Vanessa Lacroix membre✧ ÂGE : 19 ans. ✧ JOB : étude d'infirmière ✧ COEUR : il est mort .. tout en battant à chaque instant. ✧ MESSAGES : 57 ✧ HERE SINCE : 06/11/2014
| Sujet: (M) je recherche celui qui me fait vivre à 1000 à l'heure. Ven 14 Nov - 18:49 | |
| JE RECHERCHE LE LIEN sexe ▸ masculin. Rafaël – je l’ai utilisé, dans la fiche, mais vous pouvez changer- âge approximatif ▸ 23 ans- 25 ans. avatars suggérés ▸ Jack Falahee, c'est mon coup de cœur du moment, grant gustin .. enfn vous pouvez vous faire plaisir, même si j'avoue que je vois bien le petit Jack dans le rôle (a) nature du lien ▸ Cela fait trois mois qu’ils se sont rencontré. C’était dans un parc, il était assis dans l’espoir de trouver le sommeil. Elle ne sait pas pourquoi il est parti de chez lui, car il a tout quitté, elle sait seulement ça. Tout comme lui ne sait pas pourquoi elle est ainsi. Ils ont des questions dans leurs têtes qu’ils ne poseront pas à l’autre, bien trop peur que ces questions finissent par les forcer à parler. La nuit de cette rencontre, Nessa a eu l’envie subite de s’incruster chez quelqu’un, depuis chaque soir ils vont ensemble dormir chez des personnes en vacances. Mais, certaines personnes les voient et ils sont obligés de courir. Lui, il le fait, car il est attiré par la fille, elle lui plaît, elle est renversante avec son sale petit caractère ! Nessa quant à elle a besoin de vivre, de se sentir vivante et la présence de Raf la rassure, elle en profite, elle adore ça ! Ils ne sont pas un couple pour eux, mais pour beaucoup on dirait fortement que c’est le cas, qu’ils sont bien plus que des amis faisant toutes les conneries possible, mais ils ne veulent rien faire, rien gâcher. Profiter du corps de l’autre, leurs convient. Puis ensemble ils sont plus forts, ils pratiquent des courses de voiture illégale. 7 Dans mon histoire je parle que de lui (a) vous verrez comment elle le traite quelques fois - Spoiler:
Ce matin. Comme tous les matins, c'était la même rengaine dans ma tête. « Tu es en retard ! Dépêche-toi ! » Mais au final, je prendrais tout mon temps, pourquoi me presser ? C'était vrai, j'avais la vie devant moi ? Quoi que ma vie, je ne sais pas quand elle va se finir. Si je commençais à penser ainsi, je n'avais pas fini, j'étais bonne pour finir sur le canapé à déprimer devant les clips sur une chaine musicale qui passe en boucle les mêmes chansons. Je regardais la lumière émanant des petits trous des stores et je pouvais à présent sentir une main se poser sur ma cuisse. Voilà, j'avais encore fait n'importe quoi. Je me retrouvais dans le lit de je ne sais qui. J'allais devoir trouver une nouvelle excuse pour me casser de l'endroit. Je me tournais histoire de regarder la tête du gars au passage, je mordais un peu ma lèvre en voyant que c'était Rafaël. On n'était pas chez lui et encore moins chez moi n'ayant pas de chez moi pour le coup. Je vivais encore chez mes parents, dans ce petit quartier loin d'être riche qui m'avait vu grandir. Cet endroit avait pu voir mes joies, mes peines et encore toutes ces choses qui me font maintenant, qui m'ont rendu ainsi. Pour beaucoup, je ne suis qu'une fille pleine de vie qui cherche à se mettre en danger et pourtant, c'était si compliqué dans ma tête. Tellement. Rien n'avait bouleversé ma vie, tout aurait dû être parfait, même la pauvreté n'aurait jamais donné une couleur grisâtre à ma vie. Non, car j'avais des parents formidables prêts à tout pour leurs enfants et chacun des membres de ma fratrie leur rendaient bien. « Vas- y, tu vas préparer le petit-déjeuner ! » Je pensais à ma vie et lui, il me demandait de quoi manger ? La dernière fois ne lui avait pas