Sujet: remember the past • amandine&clémence Mar 11 Oct - 16:26
Dans une série américaine que j’apprécie beaucoup, une citation est écrite et dite. « Parce qu'on n'a tous besoin d'un peu d'espoir pour tenir, on a tous besoin de sentir que quelques fois la vie est merveilleuse et qu'avec la bonne personne elle peut l'être pour toujours » J’apprécie et affectionne cette citation, elle a était dite dans un mariage, mais ce que je veux dire, c’est qu’elle me fait sourire et reprendre très vite confiance en moi. A la mort de ma mère, je suis passé, dans une période ou je me suis renfermée, en pleurant, repensant a mon père que je n’avais pas connu, a elle alors que je ne pourrais assister a son enterrement. J’ai eu du mal a me relever et encore plus a combattre tout ça, quelques chose ma fait tenir, le fait de comprendre que ma sœur était encore la pour moi, ma seule famille désormais, retrouvé ma cousine, cette ange, que j’affectionne beaucoup mais surtout cette citation, pendant des jours j’ai regardé cette épisode en entier, le bonheur sur le visage de chaque acteurs et cette citation m’a fait comprendre beaucoup de chose. Je ne parle pas de mariage, ou que je voulais me marié non. J’ai compris, que ce que mes parents voudraient parmi tout, c’est vivre heureux, trouvé le bonheur, avoir confiance en la vie pour comprendre qu’elle est magnifique et qu’elle vaut la peine d’être vécu, que j’avais besoin de rire, m’amuser et faire vivre leur souvenir dans les yeux de mes enfants quand j’en aurais a mon tour.
J’ai peu de gens de ma famille qui habite a Paris, j’ai ma sœur Cloé, ma cousine Maelys, et mes amis qui sont comme ma famille, j’ai Cardamine, ma marraine qui était la fille de la meilleure amie a mon père, il a toujours dit a ma mère, qu’elle serait la marraine de sa fille et quand mon père est mort, ma mère lui a rendu ce dernier hommage, hormis que je porte son nom, je vois en Cardamine comme le souvenir de mon père, parce qu’elle la connu contrairement a moi. C’est comme ça, que ma vie était maintenant, livré a moi-même dans Paris avec ma grande sœur, mais c’est comme ça, c’est le destin après tout.
Le réveil sonnait à sept heures. L’heure de se levais et de se préparer pour aller au lycée. Je soupirais, sortant de mon lit, je regardais mon téléphone, et comme tous les matins, c’était mon tour, un matin sur deux, j’envoyais un message a Alessio, un matin sur deux c’était lui qui m’en envoyait un. L’avantage, c’est que j’étais sur de ne pas le réveiller, les études de médecine, il faut se lever tôt pour ça. Une fois le message envoyée, je partais prendre une douche avant le déjeuner enfin plutôt petit déjeuner. Je sortais, emmitoufler d’un peignoir, et me préparer un petit déjeuner, banale. Céréales au chocolat et bol de chocolat chaud. Je regardais la télévision mais je dois l’avouer que le matin, il n’y a pas grand-chose, je soupirais et zappais finalement sur un dessin animée, j’ai dix sept ans mais celui la, me fais rire, j’enchainer un épisode des totaly spies puis de bob l’éponge carrée. Malheureusement le temps passée, j’éteignais la télévision et allais me changer. Une robe d’hiver, avec des collants, des bottes, et ma veste Ambercombrie & Fitch, plus une écharpe autour de la capuche. Je prenais mon sac, mettant des feuilles, un trieur, ma trousse et des babioles dedans, du genre maquillage et autre.
