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| Sujet: Michelle ||Quand je serais grande je serais la princesse des kinder Dim 9 Oct - 0:19 | |
| Michelle Dalila Lemaire « fiche technique »▪ Date de naissance : 18/10/1991 ▪ Ville natale : st bonnet la rivière, France ▪ Surnom : Mimi ▪ Emploi : Etudiante en Littérature, travail à mi-temps dans une librairie. ▪ Statut : célibataire ▪ Groupe : L'hymne à l'amour ▪ Avatar : Holliday Grainger
▪ Pseudo : Mimi ▪ Note du forum : 17/20 ▪ Validation : partie pour le staff
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« il était une fois... Moi »
« Maman pourquoi je ne suis pas une princesse? » elle pose ses yeux ronds sur le visage de sa mère qui lui sourit, cette dernière glisse ses doigts dans la chevelure blonde de sa fille, elle sourit « Mais tu es ma princesse. » la fillette secoue la tête négativement et tire sur la manche du manteau de sa mère « Non une vraie princesse!! » sa mère ricane, toujours aussi naïve même à son âge. « Ce ne sont que des histoires Michelle, ce n'est pas la réalité...dans les livres,les films et les dessins-animés » la fillette vexée se met à faire la moue, elle croise ses bras sur sa poitrine « C'est faux avant il y avait pleins de princesse!!! Je l'ai lu. » elle tire la langue à sa mère, surprise soupire, son père lui a encore lu des livres qu'une fillette de son âge ne doit pas entendre, Michelle, pauvre petite,elle lit tellement que cela lui embrume l'esprit. « Tu lis trop ma petite, je dirais à ton père qu'il cesse de te faire la lecture. » la fillette se tourne, furieuse, en pleine rue elle se met à chouiner, une chance qu'à cette époque, ils vivaient dans ce petit hameau. « Non, ça non!! Tu pourras pas m'en empêcher!! Je serais une princesse qui lit beaucoup » et elle s'en va en courant dans le près des chevaux du voisin. Sa mère hausse les épaules et rentre dans la petite maison. Elle surveille sa fille qui gratte le garrot de l'animal et grimpe sur son dos avec une souplesse, a crue, la petite s'allonge sur l'encolure de l'équidé et lui chuchote. « Toi tu seras mon valeureux destrier. » Michelle a toujours été sur son nuage, naïve, joviale et déterminée, elle a toujours su ce qu'elle voulait être et s'abîme l'esprit tellement qu'elle lit, tête de linotte parfois elle lit plusieurs dois le même, cette blondinette étonneras toujours ses parents.
« Toi et maman, vous vous ne remettrez plus jamais ensemble? » Michelle pose ses jolies yeux sur son père et continue à manger ses céréales. « Non ma princesse. » il pose sa main sur la sienne et lui caresse, elle sourit. Michelle aime tellement son père, elle peut-être comme elle le veut, et puis elle préfère là où il vit dans Paris, elle a toujours préfèré son père, le complexe d'oedipe, elle arrive a avoir un dialogue sensé, elle rit tout le temps, il lui donne des libertés mais fixe les limites, oui c'est son papa adoré. Cependant elle aurait tant aimé avoir deux parents, ce n'est la faute de personnes, ses parents ne s'aimaient plus depuis si longtemps. Ils ont attendus qu'elle soit grande pour comprendre et se séparer, elle est partie avec son père à Paris, deux ans plus tard sa mère à décidé d'y vivre aussi, plus pratique pour la blondinette, qui à cette époque aimait se teindre en châtain. « Tu savais que maman s'est trouvé un nouveau compagnon, qui a eu tête de cheval » elle sourit et elle prend une cuillère de céréales et se passe ses mèches vagabonde derrière son oreille. « Une tête de cheval? Tu les aimes bien les chevaux non? Tu dois l'apprécier?» Il rit, elle fait la moue et hausse les épaules « Ca va il est cool » elle boit une gorgée de son jus d'orange. « Non pas parce qu'il ressemble à un cheval. » elle rit, son père l'embrasse sur le front. « Tu es bien ma fille, tu avales un clown dès l'aube. » elle hausse les épaules, tourne la page de son livre posé à côté de son bol, rituel matinal, livre du matin, bol de céréale, qui varie avec des tartine de nutella.« Les chiens ne font pas des chats. » dit elle amusée, son père « Finis tes céréales tu vas être en retard et loupé le métro et surtout.. » sa fille lève la tête, rêveuse, Conan, depuis qu'elle est à l'université, elle à remarqué ce garçon, si beau et merveilleux. « Conan. » dit elle en écarquillant les yeux et en trois bouchées, la voilà debout, enfilant sa belle petite veste par dessus sa si belle petite robe, elle enfile ses pieds dans une petite paire de talons des chez Andre. Ce jour-là elle a raté son métro, est arrivé en retard en cours, c'est ouvert le genoux en tombant et perdu son Blackberry, et quand elle rentre chez elle, elle poste sur VDM sa journée.
