Nom complet ▲ Marilhéa Isia Shepperd. Lieu de naissance ▲ Chicago, USA. âge ▲ 24 ans. nationalité ▲ Américaine. diplômes, études ▲ Bac S, concours infirmière. métier ▲ Infirmière à l'Hôpital Pitié-Salpêtrière (13ème) statut matrimonial ▲ Célibataire. orientation sexuelle ▲ Hétérosexuelle. situation financière ▲ Normale. idole(s) de vie ▲ Audrey Hepburn nombre d'amis facebook ▲ Une treintaine. moyen de déplacement ▲ Voiture. groupe ▲ la javanaise. avatar ▲ Amber Heard. crédits ▲ tumblr.

premier point ▲ Elle déteste particulièrement le café. En passant du gout à l'odeur, le café est quelques choses qui l'offusque au point qu'elle pourrait en avoir des nausées. Elle a travailler deux semaines dans un café de Paris pour pouvoir payer ses études, c'est la durée maximum qu'elle a réussi à supporter. Le matin au lieu de boire du café, elle se contente d'un chocolat chaud ou d'un jus de fruits. deuxième point ▲ Elle montre rarement ses sentiments. Néanmoins le moindre fait d'évoquer ses parents biologiques lui fait monter les larmes aux yeux, ce qui n'était pas le cas au moment de leur décès. troisième point ▲Elle ne possède aucun tatouages et ne compte pas en faire. Néanmoins elle arbore une légère cicatrice de 8 cm sur le bas ventre qui remonte à l'accident dans lequel ses parents ont disparus. quatrième point ▲Elle ne croit pas réellement en l'amour. Elle n'a pourtant pas vécue de relations douloureuses, mais elle ne s'est jamais résigner à croire au prince charmant. cinquième point ▲ Lorsqu'elle est en colère, elle a tendance à être très vulgaire. C'est plus fort qu'elle, ses parents biologiques très croyant l'ont pourtant punie de nombreuses fois lorsqu'elle était impolie. sixième point ▲Elle est très nulle en matière de cuisine. Un simple croque monsieur elle arrive à le faire trop cuire. Elle le sait et après quelques cours de cuisine elle a très vite lâcher l'affaire ne voyant aucun résultat. septième point ▲Lorsqu'elle est stressée, elle se mord la lèvre inférieure ou joue nerveusement avec ses mains. Dans ces moments là, elle est incapable de faire quoi que ce soit. Heureusement cela ne lui arrive que très rarement. huitième point ▲ Elle écoute la musique bien trop fort lorsqu'elle fait le ménage chez elle. Cela la motive, mais surtout cela exaspère ses voisins. Dans ces bons jours, il lui arrive même de chanter et danser comme une folle alors qu'elle nettoie son appartement. neuvième point ▲ Lorsqu'elle entend la chanson "In my place" de Coldplay elle part très rapidement dans une crise de colère et cherche absolument à l'arrêter. Cette chanson est celle qui passait au moment de l'accident avec ces parents et elle lui rappelle bien trop de mauvais souvenir. Lorsque cela lui arrive, la plupart des personnes ne comprennent rien à ce qui lui arrive, d'autant plus qu'elle est de mauvaise humeur pour le reste de la journée. dixième point ▲ Elle ne sait pas siffler. C'est bête à dire mais il lui arrive d'en avoir honte, bien qu'elle en rigole plus qu'autre chose.

