CHAPITRE I :
« Les enfants sont des énigmes merveilleuses »

C’est à l hôpital Lariboisière, qu’une petite fille montra le bout de son nez un certain 5 décembre 1989, sous le ciel enneigé de Paris. A cette époque de l’année il fait très froid dans la capitale de France, mais aussi on prépare tous le réveillon de noël dans la joie et la bonne humeur pour vivre cette magie de noël. Malheureusement, je viens d’une famille pauvre, d’un père au chômage et d’une mère au foyer. Mes parents ont toujours eu un gros poil à la main… Je suis la deuxième de la famille. J’ai un grand frère plus bien âgé que moi : Johan. Nous avons tout deux, six ans de différences, ce qui n’est pas rien. Malheureusement, je n’étais pas la bienvenue à ses yeux… Nos parents n’étaient plus à son service et ils cédèrent de moins en moins ses moindres caprices. Le temps passe, mon paternel retrouve du travaille entre temps pour nourrir sa petite famille et je me suis fait mon premier ennemi, mon grand frère ! Je me sentais la mal aimer… Mes parents lui donnaient toujours raison et j’étais toujours la petite fille qui faisait de nombreuses bêtises, mais aussi la grande menteuse de la famille… J’ai finis par apprendre à le haïr à mon tour, ne pouvant plus vivre dans la même pièce que lui ! J’aurais tellement aimé pouvoir avoir un grand frère protecteur, la chose que toutes les petites sœurs rêvent. Heureusement, que j’avais mon meilleur ami que je considère comme mon frère jumeau ! Jérémy est un petit garçon vivant dans l’appartement à côté de ma famille. C’est un ami qui m’est cher à mes yeux ! A l’époque, nos parents étaient ami, c’est peut-être la seule bonne chose qu’ils on fait… Malheureusement, je n’étais pas non plus la bienvenue chez eux non plus. Mes parents montaient eux aussi la tête contre la petite fillette… Mais on arrivait à ce voire quand même. Il m’est arrivé d’y aller en cachette juste pour m’amuser avec le petit garçon de mon âge. Je n’étais pas très douée à l’école. D’ailleurs, les cris et les disputes retentissaient dans le petit appartement des Leblancs à cause des mauvaises notes que je pouvais ramener. Mon père est même venu à un point à me frapper… Ma mère n’a jamais rien fait pour prendre ma défense, elle s’en ficher royalement. Lorsque mon frère s’en rends compte, il va prendre doucement, mais surement ma défense.Petit à petit, avec Johan, nous nous rapprochons ! Malheureusement, mon, père perdit son travail, du jour au lendemain nos parents sont parties sans laissé aucun mots… Je n’avais que 8 ans à cette époque…

CHAPITRE II :
« L'adolescence est le seul temps où l'on ait appris quelque chose. »

Mon frère laissa tomber les cours pour me prendre sous son ail. Notre complicité grandissait un peu plus chaque jour, laissant derrière nous la haine et les jalousies qui nous avaient envie lorsqu’on était plus jeune. Pour s’en sortir, il fallait se serrer les coude et être solidaire. Pendant quelque temps, mon meilleur ami nous hébergea en cachette. Cette histoire durera trois semaines. Pour notre plus grand malheur, ses parents le découvraient. Il était près à héberger mon frère mais pas moi… Evidement, Jeremy et Johan s’opposa à cette idée ! Mon frangin me prit par la main et nous partons de l’appartement des Fonesca. Même pas adolescente, je dormais dans les rues de Paris, sous les ponts. Je crois n’avoir été jamais aussi solidaire et proche avec mon frère. Les cours, les devoirs, l’apprentissage étaient finies. Notre seul but est de lutter contre le froid et la faim. Jeremy venait dès qu’il le pouvait nous amener à manger derrière le dos de sa mère. On a mit du temps avant de nous décider à nous rendre dans une association afin de nous aider. Seulement, six mois plus tard ! Nous y restons trois mois. Mon frère est décidé à m’apprendre de nouvelles choses en étant mon professeur particulier. Il trouva un emploi à ses seize ans, serveur dans un restaurant d’un ancien couple d’amis qui l’embaucha. Il travailler toute la soirée à des heures tardives très tardives même ! Pendant un an, nous étions logé, nourrit et aider par l’association. Un soir, une assistante sociale nous annonça qu’il avait trouvé une famille d’accueille, cependant il fallait qu’on se sépare. Se séparer de mon frère ? Mon seul point de repère ? Ma seule raison de vivre ! Il en était hors de question. C’était complètement réciproque pour lui ! Mon frangin avait mis des sous de côté pour nous. Nous avions deux jours pour nous préparer, la famille d’accueille arriverais et choisirait un de nous deux… Le soir même, mon frère vient me réveillé à une heure tardive ou tout le monde dors encore. Il avait pris le soin de rassemblais mes affaires et les siennes. Il me confia qu’on allait partir de cette association, qu’on allait trouver un logement, même s’il le fallait que se soit un simple studio. De toute manière, il n’est plus à quelque mois de sa majorité. Nous partions tout deux comme des voleurs sans ne jamais plus revenir dans les parages. Nous revivions dans la rue pendant quelques mois, avant que l’on trouve un hôtel pas très cher. Une chambre qu’on partagera à deux. Au moins, nous étions nourrit et au chaud. La journée il travailler et de mes côtés, je me balader pour passer le temps. Je tombai sur une bande qui danser du Streets danse. Une dans qui me fascina. Très vite, j’appris cette danse au point de ne faire plus que ça de mes journées. Et le soir, mon frère m’apprenait de nouvelles choses que se soit en français, en mathématiques ou encore en histoire géographie. J’avais douze ans, lorsque Johan se désigna pour être mon seule t unique tuteur légal. C’est la première chose qu’il fait à ses dix-huit ans, avant que l’on ne se trouve un petit appartement. Pour la première fois, on se sentait vraiment chez soit et en sécurité. J’allais pouvoir grandir pleinement, sans me faire du souci. Ce dernier souhaitait me réinscrire à l’école, chose que je ne voulais plus. Je voulais danser toute la journée ! Mais j’avais aussi entendu qu’il y avait une audition pour poser pour des photos. De plus, sin on était sélectionner on avait de grandes chances de pouvoir faire carrière ! Alors, nous décidons de faire un marché, si je ne suis pas retenu à l’audition, je retournerais à l’école. A l’époque, la petite amie de mon frère m’avait aidé à préparer mon audition. Elle m’avait emmené faire les boutiques, elle ‘appris à m’occuper de moi, me faire des soins de la peau, me maquiller me coiffer et j’en passe. Le jour j arriva à grande vitesse.Je me souviens comme d’hier du stress que j’avais ! Je n’avais aucune envie de retourner à l’école… En plus de ça, je ferais un métier dans lequel je serais payé ! Je réussis mon pari, et à partir de cet instant, tout s’enchaîna très vite. Je n’avais seulement que treize ans que j’avais un métier entre mes mains.

