so we put our hands up like the ceiling can't hold us
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Sujet: so we put our hands up like the ceiling can't hold us Mer 15 Mai - 19:23
VADIM SOLAL CHESNEAU
nom complet ▲ vadim solal chesneau, parce que dans la vie faut savoir être original et un autre comme moi t'en trouveras pas lieu de naissance ▲ montreuil représente âge ▲ 21 piges mon frère nationalité ▲ bien que mon prénom puisse te troubler, je n'suis pas russe mais bien français, avec le beret et la baguette () diplômes, études ▲ CAP Photographie métier ▲ photographe ça va d'soistatut matrimonial ▲ célibataire pour le meilleur mais pas pour le pire orientation sexuelle ▲ " L'avantyage d'être bi, c'est que peu importe de qui tu baisses le pantalon, t'es toujours heureux de ce que t'y trouves "situation financière ▲ ça passe idole(s) de vie ▲ si tu vénères pas chuck norris je sais pas c'que tu fous de ta vie. nombre d'amis facebook ▲ 600 moyen de déplacement ▲ ma planche, mes pattes, le métro, j'ai pas le permis, parce que j'suis parisien et que les bouchons, c'pas mon truc groupe ▲ la javanaise avatar ▲ keno weidner, l'homme de ta vie crédits ▲ tumblr
mise en situation
ton personnage se promène dans un supermarché lorsque soudainement, un homme avec une cagoule pointe son arme sur les clients en criant qu'il s'agit d'un hold-up. sa réaction? ▲
Je s'rais peut-être surpris parce que bordel ça arrive pas tout le jours, mais j'aurais pas peur. Ou du moins, j'me pisserais pas dessus comme plein de gens le feraient. e serais plutôt du genre à aller gueuler sur le mec pour le calmer, et lui demander de bien gentiment aller foutre le bordel à l’extérieur du magasin, parce que les braqueurs du dimanche, c'est bien gentil, mais ça va bien cinq minutes! J'sais très bien qu'il tient une arme, mais c'que je sais, c'est que vu la tête d'angoissé qu'il a, il sera incapable de me tirer dessus. Et dans l'genre inconscient on fait pas mieux que moi. J'suis qu'un gosse après tout. ton personnage se retrouve en plein milieu d'un énorme open house où il ne connait qu'une seule et unique personne. alcool à volonté, musique beaucoup trop forte, etcétéra. sa réaction? ▲
J'en profite à mort mec! La fête c'est la vie, c'est mes nuits. Si le mec ou la meuf me lâche, ben tant pis, c'est toujours le moyen de faire de nouvelles rencontres. Je me lâche, je teste les gens, et j'trouve quelqu'un qu'est pas trop moche et pas trop coincé pour l'attirer dans mon lit. ton personnage est en couple et l'occasion de tromper son/sa partenaire -en ayant l'assurance que personne ne le découvrira un jour- se présente à lui. sa réaction? sa décision? ▲
Je le fais. Je déteste appartenir entièrement à quelqu'un, c'est bien pour ça que j'ai jamais été en couple. On peut pas me fixer des limites sans que je les dépasse. J'veux être libre, et me priver de ma liberté se retournera surement contre les autres. Je suis quelqu'un qui s'enflamme très vite, use with caution.
île déserte. pas de portable, pas d'ordinateur, pas d'amis, pas d'amoureux, pas vraiment de divertissement, et le tout pendant une semaine. sa réaction? se plaindre, se débrouiller? ▲
J'me la joue à la koh-lanta, j'essaye de m'occuper en me baignant, en me balladant sur l'île, en cherchant à bouffer, etc. Mais c'est sur qu'au bout d'un moment, sans fête, sans potes, sans mon appareil photo, j'pèterais vite un câble. ton personnage se promène dans la rue lorsque soudainement, un chaton abandonné et maigrichon lui fait les yeux du chat potté. (you know what i mean). sa réaction? ▲
JE L'ADOPTE SANS HÉSITER OF COURSE! Les chats c'est ma passion, j'en ai déjà trois à la maison: Marie-Jane, Vodka, et Shooter . Du coup je prends ce petit chaton dans mes mains tatouées, et peu importe s'il y a des gens ou pas, j'lui parle comme un débile, jor " haaan comment t'es trop cuuute ". J'le fout dans ma veste en jean et je retourne à l'appart pour m'en occuper comme une maman s'occuperait de son gosse.
digne du titanic, ton personnage se trouve à bord d'un navire qui coule. deux choix s'offrent à lui : aider la vieille dame qui galère dans l'eau avec sa jupe au risque de mettre sa vie en péril, ou la laisser tomber et avoir l'assurance de finir sain et sauf? ▲
Vous pensez pas qu'elle a fait son temps, la vieille ?
