c'est fini tout ça, j'ai recommencé ma vie depuis longtemps et tu n'en fais plus partie. J'essaye de t'oublier Colton, je ne peux pas te redonner une nouvelle chance, je n'en serai pas capable.. Regarde ce que la première fois à donné ? Je me suis retrouvée sans mémoire, tu as perdue espoir il y a bien longtemps et ce n'est pas parce que tu es ici en ce moment que tout va redevenir comme avant, ce temps est révolu.. Je.. Tu.. Ce serait trop dur pour nous deux, c'est mieux comme ça on ne peut pas revenir dans le passé.. » Elle rebaissa la tête, les larmes coulant sur ses joues. Elle se sentait tellement méchante, elle ferma les yeux un instant et se chuchota à elle-même. « Même si j'aimerais revenir en arrière.. » Elle avait espérée tellement fort de le revoir, de pouvoir revenir en arrière, reprendre tout à zéro. Elle s'ennuyait de cette relation qui les réunissait mais rien n'était plus ainsi. Elle avait tellement changée et elle ne voulait pas lui faire subir ça mais elle le devait. C'était peut-être égoïste de sa part mais elle avait trop peur qu'il l'a rejette puisqu'elle lui avait menti, mais elle avait aussi peur qu'il ne l'aime plus s'il voyait se qu'elle était devenue. Alors elle préférait ne pas lui donner cette chance, même si elle aurait espérée ne pas avoir à le faire et de faire dans la simplicité.. Elle releva les yeux vers lui et déposa sa main contre la joue de Colton, en penchant délicatement la tête, admirant son visage. Il n'avait pas changé et ça lui brisait le coeur plus qu'autre chose.
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Sujet: Re: COLTON ☞ Être parisien, ce n'est pas être né à Paris, c'est y renaître. Dim 15 Jan - 19:06
Danaé && Colton
«L'amour donne des ailes»
« Tu.. Tu m'as suivis jusqu'ici ? Mais tu pensais à quoi ! Tu aimais peut-être l'ancienne moi mais elle a disparue, je ne suis plus cette fille qui te fait rêver, reviens-en. Je ne suis plus la même, c'est fini tout ça, j'ai recommencé ma vie depuis longtemps et tu n'en fais plus partie. J'essaye de t'oublier Colton, je ne peux pas te redonner une nouvelle chance, je n'en serai pas capable.. Regarde ce que la première fois à donné ? Je me suis retrouvée sans mémoire, tu as perdue espoir il y a bien longtemps et ce n'est pas parce que tu es ici en ce moment que tout va redevenir comme avant, ce temps est révolu.. Je.. Tu.. Ce serait trop dur pour nous deux, c'est mieux comme ça on ne peut pas revenir dans le passé.. » Colton savait qu'au fond de Danaé, ses paroles n'étaient que de simple excuses. Après tout en amour, il faut bien passer par des hauts et des bas, et il refuse d'abandonner par de simples propos qui ne servent qu'à blesser la personne. Après tout il avait tout quitté pour elle et n'allait surement pas repartir les mains vides. Beaucoup de personnes lui ont dit qu'il allait droit dans le mur, d'autre lui ont dit de foncer dans ce mur car il en vaut la peine de la casser. « Même si j'aimerais revenir en arrière.. » Danaé continuait de pleurer. Ses doux yeux lui avaient tant manquée. Sa voix si tendre, et son visage si magnifique. Il savait que les personnes changeaient après tout, l'être humain évolue. Il refuse de faire partie Danaé de sa vie, pire que sa de la laisser partir de son coeur. La femme de sa vie c'était elle. Il ne voulait pas partir avec un échec. Danaé mit sa main contre son joue, il tressaillit puis la laissa faire. Ce que Danaé ne savait pas, c'est que son absence n'avait rien eu de bon pour lui. « Je m'en fous. Je n'abandonnerai pas. S'il faut te pourchasser pour que ton cœur soit à nouveau mien, je le ferai. Ce que tu ne comprends pas, c'est que j'accepte tout de toi. Tu es la première femme que je peux tout accepter. J'ai vu un aspect de toi lors de ta perte de mémoire et j'en verrais d'autres car j'ai toute ma vie pour les découvrir. Tu crois que je vais partir en te laissant briser mon cœur ? Si tu l'as cru, c'est que toi tu ne me connais pas entièrement. Je t'aime et sa me suffit pour me battre. Je ne veux pas revivre ce que j'ai vécu. Sans toi, ma vie n'a plus de sens. Tu es le soleil qui éclaire mon quotidien, si tu n'es plus là, je vis dans l'ombre. Je vis dans une obscurité. Je ne suis plus moi-même. La vie n'a plus de goût sans ta présence. Puis Danaé, faut arrêter de vivre dans le passé, ce qui compte c'est le présent. Et mon présent, je veux le vivre chaque jour à tes côtés. Je ne veux pas qu'on redevienne comme avant. Je veux qu'on construit un nouveau avenir ensemble. Je ne veux pas de notre ancien amour, je veux le fruit de notre amour. Tu es la plus belle chose qui m'était donné d'avoir dans ma vie, je l'ai perdu, et je compte bien te récupérer. Même si je dois mettre plus de temps, je te ferai craquer. Tant que tu me diras pas droit dans les yeux, que tu ne veux plus moi dans ta vie, je ne partirais pas. Mais bien sûr, il ne suffit pas le dire, il faut que ton cœur pense ce que tu dis. Et malheureusement pour toi, j'ai aperçu dans tes yeux, une graine d'espoir. Je la planterai, je l'arroserai, et je la ferai grandir pour que cette graine devienne un magnifique arbre éternel. » Il prit Danaé dans ses bras, il la serra fort contre elle. Cela faisait tellement longtemps qu'il n'avait pas sentit sa présence, son odeur. Il voulait s'en imprégner une nouvelle fois. Il caressa sa joue, et lui donna un baiser sur la joue. Il ne voulait pas l'embrasser même s'il se privait. Il laissa Danaé parlé.
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Sujet: Re: COLTON ☞ Être parisien, ce n'est pas être né à Paris, c'est y renaître.
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