MAËLYS & BRAD

Retrouvailles inattendu et souvenirs perdu remémorés.

Balader dans Paris. Les touristes adorent. Brad déteste. Faire les boutiques à la recherche de truc inutile. Les touristes adorent. Brad déteste. S'habiller à la mode. Tout le monde aime. Brad n'aiment pas - Faut dire qu'à la mode ou pas, il reste sexy. - Éprouver des sentiments. Tout le monde aiment. Brad aussi mais, lui il trouve que ça fait mal. Pourquoi il fallait qu'il soit comme ça ? Le bonheur n'est-il pas à porter de main ? Brad n'arrête pas de tendre la main, mais, depuis tout ce temps rien du tout, alors, depuis tout ce temps, il a arrêté. Enchaînant les histoires d'une nuit. Il se retrouvait généralement résigné à allez au bar de Chloé et de boire, histoire d'oublier la misère de sa pauvre vie, il ingurgitait toutes ces merdes, presque tout le temps, et il le vivait plutôt bien. Une sorte d'échappatoire temporel. Le soir, tous part. Le lendemain au réveil. Boum. Retour à la réalité. Et au fur et à mesure. Tout devient compliqué. Level 1 : Oublie de problèmes. Level 2 : Oublie du lieu. Level 3 : Oublie de marcher. Level 4 : Oublie le lieu où il habite. Level 5 : Oublie son prénom. Mais la plupart du temps, il n'avait pas vraiment de nausées, de malaises, de vertiges ou voir même de bouffés de chaleurs, simplement de grosses migraines. Mais, cela ne le faisait pas pour autant oublier l'envie de boire. Au contraire. M'enfin bref, passons.

Aujourd'hui, comme chaque journée, il n'avait rien fait. Twitter. Messenger. Ou voir même Skype, ne donnait rien. Il avait beau vérifié entre deux cigarettes, rien à l'horizon. Alors, il n'avait pas vraiment fait quelque chose de sa journée. Ah si pardon, il a été faire des courses, d'ailleurs il s'était fait dragué pas la caissière et une cliente, et bien évidemment, il les a bien gentiment remballer, de une, ce n'était pas son type et de deux... Ce n'était pas son type. En rentrant chez lui, il prit le temps de ranger la nourriture acheter il y a dix minutes. Un bon frigo pleins que voilà ! La vie de Paris était certainement chère, mais, pour Brad, étant riche, il ne savait pas vraiment ce que ça faisait, même s'il n'était pas du genre à balancer son argent de partout, il ne "survivait" pas. La journée passa tel un escargot faisant dix mètres. C'est-à-dire, très très lentement.

En ce moment même, Brad, notre londonien préféré, se baladait dehors, à croire qu'un aussi beau mec, n'avait pas d'amis ! Il était généralement seul ! C'est avec des fringues propres et son air de solitaire célibataire qu'il arpentait les rues, à la recherche de, je ne sais quoi. Il en avait eu marre de rester jambes croisées sur son lit, à ne rien faire, jonglant entre la télévision et son ordinateur. Il était seul chez lui, et comme chaque soir, il sortait dehors pour être au calme et sans avoir tout le monde qui bougent autour de lui. En ce moment même, il se trouvait au 9ème arrondissement de Paris, alors qu'il habitait au 11ème, il avait fait une belle balade quand même ! C'est quand il prit conscience de l'heure : 23 heures 21, qu'il se dit, qu'il faillait tout de même rentrer. Il rangea son téléphone, tout en regardant s'il n'avait pas reçu un sms ou autre. Il leva son visage et regarda une fille marchait en direction d'un bâtiment, sauf que... Il y avait quelque chose qui clochait. Sa tête ça lui disait quelque chose. La jeune femme se trouvait face à lui mais, elle était assez loin, alors, il s'approcha tout en analysant bien. Les cheveux qu'elle avait, la taille, les trais de visages, elle ressemblait comme deux gouttes d'eaux à l'une des exs de Brad ! Une qu'il avait connue au Canada. Une qu'il avait aimé. Et oui mesdames, il a aimé quelqu'un notre londonien, et il trouvait ça magnifique. Sauf qu'il était là-bas qu'en vacances ce qui veut dire qu'il n'est pas resté pour toujours, et il dut donc laisser la belle brune, alors que cela aurait pu certainement donner une belle histoire d'amour ! Mais cela restait tout de même impossible, elle vivait au Canada. Même s'il se trompait de personnes, il s'en foutait. Il voulait tout de même en avoir le coeur net. Il voulait savoir si même sans être ivre, il était fou.