ton personnage se fait offrir 20 000€ .. que s'il dénonce le crime qu'a réalisé l'un de ses meilleurs potes. sa réaction? sa décision? ▲
Je dis rien, parce que je préfère avoir des potes que d'avoir les années de taule de mes potes sur la conscience.
l'heureux propriétaire
prénom ▲ Mélanie pseudo ▲ SHADOW IN THE NIGHTâge ▲ 16 pays ▲ france j'ai connu ollp grâce à .. ▲ j'sais plus, surement sur prd ou bazzartsuis-je un ex-membre, un dc, ou un petit nouveau? ▲ un (ex-)membre l'type de lien que je préfère ▲ tordu qui sorte de l'ordinaire et qui soit évolutif ma chanson du moment ▲ Paramore - Anklebiters ma fréquence de connexion ▲ j'sais pas, en période de révisions je garantis rien et mon super mot d'la fin .. ▲ OLLP IS BAAAACK AND IT FEELS GOOD recenser son avatar ▲
Code:
<span class="pris">KENO WEIDNER</span> ▲ Vadim S. Chesneau
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Sujet: Re: so we put our hands up like the ceiling can't hold us Mer 15 Mai - 19:23
L'HISTOIRE DE MA VIE
J'entends ma mère qui pleure à l'étage du dessous. Je sais ce qu'il se passe. Mais je n'y peux rien. Un gosse de huit ans, ça peut pas défendre sa mère. J'essaye de me concentrer sur mes legos, que j'empile d'une main tremblante. VADIM! Je sursaute violemment. Je connais cette voix tonitruante, celle qui te retourne les tripes, celle de mon père bourré. Et je sais que si je descends pas, il montera me chercher, et ça sera encore pire. Alors, comme un chien qui sait qu'il va se prendre une raclée - ce que je suis - je descends, et je vais à la cuisine. J'ai un souvenir trop clair de cette soirée pour quelque chose qui s'est passé il y a quatorze ans. Je vois ma mère, recroquevillée dans un coin, couverte de bleus plus ou moins anciens. Je veux pleurer. Je veux m'enfuir. Je veux rester avec elle. Je veux le tuer. Je lève les yeux et je rencontre son regard de salopard d'ivrogne. Il m'attrape par le bras et le serre si fort que je me suis dit que ma main ne doit plus être irriguée en sang. Il me colle un pain dans la figure, puis deux, puis trois. A-t-il seulement conscience que je ne suis qu'un gamin? L'alcool le rend aveugle. Je cesse de compter les coups. Je suis tenté d'abandonner, de me laisser aller. Je suis sur que là où je vais ne peut pas être pire que la où je suis. Il me laisse soudainement tomber. Je pense qu'il va me rouer de coups de pieds, alors je me roule en boule. Mais rien ne se passe, seul un bruit sourd se fait entendre. J'ouvre les yeux sur mon père, désormais allongé au sol, inconscient, son expression figée dans la surprise et je lève le regard vers ma mère qui se tient debout derrière lui. Puis je le vois, ce couteau de cuisine ensanglanté, celui de ma délivrance, et celui de mes pires cauchemars.
Ce n'est qu'un cauchemar, fait une petite voix rieuse du fond de mon crâne.
J'me réveille en sursaut dans mon lit, le souffle rapide, les mains moites et le visage humide. J'avais pleuré. Putain. « Je sais que c'est pas un cauchemar, c'est un souvenir, connasse. » J'aurais tout donné pour ce ne soit qu'un mauvais rêve. Malheureusement, mon père est un ivrogne violent et décédé, et ma mère est en prison, un endroit qu'elle ne mérite pas.
▲▼▲▼▲
« Bienvenue dans ta nouvelle famille! » J'étais peut-être un gosse, mais j'étais pas dupe. Bien qu'ils ne soient pas méchants, ces deux là ne seraient jamais ma famille. Ma famille c'était ma mère, un point c'est tout. J'ai pas pour autant cherché à leur faire la gueule, ils le méritaient pas, il m'avaient rien fait après tout. C'étaient juste deux bobos qui pouvaient pas avoir d'enfant, et se sont présentés au tribunal comme famille d'accueil. Et lors du procès de ma mère, on m'a refilé à eux. J'ai pas voulu changer, parce qu'ils étaient sympas, et que je me serais senti coupable de les abandonner, les pauvres. J'ai fini par m'ouvrir à eux, sans pour autant les considérer comme mes vrais parents. Ca aurait été tellement bizarre, alors que je voyais ma mère toutes les semaines en prison.
