La vie est loin d’être un conte, un monde des bisounours ou tout est rose et tout est beau. Se serait un rêve éveillé ! Hélas, la vie est plus difficile que ce qu’on ne peut penser. Lorsqu’on est enfant on rêve de grandir vite pour être des adultes, mais lorsqu’on vit cette vie avec tans de responsabilités, on se dit qu’on était bien mieux dans nos rêves d’enfant… Avec mon expérience, je sais de quoi je parle. A croire que vous ne me croyez pas… J’ai eu une enfance et une adolescence difficile du à l’absence de mes parents, une maladie que j’essais de combattre chaque jour un ex-petit ami qui se tape son ex… La seule chose de positif, qui me rend plus forte à combattre tout ses soucis est ma fille, la prunelle de mes yeux. Sans elle, je ne serais plus rien. Elle met de la joie dans ma vie, même si ces derniers temps, c’est loin d’être facile pour elle, depuis que je me suis séparée de son paternel, Mathéo. La première fois que je l’ai vu, je m’étais sentit bien avec lui, quelque chose avait tout de suite collé entre nous et depuis que je ne suis plus avec lui, je me sens perdu. Grâce à mon sale caractère d’une femme forte, j’apprends à vivre avec, même si j’avoue que ce dernier me manque terriblement. Mettez-vous à ma place une seule et petite seconde. Comme auriez-vous réagit si un soir, en rentrant chez soit vous aurez vu votre petit ami en train d’embrasser une autre fille. De plus, je n’ai pas étais la seule à voir cette scène, Addison fait partie des témoins… Bref, je dors plus beaucoup le soir, revoyant ce dernier embrasser son ex-petit amie avec qu’il était sur le point de se marier ! Ce n’est pas rien. Je suis fatigué aussi de toutes les questions d’Addison, ne trouvant plus de réponses, je préfère détourner le sujet de conversation…
Il était maintenant dix-neuf heures, plus qu’un quart et je ferme la boutique ! Je dois avouer qu’il me tarder, de pouvoir rentrer à la maison et profiter de ma petite princesse. Actuellement, sa nourrice s’en occupait étant donner que son père finissait presque à la même heure que la mienne. Je me demande vraiment, s’il n’y avait pas Addison, on se verrait encore ? Quoi que, je suis très froide avec lui… Bref, je m’occupais donc pour de ma dernière cliente, en la conseillant. Une fois chose finit, je l’encaissai avant de la raccompagner à la porte. Il faut dire que j’adorais mon métier ! Avoir sa propre boutique dans laque je peux vendre quelques tenue que j’ai confectionné de mes propres mains. Un vrai bonheur ! Bref, me retournant en attendant la petite clochette pour annoncer la venue d’un nouveau client, je dévisageai la personne avant de détourner mon regard. Ce n’est pas vrai ! Que faisait Mathéo ici ? A cette heure-ci en plus… La colère m’envahissait ! C’était plus fort que moi. Je sentais son regard se poser sur moi. JE soupirais avant de me diriger vers ma collègue en lui demandant de s’occuper de lui. Elle revenu quelques minutes plus tard vers moi en me confiant qu’il insistait lourdement pour que se soit moi qui m’en occupe. Je lui lançai un regard noir avant de me diriger vers lui. Une fois à sa hauteur, d’un ton agacer je lui répondis « Je suis désolée on ferme ! Au lieu de venir ici, si t’avais fini plus tôt, tu aurais pu t’occuper de ta fille ! » Et oui, je suis une personne agressif et rancunière lorsqu’on me met des bâtons dans les roues.

Voir Mathéo ici, était bien l’une des dernières choses que je souhaitais. Je ne pouvais plus le voir, aveuglé par la haine, la jalousie et la colère que je ressentais. J’avoue d’être une femme jalouse côté cœur, je peux être invivable, mais n’importe qu’el personne aurait fait ses valises, partant de chez soit, voyant son petit ami embrassé son ex qui à faillit devenir sa femme ! Dans un premier temps, j’avais demandé à ma collègue d’y aller, mais pour finir se fut moi… Lorsque j’avais prit la parole, voyant que c’était loin d’être une dernière vente, elle me confia de ne pas me faire du souci, qu’elle s’occupe de la fermeture et de faire la caisse. Je sortirais comme chaque soir par l’arrière de la boutique. Bref, pour le moment ce n’est pas la question de savoir quand je pars et par où ! Le sujet était Mathéo et le mal qu’il m’a fait ! Oui ca m’a blessé du moi embrassé une autre que moi. Rien de plus normale après tout ! Je crois que j'ai le droit de t'expliquer MA version des faits, et la VRAIE version, Naomie.Je rêve ! Le droit de quoi ?! Franchement, il n’a pas à se justifier, je sais que j’ai vu, je l’ai vu de mes propres yeux l’autre soir en rentrant de l’école avec Addison dans mes bras. Un rire nerveux sortit de ma bouche, avant de lui répondre ; « C’est un bon début, tu le reconnais au moins. Je n’avais pas eu cette idée, mais si tu ne te décides pas à partir je le ferais et tu sais très bien que j’en suis capable ! » Je soupirai en voyant qu’il insister lourdement. Je n’avais aucune envie de reparler de tout ça ! « Tu as cinq minutes top chrono ! » Heureusement que la boutique était en train de se fermer, car faire un scandale au beau milieu des clients n’était pas bien vu ! Ce dernier m’invita à m’installer sur une des petits fauteuils, je fis signe que non de la tête, il était hors de question qu’il campe trente ans dans le magasin ! Toujours d’un ton agacé je répondis ; «Elle est pas mal celle-là! tu sais tout le monde la compris le jour du mariage ! C’était une évidence ! Elle ne l’a pas découverte toute seule ! » C’était tellement logique. En plein milieu de la cérémonie au moment ou le curée à dit si quelqu’un s’oppose à se mariage qu’il le dise maintenant ou qu’il se taise à jamais, ben mademoiselle Dushku avait prit son courage à deux mains, sans réfléchir, et j’avais annoncé à des dizaines et des dizaines de personne que j’étais l’amante du marier et que ce dernier m’avait mis en cloque avant de lui avouer que je l’aimais. Lorsqu’il commençait à reparler de la scène qui me hante depuis dès semaines, mes yeux se remplirent de larmes. C’était hors de question que je craque, je veux rester forte face à cette histoire qui me tue un peu plus chaque jour ! Les mots défilaient et un sourire hypocrite se dessinait sur mon visage. Le regardant dans les yeux j’ouvris la bouche pour sortir ses quelques mots en me levant brusquement! « En plus tu te fou de moi. Tu la repoussais au moment ou je suis rentrée. Pour mettre la cerise sur le gâteau, je n’étais pas seule, j’ai du ramasser les pots casser et essayer d’expliquer à une petite fille de cinq ans pourquoi tu as embrassé cette bimbo et pourquoi ses parents ne vivent plus ensemble ! C’est bien beau de vouloir réparer les erreurs imparable du passé! Et si ça avait était moi, tu aurais régait comment ?! Tu y as pensé ! » Un long soupir d’agacement sortit de ma bouche, tout en tapant du pied, lorsque la lumière de la boutique s’éteignait. « Ce n’est pas vrais, les plombs ont encore sauté ! » Il ne manquait plus ça… Dire que j’espérais pouvoir retrouver ma fille tranquillement, tout sereine, voilà que c’était loupé ! Sa phrase me toucha, mes larmes coulaient toutes seule dorénavant… Je ne me contrôler plus… « Je sais pas si j’aurais la force de te pardonner, il faudra bien plus que des excuses…. Et tu le sais en plus ! »

La vie vous réserve bien de drôle de surprises ! On croit courir le parfait amour, avec un homme merveilleux avec qui on a fondé une famille, mais d’une toute petite étincelle tout peu s’envolatilliser. S’il n’y avait pas eu son ex-petit ami dans l’histoire, jamais il n’y aurait eu ce baiser et jamais je vivrais dans un appartement seul avec Addison. C’est comme si on changer de chemise… Bref, loin de lui j’étais malheureuse, certes mais son comportement était impardonnable ! Avait-il pensé à la situation inverse ? Et si c’était moi qui avait embrassé un de mes ex ? Comment aurait-il réagit ? Evidement, c’est une question rhétorique puisque je sais déjà comme se se serait passé, surement une bonne petite bagarre avant de venir me crier dessus. Ce soir, ce dernier avait décidé de se pointer à la fermeture de la boutique. Je dois avouer qu’au plus profond de moi j’étais heureuse de sentir sa présence, mais aveuglé par la haine, la jalousie et la colère je n’avais aucune envie de le voire ! Ce dernier étais venu afin de me présenter des excuses. Malheureusement, ca ne suffira pas ! On le savait tout deux très bien étant donner que je suis de nature rancunière et jalouse. Chose dite, j’écoutai à nouveau son monologue. J’étais attentive à chaque moi qui pouvaient sortir de sa bouche. Il avait raison, son absence m’était insupportable ! On ne peut pas revenir en arrière pour repérer nos erreurs, du moins ses erreurs. D’une voix plus calme, je le regardais faisant quelques pas avant de mettre devant une vitre de la boutique, regardant au loin devant moi. « Tu n’aurais jamais dus la laisser rentrer… Rien de tout ça se serait passé. Tu es aussi fautive qu’elle Mathéo ! Tu savais ma réaction que j’aurais eu en la voyant je t’aurais fait une scène ! Je sais qu’on a jamais pu se voir toute les deux, mais quand même ! Elle n’avait pas le droit de faire ça et tu n’aurais pas du l’inviter à faire rentré ton ex-fiancée chez nous ! Je te rappel que tu as faillis lui dire oui ! » Je détestais me retrouver dans ce genre de situation, je déteste me disputer avec l’homme que j’aime et par-dessus tout je détestais voire une fille tournée autour de lui, ne plus le sentir prêt de moi lorsque je m’endors, ce vide constamment à l’appartement, son sourire, sa voix, toutes ses petites chose qui on fait mon quotidien pendant plusieurs années.
Ce dernier finit par se décider à partir, retournant mes talons, je le regardais partir. A contre cœur, je ne bougeai pas d’un poile. Ca allait s’arrangeait, j’allais réussir à lui pardonner un jour ou l’autre, du moins je crois… Je ne sais pas de quoi est fait demain ! Je sortis de mes pensées, lorsque je le vis revenir sur ses pas. Je levai un instant les yeux au plafond avant de les redéposer sur son tendre visage. Ce dernier, sortit le doudou de notre fille, qu’on cherche partout depuis quelques jours. « Merci, je lui donnerais ce soir. » Je ne sais pourquoi, d’un coup je ne me sentis guerre bien. Ma tête commença à tourner et je me sentis légèrement essoufflé… Ma maladie faisait surface. J’espérais qu’une chose, qu’on m’appeler pour m’annonçait la greffe de poumons. Se serait le plus beau jour de ma vie, bien sur, il passerait en second estrade, puisque le premier est la naissance de ma petite princesse ! Je me laissai faire part Mathéo. Doucement je m’allongeai, un peu pommé la tête ailleurs, je calculais que peu de chose… « Oui, ca va, enfin je crois… » Je fermais les y »eux l’espace de quelques instants inspirante t expirant profondément. Je les rouvris, quelques secondes plus tard. « Tu crois qu’on m’appellera un jour pour m’annonçait que me greffe ? »