« Maëlys ?... Dit-il tout en essayant de voir la personne qui se trouvait dans l'obscurité. Maëlys, c'est... c'est bien toi ?... » Cette brune, il pouvait la reconnaître même s'il y avait dix mille personnes autour d'elle et de lui. A croire que depuis tout ce temps, il était relié à-elle. Et dès qu'il aperçu son regard, les souvenirs toquèrent à la porte, tous ces bons moments qu'ils avaient passé, il s'en souvenait comme ci c'était hier, de son sourire, de son rire, c'est à ce moment-là qu'il comprit qu'il était déjà blasé de la vie, bien avant d'avoir cassé avec son ex, dès qu'il avait laissé la belle brune, il y avait un manque. C'est là qu'il comprit.

Ce matin, Maëlys avait le temps pour se réveiller vu qu'elle prenait que l'après-midi, cela fait qu'elle avait fait la grasse matinée, mais elle avait quand même mis son réveil pour pas trop dormir, elle serait bien capable de se réveiller à 12H et d'être en retard pour son boulot, mais heureusement pour elle, elle s'est réveillée, en sous-vêtements mais réveillée quand même, à 10H30, on pouvait voir une Maëlys en forme pour une fois, elle s'était levée du bon pied. Maëlys fila vite fait prendre sa douche car sinon elle se connait elle allait y passer des heures. Après elle s'habilla d'une robe, elle se sécha les cheveux pour pas être malade une fois dehors, elle mit ses chaussure, rangea un peu sa maison même si ce soir elle allait quand même rentrée tard, puis elle partie mangée dans un petit restaurant pas très loin de chez elle pour qu'elle y aille à pied. Elle mangea un petit truc vite fait là-haut pour pouvoir commencer plus tôt à son travail et finir un peu plus tôt le soir. Après une trentaine de minute, du vite fait quoi, elle alla rejoindre sa voiture et partie pour le boulot qui était un peu trop loin pour qu'elle y aille à pied. Une fois arrivée sur place, elle alla en direction de l'hôpital et après du vestiaires pour les infirmières, elle y mit sa blouse puis s'était partie pour elle ne sait pas qu'elle heure de travail. Elle adorée son boulot, certes, même si cela prenait beaucoup de place dans son emploi du temps, c'est surtout à cause de ça, car elle n'était pas beaucoup disponible alors question vie privée, elle ne pouvait que le samedi vu que c'était son jour de congé et le dimanche bien évidemment et quand elle était en vacance alors sa laisse à réfléchir pour avoir une vie en dehors du boulot.

En ce moment, la jolie brune avait son petit cœur prit, par son supérieur certes mais il était pris, même si il le savait pas, elle a trop peur que cela soit plus réciproque et qu'ils ne couchent plus ensemble tout les deux. Elle avait vécu plusieurs relations, sérieuse puis d'autres pas, tout compte fait, aucune n'étais réellement sérieuse, et elles n'ont pas durées très longtemps à vrai dire, sa toute première remonte à des années, lorsqu'elle avait 16 ans, la fameuse période où qu'elle était tomber enceinte et que ses parents avaient divorcé, elle n'a d'ailleurs depuis plus de nouvelle de son père, et elle n'en cherche pas, vu la manière dont il lui avait répondu quand elle lui avait dit qu'elle était enceinte, en ce qui concerne l'histoire de sa première relation, elle n'avait pas vraiment garder contact avec lui, il était partit, sa lui avait fait énormément de peine, elle avait mis beaucoup de temps à s'en remettre, même si il lui resté quelques séquelles, qui vont, elle l'espère, s'effacer au du temps. Maintenant elle avait emménagé ici depuis ses 21 ans, elle s'y sentait bien, elle avait rencontré plein de gens formidable tel que Chloé, sa meilleure amie qu'elle adorait tant, Alejandro qu'elle avait retrouvé ici, à Paris, et tout plein d'autre monde aussi qu'elle avait eu l'honneur de rencontrer. Cela faisait maintenant plus de 12H que Maëlys travaillée, elle avait fait des heures supplémentaires parce qu'il y avait un manque de personnel, alors elle était restée un peu plus longtemps que prévu mais maintenant, elle allait pouvoir rangé sa blouse dans les vestiaires et partir. Elle n'était même pas fatiguée, normalement elle devrait l'être, mais là c'était un jour pas normal alors elle ne l'est pas. Une petite trentaine de minute après Maëlys partit rejoindre sa voiture.

