nom complet ▲ najia al-kâtib. lieu de naissance ▲ seine-saint denis, paris. âge ▲ dix-sept ans. nationalité ▲ française. études ▲ lycéenne, en terminale. statut matrimonial ▲ célibataire. orientation sexuelle ▲ hétérosexuelle. situation financière ▲ moyenne. idoles de vie ▲ camel, saad. nombre d'amis facebook ▲ trois-cent soixante seize. moyen de déplacement ▲ métro. groupe ▲ gagnants perdants. avatar ▲ zhenya katava. crédits ▲ tumblr.

ton personnage se promène dans un supermarché lorsque soudainement, un homme avec une cagoule pointe son arme sur les clients en criant qu'il s'agit d'un hold-up. sa réaction? ▲

Ma réaction ? Je pleure. Direct. Je ne réfléchis même pas. J'ai trop peur, je tremble, j'essaye de me cacher, je ne bouge plus, je ne respire plus. Dans une situation pareille, même mon père irait prier Dieu pour que quelqu'un vienne nous sauver. Ça peut très bien ne durer que cinq minutes, mais croyez-moi, j'en serais traumatisée. C'est le genre de choses que je sincère.

ton personnage se retrouve en plein milieu d'un énorme open house où il ne connait qu'une seule et unique personne. alcool à volonté, musique beaucoup trop forte, etcétéra. sa réaction? ▲

Bienvenue au paradis. Pas de frères pour surveiller ma conduite, pas d'amies pour me dire auprès de qui aller, pas de connaissances pour me faire chier, personne. C'est la soirée parfaite, de celle qui te permet de rencontrer beaucoup, beaucoup, de personnes ; qui te permet également de finir contre le corps d'un charmant jeune homme que tu ne reverras probablement pas qui t'auras offert un instant unique. Croyez pas, mes cuisses, ce ne sont pas des portes ouvertes, je ne baise pas. Je fais l'amour aux censés qui arrivent à me charmer tout en m’apparaissait comme vrai.

ton personnage est en couple et l'occasion de tromper son/sa partenaire -en ayant l'assurance que personne ne le découvrira un jour- se présente à lui. sa réaction? sa décision? ▲

S'il y a bien une chose que j'ai appris durant mon enfance, c'est l'importance de la fidélité. Jamais, même si ma personne toute entière brûle de désir, j'irais me noyer dans le corps d'un autre homme que le mien. On récolte ce que l'on sème. Je ne veux avoir à souffrir d'une tromperie qui m'aura sur le coup envoyé au septième ciel. Même pour le cul le plus beau, je refuserais.

île déserte. pas de portable, pas d'ordinateur, pas d'amis, pas d'amoureux, pas vraiment de divertissement, et le tout pendant une semaine. sa réaction? se plaindre, se débrouiller? ▲

Je ne suis pas ceux qui se plaignent souvent, qui râlent pour un rien, mais là, je ne tiendrais pas. Une semaine sans contact avec le monde, sans contact avec les personnes qui me sont proches ? Impossible. J'ai besoin de civilisation, besoin de savoir mes frères auprès de moi quoi qu'il arrive. Je crois même qu'en une semaine, je serais capable d'en crever. Je ne suis pas faible, loin de là, mais tout de même beaucoup de me demander que de rester seule pendant une semaine. Je pense pourtant être une jeune femme indépendante. Mais sincèrement, je ne pourrais pas. Au pire, on s'en fout car ce n'est pas une chose qui risque de m'arriver.

ton personnage se promène dans la rue lorsque soudainement, un chaton abandonné et maigrichon lui fait les yeux du chat potté. (you know what i mean). sa réaction? ▲

Je ne réfléchis même pas, je l'embarque avec moi. Quel homme pourrait laisser cette pauvre bête seule ? Aucun. Aucun que je ne connaissais. J'entends déjà mes parents hurler leur désaccord. Je m'en fous. S'ils n'acceptent pas cet amour de chat, j'irais le déposer chez mes frères qui eux n'auront pas d'autres solutions que de l’accueillir.

aoutch, ton personnage se retrouve dans la rue. pas de job, pas d'appartement et pas d'argent.. et le tout du jour au lendemain. sa réaction? ▲

Camel, Saad.

digne du titanic, ton personnage se trouve à bord d'un navire qui coule. deux choix s'offrent à lui : aider la vieille dame qui galère dans l'eau avec sa jupe au risque de mettre sa vie en péril, ou la laisser tomber et avoir l'assurance de finir sain et sauf? ▲

Je pense que dans ce genre de situation, je ne réfléchirais pas, j'aiderais cette personne parce qu'elle a forcément une famille quelque part qui n'a pas à supporter son absence. Elle a probablement des enfants, qui tiennent à elle. Plus que n'importe qui. Je l'aiderais à s'en sortir, je l'aiderais à continuer de vivre auprès des siens.

