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Sujet: retrouvaille au bord d'un trottoir (brune/kiyan) Sam 15 Nov - 18:23
retrouvaille au bord d'un trottoir
La soirée est pas mal, mais je sais que je ne resterais pas jusqu'à la fin, il fait beaucoup trop chaud et il y a trop de monde. Il faut que je sorte, prendre l'air me fera plus que de bien, je préviens rapidement une de mes amies en hurlant, la musique est tellement forte que je vais avoir une migraine du tonnerre demain. Elle acquiesce de la tête pour me dire qu'elle a compris et je commence à jouer des coudes afin de prendre la direction de la sortie. Je ne sais même pas pourquoi j'ai accepté de venir à cette petite sauterie, l'anniversaire d'une fille que je ne connais même pas, mais je dois l'avouer, c'est qu'elle a le sens de l'organisation. Une fois en bas des escaliers, je m'approche des vestiaires pour récupérer ma veste et mon sac, le temps n'est pas vraiment clément en ce moment et il est hors de question que je tombe malade. Il me faut au moins cinq minutes pour monter les marches et je ne peux m'empêcher de soupirer de soulagement quand j'arrive enfin à proximité de la porte de sortie. L'air frais, je vais pouvoir respirer de l'air potable pendant une dizaine de minutes. Que ça fait du bien, ce n'est pas croyable comme une chose aussi simple peut être revigorante. Je m'adosse contre un mur et sors mon paquet de cigarettes pour en prendre une, c'est la seule dépendance qui m'est resté, pas la pire heureusement. Mais voilà, la chance n'est pas de mon côté et je ne trouve pas mon briquet. La colère monte doucement quand une flamme apparaît dans mon champ de vision, je lève doucement la tête et j'en perds presque mon latin. « Toi. » C'est tout ce que j'arrive à dire, lui, devant moi, c'est tout simplement impossible.
FICHE ET CODES PAR BROADSWORD.
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Sujet: Re: retrouvaille au bord d'un trottoir (brune/kiyan) Sam 15 Nov - 18:53
Le vent soufflait doucement mouvent mes cheveux un peu dans tout les sens. Je marchais en direction de chez moi je venais à peine de quitter le travail. C'était ça de dédier ça vie à aider les autres, on donnait toujours beaucoup plus que l'on gagnait. Je pensais à ce qui m'attendais à la maison : le corps endormis d'une femme que je connaissais avec un cœur qui m'était inconnu. Des fois j'avais vraiment l'impression de vivre avec ma voisine plus qu'avec ma copine mais bon. Pour retarder le moment ou je viendrais me glisser sous les draps de cette presque inconnue je décidai de passer par une autre rue : de faire un détours sur les grands boulevards et les petites rues ou les bars se succédaient les uns à côté des autres. Il faisait bon vivre Paris : la nuit la ville se transformait en un grand terrain d'amusement ou chacun trouvait son compte. Je m'amusais à regarder tout ses gens autour de moi et à leur inventer une vie : l'un voulait oublier sa peine de cœur, l'autre fêter son mariage ou la naissance de son première enfant avec tout ses amis. Je me perdais pitoyablement dans mes pensées, oubliant même qu'il fallait que je songe à un moment ou à un autre à rentrer chez moi lorsque je la vie la adossé à un mur. Je marqua une pause subite. Je fis un pas puis un autre avant de m’arrêter de nouveau n'en croyant pas mes yeux. Pourquoi cela me troublait tant de la voir ? Qu'es qu'elle faisait la ? Elle était devenue encore plus belle … Je me mordis l'intérieur de la bouche d'avoir une telle pensée et secoua la tête de gauche à droite. Elle ne m'avait pas encore vue j'étais trop éloigné d'elle. Je m'approcha prudemment pour ne pas trop luis faire peur. Moi ? Oui c'était moi. Elle avait l'air tout autant surprise que moi et je ris légèrement. Je tentais de me comporter normalement : pourquoi je ne serais pas normal d'abord ? Je me penchais légèrement vers elle lui faisant une première bise sur la joue droite et une deuxième sur l'autre joue ou je collai plus franchement mes lèvres sur sa joue. Ce n'était pas vraiment volontaire, juste pour lui montrer que j'étais content de la revoir ici, apparemment en bonne santé. « Brune waaa ça fait un bail ! Comment tu vas ? »