Le froid de sentait un peu plus chaque jour, j’enfilais ma capuche et prenait le bus du lycée. Il faisait très froid. J’enfilais mon casque «beats» et écoutais ma musique, durant le trajet. Après les bouchons, on arrivait finalement devant le lycée, c’est alors que je fus surprise de voir ce qui ce passée. Un blocus, géniale. On entendait les cris, les chants des communistes qui bloquaient l’entrée. Je soupirais, et attendais. Peut être qu’au bout d’une heure ou deux on pourrait enfin rentrer dans le lycée, comme a chaque blocus. Les lycéens avaient l’air très motivié, le froid faisait de plus en plus rage, mais rien n’avait l’air de se calmer. Je prenais mon téléphone, envoyant un message a Alessio, pour savoir s’il pouvait venir me chercher, mais il bossait, pareil pour ma marraine et pour mon Pacôme. Je soupirais, et commençais a marcher dans les rues de Paris. J’avançais sans savoir ou j’allais vraiment, j’avais remis mon casque sur les oreilles. J’arrivais a la basilique sacré cœur. J’étais fatigué, d’avoir marché autant, il faisait froid, j’étais en robe, et en talons, j’en pouvais plus. Je me posais sur un banc et continuais a écoutais ma musique.
C’est alors, que je voyais quelqu’un que je connaissais Amandine. Elle connaissait ma mère, c’est donc comme ça, que je la connaissais. Au début je ne savais pas comment agir avec elle. Pour une raison qui m’est encore inconnu, elle et ma marraine ne s’aimait pas, mais j’ai du lui parlé, c’est comme Cardamine, elle me rappelle ma mère et me fait partager des choses que je ne savais pas sur ma mère. Au loin, je lançais un petit signe suivit d’une parole. « Amandine ». Je restais assises, attendant qu’elle arrive a ma distance. J’enlevais le casque sur mes oreilles et patienter.
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Sujet: Re: remember the past • amandine&clémence Dim 16 Oct - 19:16
Le soleil pointait tout juste le bout de son nez sur Paris. Il était encore tôt, et j'étais réveillée, pourtant, je ne travaillais pas aujourd'hui. J'aurais adoré rester dans mon lit, au chaud, sous la couette, les yeux fermés et endormie dans le plus profond des sommeils. Seulement, j'avais trop de choses dans la tête. Je n'en pouvais plus de ressasser toujours les mêmes évènements. Je pensais à ma mère, qui était en face terminale de cancer. Je pensais à Sylvain, à ce baiser que nous avions échanger, à cette soirée que nous avions passés ensemble, et à Marie, qui nous avait surpris. Je pensais aussi à ma fille. À chaque instant je m'en voulais un peu plus de l'avoir laissée. J'aurais finalement voulu être là quand elle aurait pu en avoir besoin, quand Sylvain aurait pu avoir besoin de moi. Mais je savais pertinemment que je ne pouvais pas revenir en arrière, que tout ce qui était fait ne pouvait pas être changer. Alors je me levais de ce lit dans lequel j'aurais pu vouloir rester. Vêtue d'un pantalon de jogging et d'un soutien gorge noir, je déambulais tel un mort-vivant vers la cuisine, dans laquelle je me versais une grande tasse de café.
Je savais que la journée allait être longue. Je n'avais déjà aucune raison d'aller au studio, car il était fermé aujourd'hui, donc il n'y aurait aucune cliente, et je n'avais aucun travail à rattraper. En plus de ça, aujourd'hui, c'était une journée de manifestation. Alors pour une jeune femme qui voulait aller faire les boutiques, ça allait être un peu compliqué. Résultats, je sentais que j'allais passer la journée enfermée dans mon appartement, en pseudo-pyjama, devant la télé, à manger de la glace au chocolat. Mais en portant à mes lèvres ma tasse de café, je me disais que rester ici à ne rien faire me ferait penser encore plus à toutes les histoires qui me tombaient dessus les unes après les autres comme des gouttes de pluie. Alors après avoir fini mon café, je retournais en marchant toujours d'une manière non-chalante vers ma salle de bain, dans laquelle j'essayais dans la mesure du possible de me reprendre en main. Il ne semblait pas faire chaud, alors je décidai de me vêtir d'un simple jean, et d'un pull décolleté. Je me brossais rapidement mes cheveux pour laisser retomber ma chevelure lisse, et sans vraiment savoir où aller, je sortais en fermant la porte de mon appartement.
