Invité Invité
| Sujet: Une soirée détente s'impose || PV : Mathias Ven 14 Oct - 16:05 | |
| Rien de tel que de passer un peu de temps avec la personne qui vous comprend le plus, la personne qui vous connait le plus, le genre de personne qui vous connait mieux que vous vous connaissez. Pour Joyce, cette personne est une des personnes les plus importantes de sa vie, c’est un peu une sorte de super héros pour Joyce. C’est la personne qui l’a aidé dans sa nouvelle vie, enfin il y a quelques années lorsqu’elle a pris un nouveau départ, et prit son indépendance. Cette personne n’est d’autre que Mathias Sanchez, un écrivain fortement séduisant. Ils se connaissent depuis le bac à sables, même si le jeune homme est plus vieux que Jo’, ils se sont toujours bien entendu, c’est limite si le jeune homme se montrait hyper protecteur avec la jeune femme. Quand je parlais de nouveau départ dans sa vie, c’est Mathias qui lui a donné la force de quitter le « cocon » familial pour la protéger de son père. En effet pendant quatre ans, la jeune femme s’est fait battre par son père, sa mère aussi se prenait les coups. Cette période à débuter l’année de ses quatorze ans, et s’est arrêté l’année de ses dix-huit ans. Durant quatre ans, personne ne sait aperçut de l’enfer qu’elle vivait, personne n’a remarquait les bleus sur son corps. Enfin de temps en temps, Mat’ les apercevait, mais connaissant la maladresse de la jeune femme, mais aussi parce que Joyce prétextait à chaque fois cette maladresse, le jeune homme la croyait et ne disait rien, enfin si, il se moquait d’elle, d’elle et de sa maladresse. Et Joyce, elle, elle en riait, se félicitant d’avoir réussi à dissimulé la vrai raison de ses bleus.
Le seul problème, c’est qu’à force de donner toujours la même raison, le jeune homme s’aperçut des mensonges de la jeune femme. Et ceci fut plutôt brutale, puisque le jeune homme s’en ait rendu compte alors que la jeune femme se faisait une fois de plus, frappait dessus. En effet, c’était le jour de l’anniversaire à Mat’, il devait passer la soirée ensemble pour fêter ça, et puis qu’il avait le permis, il devait venir la cherché chez elle. Alors qu’une fois de plus, son père avait bu, la jeune femme fut surprise en tournant la tête pour éviter un coup, que Mathias était devant la fenêtre, et plutôt sous le choc de voir ce qui se passait. Enfin bref, grâce à lui, Joyce est en vie aujourd’hui, en bonne santé, et même si parfois c’est difficile de s’assumer, elle remerciera jamais assez son meilleur ami, son confident, son héros à elle et personne d’autre. Enfin bref, en sortant de sa journée de travail, peu après quatorze heures, puisque la jeune femme avait commencé assez tôt aujourd’hui, Joyce prit son portable et envoya un sms à son meilleur ami : « Tu donnerais un peu de temps libre ce soir à ta meilleure amie d’enfance ? … En fait, ce n’est pas une question, je suis prêt à te kidnapper, pour passer du temps avec toi ! 20h00 à notre bar fétiche ! A tout à l’heure le blondinet ! »
[…]Après une bonne sieste, une bonne douche, mais aussi une bonne heure à choisir sa tenir, la jeune femme partit en direction du bar. Elle était habillé simplement, enfin, comme d’habitude, mais avec une petite touche très féminine. Bon okay, depuis qu’elle était célibataire, la jeune femme était encore plus féminine que d’habitude, ce soir, une belle robe, assez sexy entourait son corps, ses cheveux étaient lâchés et légèrement frisés, enfin ses cheveux étaient au naturel là, Joyce était également maquillé, comme à son habitude. Alors que la jeune femme était depuis vingt minutes assise sur un canapé, où devant elle se trouvait une table, en fait, elle attendait encore son ami d’enfance, qui une fois n’est pas coutume, était encore en retard. Alors que la jeune femme était sur le point de partir, elle vit enfin cette tête blonde arrivé. Elle sourit, puis prit la parole, après lui avoir fait la bise. « Je vois que Monsieur Sanchez est toujours aussi ponctuel ! » Jo’ lâcha un petit rire puis le regarda en souriant. Elle ajouta alors en souriant. « Ton emplois du temps et pire que celui d’un ministre » dit-elle en faisant la moue. |
|