nom complet ▲ nikola tkachenko. lieu de naissance ▲ moscou, russie. âge ▲ 18 ans. nationalité ▲ russe. diplômes, études ▲ aucuns. métier ▲ non-déclaré. statut matrimonial ▲ célibataire sans enfant à charge. orientation sexuelle ▲ indécise. situation financière ▲ beaucoup de zéros... mais y'a jamais que ça... idole(s) de vie ▲ aucune. nombre d'amis facebook ▲ no fucking facebook. moyen de déplacement ▲ mes pattes. groupe ▲ javanaise. avatar ▲ mathilda bernmark. crédits ▲ heresy.
premier point ▲ elle parle très très mal français. elle ne parle que le russe, mais essaye d'apprendre le français. deuxième point ▲ sa couleur préférée est le blanc. troisième point ▲ le collier qu'elle porte toujours autour du cou est un collier qu'elle a trouvé dans la rue avant de venir à Paris. quatrième point ▲ ce qu'elle préfère à Paris, c'est la liberté. cinquième point ▲ elle ne connait pas son père, pas réellement sa mère. la famille, pour elle, ça n'a pas de signification. sixième point ▲ si elle ne devait choisir qu'une chose de Russie, ça serait la culture et les arts qu'elle apprend à découvrir en France. septième point ▲ elle est particulièrement amusée quant au fait que les français trouvent son prénom totalement inapproprié pour une fille. huitième point ▲ elle n'a reçu aucune éducation scolaire. elle sait tout juste lire. neuvième point ▲ quand elle vivait encore dans la rue en Russie, elle se faisait appeler Katsia pour éviter les ennuis. dizième point ▲ .elle a peu de souvenirs de l'enfance, et le peu qu'elle a, elle ne les partage pas.
pseudo ▲ à définir. prénom ▲ inconnu. âge ▲ non communiqué. pays ▲ en crise. passion dans la vie ▲ c'est un interrogatoire? autre ▲ B.S.
présence ▲ régulière. où as-tu découvert le forum ▲ aucun souvenir. comment le trouves-tu ▲as-tu déjà été sur OLLP ▲ yep. réservation d'avatar ▲ [/font][/color]
Code:
<span class="pris">mathilda bernmark ▲</span> nikola tkachenko
Parfois, t’as pas le choix. Tu crois que tu l’as, mais tu l’as pas. On te dit toujours que tu l’as le choix, mais il faut arrêter de croire ce qu’on te dit, tu le sais aussi bien que moi, on peut te dire n’importe quoi pour arriver à ses fins. Et puis, de toutes les façons, depuis quand t’as le pouvoir ? Celui de faire ce que tu veux, de toi, de ta vie ? Depuis jamais. Jusqu’où ça va ? Ça va aussi loin qu’on puisse l’imaginer ; jusqu’à ce que tu laisses faire. Je ne peux pas te dire sur une échelle de 1 à 10 là, c’est comme demander à un aveugle si il voit noir ou gris très foncé. C’est complètement con, ça se mesure pas. Y’a pas de limite. La limite, c’est TOI.. Que veux-tu que je te dise ? On naît tous avec un destin. Y’a un contexte, une situation géographique, une condition physique. C’est inhérent à chacun d’entre nous, et pourtant typique à chacun d’entre nous. Jamais deux fois, tu ne retrouves le même destin, avec les mêmes caractéristiques ; car jamais, il ne sera possible que deux fois la même chose se produise. Tu retrouveras des similitudes, bien évidemment, parce que, c’est comme ça. Mais, il suffit d’un rien pour que ça change tout. Le nom du héros. Le nombre d’étoiles dans le ciel. La constance des battements de cœurs n’est la même pour personne. Ça change tout, alors que, ce n’est rien. Ça change tout, parce que, c’est ce qui fait de toi ce que tu es, l’essence et la substance. Si l’essence est toi ; la substance est ce qui te constitue. Tu nais avec des paramètres essentiels, et tu rajoutes ensuite les expériences substantielles. Si tu crois que je divague, sois prêt pour ce qui va suivre. On a tous les paramètres essentiels : un cœur, un cerveau, un corps. Ce qui nous différencie, c’est