suffi ? Il se prenait vraiment pour un pacha, le gars. Je le regardais et je le voyais hausser les épaules. « Allez bouges, ça va, tu m'as crevé hier, tu étais pire qu'une petite gamine toute excitée à l'idée d'avoir ses cadeaux de noël. » Je fronçais les sourcils avant de mordre ma lèvre, je me levais, il était tout content pensant réellement que dans sa petite cervelle, j'allais lui offrir un petit-déjeuner au lit ? Il me connaissait mal, bon ça ne faisait que trois mois qu'on se connaissait, mais tout de même, il aurait dû le capter, depuis le temps que je ne faisais que passer mes journées avec lui. J'allais donc dans la cuisine, prenais la bouteille de lait ainsi que les céréales et je retournais dans la chambre, une chambre qui m'était totalement inconnue. J'ouvrais le lait et le versais sur lui avec les céréales. D'un coup il sursautait sur le lit « Mais t'es dingues Nessa sérieusement. » Il m'attrapait par les poignets et je souriais « Quoi ? » Je prenais un air sérieux avant de rajouter « tu veux du jus d'orange ? » Je demandais doucement tout en souriant malicieusement. Je ne me débattais pas, malgré qu'il me tenait aussi fortement, bizarrement ça me plaisait bien, c'était ainsi depuis que Lui m'avait abandonné. « Tu me gonfles sérieux ! Avec toi, je ne sais pas s'il faut marcher ou courir ! » Je rigolais, c'était les nerfs pour le coup et non qu'il était drôle. « Sinon, tu n'as qu'à sauter, peut être que tu y arriveras comme ça » Je rigolais finissant par secouer la tête alors que je venais lui voler un baiser. « Tu as faim ? Y a de quoi dans la cuisine ! N'oublie pas, je jonche peut-être ton lit, mais je ne suis pas meuf ! » Je le faisais lâcher prise, alors qu'il tentait de m'embrasser, mais que je le laissais face au mur, finissant par me rendre à la salle de bain.
Je le laissais faire sa vie, je n'avais pas envie de savoir exactement ce que ce type attendait de moi ! Pourquoi ? C'était bête, car il avait plutôt bien accroché à moi, dans le fond, mais on le sait l'amour, c'était tombé et la chute était bien trop douloureuse. Je ne me sentais pas de retomber à nouveau, mon cœur était encore un peu trop amoché pour le faire. J'étais loin d'être sado, alors j'allais éviter les petits mots doux et compagnie, certes il avait l'air de l'oublier quelques fois. Quand je lui rappelais, il finissait par bien me foutre les nerfs en allant voir une autre fille. Pour lui ? De la pure jalousie, alors que pour moi, c'était simplement... En vrai je ne sais pas ce que c'était et je ne désirais pas le savoir, je savais seulement que ce sentiment me faisait me sentir bien. Je laissais tomber mes sous-vêtements sur le sol, n'ayant que ça sur le dos. Il faut dire qu'avec Rafaël, on n'était jamais très sage. Je mordais ma lèvre en me rappelant de ce moment d'hier, on avait commencé dans l'ascenseur jusqu'à atterrir ! Ce ici, je ne le connais pas. Ce n'était pas la première fois que j'allais chez des gens inconnus au bataillon et que je rentrais assez facilement. J'attirais les voyous, pourtant dans le fond Raf' n'avait pas l'air si mauvais, bon, il avait l'allure, mais rien d'autre. Je le sentais si : gentil. C'était étrange comparé à Arnaud. Je secouais la tête. Non, non, je m'étais juré de ne plus penser à lui. J'entrais dans la cabine de douche, petit sourire aux lèvres et je sentais l'eau ruisselet sur mes courbes alors que mes mains rejoignaient ma chevelure. Mes yeux se fermaient, me laissant dans une pénombre familière et sécurisante. Je souriais et malgré l'eau coulant sur mon visage, je pouvais le sentir, je pleurais. Voilà, Arnaud, l'effet néfaste qu'il avait sur moi. Il était loin, dans un