Sujet: Je dois te dire la vérité with Athena Mer 9 Nov - 15:00
Athena & Andrew Je dois te dire la vérité
Lorsque l’on commence une soirée dans un bar, on ne sait jamais comment celle-ci va se finir. On peut très bien rentrer chez nous normalement, faire une rencontre et finir chez elle, ou être complètement soul et ne plus savoir quoi faire. Généralement pour moi, je fais des rencontres, je ne fini pas spécialement chez la personne mais ça arrive que je la raccompagne à cause du trop d’alcool qu’elle a dans le sang. C’est lors d’une soirée comme celle-ci que j’ai fais la rencontre d’Athena ; non pas la déesse quoi que à mes yeux c’est le cas enfin bref ; donc comme je disais je l’ai rencontré car elle était venu dans un bar afin de noyer son chagrin, elle venait de rompre avec son copain et elle avait besoin d’oublier de se changer les idées, mais parfois l’alcool n’aide pas dans ce genre de situation. Alors qu’on avait commencé la soirée à discuter, à boire ; en tout cas elle plus que moi ; et à pleurer, j’avais décidé, voyant qu’elle commençait à partir un peux, de la raccompagner chez elle pour essayer de faire en sorte qu’elle se repose. J’avais donc payer les boissons qu’elle et moi avions consommer et je la déposa dans ma voiture. Je fis une chose que jamais je n’aurais pensé faire, mais je fouilla dans son sac afin de trouver n’importe quel document qui pourrait me dire où elle habitait. Par chance je trouva son permis de conduire. Je me mis donc en route vers l’avenue Foch.
Au bout d’un petit moment de trajet où Athena avait continué à pleurer et parler de son malheur, on arriva enfin chez elle. Heureusement pour moi elle reconnu son immeuble et pu facilement monter les marches et ouvrir la porte de son appartement. Elle m’emmena dans son salon en prenant bien soin de me tenir par la main, avait-elle peur que je parte ? Si c’était le cas, je ne comptais pas partir avant de la voir dormir paisiblement dans son lit. Je m’étais donc installé dans son canapé et toute la nuit, elle avait parlé d’elle, elle avait parlé de son histoire avec cet homme, elle avait pleuré, puis elle s’était endormit. Bien entendu je l’avais accompagné dans le royaume de Morphé.
Ce n’est que la matin qu’il se passa une chose à laquelle je ne m’attendais pas du tout, à peine réveiller Athena me mit à la porte de son appartement pensant qu’on avait couché ensemble. Je lui avais donc répondu qu’il ne s’était rien passé, hors j’avais menti car avant que je ne m’endorme, elle s’était réveillé et m’avait embrassé. Sous l’effet de l’alcool j’en étais sur, c’est pour ça que j’avais gardé ça pour moi et que j’étais partie avec ce secret. Depuis on ne s’était plus vu, ni même reparler, le néant total.
Vivre avec un secret peut être facile, mais vivre avec des sentiments pour quelqu’un peut être difficile. Si je vous parles de ça c’est parce que depuis ce baiser je ne pense qu’à elle, bon ok ça peut faire culcul la praline, mais c’est hélas la vérité. Ce baiser à été rapide mais si doux, si tendre et si bon. Il fallait que je lui dise la vérité, il fallait que je lui parle à tout pris, je devais mettre tout ça au clair, qui sait peut être qu’en fesant ça j’allais voir réellement ce que je désirais. Je me trouvais donc devant son immeuble, l’heure ? Oh et bien entre le début de la nuit et la fin de la journée, la porte d’entrée était légèrement ouverte, j’avais simplement à pénétrer dans l’immeuble, monter les marches et frapper à sa porte. Mais sa réaction ? Après tout, je ne lui ai pas donné de nouvelle depuis cette fameuse soirée, bon faut dire elle non plus, on est donc tout les deux dans le tord. Je pris donc mon courage à deux moi et je fis ce que j’avais a faire, je monta les marches, je frappa à sa porte et j’attendis que l’on vienne m’ouvrire. Je souhaitais qu’elle soit chez elle, mais au fond j’espérais aussi qu’elle soit absente.
