nom complet ▲ joséphine esra solbach. lieu de naissance ▲ paris. âge ▲ vint-cinq ans. nationalité ▲ française. diplômes, études ▲ bac littéraire en poche, et c'est tout. actuellement en première année d'une licence d'archéologie à l'école du louvre. métier ▲ aucun pour l'instant, ancienne serveuse. statut matrimonial ▲ fiancée. orientation sexuelle ▲ bisexuelle. situation financière ▲ dans la moyenne. idole(s) de vie ▲ jane austen, charlotte et emily brontë. nombre d'amis facebook ▲ très peu, uniquement sa famille éloignée et ses amis. moyen de déplacement ▲ la même voiture depuis qu'elle a passé son permis, une petite clio rouge de 1997. groupe ▲ l'hymne à l'amour. avatar ▲ imogen poots. crédits ▲ everdeen.

LIVRES ▲ depuis qu'elle est toute petite, joséphine ouvre un livre dès qu'elle le peut. elle dévore à peu près tout ce qui lui passe sous la main. à 9 ans, elle avait déjà lu des pavés tellement gros qu'ils en effrayaient ses parents. passionnée par la littérature anglaise du xixème siècle, elle s'est concentrée sur l'apprentissage de l'anglais pour pouvoir lire les oeuvres majeures de cette période en version originale. c'est une occupation à plein temps, pour elle. elle n'a jamais assez de bouquins à se mettre sous la dent. la bibliothèque d'ovide était un morceau de paradis. ÉTUDES ▲ plus souvent absente que présente en cours, jo' n'a jamais passé d'autre diplôme que le bac. et c'est déjà un miracle qu'elle l'ai obtenu, en section littéraire. elle s'arrangeait systématiquement pour que ses amies lui refilent leurs cours. pendant ce temps, elle flânait, aimait des garçons, aimait des filles, aimait la vie. elle profitait de chaque rayon de soleil, de chaque goutte de pluie, de chaque baiser. elle a grandit, a été rattrapée par la réalité et s'est tournée vers les métiers qui n'exigent pas de grands diplômes; serveuse, vendeuse, parfois caissière. et puis ovide est arrivé et avec lui, le désire de reprendre des études, d'être considérée comme intelligente, au travers les diplômes prestigieux. maintenant, elle achève sa première année d'archéologie à l'école du louvre. CIGARETTES ▲ joséphine ne se considère pas comme une grosse fumeuse. elle a toujours un paquet dans une poche, son zippo dans l'autre et allume une cigarette dès qu'elle se sent mal à l'aise, pour s'occuper les mains et concentrer son attention sur autre chose. mais elle allume aussi une cigarette pour se détendre, pour mieux réfléchir quand elle apprends ses cours, ou tout simplement parce qu'elle aime l'odeur du tabac, la sensation de la cigarette sur ses lèvres. donc, elle passe une grosse partie de son temps avec une cigarette. mais à part ça, elle n'est pas une grosse fumeuse. RÊVE ▲ c'est dans son caractère. elle laisse toujours son esprit vagabonder loin de la réalité, loin de la grisaille et des soucis. rêveuse, elle l'est certainement, car elle passe son temps à imaginer d'autres choses. elle croise quelqu'un dans la rue, et elle voit tout de suite l'histoire qui précède cette personne. cette femme qui pleure au téléphone vient de rompre ou de perdre un proche. cet homme qui sort de la boulangerie avec un air morne rendre chez lui pour retrouver la solitude d'une vie de célibataire, ou au contraire, une existence dénuée d'intérêt auprès d'une épouse qui ne le désire plus depuis longtemps. alors elle a souvent l'air dans la lune, joséphine, quand elle pense à autre chose, quand elle pense aux gens, aux histoires qu'elle croise. OVIDE ▲ ovide, c'est l'oxygène, c'est l'amour, c'est la déchéance, c'est la passion et le désespoir. c'était l'amour comme on veut tous le vivre, fulgurant, beau, iridescent même. et c'est cette perfection qui les aura tués. l'installation des habitudes, le traditionnel bonjour murmuré au réveil, le petit baiser sur les lèvres avant de partir au travail, le retour à la maison, le soir, où tout est prêt, plus qu'à se mettre à table, sans rien se dire. joséphine étouffe, manque d'oxygène, se meurt lentement, enfermée au bras d'ovide, enfermée dans le rôle de la potiche. alors la potiche s'émancipe, décide seule de son indépendance, et s'effondre dans les bras du premier venu. le retour à la réalité est dur, brutal, il fait mal. il faut tout dire à ovide. il ne dit rien, s'en va, et revient, différent. il n'y a plus rien de lui dans cet homme qu'elle voit devant elle. et finalement, la chute. et finalement, la déchéance, il la quitte, sans un mot, sans un regard. EXPÉRIENCES ▲ joséphine, elle a l'air sage. elle a cette expression douce sur son visage, qui nous fait penser à une douce enfant, une petite fille calme. mais ceci, ce n'est qu'une façade. la réalité, c'est que joséphine, elle s'est déjà retrouvée à vomir ses tripes sur le pavé, elle a déjà vécu dans la rue, juste par envie. pour 'savoir ce que ça fait'. les affres du manque, elle connaît. le test, toujours le test. se tester, tester ses limites, savoir jusqu'où on peut aller avant de se détruire. elle ne va pas si loin, son but n'étant pas de se craqueler, jusqu'à exploser. mais elle frôle la frontière, elle la touche du doigt... BISEXUALITÉ ▲ partisane des expériences personnelles et multiples, elle s'est laissée tentée plusieurs fois par des relations amoureuses avec des femmes. et pour être honnête, elle a vraiment aimé ça. bien sûr, les hommes peuvent être doux, mais les femmes... c'est naturel. avec une femme, une caresse sur la joue a plus de sens, fait passer plus d'émotions. un baiser donné par une femme, c'est un monde de sensation qui s'ouvre à vous. rien à voir avec un homme. MARIAGE ▲ elle n'aurait jamais imaginé qu'un jour, elle se marierait. bien sûr, comme la plupart des petites filles, elle a rêvé de la robe de princesse, du prince charmant -Ken, le fiancé de Barbie, tenait alors ce rôle- et de la floppée d'enfants qui viendraient derrière. en grandissant, elle avait perdu ses illusions, jusqu'à ce que son petit ami fasse sa demande. elle n'avait pas hésité une seconde. PARIS ▲ elle est amoureuse de la ville, de l'ambiance qui y règne, de la vaste palette de cultures qu'on y trouve. c'est une source d'inspiration constante pour son imagination. elle a passé une grande partie de son temps, au lycée, a explorer les moindres recoins de Paris, en compagnie de ses amis. elle se passionne pour le passé de la capitale, dévore la moindre information qui lui tombe sous la main, la décortique jusqu'à l'assimiler entièrement, et de cette information, imagine un autre passé, une autre adaptation de l'histoire. MALADRESSE ▲ elle a deux mains gauche, c'est un fait. alors ses mains sont pleines de cicatrices, qui sortent on ne sait d'où. elle a oublié comment la plupart sont arrivées là, elle sait juste qu'elles y resteront jusqu'à sa mort. et outre la maladresse physique, joséphine est également une grande maladroite verbale. dès qu'il y a une bêtise à dire, elle le fait. elle ne le fait pas exprès, pour blesser les gens ou quoi que ce soit, sa langue va plus vite que ses pensées, et avant qu'elle réalise ce qu'elle a dit, le mal est fait.

