Lorsque Mathias fut partit du jour au lendemain comme un voleur, j’avais été blessé, j’avais perdu mon meilleur, la personne avec qui j’avais tellement partagée, la personne qui m’accepte comme je suis. On avait aucune gêne, on coucher ensemble lorsqu’on était adolescent, mais la minute qui suivait on était de nouveaux amis. Je sais, on vivait une relation bien ambigüe tout les deux. Sans vous mentir, nos retrouvailles furent explosif… En effet, j’avais été en colère contre lui, qu’il parte à Londres du jour au lendemain sans aucune nouvelles ! Mais, j’avais finis par lui accorder une seconde et dernière chance ! Il n’aura pas le droit de faire un nouveau faux pas… Il me connaissait très bien, pour savoir que j’en étais capable. Bref, voila que ce matin, je m’étais levée afin de pouvoir préparer ma princesse pour l’école. C’était mon jour de repos, on était vendredi et je savais que le week end allait être long pour la simple et bonne raison que je n’aurais pas Addison à mes côtés. Elle passe le week end chez son paternel, avec qui je suis actuellement en conflit. Je m’étais confié à Mathias de mes soucis personnels… Au moment de partir, je reçus un message. Tiens, en parlant du loup… Ce dernier me proposa de boire un petit café à le chicha café, Pas bien loin de l’école de la mini-moi. Oui, je la surnomme parfois mini moi Addison, je trouve qu’elle me ressemble beaucoup lorsque j’étais plus petite, passionnée de danse comme moi et un sale caractère parfois. Comme on dit, tel-mère, tel fille ! Je répondis à mon meilleur ami

Citation :

« Coucou Mathias =) Ca va et toi ? Avec plaisir ! J’arrive dans une quinzaine de minutes, le temps de déposer Addison à l’école. A tout à l’heure. Bisou »

Chose, fait, je peignai la demoiselle, avant de préparer mon sac. Je mis mon portable, mes papiers. J’enfilai un petit gilet sur mon débardeur rose saumon et noir. J’enfilai mes espadrille doré, avant de prendre les clefs de la voiture et de me diriger à l’école. J’emmenai Addison jusqu’au portail, lui faisant un gros bisou avant de la laisser partir retrouver ses amis. Je la regardai un instant avec un pincement au cœur de la voir si vite grandir, mais surtout de la laisser à Mathéo ce soir. Elle me manquait déjà !Lorsqu’elle rentra en classe, je tournai mes talons, pour me rendre au lieu de rendez-vous. Evidement, je me rendis à pied au café, le soleil était au rendez-vous autant en profiter, ce n’est pas tout les jours qu’on a ce temps à Paris. En me rapprochant du lieu de destination, j’aperçus Mathias, assis à une table en terrasse. Souriante, je m’avançai vers ce le jeune homme. Il se leva afin de pouvoir lui faire la bise. Tout en écoutant sa question, je m’assis en posant mon sac sur mes genoux. « Je suis contente de te voir aussi/ Je fais avec. J’ai pas vraiment le choix, en plus Addison part pour le week end chez son père… On va dire que j’ai connu mieux :p Et toi tu vas bien ? »