P.S : c'est un début :s je fais mieux dans les suites XD
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Sujet: Re: Je dois te dire la vérité with Athena Ven 11 Nov - 10:36
«A&A - Je dois te dire la vérité»
Il y a des moments où on est tellement désespéré que notre esprit ne fait plus la différence entre ce qui est bien ou mal. Après la « pseudo perte » de Nathaniel, je n'avais eu qu'une seule envie : oublier. Je m'étais faite embobiner et mener en bateau par LA personne que j'aimais, LA personne en qui j'avais le plus confiance et LA personne pour qui j'étais venue habiter à Paris. J'avais quitté ma famille, mon pays, mes ami (e)s d'enfance et tout mon petit confort pour lui. Quand j'avais découvert le poteau rose, j'ai ressenti une vague déferlante d'émotions : la surprise, la tristesse, le désespoir, la colère, l'hystérie et la rage. J'avais mis énormément de temps à ne plus penser une seule seconde à la situation, notamment grâce à l'alcool et aux compagnies divers et variées. Oui, j'admets que c'était contraire à mon éducation et que je pouvais avoir l'air d'une trainée. Mais, sur le moment, c'était la seule échappatoire qui m'était venue à l'esprit. Toujours est-il que mon comportement n'allait ni ramener Nathaniel, ni me venger de quoi que ce soit. Car oui, à l'heure d'aujourd'hui, j'étais plus envahit par la colère et le désir de vengeance que par le manque à proprement dit. Cela dit, il existe toujours une partie de moi -dans mon inconscient sans doute- qui veut à tout prix le récupérer et le pardonner ; chose que j'ai appris à mes dépends.
En effet un soir, il y a environ cinq jours, je suis rentrée chez moi avec un garçon rencontré un petit peu plus tôt, dans un bar. J'étais tellement ivre que je ne me souviens même plus comment c'est arrivé et ce qu'il s'est passé. Dans mes vagues souvenirs, très flous même, il s'appelait Drew, quelque chose comme ça. Le lendemain matin, remise de mes émotions et persuadée que nous avions couché ensemble, je l'avais renvoyé illico presto de chez moi. Le jeune homme, plus ou moins surpris m'avait confié sur le pas de la porte que j'avais passé la nuit à raconter mes malheurs et pleurer Nathaniel. Je devais avouer que j'avais mis un bon moment à me remettre de cette 'révélation' surprise. Heureusement, j'avais passé la suite de la journée avec mon meilleur ami, Clément. J'avais pris conscience que j'étais allée un peu trop loin et que je devais arrêter mon cirque avant de me mettre tous les garçons de la ville à dos. Mais, comme je l'avais expliqué à Clément : ce n'est peut-être pas simplement le fait de vouloir « oublier » qui me fait perdre mes moyens, mais aussi ce sentiment de liberté et de découverte accessible tout simplement. Oui, peut-être que les « mauvaises choses » m'attiraient, car depuis ma plus tendre enfance, j'ai tout fait pour respecter les règles.
Je jetai un coup d'oeil sur l'horloge de mon salon : il était dix-huit heures passé. À cette époque de l'année, il commence déjà à faire noir... J'avais le choix entre sortir ou me coucouner dans mon appartement. Pour une fois depuis très longtemps, je choisie la seconde option : pas d'alcool, pas de garçons, seulement moi et un bon DVD. C'est toujours intéressant de regarder un film en français : ça me permet d'enrichir mon vocabulaire et améliorer mon accent. Au moment où je me levai pour en chercher un dans ma bibliothèque, quelqu'un frappa à la porte. Je jetai un coup d'oeil sur mon téléphone : pas de messages. Qui cela pouvait bien être ? Un représentant publicitaire ? Il y en avait de plus en plus ces temps-ci, Pauline ou Ella ? Non, elles m'auraient prévenu avant. J'ouvrai donc la porte, persuadée de me retrouver avec un ou une inconnu (e). Or, j'étais face à un jeune homme d'une vingtaine d'année, je faillis lui dire que je n'étais pas intéressée quand je le reconnus. C'était le fameux garçon avec j'avais passé ma dernière nuit. Avait-il oublié quelque chose ? Pas à ma connaissance. Je décidai d'être plus aimable que l'autre fois et pris mon air le plus gentil :
« Bonsoir, que puis-je faire pour toi ? » dis-je d’une voix très calme. Je devais m’excuser, oui, mais pas avant de connaître l’objet de sa visite.