Tu sais, j'ai souffert. Souffert de ton indifférence, de tes silences, de tes piques assassines. Oh, je sais que je ne suis pas totalement innocente. Mais il faut que tu saches, mon amour, que je n'ai jamais rien fait dans le but de te blesser vraiment. Ovide, j'ai tout aimé de toi. Le mystère de ton nom, le mystère de ta famille, de ta vie. Ton univers intellectuel, où, bien que je ne sois pas aussi intelligente que toi et tes amis, j'arrivais à trouver ma place. Ton travail, qui te passionnais, te tenait éveillé jusqu'au bout de la nuit, alors que j'échouais moi-même à te garder debout. Tes sentiments, surtout, m'ont transportée, m'ont éveillée à autre chose, à une autre forme de conscience. J'aurais pu continuer à vivre dans le marasme d'une vie amoureuse plate et sans réelles émotions. Mais toi, tu as su m'emmener ailleurs, quelque part où enfin, dans le regard de l'autre, je n'étais plus cette jolie blonde un peu idiote, un peu superficielle. Dans tes yeux, dans tes bras, j'étais quelqu'un d'à part entière. Merci, Ovide.

Elle ramène la cigarette à ses lèvres, prends une longue inspiration et recrache une volute de fumée grise. Se redressant, elle écrase le mégot dans le cendrier posé en évidence sur la table de nuit et déjà bien rempli. Elle pose à côté son vieil exemplaire jauni de Bel-Ami et balance ses jambes hors du lit, de manière à se retrouver assise sur le rebord. Elle a un profond soupir, passe une main dans ses cheveux en bataille et baisse les yeux sur ses cuisses, qui jaillissent d'un short en tissu. Deux années. Deux années qu'il l'a quittée, qu'il est parti, avec, dans ses valises, les remarques désobligeantes sur ses poignets d'amour et ses jambes pleines de cellulite. Bon débarras. C'est ce que elle avait pensé à l'époque, malgré la douleur de l'avoir perdu. Aujourd'hui, Alix est là. Et plus rien d'autre n'a d'importance. Qu'importe les poignets d'amour, qu'importe les cheveux mal coiffés. Il lame regarde, l'aime, se moque de sa cellulite et de ses cernes. Bien au contraire, il les aiment plus que tout, ces petits défauts. Ils la rendent réelle, palpable, tangible. Elle n'est plus une illusion en plein désert. Secouant la tête, elle se lève et traîne les pieds jusqu'au salon, où elle trouve son fiancé assis sur le canapé, devant un film en anglais. Elle s'empresse de venir se lover contre lui et de nouer sa main gauche à celle d'Alix, le laissant jouer avec l'anneau à sa main. Cette bague, c'était celle de son arrière-grand-mère et il lui avait fait promettre de ne pas la perdre et de ne pas la brisée. Un jour, bientôt, elle serait sienne. En attendant, elle prenait soin de la pierre comme s'il eu s'agit de sa propre vie. Elle est méticuleuse, Joséphine. Chaque matin, elle ôte soigneusement la bague de son doigt, la met bien à l'abri dans une petite boîte qu'elle range dans un tiroir quasiment vide. Puis elle la remet, après être sorti de la douche. Plusieurs fois par jour, elle vérifie qu'elle la porte bien, joue parfois avec, son pouce venant faire tourner l'anneau autour de son annulaire gauche. Qu'est-ce que tu regardes ? Sa main libre se lève et vient jouer avec les cheveux fous d'Alix, enroulant une boucle douce autour de son index. En guise de réponse, le jeune homme vient pincer tendrement les côtes de la blonde, la faisant rire et s'agiter contre lui. Passant ses bras puissants autour de la taille de Joséphine, il l'attire un peu plus contre son torse et penche la tête pour venir l'embrasser et faire taire son rire idiot, qu'il ne peut s'empêcher de trouver mignon. Souriant dans le baiser, elle laisse sa main descendre jusqu'à