prénom ▲ marine. pseudo ▲ marine. âge ▲ dix-neuf ans. pays ▲ france. j'ai connu ollp grâce à .. ▲ bazzart. suis-je un ex-membre, un dc, ou un petit nouveau? ▲ ancienne membre. l'type de lien que je préfère ▲ les tordus. ma chanson du moment ▲ imagine dragons, it's time. ma fréquence de connexion ▲ cinq jours sur sept. et mon super mot d'la fin .. ▲ oh oui enfin. recenser son avatar ▲ Code: <span class="pris">ZHENYA KATAVA</span> ▲ Najia Al-Kâtib

on finit vite sur le trottoir, perdus cette nuit
Je laissais l'alcool enivré mon corps perdu dans cette foule dansante. J'étais en chute libre, seule, comblée. Mes cheveux volaient dans le vide tandis que mes hanches se laissaient porter par une douce mélodie. Des mains que je repoussais me frôlaient parfois. Rien, ni personne, ne pouvait m'expulser de cet instant qui n'appartenait qu'à moi-même. J'étais loin de tout, des questions existentielles que je me posais, de cette solitude qui me dérangerait toujours au mauvais moment, des visages comme celui d'Anaëlle qui représentaient pour moi tant de problèmes. J'étais loin de ces saloperies, je profitais de l'instant, je profitais de ma vie. Je me prenais pour une grande que je n'étais pas, je me prenais pour une femme intouchable alors qu'il n'y avait qu'un pas à faire pour me briser en deux morceaux. La musique s'arrêta, coupure d’électricité, fin de soirée ? Je l'ignorais et rattrapais rapidement les doigts d'une amie qui s'en allait déjà vers la sortie. Encore un dernier verre .. lui demandais-je d'une voix que je savais irrésistible. Elle se contenta de me pincer la peau tout en m'obligeant à sortir avec elle de cet endroit. J’extériorisais ma douleur en grimaçant, J'étais totalement ivre, ma vision était floutée, mes gestes ne me semblaient pas être miens. Mon seul repère : ses doigts auxquels je me raccrochais, à croire qu'ils étaient mon dernier espoir. Mes jambes tremblaient et ne semblaient vouloir me permettre d'avancer convenablement. Tu n'bouges pas me demanda Malika tout en me déposant contre un banc. Je hissais mon doigt contre mes lèvres, preuve de mon futur silence. Un rire s’éleva dans les airs, le sien, et plus rien. J'étais là, comme une conne, seule, à attendre. Je jouais avec mes lèvres, mes pieds, tentant de mettre un sens à toute ses choses que mon regard croisait. Je détestais ce genre de moment qui te poussait à te questionner pour des choses qui n'avait strictement aucun intérêt. Une main se déposant sur mon épaule me sauva, je sursautais. Debout gros tas murmura Malika tout en m'attirant contre son corps. J'étais donc si pathétique que cela ? Peut-être. Je m'en foutais après tout. J'étais celle qui d'ordinaire tenait ses cheveux lorsqu'elle vomissait toutes ses tripes après une nuit trop arrosée, elle me devait bien cela. Elle me poussa dans un taxi, je m'endormis dedans. J'ignore encore combien de temps j'y ai passé. Probablement de longues minutes. Ma tête était déposée contre ses cuisses tandis que mes jambes dénudées se reposaient sur la banquette. Ses doigts caressaient mes cheveux, me berçant dans de douces songeries. La voiture s'arrêta, je me redressais en sursaut. Où étions-nous, pourquoi cet endroit me paraissait si familier ? Je t'ai ramené chez toi m'informa-t-elle. J'étais soudainement prise de panique. Quoi ? Mais non ... glissais-je, presque sans voix. Ce n'était pas chez moi, pas ce soir. Je ne devais pas être là, je devais être auprès d'eux. Mes parents ne pouvaient pas comprendre ni accepter mon comportement. Eux, si. Malika me traîna jusqu'à ma porte d'entrée. C'est sans un mot, sans un remerciement que je la laissais repartir dans l'obscurité de la nuit. Moi, je restais plantée là. Incapable d'entrer. Incapable de rejoindre ma chambre, mon lit.

