C’est triste à dire, mais j’étais toujours aussi furieuse après Mathéo, malgré le fais que plusieurs semaines se sont écoulés… J’ai toujours eu du mal à pardonner tellement trahit par mes parents lorsque je fus beaucoup plus jeune… Je me suis fortifié au niveau caractère et j’avoue avoir un sale caractère, un caractère de chieuse que j’assume complètement. Personne n’est parfait, j’en suis consciente et je dois avouer que j’aurais bien aime avoir une seconde chance de sa part, si ce genre de chose m’étais arrivé… Cela fait plus de dix ans que je me bas contre la maladie, plus de dix ans que j’espère avoir de nouveaux poumons afin de pouvoir continuer à voire, continuer à voire ma fille grandir. J’ai tellement de chose à faire, à vivre à voire, à découvrir… J’ai peu, peur que du jour au lendemain tout s’arrête, ne plus pouvoir serrer Addison dans mes bras et j’en passe ! La vie est injuste ! Je n’ai rien ait de mal pour mériter ça ! Ce soir, je m’étais sentie une nouvelle fois mal ! Ces mal aise, devenait fréquent, heureusement que par chance, ça ne se produisait pas en présence d’Addison ! Je ne saurais pas gérée cette crise… Dans quelques jours je passe à nouveau des examens médicaux et mon petits doigts me dit que je n’aurais pas d’aussi bonne nouvelle comme je l’espérais Mathéo, m’avait tout de même insisté pour me ramener à la maison, malgré la mauvaise ambiance dans l’aire… Une fois arrivé, je remerciai la nourrice avant de me rendre à la chambre d’Addison qui dormait à point fermé ! J’aurais aimé arrivé un peu plus tôt pour la border… Sans la réveiller, je lui déposai un baiser sur sa joue, avant de me décider d’aller me coucher, sans manger. La conversation avec Mathéo e ce mal aise, m’avait beaucoup fatigué, mais ce n’est pas pour autant que j’ai réussit à trouver tout de suite le sommeil… J’ai longuement repensé à ma conversation avec Mathéo… peut-être qu’il était sincère avec moi. Mes paupières finissent par se faire lourdes et je finis par me plongé dans un sommeil profond. C’est mon téléphone portable qu’ilme réveilla. Je regardai mon radio réveil qui afficha une heure assez tardive. D’une voix endormit, je répondis à l’appel. Je me réveillai soudainement, lorsque mon médecin qui me suit depuis le début de ma maladie, m’annonce que je vais me faire greffer ! Une nouvel innespèrait ! Je dois avouer de ne pas encore le réaliser. Je raccrochai en lui annonçant que j’arrive au plus vite. Sur ce, j’appelai Mathéo, afin de garder Addison. Une fois, puis une seconde et puis une troisième… Rien… Je finis par laissé un message sur son répondeur en lui avouant ce qui allait se passer d’ici quelques heures, mais surtout de venir veiller sur notre fille. Je rappelai la nounou de la petite, qui elle désuète arriva à la maison. Une fois habillé, e la nourrice arrivait, j’allai embrasser à nouveau ma petite princesse, avant de ne prendre ma voiture pour me rendre à l’hôpital. Je finis par arriver. La femme d’accueil me confia d’aller rejoindre directement mon docteur dans son bureau. J’étais heureuse de pouvoir avoir cette greffe ! Le médecin m’annonça les risques de l’opération, et ce dernier finit par accident m’avouer que c’était monsieur Deravin. Je restai silencieuse ! Avant de m’exclamer que je refuser ce greffe. Il était hors de question qu’il meurt pour moi ! Ce dernier insista, je finis par prendre mes affaires et sortir de son bureau les yeux remplient de larmes. En sortant de la pièce, je vis Mathéo à la salle d’attente, me dirigeant à un pas rapide vers lui. Une fois à sa hauteur, je m’assis à ses côtés avant de prendre la parole d’un ton plutôt énervé et apeuré « Tu n’as pas le droit de faire ça ! Tu m’entends ! Pas le droit ! Tuas pensé à Addison ! Je n’en veux pas de cette greffe ! J’en veux plus ! »