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Sujet: Re: Je dois te dire la vérité with Athena Ven 11 Nov - 13:05
Athena & Andrew Je dois te dire la vérité
Elle était chez elle, j’allais devoir lui expliqué pourquoi j’étais là, pourquoi je me trouvais devant sa porte après une semaine de sans nouvelle et surtout après s’être quitté sur un au revoir assez étrange. La voir me fit plaisir, la voir me redonner le sourire, mais le regard qu’elle me lançait montrer bien qu’il y avait quelque chose qui clocher. Je pouvais encore sentir une gène entre elle et moi, comme si on avait vraiment couché ensemble hors ce n’était pas du tout le cas « Bonsoir, j’espère que je ne te dérange pas. Je voulais prendre de tes nouvelles, savoir comment tu allé depuis notre…nuit. » Allait-elle me laissé entrer ? Je n’en avais aucune idée, mais il le fallait, il fallait absolument que je rentre afin de lui expliquer ce qu’il s’était vraiment passé lorsque l’on avait passé la nuit ensemble, elle devait connaitre la vérité et je ne voulais certainement pas lui dire debout dans son entré. Fallait dire en ce moment, je n’étais pas le meilleur des mecs, je bois à en être soul et je couche avec une certaine Pauline, ensuite je rencontre Athena dans un bar et je l’embrasse alors qu’elle est soul, du coup elle ne se rappele pas de ce que l’on a fais, et maintenant cette même fille me hante, alors que l’on se connait à peine, enfin j’en connais plus sur elle que elle sur moi, après tout je n’avais pas beaucoup parlé de moi, il faut dire elle ne m’en avait pas laisser la possibilité.
J’avais mes mains dans les poches de mon manteaux et je joué avec mes clés et mon portable. J’étais stressé, j’avais envie que ça se termine vite, mais au fond de moi j’avais aussi envie de rester avec elle, de la surveiller, de la protéger, de la prendre dans mes bras pour lui montrer qu’elle n’est pas seule, qu’elle peut compter sur quelqu’un. Mais lorsque l’on connait une personne d’une seule nuit, lorsque l’on a passé la nuit avec une personne soul, il est difficile de savoir si elle se souvient encore de moi ou même de mon prénom. Déjà elle me reconnaissait, enfin c’est ce qu’elle laissait croire. Elle semblait froide, distante… Que devais-je faire ? Est-ce que je devais lui dire la vérité ou tout garder pour moi ? Comment allait-elle le prendre ? Prendre le risque est une chose que je devais faire, vivre avec ce genre de chose est dur pour quelqu’un, c’est dur d’avancer alors qu’on pense aimer une personne sans savoir si c’est réciproque ou pas. Peut être que je ressenté qu’une simple attirance, je n’en ai aucune idée, c’est pour ça que je voulais lui parler, que je voulais qu’elle le sache, afin qu’elle m’aide à trouver ce que je ressens. Mais après elle allait peut être me prendre pour un fou, chose normal j’ai envie de dire. Après tout on sait vu qu’une seule fois, on sait échangé qu’un seul baisé et là hop au bout de une semaine je viens lui dire qu’en fait il sait bel et bien passer quelque chose et qu’en plus je ressens quelque chose pour elle. Mais qu’est ce que j’allais faire, elle n’avait certainement pas besoin de ça, elle n’avait pas besoin qu’une parfait inconnu vienne chez elle et lui annonce qu’il a des sentiments pour elle… Qui suis-je pour faire ça ? Un homme qui a aussi était abandonné par quelqu’un, qui a aussi eu une rupture dur à encaisser. Certe elle remontait à mon année de lycée, mais encore aujourd’hui lorsque j’y pensé, ça me faisait mal, ça me faisait de la peine, mais je vivais avec, j’avançais avec, je n’avais pas le choix de toute façon, c’était soit ça, soit me faire interner.