monde où je ne pourrais jamais le revoir, jamais je n'aurais le plaisir de lui dire en face que je le haïssais de ce qu'il avait fait, je voulais le tuer de mes mains, mais c'était déjà fait ça. Il était mort. J'aurais pu y rester pour lui, j'aurais tout fait pour lui, encore maintenant. Ce mec, je l'avais dans la peau à tel point que mon père et quelques-uns de mes frères ne le supportaient pas. Il était idiot, venait d'une petite cité où il adorait jouer son petit délinquant de bas étages. Un homme ? Non, c'était un gamin tout comme moi, nous étions des bébés. Il était mon Nemo et moi sa Doris. J'avais tendance à tout oublier pour lui. Les repas de famille, les dates importantes, si ça ne concernait pas Nemo ce n'était pas la peine. Il était en moi et mon esprit, mon âme avait simplement besoin de lui pour survivre. Alors, quand cet accident de voiture causé par lui arriva, je n'avais pas pensé à moi à l'hôpital, pourtant, j'étais amochée. Je n'avais même pas regardé ma famille qui était là malgré le fait que quelques jours avant cet accident, j'avais décidé de quitter mes parents. Non, je les avais quittés, mais jamais je n'aurais pu leur manquer de respect à eux ou à mes frères et sœurs. Je les oubliais, on pourrait mettre ça sur le coup du premier amour qui rend tout moins important pour le coup, mais ce n'était pas non plus une excuse. Enfin, je pensais à lui, alors que moi, j'étais mal et que ma famille ne faisait que s'inquiéter pour cette petite dernière qui perdait pied. Personne. Personne n'avait su me dire qu'il en était déjà fini de lui, de nous et de tous ces projets qui nourrissaient nos vies. Il n'était plus là, il était mort, mort, car monsieur avait désiré jouer les grands en conduisant une voiture à pleine vitesse sur le grand boulevard de Paris. Ça aurait pu bien se passer, mais avec un permis certainement mieux. « Nessa bouge, y a des gens qui arrivent ! » Je secouais la tête et sortais directement de sous l'eau pour prendre une serviette et me blottir dedans. Je sortais et serrais mon poignet droit fortement pour oublier ces larmes qui venaient de me ruiner le moral.
Il était trop tard. Je ne pouvais pas m'échapper pas, cette fois. Je n'avais pourtant pas envie de devoir me taper une nouvelle fois le petit discourt du grand frère inquiet de mon frère. Quoi qu'il pensait sans doute plus à lui avec ce fameux petit monologue. J'avais aidé Rafaël à sortir, mais il n'était pas possible qu'on puisse s'en sortir tous les deux. J'avais dû à dire à Rafaël de se casser, car cet abruti avait envie de se la jouer Don Juan. D'où j'avais besoin d'être sauvée ? Les mecs. Le même délire. Les mêmes questions. Enfin, bref, j'avais déjà répondu et comme toujours, je faisais ma petite habituée. Je me la jouais forcément moins quand Jo arrivait pour me sortir de prison. Un jour, il me lâchera et me laissera me démerder avec la justice ou les parents et étrangement, je préférais voir avec la justice. Mes parents avaient beau être des personnes assez compréhensives, j'étais loin de vouloir me retrouver nez à nez avec eux devant un flic, car je risquais de m'en prendre une bonne en plein visage histoire de me remettre les idées en place. Je pensais pouvoir sortir rapidement de là, mais non. À croire que mon frère avait décidé de me laisser pourrir en cellule, pour le coup, je lui en voulais. Ok, il était loin d'être obligé d'être à ma disposition, mais style monsieur n'avait jamais fait de connerie ? J'avais un doute, au final, je ne savais pas grand-chose sur ces conneries ou non-conneries. Fallait arranger ça, mais ça sera plus tard. Trois heures plus tard ? J'étais encore enfermée. Il faisait