Maëlys arriva devant chez elle une vingtaine de minutes après, il était 23H21, et le sommeil n'a pas encore fait son apparition, elle était sur le point de se diriger vers sa maison quand elle entendit quelqu'un l’appeler, c'est bizarre, sa voix lui était étrangement familière, même assez, au bout de la deuxième fois, Maëlys se retourna et recula d'un pas lorsqu'elle vit Brad, cela faisait tellement longtemps qu'elle ne l'avait pas vu, celui-ci demanda si c'était bien elle, dans ses moments là, oui c'était bien elle ."..Brad ? Oui... Oui c'est bien moi.. Qu'est-ce que tu fais ici?" Cela faisait 4 ans, vous vous rendez compte? Ça fait 4 ans qu'ils ne se sont pas revus, sans nouvelle, ni rien, il ne l'avait même pas prévenu qu'il partait, tout d'un coup, des tas de souvenirs venaient se percutés dans la tête de la jolie brune, les bons moments qu'ils avaient passé tout les deux mais surtout aussi le moment torride qu'ils avaient passé ensemble, il n'avait pas changé, il était toujours aussi beau, son premier grand amour, c'était surtout le père de son enfant qu'elle avait fait adopté, c'est grâce à lui qu'elle était tombée enceinte, elle ne sait même pas si elle lui en veut ou pas, elle était complètement perdu à vrai dire, la seule chose qu'elle a trouvé à faire était de le regardé les larmes aux yeux et de mettre ses mains sur son visage qui lui avait tant manqué, elle s'avança petit à petit près de lui et leurs corps finissent par se toucher, si son cœur ne serait pas prit et si elle n'aurait pas été sous état de choc, elle l'aurait sûrement embrassé car un baiser vaut mille mots et là aucun ne venait encore. Maëlys le serra fort dans ses bras tellement qu'elle crut qu'elle allait étouffé, sans rien qu'elle ne fasse, une larme coula sur sa joue, Maëlys le regarda une nouvelle fois, ses mains sur son torse et elle réussit à sortir des mots "Tu m'as tellement manqué durant ses 4 ans, j'aurai du m'en remettre tu vas me dire, mais mon cœur ne pouvait pensé qu'à toi, tu aurais du me prévenir que tu partais, car ton absence ma fait souffrir un tel point que tu ne pourrais l'imaginer... Tu...." Elle ne réussit pas à finir, plus aucun mot ne voulais partir, tout ce qu'elle voulait maintenant c'était entendre sa voix qu'elle n'avait pas entendu depuis quelques minutes certes mais elle savait pas que c'était lui, pour elle cela faisait 4 ans soit une éternité pour elle.

MAËLYS & BRAD

Retrouvailles inattendu et souvenirs perdu remémorés.

Brad. Le seul gars avec un passé heureux. Joke. Qu'en était-il réellement ? Voici que son passé, dont il n'avait même pas essayé de voir après, était devant lui devant ses yeux. Un genre de livre non terminer. A croire qu'après être parti, la laissant sans nouvelle. Il avait commencé un autre livre, laissant le précédent en pause. Depuis quatre ans, le livre est resté ouvert. Depuis ce temps-là, il a dû prendre de la poussière, des pages ont dûêtre arracher. Alors, il était là, à la regarder, encore et encore. Toujours un peu plus qu'avant. Il n'en revenait pas. Pourquoi ? Pourquoi ça ? Pourquoi ? Il avait envie de hurler, de se jeter, rien qu'à la vue de la jeune femme frêle aux cheveux long qui se tenait devant lui. Il avait qu'une seule envie c'était d'en finir avec ça. Abrutit. Insouciant. Espèce de con. Connard. Oh que oui, il l'était. Plus les secondes passaient, plus il sombrait, en un instant, il cru s'être noyé dans les méandres de ses souvenirs passés avec la jeune femme.

Brad. Le seul et l'unique. Il ne méritait pas mieux après tout. Pas de cries de joies. Juste des larmes et des remords, voilà à ce qu'il avait le droit. On finit par toujours être rattrapé par le temps. Et au plus profond de lui, il se faisait manger par tout ça. Ça. Sa. Colère. Haine. Impuissance. Incompréhension. Amour. Envie. Passion. Désire. Tout ça. Il prit déposa ses mains, froides comme ceux de la jeune femme, elles c'étaient posé sur son visage, et voici que le contact était fait. Il ne pouvait pas parler. Il écoutait la jeune femme parler. Et tout tombe sur lui. Il ferma les yeux, en hochant la tête, se contentent d'approuver ce que la jeune femme disait. Ce que Maëlys lui disait. Et plus elle parlait, plus les émotions montaient en lui. Il sentait que ses yeux devenait mouiller, alors, il les garda fermer, emprisonner. Il se perdait toujours un peu plus. Brad se perdait lui-même. Une partie de lui se disait que c'était du n'importe quoi, qu'il ne devait que simplement la laisser, lui dire au revoir et à jamais. Et l'autre, lui disait de rester, simplement de rester, pour elle, pour lui, pour eux. Elle pouvait même l'insulter si elle voulait, le frapper, il n'y ferait rien. Il ouvrit les yeux, on voyait bien que lui aussi avait les larmes aux yeux. Il l'enlaça, d'une tendresse qui était en train de le tuer.