C’est incroyable comme on peu passer de la joie à la colère. Savoir que Mathéo voulait se sacrifier pour moi, me toucher énormément, mais une chose est sure, je ne peux pas accepter ce don, qui met certes indispensable à vivre, mais pas lui ! Faisait-il ça pour me prouver qu’il tenait à moi ? Je n’accepterais jamais cette greffe. Et puis, je dirais quoi à Addison ? Même si je refais ma vie, aucun homme ne remplacera son père, l’homme qui lui a apporté tans d’amour depuis déjà cinq ans. Evidement, lorsque le médecin me confia avec une grande maladresse que c’était mon ex-petit ami le donneur j’étais folle de rage. Je n’avais signé aucun papier, alors que beaucoup de personnes dans l’attente d’un greffer en aurait fait autrement… Chacun son point de vu après tout. J’avais récupérer mes affaires, remis ma veste et mon sac à main sur les épaules. En sortant du cabinet du médecin, je vis Mathéo. Sans hésiter je m’avançai vers le jeune homme presque en lui criant dessus. Oui j’étais en colère qu’il choisisse cette option, au lieu de profiter de la vie, de sa fille et j’en passe. Mourir à trente ans c’est trop jeune, je le sais, mais il n’a pas le droit de se sacrifié pour une personne aussi égoïste et rancunière que moi ! Ce denier ne disait rien, il avait juste posé ses mains sur mes épaules histoire de me rassurer que tout irais bien, qu’il ne fallait pas que je m’inquiète… « Et moi, tu as pensé à ce que je voulais ?! Je ne signerais pas Mathéo pour cette greffe, il en est hors de question ! Je ne veux pas ! » J’avais eu des faut espoirs ce soir… Je me sentais anéantit et faible. Entre nous, je ne crois plus à cette greffe depuis bien longtemps, j’ai une chance sur 10 d’avoir ce don inespéré… « Je viens de te dire que je ne me ferais pas greffer ! Tu m’entends ! Tu ne m’y obligeras pas Mathéo ! Addison à besoin de toi et moi aussi ! » Je m’étais griller toute seule, mes sentiments faisait surface, malgré le fait qu’elle était enfouit dans la haine et la douleur que j’ai ressentis ses dernières semaines… Oui, j’étais toujours amoureuse du jeune homme, je ne peux pas effacer notre relation comme ça !

La vie est remplie de bonnes comme des mauvaises surprises. Pendant longtemps, Mathéo fit partie de mes bonnes voire merveilleuses surprise que madame nature nous offre. Mais il fut aussi dans les pires moments de ma vie lorsque je l’ai vu de mes propres yeux embrasser son ex-petite amie… La vie bascule du jour au lendemain. On prend des décisions, on fait des choix pour avant, tourner une nouvelle afin d’écrire un nouveau chapitre à son histoire. Mathéo voulait finir son histoire, en m’offrant ses poumons, du moins il avait signé un papier comme quoi, des son décès il sera mon donneur. Je me faisais les spires scénarios lorsqu’il aurait cinq minutes tout seul… Je l’inquiétais et non pas seulement pour ma santé, mais pour lui et ma fille. Il était quelques parts égoïstes de vouloir laisser sa fille seule avec sa mère ! Autant quitter directement appris pour s’envoler je ne sais où ! ca revient au même ! « Je sais ! Je sais ! Je sais de se qui va se passer si je n’ai aucune greffe ! Je sais que mon état se dégrade un peu plus chaque jour ! Je le sais tout ça ! Je parais forte mais j’ai peur ! Mais arrête de me prendre par les sentiments, en me rappelant que je vais mourir sans ta greffe, sans avoir tes poumons ! » Ma voix s’élevas ans que je me contrôle. Il me disait des choses qui m’agaçait, des choses que j’évitais à ne pas pensé pour ne pas brouillé du noir ! La maladie me faisait peur, la mort me faisait peur ! Je me sentais impuissante face à ça et face à nos problèmes de couples.Je regardai autour de moi, en espérant rêver, de sortir de ce cauchemar éveillé. Lorsqu’il reprit la parole, je tournai à nouveau