C’est vrais que j’étais contente de voir mon meilleur ami, pour la simple et bonne raison que ça allait me changer les idées. J’allais entre guillemet, oublier mes soucis du quotidien, ma séparation avec Mathéo, le fait de ne pas avoir ma fille du week end et j’en passe ! La vie peu vous réserverez de bien drôle de surprises et qui sait, peut-être qu’un jour ou l’autre on se remettra ensemble. Après tout, de nature rancunière j’ai réussit à trouvé la fois pour pardonner à Mathias. Bon, il avait été mis au courant, un nouveau faux pas et il peu faire une croix sur notre amitié qui dure depuis notre plus jeune enfance ! C’est rare l’amitié fille-garçon, beaucoup de gens disent qu’un jour ou l’autre ça finit ensemble. Bon, c’est vrais qu’avant que je ne me mette en couple avec Mathéo, ils nous arrivés de couché ensemble, mais ce n’est pas pour autant qu’on sortait ensemble. C’était juste un sorte de jeu entre nous deux. Rien de plus, du moins, à l’époque j’aurais aimé avoir un signe de sa part, qui signifiait qu’ »il voulait plus qu’une simple histoire de cul, notamment qu’on sorte ensemble… J’avoue avoir eut un béguin pour lui à l’époque ou on était jeune. Bref, le passé c’est le passé ! On ne peut pas le changer, ni retourner en arrière pour l’arranger… Je m’étais donc pointer à notre lieu de rendez-vous, c'est-à-dire à le chicha du café. J’étais contente de le voire, je dois avouer que ça me faisait beaucoup de bien. Je savais par l’avance qu’il allait me changer les idées et qu’on allait passé un bon moment tous les deux. De nature souriante, je lui fis la bise avec un tendre sourire pendu aux lèvres avant de lui faire la bise. Par la suite, je m’assis sur la chaise qu’il me désignait par la main. Posant mon sac sur mes genoux, je répondis à sa question sans lui mentir. Je faisais avec ! Comme toute personne polit, je lui détournai la question, mais surtout que j’étais curieuse de savoir comment il allait. Sa réponse me fit plaisir, je ne pouvais demander mieux ! Nous furent tous deux coupés par le serveur qui s’avança vers nous pour nous prendre notre commande. Pour ma part, je commandai un choco-chino. Lorsque le serveur s’éloigna, je posai mes yeux noisette sur mon meilleur ami afin de poursuivre notre conversation. « Je le sais. Merci Mathias de ton soutien, ça compte beaucoup ! Je ne te remercierais jamais assez de ton soutien ! T’es adorable, j’essaie de faire de mon mieux pour être une bonne mère :p Oh fait, j’ai acheté ton livre que tu as édité en Angleterre, je l’ai adoré ! Tu as beaucoup de talent ! » Il avait un réel don de l’écriture qui n’étais pas donné pour tout le monde ! J’avais dévorait son livre en seulement quelques jours.

Je dois bien avouer, n’avoir guère envie de parler tout le long de notre rendez-vous de moi et des mes soucis avec Mathéo sans oublier les milliers des questions de ma petites princesses. C’est pour cette simple et bonne raison que je décidai de tourner ma chemise afin de changer de conversation, en parlant de son livre notamment, un livre que j’avais adoré. Et pourtant, je suis quelqu’un qui n’aime pas spécialement la lecture ! Je l’avais reconnut dans son histoire, avec un amour qu’il aurait aimé avoir ! Je l’avais dévoré en seulement quelques jours. Je me m’étais à lire son roman, le soir au fond de ma couette avant de m‘endormir comme un bébé ! Il m’avait caché ce don ! Un don qui n’est pas donné à tout le monde ! Comme quoi, on ne connait jamais réellement une personne, on en apprend tout les jours un peu plus sur elle ! Et parfois, elle nous reserve de bien drôle de surprises ! Je lui confiai par la suite, le fait d’avoir prit connaissance de son histoire et évidement, je fis un éloge en le félicitant ! Il le mérité ! « Mais je le pense vraiment Mathias ! Tu es vraiment doué ! Tu m’avais caché ce don ! Oh ! Et je veux être la première à lire en avant-première ou je ne sais comment on dit dans le domaine de la lecture, ton prochain roman ! Ne t’inquiète pas, ça va forcement venir l’inspiration ! Soit juste patient =) La patience est la clef de la réussite ! » Je le pensais vraiment, il faut avouer, que je ne lui ai jamais mentit. Après tout, à quoi bon ? C’est mon meilleur ami, je le connais depuis les couches cullotes . On a fait mille et une chose ensemble et sans avoir honte ! Bref, cependant je haussai un sourcil, à la suite de sa phrase… Ce dernier semblait avoir quelques petits soucis en tête… Les avait-il depuis longtemps ? Ce n’est pas vrai ! Trop préoccuper par les miens, je réalise que je n’ai plus vraiment fait gaffe à la vie de Mathias ! Quel honte ! Mais surtout qu’elle égoïsme… Le serveur se montra à nouveau pour nous apporter les boissons chaudes, commandé quelques minutes plus tôt, je lui fis un sourire en le remerciant, avant de me concentrer à nouveau sur mon meilleur ami. Je le dévisageai quelques instants avant de reprendre. » Commença ? Tu as des soucis ?! Attend, attends : Je t’arrête tout de suite ! Tu as pris le temps d’écouter mes tracas du quotidien, tu peux aussi te confier à Moi. Tu peux me faire confiance Mathias ! » J’espère qu’une chose c’est que ça ne soit pas très grave… Mais j’étais curieuse de savoir ce qui pouvait le soucier autant ! De nature curieuse voire très curieuse, j’arriverais de toute manière à découvrir ce qui me cache s’il ne souhaite pas m’en parler… Après tout c’est son droit ! Mais moi dans tout ça ?! Les amis ça sert à se soutenir, se serrer les coudes dans les bons moments comme dans les plus mauvais moments !