« J... Je... Bafouait le londonien, qui à la vue des yeux mouiller de la demoiselle, ne savait plus vraiment quoi dire, ni quoi faire. Excuse-moi... Sweetheart... Je... Je suis tellement désolé... » Il posa délicatement son front contre le sien tout en fermant les yeux, humant son délicieux parfum, qui dans le secret, lui avait tellement manqué... Le retour en arrière est impossible, le retour n'est pas possible, et en ce moment-même, il s'en mordait les doigts, lui qui croyait ne lui avoir fait aucun mal en partant sans nouvelle, voilà, qu'il tomba de haut, de très haut, à croire que la mort ne valait rien à côté de ça, la douleur était pire. Pire que de se faire tuer, par des coups de couteaux, par des balles dans le corps. « Je m'en veux tellement si tu savais... Pardonne moi, je ne pensais pas... Je ne savais pas... Il ouvrit les yeux, qui ne quittèrent pas son regard, et il déposa un léger baiser sur son front. Tu m'en veux, et je le comprend... Je le sais... Mais... Excuse-moi. » Il en vint à descendre son visage vers celle de la belle brune, puis il avança ses lèvres rossés de nature, vers celle de la jeune femme, lui déposant un baiser furtif pour ensuite lui chuchoter un ultime et certainement pas le dernier. « Pardonne moi... Sweetheart... » Il ne la lâcha pas, certainement parce qu'il avait peur qu'elle s'échappe. Au diable si elle avait un petit ami. Brad ne pouvait pas la laisser partir. Pas encore une fois. Rien qu'à la vue de ses yeux, rien qu'en entendant sa voix, il savait qu'il lui avait fait du mal, et ça le faisait mal, peut-être pas autant qu'elle mais, assez pour de nouveau se souvenir de ses sentiments envers elle, de nouveau pour comprendre qu'il l'aimait toujours. Une preuve ? Certainement le fait qu'une larme quitta son oeil droit, et devient vite orpheline, roulant sur la joue de Brad, c'était certainement ça la preuve. Et si elle s'en fout de ses excuses, il s'en fout aussi. Tant mieux. Mais, il ne pouvait pas la laisser. Encore une fois. Alors, il l'enlaça, un peu plus fort, mais, toujours avec une douceur magnifique. Il aurait voulu lui dire que plus jamais il ne la laisserait, que plus jamais il ne ferait ça, mais, cela valait-il la peine ? C'était un amour de jeunesse, elle était peut-être en couple, mais, à croire que Brad ne voulait rien savoir. Même pas si elle était en couple. Même pas si elle ne l'aimait plus. Il se rendit compte que cet amour de jeunesse était plus que ça. Qu'en fait, il lui manquait déjà quelque chose depuis ce triste jour.

Tu peux me haïr. Tu peux me détester. Ras-le-bol de mes conneries. Il lui aurait dit. Il lui aurait certainement dit ensuite. Mais s'il te plaît, ne m'ignore pas. Il déposa sa tête dans son cou, humant une nouvelle fois son parfum. « Tu m'as manqué... Mais, tu m'en veux... » It's so quiet here, and I feel so cold. So cold.

En retrouvant Brad, tout les souvenirs qu'elle avait vécu avec lui remonta à la surface, de bons comme des mauvais, elle ne pourrait certainement pas supporter tout ça une deuxième fois, surtout si il repartait comme ça sans prévenir, et peu importe de toute façon, elle ne pouvait nier que sa présence lui avait énormément manqué, pas non seulement son visage, mais tout les traits qui prouvait que c'était bien lui, l'homme qu'elle avait aimé et qu'elle aime sûrement toujours, ses sentiments ne sont pas partis, ils seront toujours là en elle et cela pour toujours même si elle essaye, elle n'arrivera pas, tout ce qu'elle arrivera à faire c'est de les cacher. La seule image qu'elle avait de lui était dans ses rêves et dans ses pensée seulement, qu'est-ce qu'elle aurait aimé le voir quand elle n'allait pas bien, lui seul savait lui faire remonter le moral comme il faisait. Maëlys avait toujours les yeux remplis de larme et cela ne fit qu'empirer lorsqu'elle vit ceux de Brad, celui-ci l'enlaça tendrement, elle ne pouvait le repousser, pourquoi, à quoi cela servirait, à par ce faire du mal à soit même, c'est tout ce qu'elle va faire, elle vit bien que lui aussi avait du mal à parler, mais il finit quand même par dire de l'excuser et qu'il était désolé, en prononçant cette phrase, Maëlys eue quand même un petit sourire lorsqu'il avait prononcé le surnom qu'il lui donné avant "sweatheart", seul lui disait ça, elle ne l'avait pas entendu depuis qu'il est partit. Une autre larme coula sur la joue de Maëlys lorsque celui-ci posa son front contre le sien, Maëlys mit ses bras autours de son cou et profita au maximum de ce moment et l'entendre dire qu'il s'en voulait pour tout ça et qu'il savait qu'elle lui en voulait, le pire dans tout ça, c'est qu'elle n'arrive même pas à lui en vouloir maintenant qu'elle l'a revu, au bout d'un moment, elle ferma les yeux pour apprécier le baiser qu'il lui avait donné sur le front, juste après elle ré-ouvrit ses yeux, mit une main sur la joue de Brad et laissa l'autre autour de son cou "Je sais que tu t'en veux, mais moi, j'arrive pas à t'en vouloir, je ne sais pas pourquoi, je....Tu es là devant moi, alors j'avoue que ça me fait perdre un peu le fil de mes pensées. " En regardant les yeux de Brad, Maëlys savait qu'il ne mentait pas.