Mon prénom est Marilhéa, ce n'est pas la peine de me demander d'où ça vient... j'en ai strictement aucune idée. Quoi qu'il en soit ce prénom fut l'idée de ma mère et rien que pour ça je l'apprécie d'autant plus aujourd'hui. Je profite allégrement de ma vie, je ne suis pas du genre à me plaindre pourtant j'aurais eu de nombreuses fois l'occasion de le faire. Ce qui doit arriver arrivera, c'est comme ça que je vois les choses. Par exemple lorsque mes parents biologiques sont morts alors que j'avais treize ans dans un accident de voiture je me suis seulement dit que c'était leur tour. Aucune larme n'est sortie de mes yeux, je n'ai jamais pleurée la mort de mes parents à cette époque. Pourtant je les aie vus mourir sous mes yeux puisque j'étais également présente dans le véhicule au moment des faits. Il a pourtant une chose que je n'ai jamais compris... pourquoi j'en suis ressortie quasiment indemne alors qu'eux sont décédés dans cet accident. L'unique souvenir qu'il me reste de ce jour est une légère cicatrice de huit centimètres au niveau du bas ventre. J'ai entendu le dernier souffle de ma mère et les dernières paroles de mon père... cela en aurait perturber plus d'un, mais pas moi du moins pas en apparence. Je suis une fille têtue, obstinée et qui n'en a franchement rien à faire de ce qu'on pense d'elle, on m'aime ou on ne m'aime pas. C'est du moins la fille que je suis devenue après la mort de mes parents. Je n'irais pas jusqu'à dire que j'étais une fille sage et obéissante de leur vivant néanmoins je n'étais pas aussi irrespectueuse et imbu de sa personne comme j'ai pu l'être par la suite. Une fillette de 13 ans orpheline. C'est ce que je suis devenue du jour au lendemain. Aucune famille à Chicago ou dans le pays pour m'héberger... j'ai très rapidement fini dans un orphelinat.
Très rapidement je me suis mise en tête que j'allais rester dans cet orphelinat jusqu'à ma majorité. Qui voudrait adopter une blondinette de 13 ans qui passe son temps à faire la moue ? Personne, du moins c'est ce que je pensais. A ma plus grande surprise, trois mois plus tard, une famille parisienne m'adopta. Je ne sais pas pourquoi, je ne comprenais pas pourquoi... quoi qu'il en soit c'était moi qu'il voulait et pas une autre. J'ai longtemps soupçonner la directrice de l'orphelinat d'avoir joué un mélodrame pour me faire adopter... jusqu'à ce que je comprenne que cette famille ne m'adoptait pas pour mon histoire. Il m'adoptait simplement pour ma personne. Avant cet accident, mes parents avaient prévu de m'offrir une petite soeur ou un petit frère, bien que j'y sois formellement opposé, là j'atterissais dans une famille déjà pourvu d'enfants ce qui m'effrayai d'autant plus. J'avais l'impression d'être la pièce rapportée... celle auprès de qui on ne doit pas parler d'accident, de pont ou même de Chicago... bref tout ce qui peut lui rappeler la mort de ses parents. Mes parents adoptifs ont très vite appris à me connaitre. Les seules personnes à me connaître tel que je suis vraiment c'était eux à présent. Sournoise, manipulatrice bien qu'attendrissante et mystérieuse voilà ce que j'étais à l'époque. Je me souviendrai toujours de mon entrée au collège le proviseur n'avait cessé de complimenter ma mère adoptive sur mon si jolie sourire et mon air angélique prétextant même « qu'il était persuadé que je serais une élève adorable » elle l'avait pourtant prévenu en ajoutant que je pouvais être... différente, mais il n'avait rien voulu entendre. Mon sourire fait toujours son petit effet. Je me souviens plus précisément du regard de mon proviseur deux semaines plus tard lorsqu'il avait contacté "ma mère" après mes innombrables « bêtises » comme il aimait si bien les qualifier. La différence de langue aurait pu me freiner dans celle ci, cependant j'ai très rapidement appris le français. Ma mère adoptive avait perdu tout espoir de rattraper les mauvais côtés de mon caractère. Mais elle tenait à moi, comme ci j'étais sa propre fille, j'ai dans un premier temps rejeter son amour pour moi... finissant par l'accepter comme n'importe quel enfant.
Vendredi 13 Février 2004. Interdiction de sortir du logement familial. Pourtant je suis dehors. Les règles j'en ai que faire, ce soir j'ai une soirée chez une amie et ce n'est ni la neige, ni le froid qui m'empêcheront d'y aller. Je sais pertinemment que ce coin de Paris n'est pas bien réputée, j'évite toujours d'y aller, cependant pour rejoindre le domicile de mon amie c'est un raccourcie non négociable et ce soir pour une fois... j'enfreins mes propres règles. Très rapidement mon rythme cardiaque s'accélère, je stresse et j'ai l'impression d'être en danger au moindre de mes pas. Je n'ai que 15 ans il faut le dire et toute seule de surcroit. « Lâchez moi !!! » C'est arrivé en une demi seconde, je l'ai vu bondir de nulle part, m'attraper par les hanches avant de plaquer sa main sur ma bouche m'empêchant de dire plus de choses. Je vois ces gens qui passent non loin et qui ne bougent pas... ils ont trop peurs c'est évident. Les larmes apparaissent aux coins de mes yeux et je me dis que c'est peut-être aujourd'hui que je vais rejoindre mes parents biologiques. Pourtant je ne veux pas. J'aurais dû écouter ma mère, j'aurais dû rester chez nous comme elle m'y avait assignée. Puis d'un coup je le vois... il n'a pas l'air plus vieux que moi pourtant c'est le seul qui daigne prendre son courage à deux mains et m'aider. « Lâche là ! » Je ne comprends plus rien à la situation, je l'entends crier et s'énerver... puis finalement l'étouffement que je ressentais depuis quelques secondes finit par disparaitre. Je peux enfin reprendre mes esprits même si j'ai peur de tout même de celui qui vient de me sauver. Très rapidement je l'aperçois un peu plus loin sur le sol, mais ce que j'aperçois surtout c'est le liquide rougeâtre sur le blanc de la neige. Non pas ça. Il ne faut pas qu'il soit blessé, pas à cause de moi. Je me précipite à ses côtés pour le rassurer, prévenir les secours et surtout faire en sorte qu'il ne perde pas connaissance. En vain.
Des jours, des mois, des années d'inconscience... de coma. Finalement celui qui m'a aidée y aurait presque laissée sa vie. J'ai l'impression que les personnes qui m'entourent sont destinés à mourir par ma faute pourtant ce garçon je ne le connaissais pas. Il ne méritait pas ça. Évidemment suite à cette agression, ma mère m'empêcha de sortir pendant plusieurs semaines, m'obligea à prendre des nouvelles de ce jeune garçon bien que ça ne soit pas une obligation. Je l'aurais fait de moi-même, la culpabilité devint très rapidement mon seul compagnon. Chaque jours j'espérais qu'il se réveille. J'ai poursuivi mes études, vécue ma vie d'étudiante comme n'importe qui alors qu'à côté un jeune homme perdait de nombreuses années. Je n'en suis pas fière pourtant plus le temps passait plus mes visites devenaient irrégulières. Je ne me cherche pas d'excuses, je ne prétends pas avoir restreint mes visites parce que mes études me prenaient du temps où je ne sais quoi d'autres... ce serait faux et malsain. Je ne me suis simplement pas privé, j'ai participé à des fêtes étudiantes, partager des histoires d'amour bref j'ai vécu et c'est pour ça que je me suis éloigner de l'hôpital où résidait celui que j'ai longtemps considérer comme "mon sauveur". Aujourd'hui ma vie d'étudiante est derrière moi, je travaille en tant qu'infirmière à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière.