brusquement ma tête vers mon ex-petit ami, apeuré. « ca veut dire quoi ça ? Que tu as décidé de mettre fin à tes jours ? Qu’en rentrant ce soir tu vas t’enfilé une boite de je ne sais quoi ? » Je le regardai en le dévisageant, attendant une réponse, contraire à mes idées… J’espérais que je me trompais… Je l’espère plus qu’au tout au monde… On était deux à avoir des choses à vivre, on était jeune encore, bon certes on avait plus nos dix-huit ans, mais on est loin d’avoir quatre-vingt ans ! « Arrête de me faire un cas particulier ! J’en ai marre d’être le sujet principal à cause de ma maladie ! On a tout les deux tans de choses à voire, à découvrir et à vivre !! Notamment voire notre fille grandir, de la voire heureuse et s’épanouir ! Être présent à ses côtés dans les bons comme mauvais moment, la soutenir dans ses choix ! » Je n’arrivais plus à me contrôler, mes larmes coulaient toute seule ! Le médecin, qui nous avait tout deux reçut quelques instants plus tôt finit par s’avançait vers nous, afin de nous annonçait qu’il avait trouvé un autre donneur. Une personne venez de décédé à l’instant dans cet hôpital et que si j’étais prête je devais me préparer pour l’intervention. Je ne dis absolument rien, ne réalisant pas ce qui se passer.

Si j’avais su, je ne me serais pas rendu à l’hôpital et je me serais occupé d’Addison. Cette histoire était un véritable cauchemar ! Mathéo ne pouvais pas laisser sa vie en décidant de se suicidé, en me laissant seule avec Addison ! Il en était hors de questions, même si j’étais en colère, très en colère même, je ne pouvais pas laisser faire une telle chose ! Je ne peux pas perdre l’homme que j’aime, l’homme qui me rend heureuse, qui m’a offert la plus belle des merveilles ; Addison. La vie est courte, je savais qu’elle me filait entre les doigts un peu plus chaque jour ! Il faut en profiter au maximum. Je m’énervais sans me contrôler prise entre mes sentiments, la peur et la colère que je ressentais pour Mathéo. Ce dernier finit par me dire d’une délicatesse, de me calmer. Il savait être doux et tendre avec moi, à dire les choses d’une façon qui m’apaisait. Je n’ai pas eu le temps de répondre, puisque mon médecin finit par nous retrouver dans la salle d’attente. Je pensais qu’il allait nous dire, parler moins fort ou alors allait dehors ! Mais je reçus une nouvelle inesperait. J’allais avoir des poumons autres que ceux de Mathéo. Sur ce coupla, j’eu beaucoup de chances. J’allais pouvoir vivre, respirait comme une personne normal. Je ne réagissais pas, regardant mon médecin en me demandant se qui se passer actuellement. Il attendait une réponse, un simple oui, pour me préparer pour l’intervention. Un peu perdu, je portai mon regard sur Mathéo, en attendant une réponse de sa part, un conseil ou je ne sais quoi. Je hochai doucement la tête de haut en bas. « D’accord, je… je vais le faire. Embrasse la pour moi et dit lui que je l’aime. J’aimerais que tu me promettes une chose, promet moi de prendre soin d’elle si l’opération ne marcherait pas ! » Je vis ce dernier se lever, j’en fis autant pour aller rejoindre mon médecin qui s’était éloigner lorsque j’avais dit que j’étais d’accord. Il m’avait confié de le rejoindre à son bureau lorsque j’avais finis. M’avançant à son bureau, une phrase raisonné dans ma tête quand tu seras définitivement rétablie je partirais pour vous laisser tranquille Voulais-je vraiment qu’on se quitte comme ça ? Ce qu’il venait de faire, me prouver qu’il tenait à moi, qu’il voulait tenir sa promesse au début quand on sortait officiellement ensemble, de me rendre heureuse notre fille et moi, et qu’importe le prix que ça paiera. La main sur le poignet de la porte, je tournai la tête afin de voir si Mathéo était partit. Il était sur le point de le faire. A pas rapide, je me dirigeai vers la sortit. « Mathéo attend ! » Ce dernier se retourna, me mettant sur la pointe des pieds afin de pouvoir l’embrasser. Une de mes mains se glissèrent autour de sa nuque espérant que ce dernier ne me rejette pas près les nombreuses disputent qu’on a eut ces derniers temps… « J’aimerais que tu sois prêt de moi à mon réveil, en compagnie de notre princesse. »