CHAPITRE III :
« Le temps, nous file entre les doigts »

Par la suite, mon adolescence se résuma à de nombreuses photos. Au début c’était pour des petits magasins tel que carrefour avant de n’apparaitre dans les magasine de modes. Une passion que je ne connaissais encore pas et qui se développe un peu plus chaque jour ! Je devenais peu à peu célèbre malgré mon jeune âge, mais ce n’est pas pour autant que je changeai de comportement. Bien au contraire ! Mon frangin et Jeremy fit tout pour que je garde la tête entre me deux épaules et non pas pour une fille à la grosse tête. Je restai très complice avec mon ami d’enfance ! Je lui dois beaucoup ! Il a toujours était présent pour moi dans les pires moments de ma vie et même si je ne veux pas me l’avouer je craque complètement pour lui. Je n’ai jamais osé lui dire ce que je pouvais ressentir, pour la simple et bonne raison que j’avais peu de le perdre ! Il m’est tellement important à mes yeux… A mes seize ans, je connus mon premier petit ami. Je ne pourrais vous dire que je craquais complètement pou, car au fon de moi, je pensais toujours à Jérémy, mais je l’apprécier, puis physiquement il était pas mal ! C’était un stagiaire qui rêvait de devenir photographe. Ma relation dura deux ans, ce n’est pas rien. J’ai décidé de mettre fin à la relation, lorsque j’ai découvert qu’il m’avait trompé… Qui n’aurait pas réagit de la même façon que la mienne à ma place ? Quelques mois plus tard, j’ai appris que j’étais tombé enceinte de lui, j’ai décidé d’avorter sans touché le moindre mot à mon frère, déjà qu’il était prêt à aller lui casser la figure… Jeremy fut à nouveau présent lorsque j’en ai eu besoin… J’ai vraiment de la chance d’avoir un ami comme lui, même si je sais que je suis loin d’être apprécier par sa famille à cause de deux parents irresponsable qui ont réussit à monter la tête à tout le monde contre moi. Au final, je me sens bien mieux sans eux !

CHAPITRE IV :
« La vies est une larme, qui ne cesse de couler. »

Aujourd’hui, j’ai vingt deux ans, je suis une femme célibataire, mais pertinemment amoureuse de son meilleur ami (un grand classique quoi), qui est devenu un mannequin célèbre. Il m’arrive parfois de défiler sur les podiums, chose qui se fait rarement à cause de ma petite taille…. Mais il m’arrive de faire la une de grand magazine de modes ! J’ai un appartement dans le onzième arrondissement de paris. Mia sil y a un moi de ça, je retombai par le plus grand des hasards, sur mon ex-petit ami… Nos retrouvailles furent plutôt explosif dans le sens ou je ne lui ai pas pardonné ce qu’il a fait (étant de nature rancunière…) Sauf que ce dernier, m’a suivit jusqu’à chez moi, avant de me violée… Encore une fois. Heureusement pour moi, même si ce dernier avait déjà était loin contre ma volonté…. Jérémy se pointa à mon appartement… Il a encore était là au bon moment… Il m’a aide, et aujourd’hui encore il m’aide à surmonté cette évènement. Mais vola qu’il me harcèle aujourd’hui… Trop peureuse sur ce coup là, j’ai décidé de ne pas porter plainte pour le moment… est-ce vraiment une bonne idée ?Peut-être bien que non… La seule chose que je sais, c'est que je vis dans la peur et dans l'angoisse... Que me réserve ma vie parisienne pour demain ?