J’adorais parler de ma fille, je dois avouer que je la bade complètement. Je suis prête à tout et n’importe quoi pour elle ! Je vous promis d’une chose, celui qui osera lui faire du mal, il entendra parler de la demoiselle Dushku ! Oh moins, il comprendra qu’il ne faut pas la toucher… Mais sur ce coup là, j’avais envie de changer de sujet car je savais déjà ou cette discutions allait venir et je n’avais aucune envie de me replonger dans mes mauvais souvenirs. Je ne souhaitais qu’une chose, me change les idées ! C’était pour ça que j’avais accepté l’invitation de mon ami, Mathias, sinon je me serais surement pris le pot de Nutella, que j’aurais mangé à la cuillère en me plaignant des drames qui m’arrive. De plus avec ma maladie que je traine depuis des années, rien ne s’arrangeait, j’étais rapidement fatigué et mal à l’aise. Ma maladie me rongeait un peu plus chaque jours J’avais décidé de m’interessai à Mathias, mon plus veil ami. Dans un premier temps, je lui confiai d’avoir prit connaissance de son roman, un roman que j’ai vraiment adoré. Par la suite, je lui confiai que c’était quelqu’un de douée, qu’il a un réel talent. « Il y a intérêt que je sois la première, sinon gare à toi :p Il parle de quoi de ton début de roman ? » Même si j’ai un très sale caractère, je m’intéresse aux personnes qui m’entoure, qui font partit de mon quotidien. Mais j’étais surtout curieuse sur ce coup-là, je le reconnais. Le serveur se rapprocha à nouveau de notre table afin de nous déposer nos boissons chaudes commandées quelques minutes plus tôt. J’harca un sourcil, lorsque le jeune homme e confia avec maladresse qu’il avait plusieurs soucis dans sa vie en ce moment. Je lui rappelai donc, que j’tais là pour lui, s’il a besoin de se confier, d’avoir un conseil ou tout simplement d’être écouter. Ce dernier se plongea dans son monologue, je pris ma tasse entre mes deux mains afin d’y boire une gorgée avant de reposé mon regard sur le jolie blond. Je l’écoutais attentivement, j’avalais chaque son qui pouvait sortir de sa bouche. Hors de question d’en perdre une miette ! Lorsqu’il m’avoua qu’il était père de famille j’eus un certain blocage, mais j’étais aussi blessé qu’il ne m’ne parle pas ! Bon, ce n’est pas le moment de l’enfoncer encor pelus ! Il doit avoir ses raisons si ce dernier ne me l’a pas avoué. Voilà que je visais juste puisqu’il m’avoua qu’il avait replongé dans la drogue… Je le regard un instant sans bougée, Je ne savais absolument pas comment réagir ! Il faut que je pense à arrêter de regarder un peu trop mon nombril et de m’intéressait un peu plus à mes amis… avant de reprendre, je déposais ma tasse sur la table qui nous sépare. « Pourquoi tu ne m’en as pas parlé plus tôt ? C’est pas vrais, je me plains tout le temps et je ne e suis même pas rendu compte que tu pouvais être aussi blessé… Je peux peut-être t’aider à le récupérer ton fils, bon je le fais aussi un peu pour moi car je ne sais pourquoi mais j’ai déjà très envie de le connaître ce petit bout de chou. » Répondis-je afin d’essayé de détendre un minimum l’atmosphère…. Sa phrase se bousculait dans mon esprit, me posant tans de question…. Je finis par reprendre le regardant un peu plus inquiet puisqu’il s’agissait de sa santé. Pourquoi tu as replongé Mathias ? On avait réussit à s’arrêter ensemble et on s’était fait la promesse de ne plus y touché ! Tu y touche encore ? Tu en prends souvent ? » Je me stoppai un instant, peut-être qu’il ne souhaitait pas en parler, peut-être qu’il allait s’enfuir à cause de toutes mes questions sans réponses… Ca me faisait de la peine et son histoire m’attristé… Je repris mes esprit en me calmant, après tout, il est grand il s’est ce qu’il fait et je ne suis pas sa mère… Mais quelque chose d’autre me titillait l’oreille, mais je ne suis as revenu que pour lui ? C’était pour qui aussi ? Une femme ou un homme on ne sait jamais… « Tu m’as dit que tu étais revenu non pas seulement pour Cameron… »