J’étais à l’hôpital à une heure tardive, pour une belle greffe, que j’attends depuis plusieurs années. Mais je n’étais plus du tout pour cette greffe lorsque j’apprends que le donneur se sera Mathéo. Pourquoi sacrifié sa vie lorsqu’on est parent, on a des responsabilités. Mais notre prise de tête s’arrêta lorsque mon médecin rentrant dans la salle d’attente pour m’annoncer que malheureusement une personne venait de décédé dans l’hôpital, cependant c’étais un donneur et que j’étais compatible avec lui. J’étais Sous le choc, c’était innentadu et surtout inespéré. Mathé me poussa à prendre cette décision, en acceptant cette greffe, chose que je fais peu de temps agrès l’avoir écouté. Il me confia qu’il allait s’occuper de notre fille, Addison. J’appréhendais tout de même cette opération, si je ne survivais pas ou si je faisais un rejet de cette greffe ? Quelque part j’étais apeuré. Le joli jeune homme, déposa ses lèvres sur ma joue avant de me dire bonne chance. Je m’étais levé juste après afin de me rendre au cabinet de mon médecin. Une fois devant la porte, je tournai mon regard, afin de voir si ce dernier et ait encore à l’étage. Par chance, il venait tout juste d’appelait l’ascenseur. Je me précipitai vers lui. Malgré toute la rancœur que j’ai envers lui, je ne pus m’empêcher de glisser ma main autour de sa nuque avant de lui offrir un baiser. Ce contacte de ses lèvres touchant les miennes m’avaient terriblement manqué. Je lui confiai que je souhaitais qu’il soit présent à mon réveil avec Addison, ça me rassurerais, je me sentirais entouré par les gens que j’aime plus que tout au monde ! Je fis un mini petit sourire, lorsqu’il m’en fit la promesse. Je me sentais soudainement soulagé. Je restai planter devant l’ascenseur, et je souris un peu plus lorsqu’il me murmura qu’il m’aimait au moment ou les portes se refermaient. J’avais une boule dans l’estomac un stress monstre pour cette opération. Je retrouvai au cabinet du médecin. Il me parla longuement du déroulement de l’opération, des risques qu’il peut y avoir notamment. Par la suite, il m’emmena à ma chambre, dans lequel je me change. Une nuisette d’hôpital toute moche blanche… Une infirmière me plaça le catétaire une fois prête. Je m’allongeai dans mon lit et direction le bloc opératoire. Je regardai en passant voir s’il n’y avait pas Mathéo et Addison. J’espère qu’il va tenir sa promesse… On me fit rentrer dans cette pièce froide, j’étais congeler. Il devait au moins faire 0 là-dedans! On me plaça un masque remplit de gaz, afin de m’endormir paisiblement pendant l’opération. Je finis par m’endormir doucement, dans un sommeil profond. Je m’évadai dans mes souvenirs, de ma rencontre avec Mathéo, de notre premier baiser, de la naissance d’Addison, des bons moments que j’ai passés en compagnie de ma famille. L’opération dura quatre heure au totale. Apparemment l’opération s’est bien passé, On me réveilla juste pour s’assurer que tout aller bien. Mais encore sous l’effet de l’anesthésie, je me rendormis aussi tôt. Malgré le fait que je sois encore endormi, on me ramena dans ma chambre, dans lequel se trouvait Mathéo et Addison. Le médecin rassura Mathéo de mon opération, que tout s’était bien dérouler et je devrais me réveillé d’ici peu vois une heure ou deux, pas plus. Je sentis une présence prête de moi, se blottir dans mes bras, ça devait très certainement être Addison.