« Conan Conan Conan » elle le répète trois fois avant de se coucher, espérant rêver de lui, comme une petite folle, une chance qu'elle n'a pas sous son lit une photo de lui, rien qu'en fermant les yeux, elle à son image, son sourire, son odeur... Elle est follement amoureuse de lui, beaucoup de monde se doute sauf lui, il ne fait pas attention à elle, comme si elle n'existait pas, après cette échange au métro elle est encore plus éperdument amoureuse de lui, elle se fait des fantasmes, mais cela, elle le garde pour elle. Elle se lève, se maquille légèrement pour qu'elle soit belle, elle a décidé de se teindre les cheveux en châtain, elle croit qu'il n'aime pas les blondes. Il ne la regarde même pas, tant pis sa coloration finira pas tomber et retrouvera sa couleur naturelle, rageuse de voir cette femme en robe de chambre allez chez lui, elle en pleur et cire en jetant ses peluches dans toute la chambre; elle mange un kinder maxi, puis deux, puis trois, elle finit le pot de nutella et pleure dans les bras de son père, elle l'aime tellement et lui ne la remarque même pas, elle l'admire de loin, elle ne peut faire que cela...L'admirer, pauvre petite naïve, elle pense qu'un jour il sera son prince, son roi et elle sa princesse, sa reine, son amante... Un jour quelqu'un lui à dit ceci Elle qui est une boule d'énergie et d'innocence, qu'elle irait tellement bien à ses côtés, elle tortille son index autour d'une mèche de cheveux, soupire sèche ses larmes et retourne à la chasse pour savoir qui est cette femme, et l'autre qui dit être enceinte de lui... Baliverne, elle est certaine qu'un jour il va l'aimer tellement fort. « Michelle, oh ma pauvre petite enfant pourquoi...Pourquoi es tu si naïve ? Pourquoi être si amoureuse d'un homme qui ne te regarde même, qui ne pense jamais à toi comme tu penses à lui? Pourquoi te détruis à si petit feu? Toi qui es si jeune, si pétillante, toi qui a toujours le mot pour faire sourire, toi qui sait tellement si bien parler l'espagnole en plus de ta langue natale pourquoi pleures-tu? Tu pourrais avoir tant d'homme merveilleux! Sèche ses larmes, reprend-toi, s'il ne te remarque c'est qu'il ne te mérite pas. » prononce son père d'un air attristé de voir sa fille dans cet état.
Elle trottine, dans sa belle petite robe, resplendissante de joie, elle est toujours dans ce genre de petits vêtements tellement beaux sur elle, petite robe de couleur, à fleur, noir, gris ou blanche, ou un petit short, un pull large, Michelle s''habille tellement bien avec peu de moyens, oui elle sait s'habiller avec les moyens qu'elle a, dépensant déjà la moitié en livre et en sucrerie ou bien en peluche, elle préfère un bon livre qu'une petite robe, ou une paire de chaussure. Bien plus que les autres jours, elle est resplendissante, euphorique, elle est amoureuse, et elle sent pour une fois depuis qu'elle l'aime, qu'il l'aime un peu en retour, les mots qu'il lui a dit dans la médiathèque de l'arrondissement l'ont touché « je n'arrivais pas à t'oublier » elle en rougit encore, son coeur ne cesse de battre la chamade, et quand il lui a demandé pourquoi elle le faisait, elle a agit bêtement et a répondu d'un simple baiser, lèvre contre lèvre pendant quelques secondes, elle a cru que le monde s'est arrêté, elle a envie de crier de bonheur. Mais, elle trottine jusqu'à chez elle, essoufflée elle rentre si vite chez elle, elle ouvre la porte en grand « ma puce c'est toi? » s'inquiète son père « Oui c'est moi papounet chérie » elle l'embrasse sur la joue, chantonne une musique d'amour de Jacque Brel, « Qu'as tu? » dit il étonné et heureux de voir sa fille dans un état euphorique, elle boit son jus d'orange d'une traite. « Je suis amoureuse. » dit elle en rigolant, elle prend un morceau de gâteau, va dans sa chambre se jette sur son lit parmi ses peluches nombreuses, sourie béat sur les lèvres alors, elle finit par se rendre compte qu'elle est partie sans son sac de piscine, elle soupire et s'enfiche, rien ne peut être plus merveilleux que ce jour, et peut-être qu'il lui ramènera demain encours, ou qu'elle l'appellera il y a le numéro de son fixe son nom son prénom sur l'étiquette accroché à la poignée, tête en l'air, ce n'est pas la première fois qu'elle l'oublie. Elle soupire de bonheur, roule sur son lit de gauche à droite sert contre elle sa peluche fétiche; « je l'aime je l'aime je l'aime. » sa respiration est rapide, elle se stoppe, chope son journal intime et écrit tous les mots échangés, et sur deux pages entières écrit: « I love him » elle le range jette son stylo et reste quelques minutes comme ça, sourire béat à fixer le vide.
Dernière édition par Michelle D. Lemaire le Ven 14 Oct - 21:39, édité 9 fois |
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