« Tu finiras par y arriver !note toute tes idées sur un bout de papier et du jour au lendemain, ne sachant d’où elle vient tu seras comment organiser tes idées ! Il faut du temps et de la patience, tu n’es pas pressé de toute manière pour publier ton prochain livre. Je suppose qu’il t’a fallut autant de temps pour écrire ton premier livre. » C’est autour de notre boisson chaude, que le jeune homme se confia à moi, lorsque je lui demandai ce qui pouvait arriver de beau dans sa vie ces dernier temps. Je voulais changer de sujet et arrêter d’être le centre de nos conversations. Ce que j’appris me donna un coup… Il avait traversé tellement de chose horrible et je ne suis rien pu faire pour l’idée… Comment arrivait-il à vivre sans la présence de son fils ? Déjà que j’en ai du mal, lorsque Addison part un week end chez son père… Je ne m’imagine pas vivre ce genre de relation à distance ! Ne plus voire son enfant grandir c’est quelques chose d’affreux ! Il me confia par la suite qu’il avait repris la drogue. Dire qu’on avait tout deux réussit à arrêté cette saloperries… Tans d’effort pour rien ! On s’était promis de ne plus touché à cette dépendance… Je dois avouer que je ne le comprenais pas beaucoup… On avait tellement galéré… Bon, la seule chose qu’il a besoin c’est de soutient, pas une leçon de moral, c’est pour cette raison que je décidais de continuer notre sujet, en premier sur son fils… « Tu en as autant que moi ! Et tu m’as écouté, consolé… Je ne vois pas ou est le problème… Tu aurais du m’en parler plus tôt… Si je peux faire quoi que se soit, n’hésite pas ! Tu peux compter sur moi. C’est la vérité, je me suis trop préoccupé de mes problèmes et je ne me suis pas ou peu intéressé à mes amis… On va tout faire pour que je connaisse Conor et que tu es la garde de ce petit bout. Il doit bien avoir des solutions, ce n’est pas la même façon de pensé ici qu’en Angleterre... Pour commencer, je ne t'apprendrais pas qu'il faut à nouveau que tu arrête de te droguer et que tu y fasse une croix définitivement dessus ! On va surmonté ça ensemble, je t'en fais la promesse. » Mais de nature protectrice vers les personnes que j’aime, je lui posai des tonnes de questions en lui avouant quelque part, que j’étais déçut de son comportement, évidement, je le fis comprendre avec beaucoup plus de diplomatie ! Il n’avait pas besoin que je le rabaisse, il avait déjà assez de remords comme ça ! « Même si je t’aurais un peu remballé comme quand on s’est revu pour la première fois depuis cinq ans, je serais venu t’aider ! T’aurais été moins seul… Tu continues d'en prendre? » Je voyais que toute cette histoire le touché. Je dois avouer aussi, que c’était la première fois que je le voyais comme ça. Un peu plus tôt, dans notre conversation, il me confia qu’il était revenu pour son fils certes, mais aussi pour autre de chose. De nature curieuse, je lui demandai pour qu’elle raison exactement ! S’il ne veut pas me le dire, ce n’est pas bien grave, mais je ne baisserais pas les bras aussi facilement ! Je ne suis pas comme ça ! Le regardant dans les yeux, je ne savais quoi dire… Dire qu’avant que je ne rencontre Mathéo, je rêvais qu’il me dise ça… Voilà qu’il le fait plusieurs années plus tard. Comme on dit vaut mieux tard que jamais, mais soudainement je me sentais légèrement perdu… Sa main se déposa sur la mienne, ce ne fus pas pour autant que je bougeai. Mon regard ne s’était pas détaché du sien. « Adolescente je rêvait que d’une chose, que tu me fasses un signe pour me dire que tu voulais qu’on soit plus que des amis… Quand tu es partis comme un voleur, je me suis sentis anéantit pendant un moment, c’est comme si j’avais perdu un bout de moi… Ton voyage m’a fait beaucoup de peine, je ne comprenais ce que j’avais fait de mal, je comprends un peu mieux… Lorsque je t’ai annoncé que j’avais rencontré quelqu’un tu était content pour moi, jamais je ne me suis douté que peut-être tu aurais des sentiments pour moi… » Lui répondis-je en le regardant dans les yeux.