Au bout d’une heure je finis par me réveillé. J’étais un peu à l’ouest et un peu perdu dans mes repères. C’était bien la présence d’Addison contre moi, je ne m’étais pas trompé ! Cette dernière dormait à point fermé. Doucement je mis un bout de ma couette sur elle, en passant par la suite mon bras autour de son petit corps d’enfant. Elle était tellement mignonne ! Je pivotai la tête de l’autre côté afin de voir si Mathéo tait dans la pièce obscure. Il y avait juste le reflet de la lune qui traversait la fenêtre. Mon seul repère lumineux dans la pièce, mais je ne vis personne ! Est-il vraiment partit comme il l’avait insinué plus tôt dans la soirée ?! Cette idée me traversa à peine l’esprit, que je vis la porte s’ouvrir qui laisser place au jolie brun, avec un gobelet à la main. Rien qu’à l’odeur, j’en avais déduis qu’il était allé se chercher un café. Malgré mes petits yeux fatigués et le fait que je sois complètement à l’ouest, un petit sourire se dessina sur mon visage. D’une petite voix je répondis. « Tu es resté. Dis moi que je ne rêve pas et que je suis guérit . »

Je me souviens le jour où mon médecin m’a appris que j’étais atteinte de la mucoviscidose. J’avais l’impression que le monde s’écroulait autour de moi. J’étais amante de Mathéo à l’époque. Mais une nouvelle bascula, lorsque j’appris que j’étais enceinte de l’homme qui me rendait complètement dingue. Je crois, avoir trouvé une certaine énergie grâce à venu de ma fille au monde qui m’a permis de me battre un peu plus contre cette maladie. Contrairement à ce que je souhaitais, j’avais eu une assésariène, les médecins ne voulaient pas prendre de risque en restant sur la table inconsciente… Voilà que ce soir, ma vie bascula à nouveau ! Ce soir, moi qui avais perdu tout espoir, on m’annonçait que j’avais un donneur, après mettre à nouveau disputer avec Mathéo … L’opération dura au totale quatre heures ! Entre nous, j’avais eu l’impression qu’elle avait duré seulement une seconde… Je n’avais strictement rien sentis dans mon sommeil profond. On finit par me ramener à ma chambre quelque temps plus tard. Il était tard, Addison s’était blottit dans mes bras, cette pièce obscure. Une présence qui m’apaisa. J’adorais la sentir contre moi, sentiras présence remplit de joie et de vie. Je finis par ouvrir mes yeux, mi-clos, complètement ans la vape, serrant doucement Addison contre moi, tout en faisant attention à mon torse à cause de mon bandage. Je regardai la pièce, mais je ne vis pas Mathéo. Je dois avouer avoir eu peur sur le coup que ce dernier ne reste pas à mes côté et qu’il choisisse la seconde option, la fuite, partir loin e Paris, pour laisser adisons et moi tranquille, comme il l’avait insinué plus tôt dans la soirée. Lorsque je le vis faire son entrer ans la chambre je fus soulager. Malgré ma petite voix fébrile, je sortis quelque mot e ma bouche. J’étais contente qu’il soit prés de moi et que je sois enfin embarrasser de ma maladie, même si ça ne se voyait pas u tout à premier coup d’œil… Un mince sourire se dessina sur mon visage à moitié endormis. Il avait tenu sa promesse. Ca valait tout l’or du monde ! Je serrai doucement mes doigts avec les siens. Je fermai doucement mes yeux lorsque ses lèvres viennent se déposer sur ma peau de mon front. « C’est une bonne nouvelle. » J’étais complètement fatigué et je me sentais faible. Après tout, je venais d’avoir une longue et loure opération ! J’étais à l’ouest complet, je capter un mot sur deux. Si j’avais tout suivis, il souhaitait rentrer à la maison avec Addison pour que je puisse me reposer. « Tu veux pas rester avec moi ? » Le petit hic, c’est que je n’avais aucune envi de passer la nuit seule dans cet hôpital. Avoir les deux personnes que j’aime plus que tout au monde prêt de moi me faisait beaucoup de bien !