la substance. Ce qui fait que chacun d’entre nous est unique. Et c’est à ce moment que se place le contexte. Deux parents. Un père inconnu. Une mère incapable d’élever ses gosses. Une situation géographique pas compliqué, le trottoir ; de la naissance jusqu’aujourd’hui, plus vaguement, une ville froide, Moscou. L’essence et la substance ne suivent pas la même voie. L’une influence l’autre, éventuellement. La substance géographique et contextuelle influait sur mon essence physique. Vivre dans la rue, sans rien, ça ne fait pas de toi quelqu’un de remarquablement beau. Quelqu’un de banal, et de moche, usé avant son temps par le sale, le froid qui règne, et les horreurs que tu vois, ou que tu subis. Là où, la substance influençait l’essence, c’était sur ce que j’étais devenue ; car ce que j’étais devenue, c’était moi ; constituée d’éléments divers pour construire un moi superpuissant. Le froid, la faim, des sensations; c’est en général tout ce que tu as, à toi, dans ce pays de merde. Pourquoi se mentir ? On sait tous que pendant qu’on crève de froid dans les rues, à quémander pour avoir de la bouffe ; d’autres s’enfilent le caviar à la petite cuiller et se promènent avec des fringues qui valent ici le prix de toute une vie modeste, sans fantaisie, juste le strict minimum. Manger, boire, dormir autre part que dans un coin de rue, sous la neige et sur la glace. Je suis pas de ceux qui se plaignent, j’ai été élevée dans la rue, et quand j’ai eu 16 ans, ma mère n’a plus voulu entendre parler de moi. En même temps, c’est pas comme si elle était capable de « m’élever »… Elle venait de laisser son dernier gamin terminer en orphelinat. Lui, au moins, il aurait une chance, celle de ne pas avoir à affronter la solitude dès le départ. Pendant longtemps j’ai traîné un peu partout dans les rues de Moscou, parce qu’ici, il y a des « riches ». Des touristes, qui viennent visiter, et qui pigent pas la misère qu’il peut y avoir un peu partout, à chaque coin de rue. Et puis, les gens « importants » qui travaillent pour notre « beau » pays. Le système hein… La faim. Le froid. La solitude. Autant de sensations, de ressentis et sentiments. Autant que rien qui font un moi.
Tu crois tout avoir, mais tu n’as rien. Pourquoi devrais-tu tout posséder ? Que ce soit moi, en essence ou en substance. Parfois, il faut savoir fléchir pour mieux se redresser. Je n’ai pas la prétention d’être infléchissable. Je ne suis nullement une dame de fer. Je n’ai ni l’autorité, ni la fermeté. Mon fer se trouve à l'intérieur, bien caché, au fond. Et comme tout trésor, c'est dans les endroits les plus sombres et les plus improbables que tu pourras le trouver.
Dis-moi, une fois, rien qu’une fois, que tu seras capable de rendre tout ça un peu mieux. Je te demande pas de me décrocher la lune pourtant, juste de faire en sorte que ça aille mieux. Oui ; mais voilà: mieux, c’est quoi ? Tu vois les gens, ils ont tous un objectif dans la vie. Mais le tien, il est où ? Tu marches, tu cours, tu cherches, en vain. C’est pas une chasse au trésor ; le trésor, tu l’as déjà dit, il est au fond de toi. Oui, mais toi, t’en es pas conscient, ou alors, tu le sais, tu t’en fous : le matériel est peut-être plus important à tes yeux. Ou peut-être que tu ne réalises pas la valeur que cela peut avoir. Mais, tu réaliseras, un jour, peut-être. Personne ne peut savoir, sauf toi, éventuellement. C’est dans l’essence de ce que tu es que ça se trouve. Tu connais peut-être le mythe des races d’Hésiode, qui dit que l’âge de fer est celui de la corruption et de la déchéance. C’est un peu comme atteindre ce moment de ta vie où tu sais pas où tu vas. Tu y vas, parce qu’on