nom complet ▲ Bien que tes professeurs t’aient toujours appelé Lucy Olivier, ton nom complet est Lucy Naëma Olivier-Riou. Ton premier prénom est dû a une trop forte addiction de la chanson des Beatles portant le même nom que toi. Tes parents, des fans inconditionnels du groupe, avaient décidé de nommer leur enfant Lucy si c’était une fille, ou John si c’était un garçon. Naëma, prénom d’origine arabe, a été choisi selon une arrière grand-mère du côté de ta génitrice qui porterait le même. Tu ne l’as cependant jamais rencontré. Olivier, nom de famille d’origine bretonne, te vient de ton père. Transmis de génération en génération, tu le portes à ton tour en l’honorant du mieux que tu peux. Ensuite, vient Riou. Le prénom de jeune fille de ta mère qui avait décidé de te le léguer, pour faire comme sa sœur, Barbara. lieu de naissance ▲Tu es née le premier jour de l’été, le 21 juin. Tes parents ont pris ça pour un signe, tu étais destinée à être leur petit rayon de soleil. Autant dire qu’ils se sont bien trompés. Toi, tu n’es pas le rayon de soleil, tu es le nuage qui vient gâcher le ciel bleuté. Le vingt-et-un juin, c’est également la fête de la musique. Alors, au lieu de rester avec tes parents pour le traditionnel repas d’anniversaire qui se finissait généralement dans les pires scénarios possibles, tes parents finissants vides défoncés, tu t’éclipsais et tu partais chantonner les chansons sur la place de la ville, insouciante et rebelle. âge ▲ Seize ans. En Amérique, tu pourrais conduire. Mais tu es en France alors tu te contentes de ne rien faire. Tu dois encore te coltiner le plaisir du rer, du bus, du métro. Parfois, tu oses prendre le vélib et encore, le vélo, ça ne te plait pas plus que ça. Dans le pire des cas, tu te contentes de faire du stop. Rien de bien compliqué. M’enfin, c’est pas comme si tu respectais la loi. Tu bois, tu fumes il t’arrive de te droguer, tu n’es pas forcément un modèle de vertu. nationalité▲Française, tu n’as pratiquement jamais quitté le sol français. Seulement pour partir en Angleterre et en Allemagne, les deux pays que tu as visité suite à des échanges scolaires. Tes parents n’avaient pas forcément l’argent pour t’envoyer bien loin. Leurs frics, ils préféraient le dépenser dans la coke et l’alcool. Chacun son kiffe. diplômes, études ▲ Le seul diplôme que t’as, c’est ton brevet. Plutôt pas mal. Tes parents ne pensaient pas que t’y arriveraient. Enfin, ils ne pensaient pas trop, l’esprit trop embrumé. Pourtant, t’y es arrivée. T’as même réussi à dégoter une bourse, plutôt pas mal. Maintenant, tu vises le bac L, allez, on y croit. métier ▲ T’es étudiante. Ça devrait te suffire. Mais non. T’en veux toujours plus. Alors, tu t’es dégotée un job, va-t-on dire. Enfin, on te l’a proposé. Cambrioleuse. Tu voles. Sans scrupule. Sans honte, ni rien. Tu n’assumes pas non plus, tu ne veux pas te faire prendre. Au début, tu ne voulais pas. Petit à petit, Lysandra t’as entrainé dans ses magouilles et toi, tu l’as suivi, comme un vulgaire petit toutou. statut matrimonial ▲ Célibataire. Les hommes, pour l’instant, tu n’en vois pas l’intérêt, pas maintenant. Tu n’as pas envie. Tu ne veux pas te lancer dans une relation dévastatrice qui te tuerait plus qu’autre chose. Tu es forte, battante, tu ne veux pas t’embêter avec les histoires d’amour. orientation sexuelle ▲Filles, garçons, tu ne sais pas trop où tu en es. Une chose est sûre, tu ne te vois pas vivre une idylle amoureuse avec une personne du même sexe que toi. Oh que non. Après, bon. Tu avoues avoir un faible pour quelques donzelles de temps en temps. Un physique attirant, un petit rire et tu peux craquer. Mais c’est clair et net, tu préfères les hommes, leur virilité, leur testostérone. situation financière ▲ T’es pauvre. Enfin, t’es de catégorie moyenne. Tu serais peut-être même riche si tes parents ne foutaient pas n’importe quoi avec le fric. Mais bon, maintenant, t’as Lysandra et t’as les cambriolages. Du coup, tu t'enrichies, c’est plutôt cool. idole(s) de vie ▲ T’as pas vraiment d’idoles. T’en as même pas du tout. Enfin si, tu as Lysandra, ce petit bout de femme qui te fait faire ce qu’elle veut. Tu l’admires, pour sa force de vivre, sa vie, son tout. Tu l’envies, profondément. Mais tu ne le montres pas. Tu ne veux pas passer pour une tarée, tout de même. nombre d'amis facebook ▲ T’as six cent amis. C’est simple, t’ajoutes tout le monde. Tu t’en fous de les connaître ou non. Que ce soit des proches ou des pures inconnus, t’ajoutes. Tu t’en balles de savoir si c’est un gars qui veut se branler sur tes photos ou non. Tu t’en fous. Tu n’en vois pas l’intérêt. Les gens peuvent faire ce qu’ils veulent, c’est que du virtuel. moyen de déplacement ▲ Bus, métro, tes pieds, le rer, le vélib, tous les moyens sont bons pour aller là où tu vas. T'as toujours pas de bagnole, de toute façon t'as pas le permis puis t'as pas le fric pour t'en acheter une et tes parents ne l'ont pas non plus. groupe ▲ un autre monde. avatar ▲ Nastassia Lindes. crédits ▲ tumblr.