Je n’avais absolument pas envie de rester toute seule dans cette chambre d’hôpital, malgré les nombreux soins que j’ai eu, je déteste être hospitalisé, je n’étais jamais tranquille, surtout lorsque je sais que j’y passe une voire plusieurs nuits… Malgré le fait que mes yeux se refermaient tout seul à cause de l’anesthésie, j’entendis que Mathéo téléphonait à quelqu’un. Si j’avais tout bien suivi, il avait appelait la nounou d’Addison, afin qu’elle passe la nuit chez elle. Je dois avouer que je n’étais pas vraiment emballer par cette idée, mais j’étais assez faible poudrier quoi que se soit… Peut-être que Mathéo à raison, qu’elle sera mieux là-bas… J’avais bien compris, puisque le joli jeune homme me confirma. Heureusement qu’elle revenait demain à la première heure des qu’elle se lève. Il m’attardait déjà. Doucement, je hochai la tête de haut en bas, en lui disant un simple « Elle ne me gêne pas tu sais … Mais si ça peu te rassurer… » Pour le moment, je profitais de la présence de ma princesse à mes côtés. Je me sentais impuissante de me battre pour la garder avec moi ce soir. Malheureusement, Emilie, ne mit guerre longtemps avant de n’arrivais à ma chambre. J’embrassai Addison, avant de laisser Mathéo l’emmener à la voiture de sa nourrice. Elle dormait paisiblement ! Je remerciai Emilie avant de les regardait disparaître de la chambre. Chose faite, il rapprocha le siège prêt de mon lit, me prenant avec grand délicatesse ma main. Un mini sourira se dessiner sur mon visage fatigué, même si c’était incertain qu’il soit perçut vu l’obscurité de la pièce. « J’ai l’impression de revire. J’ai jamais aussi bien respiré. Merci d’avoir été présent… » Je savais que ça allait être difficile le rétablissement, le temps que je me remettre en forme physique. J’avais fait le plus gros et le plus difficile à mon gouts ! Aujourd’hui je savais déjà que j’allais avoir un tout autre œil de la vie ! Elle serait tout simplement plus belle ! « Non, merci, tu en as déjà fait beaucoup ! Peut-être une chose, j’aimerais me blottir ans tes bras… »!

C’est vrais que je n’avais guère apprécié que ce dernier laisse ma fille à sa nourrice, lors qu’on était réunit tout les trois, mais surtout que j’étais entouré des deux personnes le plus importantes à mes yeux… Certes, je n’avais pas montré ma colère, sous ce regard fatigué dessiner sur mon visage. Je me sentais également impuissante face à cette situation… Emilie est une personne en qui j’avais confiance ! Depuis le début, elle à toujours dit oui à tout ! Sans jamais râler ! Elle s’est toujours bien occupée de ma petite princesse lorsque Mathéo et moi travaillons et que l’on ne peut pas s’occuper d’elle. De plus, Addison s’entend bien avec elle… Mais elle n’avait pas étai prévenu et je dois avouer d’avoir un peu peur de sa réaction lorsqu’elle se réveillera ailleurs que dans sa chambre ou dans mes bras… C’est vrai, que depuis que je n’étais plus avec Mathéo, ils nous arrivaient de dormir toutes les deux ensembles. C’est une façon de se sentir moins seule… Je sais qu’au plus profond de moi, il le faisait pour mon bien, surtout que ce dernier avait accepté de passer la nuit à mes côtés, afin que je ne sois pas seul dans cette chambre d’hôpital. S’il y a bien un truc que je déteste, c’est cet hôpital ! µDire que je n’aurais pu besoin de m’y rendre après, enfin si, pour voir si tout va bien, mais se sera beaucoup moins souvent qu’avant. Rien qu’en pensant à cette idée, j’étais heureuse ! Je regardai donc, ma princesse partir avec la jeune femme. Mathéo, finit par se rapprocher vers moi, prenant le soin de fermer la porte derrière lui. On discuta à coup de vent tous les deux. Il me complimenta de mon courage. Depuis mon enfance, j’ai appris à prendre sur moi, à être réservé sans me plaindre. N’ayant aucune parent présent dans ma vit, à part tout les trente-six du