Premier jour d'école. On me présente à la classe. Je les regarde tous, et je me dis que je ne pourrai jamais être comme eux. Ils sont tous souriants, tous des gosses avec deux parents, heureux de vivre dans la campagne de l'île de France. La maîtresse demande à ce que je me présente. « J'm'appelle Vadim, j'ai 9 ans. Et... voilà. » Il y a un silence, les gosses perdent le sourire. Le ton de ma voix est trop monotone pour mon âge. Qu'est-ce qu'ils voulaient que je leur raconte, hein? Bonjour, j'm'appelle Vadim, j'me suis fait tabasser par mon père pendant des années mais fort heureusement ma mère l'a descendu au couteau de cuisine sous mes yeux. Hey, elle est pas belle la vie? Toujours dans ce silence assommant, je vais m'asseoir à ma place, je sors mes affaires sur ma table, pour ne plus jamais les quitter des yeux. Je n'ai jamais été très intégré, trop bizarre, trop mature peut-être. A l'âge de 16 ans, je commence mes conneries, je fume des joints, je me fais tatouer en cachette, mes pseudo-parents ne me contrôlent plus. Alors je pars. Jolie petite histoire. Je pars vers la capitale, et je passe un CAP de photographie. Parce que la photo me passionne depuis aussi longtemps que je m'en souvienne. Parce que je pense qu'on se souvient trop des mauvais moments, et pas assez des bons. La photo aide à rappeler ces bons moments, et à leur permettre de laisser une trace indélébile. Je réussis à obtenir de ma famille d'accueil qu'elle m'achète mon premier reflex, et alors que je veux me faire engager, on me demande de passer par la case psychologue. Et la nouvelle tombe. Je suis atteint du syndrome de Peter Pan. On m'explique ce que c'est. Je suis un gosse, qui ne veut pas grandir, qui fuit les responsabilités, et qui réagit de façon trop exagérée. Et c'est ce que j'ai fait quand le boss m'a annoncé qu'il ne m'engageait pas. J'ai envoyé boulé tout ce qu'il y avait sur son bureau, MacBook comprit. Bien sur j'ai du rembourser. Mais depuis ce jour je bosse à mon compte, je fais des expos, je vends mes photos. C'est moi le patron, donc pas de prise de tête.
Dernière édition par Vadim S. Chesneau le Lun 21 Oct - 13:33, édité 3 fois
Louise Toscan du Plantier membre
✧ ÂGE : vingt quatre ans. ✧ JOB : éleveuse de chats. ✧ COEUR : perdu au dessus du pacifique. ✧ MESSAGES : 3600 ✧ HERE SINCE : 27/10/2012
Sujet: Re: so we put our hands up like the ceiling can't hold us Mer 15 Mai - 19:31
bon tu nous rends pas tiago gay hein. bon retour.
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Sujet: Re: so we put our hands up like the ceiling can't hold us Mer 15 Mai - 20:12
j'vais m'gêner mais non t'inquiètes merci
Ella Maresquo membre
✧ ÂGE : vingt et quatre. ✧ JOB : assistante sociale dans une association ✧ COEUR : célibataire. ✧ MESSAGES : 11185 ✧ HERE SINCE : 07/05/2011
Sujet: Re: so we put our hands up like the ceiling can't hold us Mer 15 Mai - 20:14
Bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche.
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Sujet: Re: so we put our hands up like the ceiling can't hold us Mer 15 Mai - 20:47
Merci
Rianne Harris membre
✧ ÂGE : 26 ans. ✧ JOB : travaille à domicile pour les usa. ✧ COEUR : pacsée à rita. ✧ MESSAGES : 4896 ✧ HERE SINCE : 18/03/2012
Sujet: Re: so we put our hands up like the ceiling can't hold us Mer 15 Mai - 20:55
BIENVENUE SUR OLLP
les réponses aux mises en situation m'ont fait trop rire (tu vas finir par croire que j'me fous de ta gueule à toujours te dire que tu m'fais rire, mais j'te jure que c'est faux ) j'avais déjà lu ton histoire, alors c'est juste un plaisir de la relire franchement parfaite donc bon, t'auras compris que j'te valide hein (et tu peux te sentir vip parce que je valide jamais personne )
T'es canon, t'as fini ta fiche et on peut officiellement tebouffer, te considérer comme un sexy ollpiens. Évidemment, on va pas t'laisser comme une âme en peine va. Pour bien démarrer ton aventure, on t'a préparé une liste de liens à consulter, pour pas que tu te sentes perdu sur OLLP. Pour que tu saches où les sujets les plus importants se trouvent.
Pour finir, n'hésites pas à participer à l'intrigue du moment pour être directement dans le bain. Les intrigues commune se trouvent toujours en annonce globale, donc tu peux la trouver n'importe où.
Pas besoin de te préciser que la chatbox, le flood et notre boite mp sont grand ouverts, surtout n'hésites pas, le plus important, c'est vraiment que tu sois bien et heureux parmi-nous.
Sur ce, on te souhaite une nouvelle fois la bienvenue parmi nous. On est ravis de t'avoir, maintenant on te lâchera plus, c'est fini pour toi.
Ella, Camel, Ana, Tiago, Sephora et Saad.
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Sujet: Re: so we put our hands up like the ceiling can't hold us
so we put our hands up like the ceiling can't hold us