En effet, la rue était pleine de monde. Des lycéens furieux qui encerclaient tous les lieux publics, et à mon avis, la plupart ne savaient même pas pourquoi ils faisaient ça. À vrai dire, même moi je ne le savais pas. Et donc, je ne souhaitais pas me joindre à eux. Je suivais donc une des seules routes à peut près fréquentables. Je ne savais pas vraiment où elle menait, n'ayant pas encore tout à fait pris mes marques dans Paris. C'est au bout de quelques minutes que je devinais évidement que je me trouvais au Sacré Cœur. Beaucoup de souvenirs remontaient soudainement en mémoire. C'était un endroit dans lequel ma mère m'amenait souvent quand j'étais une enfant. Et j'aimais venir ici. Je regardais la structure, quand je vis une jeune fille me faire signe et prononcer mon prénom. Je reconnus alors, rapidement Clémence. J'avais connu sa mère et je l'avais fréquenté à une époque, avant qu'elle décède malheureusement. Je n'avais pas beaucoup revu cette jeune fille depuis ce drame, mais elle n'avait pas changé, si ce n'est qu'elle était devenue une magnifique jeune femme. Je m'approchais alors d'elle et m'asseyais à ses côtés. « Clémence ! Comment vas-tu ? »
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Sujet: Re: remember the past • amandine&clémence Mer 26 Oct - 13:20
« C’est dur quand les gens te manquent. Mais ça veut dire que tu étais chanceux, que tu avais quelqu’un dans ta vie, quelqu’un d’assez important pour te manquer. » La sensation de manque, c’est horrible. On la ressent souvent quand le présent n’est pas a la hauteur du passé, malheureusement ça arrive souvent en ce moment. Dans quelques mois, au mois de décembre plus précisément, cela fera trois ans que ma mère est morte, c’est une sensation désagréable qui nous donne tout le temps envie de pleurer et de resté enfermé chez sois sans profiter de la vie. Pourtant pour bien vous dire je ne suis pas dépressive loin de la, je suis plutôt ce genre de fille qui profite de la vie et qui la croque a pleine dents chaque jour mais en ce moment rien ne va comme prévu. Depuis quelques jours je fais des cauchemars étrange, je revois ma mère et mon père ainsi que Cloé, tous ensemble assit autour de la table profitant d’un diner de fête, profitant avant de la faire la fête de noël dans quelques jours et d’un seul coup Jack entre dans la pièce, assassine mon père, ma mère et Cloé aussi en ce qui me concerne il me viole encore une fois, me faisant mal, je saigne de partout et je pleure, cris mais je ne peux me débattre. Je me réveille a chaque fois, après qu’il me tue a mon tour, c’est horrible et effrayant. J’essaie toujours de repenser a ma mère positivement mais ça ne marche pas toujours, a chaque fois il revient dans mes pensées. Elle était si douce et splendide, d’ailleurs on m’a toujours dit que je ressemblais a ma mère, j’avais ses magnifique cheveux brun, sa peau un peu mate cependant j’avais les yeux de mon père. Je revenais doucement a mes pensées, assise sur le banc et regardais Amandine, s’approchait de moi.
Amandine, aussi étrange que cela puisse être je n’ai jamais su comment je devais me comporter avec elle. Au début j’étais plutôt rétissante avec elle, Cardamine ma marraine m’avait souvent parlé d’elle et pas en très bien pour dire. Je ne sais pas ce qu’elle avait l’une contre l’autre mais ce n’étais pas de l’amour, pas du tout non. Mais après mure reflexion j’avais compris, finalement ce n’est pas si compliqué, Cardamine doit comprendre c’est obligatoire, elle m’apprend a connaitre mon père et Amandine m’aide a garder un souvenir de ma mère. C’est compliqué mais pourtant. Je voyais Amandine arrivait au loin, belle comme le jour comme a son habitude et je souriais, en la voyant arrivé je pouvais voir ma mère, d’ailleurs elle qui traversait la foule de tout less lycéens en délire qui manisfestent pour des bétises, l’avantage dans tout ça c’est qu’on a pas cours, même si c’est le bac a la fin de l’année.