premier point ▲ T’as des habitudes de vielles, faut l’avouer. Tous les vendredi, tu profites de tes cours qui se terminent relativement tôt, pour aller au cinéma. T’es une mordue du septième art. Un film sort, t’es bien la première au courant. C’est un peu logique, ton grand rêve, c’est de devenir actrice. De t’afficher sur les plus grand écrans. De pouvoir faire naître chez les gens une quelconque émotion. deuxième point ▲ iBlack XS l’excès. Ton parfum, ton odeur. T’en portes tout le temps, tous les jours. C’est devenu comme ton odeur corporelle. Pas un jour sans passe sans que tu en mettes, si bien que c’est devenu comme ta seconde peau. T’arrives à te passer de maquillage mais pas de parfum. C’est comme ça. troisième point ▲ Un paquet de chips. C’est ce que tu as volé, pour pouvoir rentrer dans le club composé de Lysandra, Jules, Alexia et Mathéo. Ils te l’avaient demandé. Toi, t’as pas refusé, t’as pas hésité, tu t’es dirigée vers cette petite épicerie et tu l’as volé, ce paquet de chips. Ça t’a permis de découvrir un autre monde, d’avoir une bande d’amis soudés. Faut remercier le paquet de chips. quatrième point ▲ Tu es une horrible danseuse. Vraiment, tu ne sais pas vraiment te déhancher ce qui ne veut pourtant pas dire que tu n’es pas à l’aise sur la piste de danse. Tu t’en fous, tu bouges quand même. Dans tous les sens, n’importe comment et ça ne te gène pas vraiment. Les autres peuvent se foutre de toi, que tu n’en as rien à foutre. C’est ainsi et pas autrement. cinquième point ▲ Ton petit plaisir, ta petite lubie, c’est que t’aimes bien dessiner sur ta peau ou sur d’autres peaux, d’ailleurs. C’est con, c’est absurde, mais c’est comme ça. Si on soulève la manche de ton pull, on peut y voir des fleurs, des écritures, des paroles de chansons, inventés ou non. C’est un petit passe-temps, qui fait que tu as toujours un stylo sur toi. sixième point ▲T’as besoin de lunettes pour lire. Ce que tu n’assumes absolument pas, car tu trouves que ça te donne un look absolument horrible. T’essayes d’ailleurs, la plupart du temps, de faire sans. Sauf que tu n’y arrives pas. C’est un combat que tu perds à tous les coups et qui t’énerves, à chaque fois. septième point ▲Tu as une cicatrice, sur ton poignet. Une marque de brûlure. Ton père te l’avait, sans faire exprès, avec sa cigarette. Lorsque tu as crié parce que tu avais mal, il s’est mis à gueuler, en te disant que tu aurais pu faire attention. Tu avais alors sept ans. Maintenant, tu as encore cette marque, elle va certainement te suivre jusqu’au bout. C’est comme un souvenir. Un souvenir gravé sur ta peau. Un souvenir de ton père. huitième point ▲ Tu es insomniaque. T’as du mal à dormir. Toujours, tout le temps. Alors, à chaque fois, tu fais le mur et tu te balades dans les rues de Paris, la nuit. Parfois, un de tes amis te suit. Parfois, non. Dans ces cas-là, tu te retrouves seule, sans aucune crainte. Tu t’en fous. neuvième point ▲ Tu fumes de temps en temps, te drogue assez souvent et bois régulièrement. Whisky, téquila, vodka, rhum, tu bois de tout. Pourtant, on ne peut pas dire que tu tiens vraiment l’alcool. Deux ou trois verres et tu te retrouves déjà à danser la macaréna sur la table. dixième point ▲ Johnny Cash, Hurt, ta chanson préféré. Tu connais les paroles par cœur, tu es capable de la jouer à la guitare, et au piano, donc instrument que tu maitrises à la perfection. Tu as même participé à la chorale de ton collège, lorsque tu étais encore en Bretagne. Certains te disent que tu devrais faire des émissions tels que la Nouvelle Star, ou The Voice. Tu leur ris au nez. Ce n’est absolument pas ta tasse de thé.

