Paris est synonyme d'amour mais aussi de désire... Le désire, un seul endroit contient vraiment ce mot, un seul lieux peut faire chaviré un homme du mauvais côté. Ce lieux si connu, ce lieux si mythique et pourtant si mal interpréter par les hommes, je parle du Moulin Rouge. Un endroit où danse, sensualité et beauté ne font qu'un. Lorsque l'on parle du Moulin Rouge l'on imagine tout de suite des femmes nues présentent simplement pour donner du plaisir au sexe masculin, et pourtant elles sont là pour faire de l'art, faire un spectacle. Le Moulin Rouge a si longtemps était désigné comme maison close, qu'aujourd'hui il est temps de dire le contraire, ce lieux si magique vend du rêve, vend du plaisir aux yeux et c'est pour ça que j'ai décidé de m'y rendre ce soir. Lorsque l'on vit à Paris, on se sent obligé de s'y rendre, c'est pour ça que j'avais acheté deux entrées, pourquoi deux ? Et bien l'une pour moi et l'autre pour mon cher demi frère Alessio. Je voulais le remercier de m'avoir aider dans cette nouvelle ville, d'avoir était là depuis mon arrivé alors quoi de mieux qu'une soirée entre homme dans ce lieux si sensuel. Bien entendu je ne l'avais pas prévenu du lieux, je lui avais simplement dit que je lui réservé une soirée de rêve et qu'on allait pensé à rien d'autre qu'à s'amuser. Pour l'occasion il fallait bien entendu être bien habiller tel des gentleman, c'est pour ça que je du ressortir le costard que mon cher père m'avait offert avant mon départ, il m'avait dit « Mon fils si tu dois quitté la famille afin de te rendre à Paris, je souhaite que tu emporte mon plus vieux costard » Maintenant que je repense à cette phrase, je me dis que mon père était vraiment fou, il avait sûrement voulu faire comme dans les films sauf qu'il est très mauvais pour jouer la comédie.

La journée avançait, j'avais encore fait le tour de la ville à la recherche d'un boulot ou même d'un agent, mais rien, à croire que la ville était en grève niveau pièce de théâtre ou autre. J'avais pourtant entendu parlé que Paris était réputé pour les spectacles et le travail. Mais à croire que je me trompé. Fallait juste que je sois patient, mais bon comment dire si je ne trouve rien, je ne pourrais pas payer mon loyer et je me retrouverais à la porte, même si je sais que si ce jour arrive ; et je ne l'espère pas ; Alessio sera là pour m'aider. Il ne me laissera pas dans les ennuis alors qu'on a toujours était là l'un pour l'autre. J'avais posé des CV dans des bars, des hôtels, des bureaux, on sait jamais même si je n'ai pas spécialement d’expérience dans ce genre de domaine, je peux très bien tomber sur un patron qui cherche des novices et qui souhaitera m'apprendre sur le terrain.

J'étais chez moi à attendre que le temps passe, je faisais des allers retours entre mon ordinateur pour discuter avec ma famille, la télévision pour voir les programmes français qui hélas étaient nul à côté de ceux que je regardais avant et la cuisine, lieux où je me trouvais souvent ayant toujours faim. On avait rendez vous à vingt et une heure devant chez lui, j'avais loué une voiture aussi, pourquoi faire petit alors que l'on peut faire gros j'ai envie de dire. C'est sur les coups des dix neuf heures que je me pris une douche bien chaude, je me rasa la barbe de trois jours que j'avais autour de la bouche et j'enfile le costume de mon père qui par chance m'allait très bien. Je me regarde donc dans un miroir et c'est là que je remarqua que je ressemblais de plus en plus à mon paternel. J'avais les mêmes traits du visage que lui, même si je pouvais aussi voir ma mère dans mon regard et dans mon sourire. Il me fallut bien une heure pour me préparé, et commençant à connaître la ville, en voiture je me doutais bien qu'il allait me falloir bien une demi heure pour me rendre chez mon demi frère. C'est pour ça que vers vingt heures quinze je mis les billets dans ma poche intérieur avec mon porte feuille, mes clés en main, je ferma la porte d'entrée et je me rendis à la voiture, une sublime petite audi TT de quoi faire tourner des regards. Une fois bien installer je me mis en route chez Alessio, comme je l'avais dis, je mis bien une bonne grosse demi heure pour arriver chez lui, j'avais dix minutes d'avance. Je me gara devant la porte d'entrée et je rentra dans l'immeuble. Une fois devant la porte je frappa trois fois et j'attendis que l'on vienne m'ouvrir. Si je savais qu'il habitait seul je serais rentré immédiatement après avoir frapper, mais là il habitait avec quelqu'un que je ne connaissais pas, je n'allais donc pas faire irruption ainsi.