« Je vais bien et toi ? »
J’affichais un petit sourire, et regardais la foule en délire. Je pensais et devait le faire, même si cela allait être compliqué. « Amandine … je peux te poser une question ? ». Je me doutais bien qu’elle n’allait pas dire non, je laissais quand même un blanc le temps qu’elle me réponde mais comme la réponse attendu ne venait pas je soupirais et la regardais. « Toi qui la connaissait … Tu penses qu’elle est fière de moi et de Cloé ? ». Je sais que Cloé ne doute pas de ça, j’en suis quasiment sur elle est trop sur d’elle pour ça, puis elle a connu maman plus longtemps que moi. Mais au fond, peut être que maman m’en veut de n’avoir rien dit pour mon viol, d’être parti comme ça avec Cloé en pleine nuit sans lui dire au revoir. Finalement si elle est morte c’est ma faute, si je ne m’étais pas enfuie, Jack ne l’aurait jamais tué. J’avais quelques larmes aux yeux et regardais Amandine,d’un air desesperer.
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Sujet: Re: remember the past • amandine&clémence Sam 5 Nov - 19:45
La basilique du Sacré Coeur était, à mon goût, l'un des plus beaux endroits de Paris. Déjà, par la beauté de ce phénomène d'architecture. Sans être une experte, j'aimais ses formes, et son aspect, qui se faisait comme rassurant dans le grand Paris. Et en plus, ce lieu me remémorait un nombre incroyable de souvenirs. Le premier est celui de mon enfance, je me vois encore me promener avec ma mère en faisant de la corde à sauter pour descendre les marches de la basilique. Il y avait aussi le souvenir de nous voir, moi et Sylvain, lors de nos premiers rendez-vous en amoureux. Et évidement, je pensais à quand je venais passer des journées entières assise dans l'herbe avec ma meilleure amie, qui se trouvait être la défunte mère de la jeune Clémence, assise à mes côtés désormais. Je plaignais cette pauvre jeune fille. Elle avait vu sa mère mourir, et je n'imaginais pas ce qu'elle pouvait ressentir. Je ne voulais même pas y penser, en sachant que ma mère était presque sur son lit de mort. Je ne voulais pas m'imaginer prématurément la souffrance que j'allais endurer, et la solitude que j'allais subir lorsque ma maternelle disparaitrait. Je voulais juste pouvoir penser que pour le moment, elle était encore là, capable de m'écouter, et de me comprendre. Et si ça ne tenait qu'à moi, je voudrais pouvoir arrêter le temps pour qu'elle soit toujours là, malheureusement ce n'était pas possible.
Clémence était le portrait craché de sa mère. Elle avait ses cheveux bruns, et quand je la regardais dans les yeux, j'avais l'impression de replonger de nombreuses années en arrière. « Eh bien, ça va... » En réalité, ça n'allait pas vraiment, mais je ne voulais pas l'inquiéter. C'était une adolescente, je ne pouvais pas lui raconter maintes et maintes choses sur ma vie. Mais depuis que j'ai revu Sylvain, les choses sont trop différentes. Je ne sais plus quoi faire, ou quoi dire, je pense à lui tout le temps, et j'ai l'impression d'être de nouveau amoureuse de lui, ce qui ne pouvait pas être possible. Ce n'était pas moi, mais sa simple présence me suffisait pour perdre tous mes moyens. Et en plus de cela, ma rencontre avec Marie me restait en tête, et je ne savais pas comment gérer tout cela, mais je ne voulais le montrer à personne, et j'étais plutôt forte pour cacher toutes ces émotions qui se cumulaient en moi. Et je restais au maximum concentrée sur la petite Clémence.
La jeune fille venait de me demander si elle pouvait me poser une question. Bien évidement, je me voyais très mal lui refuser cela. Je lui faisais donc un petit signe de tête. Je savais que ce serait une question au sujet de sa mère, et c'était sans doute une des personnes que je connaissais le mieux, du moins dans le passé. J'aurais vraiment aimé qu'elle soit toujours avec nous aujourd'hui. Elle me demanda alors si elle aurait été fière d'elle, et de sa sœur, Cloé. Elle avait les larmes aux yeux en disant ça, ce qui me faisait mal au cœur. En fait, je pensais à Marie, qui elle, avait du se poser la même question plusieurs fois. Je prenais donc sa main. « Clémence, bien sûr qu'elle serait fière de toi. Elle est... était ta mère, et c'est le rôle d'une mère que d'être fière de sa fille. Ne t'inquiète surtout pas pour ça ! » Et en disant ces mots, je pensais à ma fille, enfin, elle ne se considérait peut être pas comme telle, mais à mes yeux, elle n'était pas autre chose.