J’attendais là, devant sa porte qu’elle me laisse entrer ou autre. J’attendais un signe positif de sa part, et surtout qu’elle me dise que tout aller bien pour elle.
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Sujet: Re: Je dois te dire la vérité with Athena Ven 18 Nov - 21:01
«A&A - Je dois te dire la vérité»
Quand on est du genre parano, on peut vite s’imaginer les pires horreurs. La visite surprise du jeune homme ne m’inspirait rien de bon… Mon cerveau tournait trois fois plus qu’il ne le devrait. Je m’imaginais toutes les situations possibles et imaginables afin de réagir convenablement au moment venu. Il me regardait avec un grand sourire, le regard hébété ; d’accord, ça ne devait pas être si terrible que ça. J’étais partagée entre deux sentiments : une envie irrésistible de lui arracher les mots de la bouche et l’autre de le renvoyer illico presto et ne pas entendre ce qu’il avait à dire. Oui, c’est peut-être lâche, mais il y a des fois où il vaut mieux vivre dans le déni. Il avait mis quelques secondes à me répondre, comme s’il ne savait pas très bien comment réagir. « Bonsoir, j’espère que je ne te dérange pas. Je voulais prendre de tes nouvelles, savoir comment tu allé depuis notre…nuit. ». J’étais plus ou moins perplexe… Cette visite surprise ne pouvait pas simplement cacher une envie de « prendre des nouvelles ». Il aurait très bien pu laisser une lettre ou une connerie du même genre et non pas débarquer comme ça, surtout à cette heure.
Comment réagir ? Je ne pouvais pas simplement lui ouvrir la porte et lancer un « fais comme chez toi, après tout, tu connais le chemin ». La prise de conscience que m’avait apporté Clément, mon meilleur ami, était en train de faire effet : il fallait que j’oublie mes erreurs passées et recommence à bâtir une vie normale, sans cuite démesurée et garçon à volonté. Ce n’était donc pas le moment d’accueillir un de ces derniers les bras ouverts. Les mains dans les poches, il agitait nerveusement des clefs ou un objet émettant le même son. Il était stressé… Super, nous étions deux. Je décidai, dans un premier temps, de lui répondre : « Non tu ne me déranges pas. Depuis notre « nuit » je vais bien, même très bien. Ecoutes, je ne sais pas ce que tu veux, mais je souhaite vraiment faire une croix sur notre soirée… Et toutes les autres ». J’avais imité les guillemets avec mes doigts au moment de prononcer le mot nuit pour qu’il comprenne à quel point je l’estimais comme appartenant au passé.
La fin de ma phrase avait été comme un rappel à l’ordre : je ne devais pas réitérer ce genre de soirées. Je n’étais pas méchante, mon éducation ne me le permettait pas réellement. Je pouvais avoir un fond un poil sans-coeur mais je n’étais pas cruelle : j’allais écouter ce qu’il avait à dire. J’entrouvris la porte de mon appartement de telle sorte qu’il puisse à peine rentrer : je ne voulais pas qu’il croit qu’il était aussi bienvenu que la dernière fois. Il fit quelques pas avant de se retourner pour se présenter face à moi. J’essayais d’adoucir les traits de mon visage, histoire de le pousser à parler plus vite. Mes craintes pouvaient s’avérer fausses, il pouvait simplement avoir voulu prendre des nouvelles… Après tout, il est possible que le garçon soit ultra-protecteur, même avec les filles d’une nuit. J’espérais au moins pour lui que ce n’était pas fréquent : il devait en avoir des maisons à visiter si c’était le cas. Bref, je devais absolument briser ce silence plus que pesant : « Je ne sais pas ce que tu veux mais tu devrais te dépêcher… J’ai tendance à avoir une patience limitée ».
Il fallait que je reste calme, ne pas me laisser submerger par la curiosité et l’angoisse que m’inspirait la situation. Dire qu’à la base, j’étais simplement partie pour une bonne soirée DVD… A mon avis, ça allait être beaucoup plus compliqué que ça. Peu importe ce que j’allais apprendre –ou non-, j’étais bien déterminée à regarder ce foutu film, seule ! Comme pour l’inviter à parler et répondre à ma question, je lui adressai un léger mouvement de tête.