t’y pousse, parce que tu es curieux, parce que tu n’as pas forcément d’autres choix. C’est inévitable. Tu perds ton innocence, et ça te brûle. Tu oublies ce que tu es pour devenir quelqu’un que tu ne connais pas. Tu n’as pas de chemin ; mais, ça t’importe peu. L’important, c’est d’avancer. Alors, tu cours, tu cours… Et à un moment, ça se dessine devant toi. Lentement. C’est d’abord ridiculement petit, tu le distingues à peine ; mais, à chaque fois que tu fais, tu y vois un peu plus clair. Les bords d’abord, la couleur ensuite, les détails enfin. Tu peux choisir d’aller le toucher du bout du doigt, ou de faire demi-tour. C’est ton choix, tu es seul face à lui. C’est ton destin, ton combat. Tu l’affrontes ou tu le laisses prendre le dessin, et alors, tu ne peux pas te plaindre. Voilà pourquoi, tu peux crier autant que tu veux. Tu peux hurler que c’est injuste. Personne ne t’entend. Personne. Tu peux demander de l’aide, tendre ta main. Nul ne viendra jamais faire pour toi ce que tu es le seul à pouvoir faire. Paradoxal. Et terriblement vrai. Y’a des milliards d’humains. Et pourtant, quoiqu’il arrive, tu seras seul. DU DÉBUT À LA FIN.
Dernière édition par Nikola Tkachenko le Mer 23 Oct - 22:14, édité 1 fois
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Sujet: Re: iron. Mer 23 Oct - 20:08
Париж.
Trois mois. Trois petits mois, et pourtant, j’ai l’impression que j’ai toujours été là. Le sentiment d’appartenance à une nation, une société. Va savoir pourquoi, c’est pas en dormant dans une piaule avec six autres filles qui parlent pas le français que je peux me sentir chez moi ; et pourtant. On est six gamines, volontaires ou pas, pour venir à Paris. Y faire quoi ? Tu te doutes bien de ce qu’on est venues y faire à Paris. On est venues en croyant qu’ici, ça serait mieux. Qu’ici, on pourrait avoir une vie différente, une vie pour nous. Une vie, en fait ; pas une survie. C’est ça qui change tout. On est venues, en pensant toucher du doigt quelque chose de plus grand, de mieux. Et on s’est faites douiller. Dans tous les sens que tu peux y voir. Parce que, tu vois, quand tu te dis qu’on y a cru, c’est parce qu’on s’est dit que, tapiner, c’était pas si grave. Ce qu’on pensait pas, c’est qu’il y avait un cerveau au-dessus. Enfin, un cerveau, plutôt un mec qui a réussi à faire en sortes de tirer les bonnes cartes au poker de la pute, et qui a monté son petit réseau de chiennes qui lui rapportent un max, sans que lui lève le petit doigt. C’est un mac qu’on a ; pas un pote, un psychologue ou quelqu’un d’humain. Juste un mec qui veut avoir le plaisir de sentir les billets dans sa main, et sa main à violer les filles. On est arrivées à 6 ; on peut croire que ça aurait pu créer des liens ; mais rien. C’est chacune pour sa gueule. Tant pis pour toi, si tu es plus jolie ; ou que tu comprends le français : c’est juste une excuse de plus pour faire en sorte que les autres te foutent sur la gueule quand elles peuvent pas aller tapiner. Alors, certes, je dors avec six nanas qui parlent ma langue, et qui pourtant, ne pensent qu’à une chose, sortir dehors se faire sauter pour ramener un max de fric. Je suis pas chez moi avec elle ; je suis chez moi quand je suis seule. Va savoir si ça fait partie du charme du truc, on a eu le droit à un tour de Paname avant de se faire foutre dans notre piaule sombre et qui pue le macchabé. Je dirais bien qu’il y en aurait eu avant nous ; mais, en fait, c’est juste l’odeur du sale. Parce que, l’odeur du crevé, je la connais, et c’est pas ça ; c’est moins sordide, plus profond. Comment je connais ? Longue histoire, sur laquelle on reviendra éventuellement. Revenons-en à Paris, si