Maëlys ne le repoussa même pas quand les lèvres du beau brun sont venus capturer les siennes, même si elle aimait déjà quelqu'un d'autre, elle n'arrivait pas à repousser Brad, c'était trop pour elle, elle ne pouvait pas lui refuser ça, à vrai dire, ses lèvres lui ont tellement manqué que ce baiser lui fit beaucoup de bien, après, il lui avait chuchoté de le pardonner, Maëlys hocha la tête pour faire signe que oui, il était tout à fait pardonné, ce que va lui faire apprendre Maëlys bien plus tard va être beaucoup plus choquant pour lui que pour elle car elle s'y ai habitué depuis le temps, c'est la manière dont elle va lui annoncer, mais autre chose attira l'attention de la belle brune, elle vit une larme coulait sur la joue de Brad, le seul réflex qu'elle a eu à été de l'essuyer en lui caressant la joue "Tu sait très bien que je supportes pas qu'une seule larme coule sur tes joues, je te crois quand tu me dis que tu t'en veux, mais dis-moi, pourquoi es-tu partis? Est-ce que c'était à cause de moi ou ...." Elle n'osait même pas lui dire la suite tellement cela lui était improbable, elle savait très bien qu'il l'aimait, mais encore, tel est la question, voyant ses yeux est son visage, Maëlys ne put s'empêcher de le ré-embrasser de façon plus passionné cette fois-ci. Maëlys rompu le baiser quelques minutes après mais elle ne le lâcha pas et mit ses bras autour de la taille de Brad et celle-ci avait bien fait vu que Brad l'enlaça une nouvelle fois, elle ne pourra jamais se lacer de ses câlins, de ses baiser, de sa voix de tout, grâce à lui, elle ne s'était plus du tout souvenu de Clément, puis elle voit pas pourquoi, elle faisait rien de mal, ils n'étaient pas ensemble tout les deux pour l'instant et il ne sait même pas que Maëlys l'aime et puis Brad est son premier amour, elle ne peut pas mettre tout ce qu'ils ont vécu de côté et surtout pas lui de côté, elle savait au fond d'elle qu'elle l'aimait encore, mais elle pouvait pas se donner autant d'espoir d'un coup, elle avait trop de choses à lui annoncer qui va sûrement le déboussoler alors elle préfère ne pas allée plus loin pour l'instant avec Brad.

Elle avait moins les larmes aux yeux que tout à l'heure, même si elle a quand même failli pleurer, la présence de Brad la réconfortait, elle le sentit mettre sa tête dans son cou et la, une autre larme coula sur sa joue quand il lui dit qu'elle lui en voulait et qu'elle lui a manqué, un homme reste un homme après tout, on va pas le changer pour autant, elle reprit le visage de Brad entre ses mains "Toi aussi, tu m'as énormément manqué, ton absence a fait un grand vide dans mon cœur, déjà qu'il était pas bien rempli avant, mais s'il te plaît écoute moi, si je t'en veux pas, c'est juste ton retard précipité et autre chose qui m'a fait vraiment de la peine, tu étais bien plus d'un amour de jeunesse pour moi, et c'est surtout ça qui à fait tu ai toujours dans mon cœur et tu y auras toujours ta place... Maintenant si on rentré, il commence à faire un peu froid dehors!" Sur cela, Maëlys lui donna un second baiser de sa part, prit sa main et l'emmena à l'intérieur.

MAËLYS & BRAD

Retrouvailles inattendu et souvenirs perdu remémorés.

Brad était en ce moment, un peu, non totalement perdu. Pourquoi il tremblait ? Avait-il peur ? Peur de ne plus la revoir ? Peur d'avoir des sentiments encore plus qu'avant ? Peur d'être rejeter ? Peur de ne plus être en mesure de savoir quoi faire ? Peur de savoir qu'elle était en couple ? Peur de comprendre que son tour est passé, et qu'en réalité il a laissé la femme de sa vie ? On dit toujours que le prince charmant se casse avec la mauvaise princesse, mais, peut-on dire la même chose avec la princesse ? Il régnait entre les deux, de l'étonnement, de l'amour, de la haine, des remords, et j'en passe, mais, Brad savait qu'il était dans une position très délicate. Comment pouvait-il expliquer ce qu'il ressentait en ce moment. La brune redevenait pour lui, rien qu'en dix minutes, la femme qu'il avait tant aimé, plus que son ex, plus que n'importe qui. Il ne pouvait pas lui dire comme ça, comme ci de rien n'était, il ne pouvait simplement pas. Mais, cela lui brûlait les lèvres, qu'elle ne demandait qu'à le crier sur les toits. Il ne comprenait pas. Et peut-être qu'il ne le comprendra jamais. Alors, dans l'incompréhension la plus totale, il laissa couler sa peine dans ses larmes, mais, à croire que la brune ne voulait pas le voir ainsi, qu'elle lui pardonna déjà tout. Tout. Et c'était trop. Comment pouvait-elle être aussi parfaite ? Pardonner aussi facilement ? La brune était tout ce qu'il y avait de plus beau au monde, c'était la chose la plus belle qui était arrivé à Brad, et lui. Comme un con. Il l'avait laissé. Quand elle passa sa main pour lui essuyer sa larme, il posa sa main sur la sienne et ferma les yeux, une nouvelle fois, il se rendit compte, que sa foutu douceur le tuait, le rendait fou, il était totalement en train de devenir accroc, une nouvelle fois, à son odeur, ses gestes et sa voix.