mois…De ^plus, lorsque l’on est élevé par une nourrice 24 heure sur 24 qui cède les moindre de vos caprices…Mathéo avait le cœur sur la main. Il n’était pas obligé de rester après les enguelades que l’on a pu avoir, de plus j’ai loin d’avoir été tendre avec le joli brun. Je lui confiai par la suite, que j’avais besoin que d’une seule chose, le sentir prêt de moi, notamment en me sentant dans ses bras. C’est l’endroit dans lequel je me sentais le mieux. Il n’hésita pas une second, à venir sur le lit. J’avais réellement besoin de ce contacte physique avec lui. Je levai légèrement la tête, lorsqu’il passa son bras autour de ma nuque. Une de mes mains, viens doucement se déposer sur son torse en même temps que ma tête. « T’es adorable Mathéo. Merci ! Elle a beaucoup de chance, de t’avoir comme père ! Et j’ai aussi de la chance de t’avoir… Mathéo, tu m’en veux ? »

Il aura fallut que j’ai mes nouveaux poumons pour que nous nous retrouvions et que nous discutions calmement. Peut-être le fait de savoir que j’ai faillit passer, que la vie et courte et surtout que l’on ne sait pas de quoi demain nous réserve. La seule chose que je souhaitais c’est qu’il reste à mes côtés. Sa présence m’est importante ! Elle m’apaise tout simplement. J’étais ce soir, blottit dans ses bras, mon endroit préféré ! Je ne savais même plus qui était fautive dans l’histoire, est-ce lui, oui en partie ou moi ? Dévoré par ma jalousie et mon côté rancunière, je n’en ai fais qu’à ma tête sans avoir voulu l’écouter comme je le devais. C’était m’ouate, m’ouate… On est tout fautive… Je pouvais le comprendre qu’il m’en veuille… Après tout je lui ai enlevé sa fille que je permettais de voir le week-end et les nombreuses que j’enchendrais sans aucune raison alors que ce dernier essayer de se justifier…. « J’ai confiance en toi… C’est juste que je suis un petit peu jalouse… » La jalousie était l’un de mes plus gros défaut. Je suis une chieuse et j’ai un sale caractère. Je le sais et je l’assume. D’ailleurs, Mathéo le sais très bien. Depuis le temps que l’on se connait maintenant ! « Je n’ai pas envie de te perdre et je sais qu’à cause de mes défauts tu t’éloignes, car tu en marres de te battre pour moi, du moins pour nous. Et je te comprends, mais je ne suis pas d’accord que tu partes de Paris, je… Je ne veux pas. J’ai envie que tu reviennes à la maison, auprès de nous ! » Toute ses petites phrase qui sortaient de ma bouche étaient les plus sincère. J’avis bel et bien compris que j’étais sur le point de le perdre, chose que je ne veux pas ! Il est tellement important à mes yeux…. Vivre sans lui m’est impossible ! C’est vrai que tout était allée si vite dans notre vie. Nous étions encore amant lorsque je tombai enceinte du jeune joli jeun homme. Nous avions tout de suite emménagé ensemble, quelques mois plus tard, huit et demi pour être plus précise, Addison montra le bout de son nez. Nous n’avions pas vraiment eu de moment rien qu’à nous…Son monologue leva ma curiosité… Je ne savais pas vraiment de quoi il parlait et je dois avouer que je n’avais guère envie de réfléchir ce soir, vu mon état dans lequel j’étais… Je l’écoutai et le regarda dans les moindre gestes qu’il faisait sous mes yeux fatigués. Il sortit une tout petite boite que j’arrivais à distingué dans l’obscurité de la pièce grâce à la clarté de la lune qui traversais ma chambre d’hôpital. Pendant quelques secondes, je restai sans bouger, pensant rêver… Non, c’était bien al réalité ! Cette petite boîte contenez une bague de fiançailles. Je levai ma tête vers son visage, le regardant doucement dans les yeux, passant ma main derrière sa nuque, les yeux remplient de larmes, à mon avis, les nerfs lâchaient et c’était trop d’émotion d’un coup… « Tu.. Enfin nous.. Oui. Mille fois oui, si tu es prêt à supporter une chieuse comme moi. » J’étais émue. « Je t’aime mon cœur. »