tu veux bien. Paris, l’échappatoire. Comme je l’ai déjà dit, on est toutes venues ici pour échapper à l’avant. Traduit ça par ce que tu veux : le pays, le passé, les relations, les sentiments, qu’importe. Moi, mon avant, il est tellement chargé qu’il reprend une partie des définitions ci-dessus. Et, à la limite, l’avant, c’est l’avant ; ce qui compte c’est le maintenant. Quand je m’arrache le matin de ce nid à tapineuses. Quand je me promène dans mes fringues qui donneraient envie à personne de les porter, et encore moins de me les retirer. Y’a toujours des tordus pour ça, sans aucun doute ; juste, si moi j’étais un mec, je choisirais un autre morceau. Alors voilà, je me promène, je laisse mes yeux écarquillés découvrir ce qu’on appelle Paris. C’est pas si grandiose. C’est souvent des gens pressés qui marche sans apprécier ce qui se passe autour, le décor magnifique qui les enveloppe. C’est comme une pièce de théâtre, un ballet savamment orchestré. Ils parlent et s’agitent ; créent une mélodie pas toujours des plus jolies ; mais une mélodie quand même. Ils dansent entre eux, parfois en se rentrant les uns dans les autres ; mais, c’est toujours des contacts vifs et mesurés. Et moi, je suis là, à regarder tout ce petit monde qui bouge, sans même se rendre compte qu’au-delà du temps qui passe, y’a un truc beaucoup plus grand qui se joue : la vie. C’est tellement banal pour eux , la vie, qu’ils y font plus attention. Ils la vivent sans prendre le temps de l’apprécier ; c’est un peu comme boire un verre de vin d’une traite ; ou avaler un délice sans mâcher. Ils la consument. Ils la consomment. Sans jamais se dire que tôt ou tard ; il n’y en aura plus. Un jour ou l’autre, on est tous appelé à ne plus être. Pour différentes raisons ; mais à résultat égal. C’est pas bouleversant, du moins, pas pour moi. Peut-être parce que, j’ai jamais rien eu d’assez grandiose pour avoir à le regretter ensuite, si ce n’est les images dans mes yeux, les sons dans mes oreilles, les sensations à même le corps et les sentiments en plein cœur.
Dernière édition par Nikola Tkachenko le Jeu 31 Oct - 18:19, édité 1 fois
Saad Al-Kâtib membre
✧ ÂGE : vingt-trois ans ✧ JOB : mécanicien auto ✧ MESSAGES : 548 ✧ HERE SINCE : 02/10/2013
Sujet: Re: iron. Mer 23 Oct - 20:20
mathilda ouh, toi t'as prévu d'écrire une grosse histoire bienvenuuuuue (dis-moi si mon post te gêne, hein )
Invité Invité
Sujet: Re: iron. Mer 23 Oct - 21:13
Andrea Ravel a écrit:
ouh, toi t'as prévu d'écrire une grosse histoire
je plussoooie mais bienvenue, et puis, bonne chance pour ta fiche, et super choix d'avatar
Invité Invité
Sujet: Re: iron. Mer 23 Oct - 21:16
merci je sais pas si ça sera "gros" mais... well, we'll see haha.
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Sujet: Re: iron. Mer 23 Oct - 21:28
bienv'nue à paname avec la belle mathilda. j'aime le choix de prénom, très original
Invité Invité
Sujet: Re: iron. Mer 23 Oct - 21:31
une russe, née à moscou et en plus avec mathilda avoue que tu veux me tuer ? après avoir passer 4 mois à moscou, tu me rends nostalgique à mooort. bienvenuuuuuuuuue parmi nous
Invité Invité
Sujet: Re: iron. Mer 23 Oct - 21:49
Béatrice Moret a écrit:
bienv'nue à paname avec la belle mathilda. j'aime le choix de prénom, très original
merci. pour le prénom, c'est vrai qu'ici j'essaye de faire à chaque fois dans l'original :)
Théa Saint-Martin a écrit:
une russe, née à moscou et en plus avec mathilda :syncope:avoue que tu veux me tuer ? après avoir passer 4 mois à moscou, tu me rends nostalgique à mooort. bienvenuuuuuuuuue parmi nous
merci. en espérant que j'arrive à faire un truc qui te tue réellement alors. haha.