A aucun moment il ne voulait que le silence sépare leurs voix. Il ne voulait pas que tout cela s'arrête, comme dans un rêve, qu'il se réveille et qu'il comprenne que cela n'était que fictif, et imaginaire. Non. Alors, il ne voulait pas qu'elle s'arrête de parler, même si elle disait des choses qui font mal ou pas, il ne dirait rien, il l'écouterait, encore et encore, simplement parce qu'il ne veut pas que cela s'arrête. Dans sa tête, il n'y avait que Maëlys. Qu'elle et seulement elle. Il ouvrit les yeux et lui fit un léger sourire, remplit de peine mais d'amour. En ce moment il ne rêvait que de la prendre dans ses bras et de la recouvrir de baiser, son nez, sa bouche, son front, ses mains, il voulait sentir son parfum, il voulait se droguer de sa douceur, comme un droguer veut avoir sa cam. La cam de Brad, en ce moment-là n'était pas le sexe, l'alcool ou autre truc du genre, c'était Maëlys. Et sa cam avait un surnom. Sweetheart, comme il le dit si bien. Mon dieu, faite arrêter tout, il commence à sombrer.

Il n'y avait qu'une seule raison. La raison de leurs séparations était à cause de Brad. Lui et lui seul. Il avait dû la laisser, parce qu'il était parti en vacances au Canada, et il a dû retourner à Londre, et il ne lui avait rien laissé, même pas de mot, même pas de numéro de téléphone, rien de tout ça. Rien. Et il ne pouvait pas mentir sur la donne. Il ne se détesterait que plus. Alors, il la regarda et patienta un moment avant d'avouer sa faute à la jeune femme. « Je ne suis pas fière, et cela risque de te faire du mal, mais, je suis parti simplement parce que c'était la fin de mes vacances, je n'habitais pas au Canada, tu sais que j'habitais à Londre, alors voilà pourquoi... Simplement parce que je ne pouvais pas rester plus... » Son regard, il pouvait si noyer, ses yeux était un océan, et comme un pirate il y vivrait dessus. C'est quand la belle captura d'une façon passionner ses lèvres, qu'il mit ses mains sur sa nuque, pour ne l'attirer que plus vers lui, mon dieu qu'il la désirait plus que tout au monde, il ne la voulait plus qu'elle. Ce fut assez dur de se retirer d'elle mais, cela ne pouvait pas continuer, il ne pouvait pas aller plus loin, de une parce que cela faisait trop longtemps et qu'il avait des remords et de deux parce qu'ils étaient dans la rue. Alors, elle prit bon de vouloir le faire rentrer chez elle, il faisait froid dehors et cela ne faisait que mettre une ambiance de tristesse entre les deux, encore plus qu'il n'y en avait. Ses paroles lui faisaient chaud au coeur, comme froid. Cela lui fit rappeler qu'il l'avait laissé, et qu'elle avait de grands sentiments pour lui, mais, qu'il avait encore sa place dans son petit coeur, il lui sourit avant d'avoir un nouveau baiser.

Il la suivi et prit compte que ce n'était pas vraiment un endroit où il aurait jugé bon d'y habiter, de une parce qu'il avait tout de même plus de moyen pour avoir quelque chose de plus grand et de deux, parce que s'il ne l'aurait pas laissé seule, elle aurait tout de même eu quelque chose de mieux, à la hauteur d'elle-même. Il passa le pas de la porte, en étant toujours tenue par la main de la jeune femme, qu'il ne jugea pas important de la lâcher. Il regarda autour de lui pour ensuite la regarder elle. « Tu vis à Paris depuis quand, sweetheart ? » Il la regarda et passa ses mains pour essuyer le maquillage qui avait coulé, avant de l'embrasser légèrement.