Lorsqu'il ouvrit enfin la porte je le découvris dans un sublime costard qui lui aller très bien, mais ce qui me fit rire c'est son regard qu'il posa sur moi, on aurait dis qu'il avait vu un fantôme ou autre et je n’eus pas à attendre longtemps pour avoir la réponse car en me laissant rentré il m'expliqua qu'il m'avait pris pour notre père... oui notre père, au fil des années Alessio avait arrêté d'appeler mon père par son prénom et l'avait appeler papa, une chose qui était resté et qui nous donnais l'impression d'être une famille comme les autres et non recomposé « Ben figure toi que quand je me suis habillé j'ai eu la même réaction que toi en me voyant, heureusement qu'il a encore tout ses cheveux, parce que sinon je me dirais que d'ici cinq ans je ressemblerais à un œuf. » Je rigola et je me mis sur le canapé du salon, il me proposa de boire ou bien manger quelque chose, certes j'avais faim, mais je devais gardé de la place après tout je ne sais pas vraiment qu'est ce que l'on mange dans ce genre d'endroit, alors d'un simple sourire je lui répondis « Non merci c'est bon, je préfère garder un peux de place. » Je regarda autour de moi, je n'étais pas souvent venu chez Alessio, alors à chaque fois que je me trouvais dans cette pièce j’essayai de découvrir des petites choses et là je vis une photo, dessus trois personnes, j'en connaissais deux sur toi. Bien entendu ma mère, enfin la mère d'Alessio que j’appelai aussi maman et Alessio lui même, puis le troisième homme devait certainement être son père, je me leva et me rapprocha de celle ci. Ok je ressemble beaucoup à mon paternel, mais alors lui aussi, j'avais l'impression de voir mon frère sur cette photo avec son propre fils, je tourna mon regard vers Aless' qui mettait ses chaussures « Tu lui ressemble de plus en plus toi aussi, maman doit être fier de toi, elle doit le voir dans ton regard et dans ton sourire. » Je me posa à côté de lui et je mis mon bras autour de ses épaules « Alalala qu'est ce qui m'a pris de te rejoindre à Paris, je crois que tu me manqué trop ou alors le fait que je ne pouvais plus te piqué tes copines. Oué ça doit être ça, alors que là au moins si tu te trouve une fille hop je te la prend direct. » Je lui fis un clin d’œil et me mit à rire de bon cœur. Ça me faisait tellement de bien de me retrouver seul à seul avec lui, c'était mon frère, c'était mon meilleur ami, je pouvais tout lui dire, je pouvais tout faire avec lui.

Je me leva et m'avança vers la porte « Alors Cendrillon tu es enfin prête ? » J'ouvris la porte et je commença à sortir, mais je m'arrêta avant « Ne me demande pas où on va tu le découvrira bien assez vite mon très cher frère. » Je sortis de l'appartement et enfin de l'immeuble. L'audi nous attendait devant l'entrée, bien garer et encore chaude. J'étais tombé amoureux de cette voiture, mais je n'avais pas les moyens de me l'offrir « Qui dis belle soirée, dis belle voiture. » Je pénétra dans celle ci et je mis le contact en route « Prêt pour une soirée entre homme ? » J’affiche un sourire sur mon visage et on partie vers le Moulin Rouge.