Invité Invité
Sujet: Re: iron. Mer 23 Oct - 21:59
bienvenue à toi, et bon courage pour ta fiche
Invité Invité
Sujet: Re: iron. Mer 23 Oct - 22:14
merci
Invité Invité
Sujet: Re: iron. Jeu 24 Oct - 0:11
bienvenuuueee
Rosanne Perlin membre
✧ ÂGE : eighteen. ✧ JOB : serveuse le we. ✧ COEUR : déjà passée par là. ✧ MESSAGES : 1092 ✧ HERE SINCE : 11/06/2013
Sujet: Re: iron. Jeu 24 Oct - 12:00
bienvenue par ici ma jolie
Invité Invité
Sujet: Re: iron. Jeu 24 Oct - 17:56
merci les deux BG
Ella Maresquo membre
✧ ÂGE : vingt et quatre. ✧ JOB : assistante sociale dans une association ✧ COEUR : célibataire. ✧ MESSAGES : 11185 ✧ HERE SINCE : 07/05/2011
Sujet: Re: iron. Jeu 24 Oct - 21:28
bienvenue parmi nous.
Invité Invité
Sujet: Re: iron. Ven 25 Oct - 12:31
Bienvenue
Invité Invité
Sujet: Re: iron. Ven 25 Oct - 13:57
bienvenue sur ollp & bon courage pour ta fiche !
Invité Invité
Sujet: Re: iron. Ven 25 Oct - 20:35
merci
Invité Invité
Sujet: Re: iron. Ven 25 Oct - 23:42
Welcome
Invité Invité
Sujet: Re: iron. Dim 27 Oct - 0:23
bienvenue parmi nouuuus have fuuun ici
Invité Invité
Sujet: Re: iron. Dim 27 Oct - 18:41
merci
Invité Invité
Sujet: Re: iron. Dim 27 Oct - 18:52
woodkid, j'adhère et puis personnage, je suis sous le charme bienvenue parmi nous ♡
Tay Januário administrateur
✧ ÂGE : vingt-six. ✧ JOB : animateur tv. ✧ MESSAGES : 6930 ✧ HERE SINCE : 17/05/2011
Sujet: Re: iron. Dim 27 Oct - 19:38
man, IRON man. welcome home.
Invité Invité
Sujet: Re: iron. Lun 28 Oct - 17:15
merciiii
Tay Januário administrateur
✧ ÂGE : vingt-six. ✧ JOB : animateur tv. ✧ MESSAGES : 6930 ✧ HERE SINCE : 17/05/2011
Sujet: Re: iron. Jeu 31 Oct - 21:38
bienvenue sur ollp !
franchement, ta fiche est .. wow. j'ai adoré te lire, t'as une plume assez incroyable. sur ce, je te valide et te souhaite un bon jeu parmi nous, si t'as besoin de quoi qu'ce soit, nous sommes à ton service.
T'es canon, t'as fini ta fiche et on peut officiellement tebouffer, te considérer comme un sexy ollpiens. Évidemment, on va pas t'laisser comme une âme en peine va. Pour bien démarrer ton aventure, on t'a préparé une liste de liens à consulter, pour pas que tu te sentes perdu sur OLLP. Pour que tu saches où les sujets les plus importants se trouvent.
LA BASE bottin ► vérifie si il n'y a pas d'erreur. liens ► si t'as pas d'amis, prends un curly. flood ► fait parti de la famille ! chatbox ► fait parti de la famille²
Pour finir, n'hésites pas à participer à l'intrigue du moment pour être directement dans le bain. Les intrigues commune se trouvent toujours en annonce globale, donc tu peux la trouver n'importe où.
Pas besoin de te préciser que la chatbox, le flood et notre boite mp sont grand ouverts, surtout n'hésites pas, le plus important, c'est vraiment que tu sois bien et heureux parmi-nous.
Sur ce, on te souhaite une nouvelle fois la bienvenue parmi nous. On est ravis de t'avoir, maintenant on te lâchera plus, c'est fini pour toi.
Ella, Tay, Théo, Marty, Théa, Nemo, Solal et Isadora