T’es née dans un des hôpitaux de Bretagne, à Ploudalmezeau. Un nom plutôt drôle, un nom que tu écorchais souvent, quand tu étais petite. Tu n’arrivais jamais à tout prononcer, trop dur pour la petite gamine que tu étais. Tu te contentais d’appeler ta ville Ploud ou, tout simplement, tu ne l’appelais pas. Tu disais simplement ta ville, lorsque ta tante se moquait de toi en te demandant où tu habitais. Tu ne l’as jamais aimé, ta tante. Parce qu’elle se moquait de toi et que tu trouvais qu’elle avait des dents bien trop grandes. Elle te faisait peur. Enfin bon, c’n’est pas comme si dans ta famille, t’aimais tout le monde. A la rigueur, carotte, ton chat, est le seul que t’aimais bien. Maintenant il est bien loin. Peut-être que tes parents ont fini par le foutre dehors, ce chat incapable de chasser une seule mouche. Ah, tes parents, parlons-en tiens. Ces phénomènes. Bertrand Olivier et Pénélope Riou. Des prénoms anodins, en somme. Des prénoms qui tapent dans le banal. Le banal, une chose que tu n’as pas connue quand t’étais petite. Tu n’étais pas dans une famille banale. À Ploudalmezeau, ils savaient tous ce qui se passait chez toi. Ils ne disaient rien, pourtant. Ils n’osaient pas au non. Dans cette ville, on parlait tout bas. La fille du coupeur de joint, qu’ils t’appelaient quand tu passais devant eux, tes cheveux au vent. Rapprochement de la chanson de Thiéfaine, portant le même nom. Elle était assez connue, à l’époque. Alors, on te surnommait comme ça, en secret. Quand on te voyait, dans les rues de la ville, ton éternel petite robe que tu portais tous les dimanche. Non, tu n’allais pas à l’Eglise avec. Tes parents n’étaient pas des gens croyants. Ils ne croyaient en rien, mis à part le don que les joints et la coke qu’ils se prenaient leurs permettaient de planer. Ah, tu t’en souviens encore, de ces matins horribles que tu as vécu, dans ton enfance. Tu descendais, de tes petits pieds nus, les escalier de ta maison. Tu trouvais généralement là, dans le salon, la tête des tes parents endormis sur la table, raide défoncés. Généralement, tu les laissais là. Tu les contournais et faisais comme s’ils n’existaient pas. Tu montais enfiler ta jolie petite robe et tu partais chercher le pain en faisant comme si rien de bizarre ne se tramait chez toi. T’arrivais bien à jouer la comédie, quand même. Puis faut se l’avouer, rien ne présageait qu’il y avait un truc chelou chez toi. A l’école, t’étais une bonne élève. Une très bonne élève, ce qui étonnait tes parents. La meilleure de ton école. Grâce à ça, t’as eu une bourse d’études, à un lycée Parisien que t’as demandé. Quand t’as dit ça à tes parents, ils étaient trop raides pour pouvoir s’énerver. Ils s’étaient contentés d’hausser les épaules et de te donner l’argent que tu souhaitais pour pouvoir te casser d’ici, pour pouvoir les laisser tranquille. Ta vie a commencé à partir de là. Quand t’as quitté Ploudalmezeau. Quand t’as quitté ce surnom qu’on te donnait, la fille du coupeur de joints. Tu l’as laissé là-bas, en Bretagne. Comme ta famille. Comme ton enfance. Tu t’es détachée de tout ça. Tu as recévu. Une seconde naissance. C’était la première fois que tu voyais Paris. Paris et ses lumières, Paris et ses habitants pressés. Paris et son ambiance. Paris, tout simplement. Emerveillée, époustouflée, enchantée, fascinée, subjuguée, éblouie. Ça te changeait de la Bretagne. De son mauvais temps, de ses crêpes, de ses chansons de marins. C’était un nouveau commencement pour toi, une seconde naissance. Louis-Le-Grand. Un nom de lycée plutôt flippant, pour les plus intelligents de France. T’en fais parti. T’étais fière, quand t’avais vu qu’ils t’avaient accepté. T’étais fière, quand tu t’étais trouvée devant le lycée, prête à rentrer dans cet édifice où t’allais y passer trois années. T’étais heureuse aussi, quand t’avais vu la chambre dans laquelle t’allais loger. T’y as fait la connaissance de Lysandra, une première S, à cette époque. Au début, dans cette école, on t’écrasait. T’étais cette petite loque humaine, celle d’un autre monde. Lysandra, elle t’a permise de devenir moins… l’ancienne toi. Elle t’a fait évoluer. Elle est devenue ta meilleure amie. Elle t’a fait connaître ceux que tu dis être tes plus proches amis. Alexia, Mathéo, Jules. Ceux en qui tu peux faire totalement confiance. Tes vacances, tu les passes avec eux, chez Lys, désormais. Tes parents, tu ne les revois plus. Vous vous échangez des appels, de temps en temps. Ils font semblant de vouloir des nouvelles de toi, tu fais pareil. Histoire de passer pour une famille normale. Histoire de faire en sorte que tes parents puissent répondre aux questions des habitants de Ploudalmezeau quand ils demanderont qu’est-ce qu’elle est devenue, la fille du coupeur de joints.