aloooors.. avec ce changement ta fiche devient nickel. puis c'est la fameuse fille quoi. bref, j'te valide.

dans le cadre du jeu des équipes, nous avons mis en place un défi de groupe, que j'te laisse découvrir. et pis au passage, voilà le flood spécial la javanaise.

bon jeu parmi nous. :*-*:

T'es canon, t'as fini ta fiche et on peut officiellement tebouffer, te considérer comme un sexy ollpiens. Évidemment, on va pas t'laisser comme une âme en peine va. Pour bien démarrer ton aventure, on t'a préparé une liste de liens à consulter, pour pas que tu te sentes perdu sur OLLP. Pour que tu saches où les sujets les plus importants se trouvent.

LA BASE
bottin ▲ vérifie si il n'y a pas d'erreur.
demandes de logement ▲ il te faut un toit man !
liens ▲ si t'as pas d'amis, prends un curly.
évolution du personnage ▲ on veut tout savoir.
demandes de rps/liens ▲ i have an idea.
flood ▲ fait parti de la famille !
chatbox ▲ fait parti de la famille²

SPÉCIFICITÉ DE OLLP.
jeu des équipes ▲ ta team a besoin de toi !
fake lover ▲ partenariat exclusif !
il parait que ▲ les nouvelles vont vite sur ollp.
facebook ▲ je facebook, tu facebook.
lieux de paris ▲ rester dans la réalité.
mini rp ▲ tout en vitesse !

Pour finir, n'hésites pas à participer à l'intrigue du moment pour être directement dans le bain. Les intrigues commune se trouvent toujours en annonce globale, donc tu peux la trouver n'importe où.

Pas besoin de te préciser que la chatbox, le flood et notre boite mp sont grand ouverts, surtout n'hésites pas, le plus important, c'est vraiment que tu sois bien et heureux parmi-nous.

Sur ce, on te souhaite une nouvelle fois la bienvenue parmi nous. On est ravis de t'avoir, maintenant on te lâchera plus, c'est fini pour toi.

Tay, Ella, Camel, Ana, Elie, Sephora et Rio.