durer le plaisir ? J'allais me venger, pas de suite, car ça serait moins drôle, mais plus tard. Une vengeance se fait que quand la personne ne s'y attend pas ! Je fronçais les sourcils pour le coup tout en me disant que cette petite phrase n'était pas trop conne dans le fond. Au final, il se vengeait peut-être de lui avoir casé son plan cul du vendredi ? J'étais rentrée chez lui comme si c'était chez moi jusqu'à sa chambre alors qu'il était en train de passer à l'acte : désolée, je m'incruste un plan à trois ça te dit ? La fille n'était pas pour... Pas une petite dévergondée ! En vrai, elle aurait dit, j'aurais commencé à la chauffer, mon frère, il aurait trop pété un câble, enfin, j'espère, car ça en devenait glauque dans mon esprit-là. « Votre frère est là ! » Je sortais de ma cellule et retrouvais mon frère. Comme une gentille petite fille, je glissais mes mains dans mes poches avec une petite moue. J'étais mignonne et ça aidait toujours. Étrangement, même pas un petit mot désagréable. Rien, je n'avais droit à rien. Il me laissa devant le poste de police, là, comme ça. Là, je savais que j'avais grave saoulé mon frère, mais qu'au final demain ça sera passé, car si ce n'était pas le cas, je ferais tout pour qu'il me gueule dessus et qu'il finisse par passer au-dessus.
« M'dame Maurice ? » Je me mettais à rigolaiser alors que j'avais presque eut envie de pleurer la seconde d'avant en voyant mon frère partir les mains dans les poches sans même un regard pour moi. Je me tournais vers Rafaël et mordais doucement ma lèvre avant de courir vers lui pour me blottir dans ses bras. J'avais bizarrement besoin de sa présence et de ses bras. J'étais toujours rassurée. Madame Maurice. Notre première rencontre, nos premiers délires. Il venait d'arriver, enfin à ses dires. Moi, j'étais perdue, mal, je venais de sortir, j'avais bu et je ne savais pas où aller ayant perdu les clefs de la maison de mes parents. Je l'avais croisé au détour du parc sur un banc. Allez savoir pourquoi, j'avais eu envie de m'arrêter et de parler avec lui, aucune idée pour ma part. Mais, on a fini par avoir froid et j'ai eu une idée folle, quelques choses que je n'avais jamais faites ! M'incruster chez quelqu'un, une personne que je connaissais, mais qui n'était pas là. Impossible de rentrer chez cette personne, alors le voisin, enfin la voisine Madame Maurice. On s'était bien amusé et c'était ainsi, je me sentais vivante à ses côtés. « Viens, on a une course à faire ! » Je souriais alors qu'il embrassait le haut de mon crâne, je prenais une grande inspiration. Je montais dans sa voiture customisée, la seule chose qu'il avait, son seul bien et il en était heureux. Je m'attachais et la voiture partait à toute vitesse, je devrais avoir peur ? Après tout, j'ai perdu celui que j'aimais ainsi ? Pourtant, non, je n'ai pas peur, comme si j'affrontais encore et encore cette dure réalité qui me foudroyer toujours quand je ne m'y attendais pas. Dans ces moments-là, c'était moi qui contrôlais ma vie quoi que le destin en pense. Une course illégale sur les champs Élysée ? C'était tellement bon. J'adorais ça et Rafaël à chaque coup de frein déposaient sa main sur ma cuisse, comme si dans le fond, il ressentait que je flippais à cet instant malgré le plaisir que je prenais. caractère/histoire ▸ Il est : borné, compétiteur, joueur, dragueur, possessif, emmerdeur, n’a pas confiance en lui, mais le cache bien par son arrogance. Son histoire est libre, mais il a fuit un autre pays que la France donc faite vous plaisir, sincèrement, je veux juste que le caractère et le lien soit respecté (a) |
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