Jolie fiche, vraiment. Intéressante. J'adore déjà cette petite.

T'es canon, t'as fini ta fiche et on peut officiellement tebouffer, te considérer comme un sexy ollpiens. Évidemment, on va pas t'laisser comme une âme en peine va. Pour bien démarrer ton aventure, on t'a préparé une liste de liens à consulter, pour pas que tu te sentes perdu sur OLLP. Pour que tu saches où les sujets les plus importants se trouvent.

LA BASE
bottin ► vérifie si il n'y a pas d'erreur.
demandes de logement ► il te faut un toit man !
liens ► si t'as pas d'amis, prends un curly.
évolution du personnage ► on veut tout savoir.
demandes de rps/liens ► i have an idea.
flood ► fait parti de la famille !
chatbox ► fait parti de la famille²

SPÉCIFICITÉ DE OLLP.
mises à jour ► se tenir au courant.
guide d'ollp ► ne pas se perdre.
guide de paris ► rester dans la réalité.
parrainage ► se faire aider.
mini intrigues ► mets du piment dans ta vie.
jeu des équipes ► ta team a besoin de toi !
il parait que ► les nouvelles vont vite sur ollp.
facebook ► je facebook, tu facebook.

Pour finir, n'hésites pas à participer à l'intrigue du moment pour être directement dans le bain. Les intrigues commune se trouvent toujours en annonce globale, donc tu peux la trouver n'importe où.

Pas besoin de te préciser que la chatbox, le flood et notre boite mp sont grand ouverts, surtout n'hésites pas, le plus important, c'est vraiment que tu sois bien et heureux parmi-nous.

Sur ce, on te souhaite une nouvelle fois la bienvenue parmi nous. On est ravis de t'avoir, maintenant on te lâchera plus, c'est fini pour toi.

Ella, Camel, Ana, Tiago, Sephora et Saad.