Les minutes passèrent. L'alcool ne s'estompait pas. L'odeur enivrante de la cigarette me collait à la peau. La porte d'entrée s'ouvra violemment. Je sursautais. Encore. Mes sourcils se froncèrent, j'étais choquée. Papa ? demandais-je, d'une voix douce. Il m'attrapa le poignet et m'attira à l'intérêt de notre domicile. Je sentais déjà son regard inquiet et énervé s'abattre sur ma personne. Cela ne me terrifiait pas, cela m'agaçait. Je n'avais jamais le droit de ne pas respecter les règles, jamais. Tu étais où Najia ? me demanda-t-il, furieux. Ma mère arriva à son tour, ses bras étaient croisées contre sa poitrine, ses paupières à demi-closes, ses cheveux ébouriffés. Elle dormait encore, elle dormait debout. Quelle heure était-il ? Je l'ignorais, mais eux semblaient en être bien trop conscient. Laisses-moi murmurais-je alors tout en déposant ma veste contre le sol. Il se rapprocha de moi, attrapa mon menton du bout de ses doigts et m'obligea à l'écouter. Tu ne crois pas que tu devrais t'excuser ? Nous t'avons attendu toute la soirée, tu pouvais nous prévenir, non ? Avertir tes frères ? maugréa-t-il. Je fronçais mes sourcils, je sentais la colère monter en moi, elle s'unissait avec l'alcool qui contrôlait ma raison ainsi que mes actes. Quand vas-tu comprendre que contrairement à tes frères tu vis encore sous notre toit ? Tu es sous notre responsabilité Najia et je ne tolère pas les comportements de petites gamines inconscientes ajouta-t-il. Furieuse, je plaquais mes mains contre son torse afin de le repousser. C'est trébuchante que j'allais récupérer cette veste qui traînait à présent sur le sol. Je n'étais qu'une gamine inconsciente ? Parfait, la gamine inconsciente allait se casser. Elle avait marre d'être traité ainsi, de ne pas avoir le droit de profiter autant que ses aînés. La différence d'âge n'était qu'une stupide excuse dont ils se servaient sans cesse pour justifier leur énervement. Najia ! Je te parle cria-t-il. Moi j'me casse répondis-je, tout en étant parfaitement consciente du fait que j'étais ridicule. Une adolescente ivre et ridicule qui ne supportait plus l'absence de ses frères, qui ne supportait plus ce que leur départ avait apporté. La porte claqua et mon corps s'empressa de quitter l’immeuble dans lequel je vivais. Je savais que mon père me suivait, mais il n'allait pas réussir à me rattraper, il n'avait jamais réussi.

Quelques minutes, heures, plus tard ? Je l'ignorais, mais je marchais toujours et sans cesse afin de rejoindre l'appartement de mes frères. J'avais comme toujours besoin d'eux pour me sentir bien. J'en avais marre de ce lien qui nous unissait. Cela me détruisait tout autant que cela me comblait. J'arrivais enfin, composais le code ouvrant leur immeuble et m'engouffrais à l'intérieur. La porte était déjà ouverte. J'étais attendue, je le savais. Mes parents s'étaient probablement empressés de les appeler afin de les avertir de mon départ. Ils étaient tous habitués à mes excursions nocturnes. Je refermais la porte avec mes pieds, balançais mes talons, jetais ma veste, retirais ma robe et allais embrasser leur visage fatigué. C'est sans ajouter quoi que ce soit, sans dire un mot que j'allais m'endormir dans le lit de Camel, silencieuse. Comme d'habitude.

T'es canon, t'as fini ta fiche et on peut officiellement tebouffer, te considérer comme un sexy ollpiens. Évidemment, on va pas t'laisser comme une âme en peine va. Pour bien démarrer ton aventure, on t'a préparé une liste de liens à consulter, pour pas que tu te sentes perdu sur OLLP. Pour que tu saches où les sujets les plus importants se trouvent.

LA BASE
bottin ► vérifie si il n'y a pas d'erreur.
demandes de logement ► il te faut un toit man !
liens ► si t'as pas d'amis, prends un curly.
évolution du personnage ► on veut tout savoir.
demandes de rps/liens ► i have an idea.
flood ► fait parti de la famille !
chatbox ► fait parti de la famille²

SPÉCIFICITÉ DE OLLP.
mises à jour ► se tenir au courant.
guide d'ollp ► ne pas se perdre.
guide de paris ► rester dans la réalité.
parrainage ► se faire aider.
mini intrigues ► mets du piment dans ta vie.
jeu des équipes ► ta team a besoin de toi !
il parait que ► les nouvelles vont vite sur ollp.
facebook ► je facebook, tu facebook.

Pour finir, n'hésites pas à participer à l'intrigue du moment pour être directement dans le bain. Les intrigues commune se trouvent toujours en annonce globale, donc tu peux la trouver n'importe où.

Pas besoin de te préciser que la chatbox, le flood et notre boite mp sont grand ouverts, surtout n'hésites pas, le plus important, c'est vraiment que tu sois bien et heureux parmi-nous.

Sur ce, on te souhaite une nouvelle fois la bienvenue parmi nous. On est ravis de t'avoir, maintenant on te lâchera plus, c'est fini pour toi.

Ella, Camel, Ana, Tiago, Sephora et Saad.