"Je t'aime" était le seul mot que Maëlys voulait lui dire, elle sait qu'elle finira par lui dire, elle en mourait d'envie mais elle n'avait surtout pas envie de briser le cœur à Brad tellement elle l'aimait, elle hésita un petit moment, après tout, elle n'allait que dire la vérité, elle s'abstiendra juste de dire qu'elle en aime un autre aussi même si elle n'était pas en couple. Maëlys, colla sa joue à celle de Brad et lui chuchota à son oreille "Je t'ai aimé, je t'aime et je t'aimerai toujours mon bien-aimé... Mon amour pour toi ne moura jamais." Elle décolla délicatement sa joue de la sienne en y déposant un bisou au passage. Personne ou à par un, ne pourra enlevé l'amour qu'a Maëlys pour Brad, il perdurera et ça pour toujours. Sentir Brad près d'elle lui fit beaucoup de bien, le contact de sa main sur la sienne la fit sourire, elle lui avait tout pardonné facilement, même très facilement, il s'est excusé, et Maëlys ne pouvait pas lui en vouloir plus longtemps, c'était trop pour elle et son petit cœur tout fragile, à vrai dire, Maëlys ne voulait gâcher ce si beau moment qu'ils avaient tout les deux en ce moment même, le retrouver était déjà merveilleux, déjà qu'elle allait finir par le gâcher un moment ou un autre. Tout ce qu'elle voulait savoir c'était pourquoi il était partit si précipitamment, car pendant 4 ans, elle ne pu s'empêcher de penser que c'était peut-être à cause d'elle qu'il était partie, et cela la détruit encore plus après, mais quand il lui annonça que c'était pas à cause d'elle mais parce que c'était la fin des vacances et qu'elle savaient très bien qu'il habitait pas ici, ceci la laissa bouche bée, elle n'avait pas pensé à ça, Maëlys toucha avec le bout de ses doigts les lèvres de son bien-aimé "Cela ne m'a guère traversé l'esprit, j'étais persuadé que tu étais partis pour autre chose que je ne te dirai pas, mais j'aurai tellement voulu que tu restes plus, et surtout que tu me laisses de quoi te contacter..." Sans rien pour le joindre n'avait fait que augmenter sa douleur, même si après elle ne l'aurait pas revu, mais entendre le son de sa voix lui aurait fait énormément de bien. Le contact avec ses lèvres lui avait manqué, c'était pour cela qu'elle l'avait embrassé et que Brad mit ses mains autour du cou de la belle brune, à cet instant là, c'était comme si il n'y avait que eux deux sur terre, personne pour les séparer, mais cela ne pouvait durer plus longtemps, elle avait rompu ce baiser magique pour lui ouvrir son cœur et lui demander de rentrer, ceux qu'ils firent main dans la main.

Quand il furent rentré dans l'appartement de Maëlys, quand elle se retourna, elle croisa le regard doux de son bien aimé qui lui demanda depuis quand elle habitait à Paris, Maëlys fit les grands yeux, comment elle allait lui dire qu'il était papa sans qu'il le prenne mal ou quoi que ce soit, d'abord, elle prit bon de l'emmener jusqu'à son canapé et de le faire asseoir ce qu'il ne comprit pas, elle s'assit juste devant lui, mit ses mains dans les siennes pour avoir un peu plus le courage de lui dire "J'habite à Paris depuis 4 ans, juste après que tu sois partis donc et surtout juste après que j'ai accouché d'une petite fille que j'ai fais adopté..." Après, Maëlys ne ressentait pas le besoin d'en dire plus en espérant que Brad avait compris qu'il était le père de cet enfant, elle vit dans les yeux de Brad qu'il était dans l'incompréhension totale, elle ne pouvait pas le voir comme ça, sans rien qu'il dise en plus, alors elle se leva, lui emmena de l'eau et marcha pour évacuer son stresse, mais elle s'inquiéta de plus en plus car Brad n'avait pas encore dit un seul mot, elle s'assit sur sa table basse " Brad.... Dis quelque chose s'il te plait ... Tu commences à m'inquiéter..." Elle pouvait comprendre que c'était assez compliqué pour lui, à peine il revient que Maëlys le dit, pas directement, qu'il est papa de façon à alourdir un peu, c'est vrai qu'elle aurait pu lui dire tout ça avant, mais ils venaient de se retrouver, elle ne voulait pas gâcher l'instant qu'ils avaient passé, si elle aurait dis de but en blanc tout ça, elle l'aurait vu entrain de mourir devant elle, elle en était sûr, alors que comme elle l'a dit, était mieux, même si il n'avait pas encore dit un seul mot "Tu veux quelque chose d'autre peut-être que de l'eau non? Sa va? Tu te sent bien?" Vaut mieux lui demander on sait jamais, sa va, il avait encore toutes ces couleurs, et au cas où, Maëlys est infirmière alors elle peut servir à quelque chose pour une fois.

MAËLYS & BRAD

Retrouvailles inattendu et souvenirs perdu remémorés.