« I[b]l faut que l’écriture reste un plaisir Mathias et non pas une obligation. » Lui répondis-je en souriant en avalant une nouvelle gorgée de ma boisson. J’étais touché qu’il se confie à moi de ses problèmes, avec son fils, la drogue… Il n’avait pas vécut des choses facile ces derniers temps, entre la perte de son ex à la naissance de Connor, le fait qu’on lui enlève la garde de son fils etc. Je lui fis la promesse de l’aider à avoir la garde de son fils ! Je me mettais à sa place, et je ne pourrais pas vivre sans ma fille. Je ne sais même pas comment il fait pour tenir le coup. .. C’est un homme vraiment courageux et je dois avouer que j’admirais son côté-là ! « C’est une bonne nouvelle que tu es arrêté et je suis fière de toi que tu ne touche plus à cette saloperie ! Maintenant tu n’es plus tout seul ! Sache-le ! Et on va trouver un moyen pour que tu puisses avoir ton fils à tes côtés et que je puisse voir à quoi ressemble ce petit bonhomme. » Mathias avait besoin de mon aide, chacun son tour. J’ai bien l’intention de faire tout mon possible pour l’aider, de le soutenir, tout comme il fait avec moi depuis que je ne suis plus avec Mathéo. Une phrase me trotter dans ma petite tête, je ne suis pas seulement revenu pour Connor. Il était aussi revenu pour quoi ? De nature curieuse et déterminé à savoir, je lui avais posé la question sans aucune gêne. J’étais tombé de haut sachant que c’était pour moi, je ne savais pas comment réagir, ni quoi dire et ni quoi faire. Je finis par lui avouer que j’espérais qu’il m’ouvre à moi comme il venait de le faire lorsque l’on était plus jeune. Mais aussi, le fait que son départ précipiter pour Londres m’avait fait du mal ! Je ne savais ce que j’avais de mal pour qu’il ne m’adresse plus la parole. Aujourd’hui tout s’éclaircissait, ce dernier était jaloux de Mathéo, d’ailleurs il ne peut pas se le voir à ce que je comprends… « Tu ne m’as jamais donné aucun signe qui pouvait me faire dire que tu t’intéressait à moi ! Une fois qu’on avait couché ensemble, on redevenait ami, comme si de rien ne s’était passé ! Tu repartais chez toi et voilà ! Sérieux ?! Tu as bien caché ton jeu en tout cas. Pourquoi m’avoir mentit dans ce cas en me disant que tu étais heureux pour moi ? Je sais plus si aujourd’hui je le suis avec ce qui s’est passé… Avec ce que tu me dis je suis un peu perdu et c’est confus dans mon esprit… »

La clef de la réussite est la patience et l’investigation que l’on met dans son travail ! Je savais de quoi je parlais, puisqu’ aujourd’hui j’avais put ouvrir ma boutique dans lequel je peux exposer quelques vêtements que j’ai pu réaliser. Et je suis bien faire d’avoir accomplit un de mes rêves ! La seule chose que je pouvais lui conseiller d’attendre, être patient, car du jour au lendemain il sera inspiré pour l’écriture de son prochain roman. Il finit par me parlais autour de notre boisson tout ses soucis, celle avec son fils d’un an et demi, mais aussi de la drogue. Je m’inquiétai pour ce dernier, j’étais déterminée à l’aider à récupérer Cameron, son fils, mais aussi à arrêter de consommer de la drogue si ce n’est pas déjà fait… Autant pour moi, Mathias n’avait plus touché à la drogue depuis maintenant six mois, en fait, depuis son retour à Paris. Je voulais lui montrer que j’étais présente, je voulais l’aider et je souhaitais qu’il l’entende de ma propre bouche ! « Je sais également ce qu’il va ressentir, ne pas avoir de parents présents dans sa vie… Mais on va leur prouver que tu n’es plus le droguer qu’ils ont ^pu connaitre ! Et peut-être que tu peux demander l’adoption comme ça ? Tu t’es un peu renseigner ? » Je savais ce que c’était de ne pas avoir des parents présents prêt de soit ! Les miens avaient décidé de se consacrer exclusivement à la carrière de ma mère et lorsqu’il rentrait tout les trente-six du mois, c’était pour me critiquer… Bref, par la suite, il me confia qu’il était aussi revenu à Paris pour moi, que ce dernier était amoureux de la petite brunette. Dire que plus jeune on aurait pu sortir ensemble… Peut-être que je devais tenter le coup ? Mais si je sors avec, est-ce par ce que j’en ai envi ou alors est-ce pour combler le vide que je ressens ? J’étais complètement perdu, je ne savais quoi dire, ni quoi penser de toute cette histoire. Je sors d’une histoire plutôt compliqué, avec une maladie qui me ronge un peu plus chaque et une petite fille malheureuse de voire ses parents être éloignée. « §Dit pas ça Mathias, ca ne vas rien changé… C’est juste que je ne m’y attendais pas du tout, il faut juste que tu me laisse le temps de dirigée tout ça et d’analyser cette situation ! »