atteindre la nuque d'Alix, qu'elle caresse tendrement. Il a un petit rire en la laissant s'échapper de son étreinte et reprendre une position plus confortable. Tu es trop mignonne, Joseyphine. Et le film, c'est A single man. Do you know it ? Elle secoue la tête en signe de négation, reporte son attention à l'écran, où Colin Firth danse avec Julianne Moore sur fond de musique américaine des années soixante. Elle laisse son esprit partir loin, ayant du mal à suivre les dialogues. Là où elle va, pourtant, tout est peuplé de films en version originale, d'analyses poussées et de critiques passionnées. C'est un dos, assis devant un bureau croulant sous les papiers, eux-mêmes couverts d'écriture, de ratures, certains froissés, d'autres mis à l'écart, préservés du chaos environnant. C'est une masse de cheveux bouclés et foncés, qui parfois s'agitent, preuve de la perplexité de leur propriétaire. C'est une longue traînée de fumée grise qui s'élève au-dessus du bureau, une cigarette oubliée, posée dans un cendrier, qui se consume toute seule. Puis le dos se retourne et c'est un visage qui apparaît, un visage aimant et aimé, aux traits tirés, visiblement fatigué par le visionnage incessant de ces films, des heures passées devant l'écran du MacBook. Et enfin, c'est un nom. Ovide. Elle aimait la sonorité du nom, lorsqu'elle le prononçait. Elle aimait l'entendre se présenter, s'excuser dans un sourire de l'étrangeté de son prénom, du curieux choix de ses parents, à sa naissance. Pour elle, il portait le plus beau nom du monde. Oh, c'était une période bénite. Un havre d'amour, en quelque sorte. Combien de fois s'était-elle glissée derrière lui, combien de fois avait-elle passé ses bras autour de son cou, combien de fois avait-elle embrassé sa nuque ? Et combien de fois s'était-il retourné pour la serrer contre lui de toutes ses forces, de toute la puissance de son amour ? Elle s'en souvenait encore. Elle avait encore la chaleur de ses étreintes en mémoire, bien caché dans un coin de son esprit. L'avoir revu ne l'aidait pas à oublier, même si hier encore, elle n'aspirait qu'à cela, l'oubli. Oublier qu'on avait eu mal, qu'on avait souffert, tellement souffert qu'on avait cru ne jamais se relever. Et quand on pensait avoir touché le fond, un autre homme arrivait et nous remettait sur pied. Une sorte de miracle. Elle soupire, et Alix tourne la tête vers elle, perplexe. Il sait, bien sûr. Elle n'avait rien pu lui cacher. Il sait tout, du numéro glissé avec le café noir aux regards qui se croisent dans la rue, se reconnaissent, se questionnent silencieusement. Oh, c'est toi. Oui, c'est moi, que deviens-tu ? Comment vas-tu ? Es-tu heureuse ? Est-ce que je te manques, même un peu ? Ovide, vas-t-en, reviens, ne me regarde pas, s'il te plaît, regarde ailleurs, tu m'as tellement manqué, je t'ai tellement aimé, tu m'as fais tellement mal... Elle est trop gentille, Joséphine. Elle ne sait rien cacher, elle ne veut plus faire mal, alors elle dit tout. Alix, lui, n'avait rien dit. Il priait, priait pour qu'elle ne se détourne pas de lui, sa jolie française, qu'elle continue de le regarder et de l'aimer. Elle sourit, Jo', avec son sourire de douce suicidée, rescapée d'un naufrage amoureux, elle sourit et se redresse un peu pour embrasser son fiancé, l'homme qu'elle va épouser, à peine un an après leur rencontre. Elle l'embrasse puis se relève et retourne dans la chambre, où elle prend son téléphone. Elle tape sur le clavier un numéro que ses doigts connaissent par coeur. Elle hésite quelques instants. Faut-il l'appeler ? Finalement, son pouce presse un bouton. Une, deux tonalités. Allô ? Ovide...