Maëlys est la femme idéale. Souriante. Sensible. Tout ce qu'un homme cherche. Parce que, qui ne recherche pas une femme comme cela ? A part les hommes qui ne souhaitent pas voir plus loin que le sexe. Brad était totalement changé en sa présence c'est fou. Il ne voulait qu'une seule chose, c'était de la garder pour toujours dans ses bras, le fait de savoir qu'il avait encore sa place dans son coeur, lui faisait un bien fou. Savoir qu'elle l'aimait encore, cela lui remonta le moral, il fut moins triste, tous ses souvenirs lui revenaient en tête, et cela le rendait nostalgique mais, tellement heureux. Sentir son corps si prêt du sien, le rendait tellement accroc, il la désirait, il la voulait, mais, tout de même. Alors, il se fit une raison, attendre, attendre et encore attendre, il ne poussera pas jusqu'à la tant, qu'elle n'aura pas prit les devants, ou qu'elle ne l'aura pas sous entendu, il en marre de faire n'importe quoi, alors il lui laisse le leadership.

La seule chose qu'il avait pu dire c'était bien évidemment depuis combien de temps elle était ici, à Paris. Même si ce n'était pas vraiment le moment de poser cette question, il ne pouvait pas continuer à dire qu'elle lui avait manqué, simplement parce qu'il allait se faire du mal, et aussi lui faire du mal. Il avait donc dit la première chose qu'il lui avait traversé l'esprit. C'est-à-dire ça. Mais, Brad n'est pas dupe, il vit les grands et gros yeux que sa douce avait fait, il savait qu'il se tramait quelque chose, quoi ? Bonne question. Dans tous les cas, il la connaissait que trop bien pour remarquer qu'il ne pouvait pas lui mentir, vice versa. Ils ne s'étaient pas lâchés la main, à croire que tout deux, ils avaient peur de perdre l'autre, comme ci, c'était leur seul moyen de ne plus se perdre de vue. Il désirait plus que tout au monde la jeune femme, il voulait qu'encore une fois, leurs corps soit lier, car plus il était avec elle, plus il remarquait que ses courbes et sa peau l'avait manqué. La belle brune prit la peine de le faire s'asseoir, il se doutait de quelque chose, mais, quoi. Mais, il n'allait pas lui demander si franchement si elle voulait lui dire, elle lui dira, il n'allait pas - pas pour le moment - l'harceler comme il en a l'habitude, c'est-à-dire en la couvrant de baisers, et de câlins, en la poussant à avouer, sous l'effet du désir, car généralement cela marchait ! Il en était conscient ! D'ailleurs, il aimait bien user de ça pour arriver à ses fins. Quand elle fut accroupit devant lui, il ne put vraiment détacher son regard d'elle, il affichait un regard remplit d'amour, comme ci, c'était la toute première fois qu'il tombait amoureux, il faut dire, qu'il pourrait tomber encore et encore amoureux de Maëlys.

Elle n'avait même pas prit la peine de lâcher les mains du bel anglais. L'incompréhension totale, se lisait maintenant sur le visage de ce dernier. Il voyait bien dans le regard de la jeune femme de la peur, ou quelque chose y ressemblant, de l'incertitude certainement. Elle hésitait. Oui, certainement. Voilà que le coup de tonnerre allait s'abattre sur le beau londonien. « J'habite à Paris depuis quatre ans, juste après que tu sois partis donc et surtout juste après que j'ai accouché d'une petite fille que j'ai fait adopté... » Kaboom. Il analysa toutes les paroles de la brunette. Mot par mot. Il mit du temps. Tellement de temps que Maëlys avait eu le temps de lui apporter de l'eau dans un verre en Crystal. En premier lieu, quand elle se leva, son coeur fit déchirer par le fait qu'elle lui lâcha les mains. De deux. Il était encore en train de comprendre. Quand il leva les yeux vers elle, il avait les larmes aux yeux. Dans les yeux de la jeune femme c'était de l'inquiétude, du fait qu'il ne dise pas un mot. Dans ceux du bel homme, c'était de l'incompréhension qui dériva en de la colère, pure et profonde. Il se haïssait comme jamais. Un regard méchant et froid qui n'était pas destiné à la jeune demoiselle fit place sur le visage angélique de ce dernier. Coup de colère. Impulsif de naissance. Il se leva en furie et explosa le verre contre un des murs de l'appartement de la brune. Il se retourna et vit son visage, il ne prit même pas la peine de s'excuser, qu'il alla directement vers les débris de verres.

Comment était-ce possible ? Lui ? Papa ? Il l'avait laissé comme ça, sans rien. Il s'accroupit pour ramasser les bouts de verres, qu'il se coupa, mais, il ne tombait pas que du sang, il y avait aussi ses larmes. Brad pleurait. Il n'avait même pas mal, la douleur de la coupure qui était assez profonde ne lui faisait ni chaud ni froid. Il continuait de ramasser les débris quand il leva son visage vers sa bien aimer. « Tu... M...Moi... » Il n'en dit pas plus. Cela était bien assez claire, effectivement. Pendant ce temps. Les gouttes de sangs continuaient de couler, ses larmes aussi. Et dans tout ça, sa peine coulait, sa colère aussi. Il criait de douleur, intérieurement.