Et alors, qu'est-ce qui t’arrive ? C'est l'inspiration qui n'est plus au rendez-vous ? C'est mal, vraiment, c'est mal, ça mérite limite une punition . N'empêche on est cool, regarde, on vient même te prévenir à l'avance. il te reste donc plus qu'un jour Si c'est une question de temps, n'hésite surtout pas à nous demander un délai supplémentaire, on t'en accordera un avec plaisir. Si jamais au bout de deux jours nous n'avons pas de réponse, nous serons dans l'obligation d'archiver ta fiche et de supprimer ton compte. C'est triste non ? Alors manifestes toi. Allez courage, on sait que tu peux le faire. N'hésite pas à contacter le staff si tu as d'autres questions.

T'es canon, t'as fini ta fiche et on peut officiellement tebouffer, te considérer comme un sexy ollpiens. Évidemment, on va pas t'laisser comme une âme en peine va. Pour bien démarrer ton aventure, on t'a préparé une liste de liens à consulter, pour pas que tu te sentes perdu sur OLLP. Pour que tu saches où les sujets les plus importants se trouvent.

LA BASE
bottin ► vérifie si il n'y a pas d'erreur.
demandes de logement ► il te faut un toit man !
liens ► si t'as pas d'amis, prends un curly.
évolution du personnage ► on veut tout savoir.
demandes de rps/liens ► i have an idea.
flood ► fait parti de la famille !
chatbox ► fait parti de la famille²

SPÉCIFICITÉ DE OLLP.
mises à jour ► se tenir au courant.
guide d'ollp ► ne pas se perdre.
guide de paris ► rester dans la réalité.
parrainage ► se faire aider.
mini intrigues ► mets du piment dans ta vie.
jeu des équipes ► ta team a besoin de toi !
il parait que ► les nouvelles vont vite sur ollp.
facebook ► je facebook, tu facebook.

Pour finir, n'hésites pas à participer à l'intrigue du moment pour être directement dans le bain. Les intrigues commune se trouvent toujours en annonce globale, donc tu peux la trouver n'importe où.

Pas besoin de te préciser que la chatbox, le flood et notre boite mp sont grand ouverts, surtout n'hésites pas, le plus important, c'est vraiment que tu sois bien et heureux parmi-nous.

Sur ce, on te souhaite une nouvelle fois la bienvenue parmi nous. On est ravis de t'avoir, maintenant on te lâchera plus, c'est fini pour toi.

Ella, Camel, Ana, Tiago, Sephora et Saad.