Nom complet ▲ Corentin Lefebvre. Lieu de naissance ▲ Dans téci de Marseilles Wééé. Bon je me calme, je me calme. âge ▲ Vingts et un ans mon gars. nationalité ▲ Française. diplômes, études ▲ Etudiant en architecture. métier ▲ Beau goss à temps plein. statut matrimonial ▲ Oulalala, c'est trèèèès compliqué, mais on va dire célibataire... pour le moment. orientation sexuelle ▲ Hétérosexuel. J'aime les femmes et seulement les femmes. situation financière ▲ Pas de problème de ce côté là, j'ai récupéré une partie de l'argent de mon père avant qu'il aille en prison, du coup j'ai pas à me plaindre et j'ai surtout pas besoin de travailler pour payer mais études, et ça, ça le fait. idole(s) de vie ▲ Ma maman. RIP. nombre d'amis facebook ▲ En gros beaucoup. Je sais plus exactement, en fait je crois même que facebook ne peut plus compté tellement j'en ai. Eh oui, c'est ce qu'on appelle la popularité mon ami. moyen de déplacement ▲ Une mini cooper rouge et noir. Pour avoir la classe dans Paris il y a pas mieux. groupe ▲ Gagnants Perdants . avatar ▲ Louis Tomlinson as Boo Bear. crédits ▲ Mon pote Tumblr.

premier point ▲ Il a un seul et unique tatouage, à l'intérieur du bras. Il est marqué « I will always love you. » En hommage à sa mère. Il ne l'a pas beaucoup connu mais sa mort à toujours laissé un vide énorme en lui. La seule chose qu'il se souvient d'elle, c'est qu'elle écoutait sans arrêt cette chanson et qu'elle la chantait à merveille. deuxième point ▲ Comme tous les mecs, il a son côté féminin, enfin tout petit mais c'est d'ja ça. Il a une collection impressionnante de casquettes et de chaussures, baskets essentiellement pour ne pas dire la totalité, qu'il stock dans son appart parisien. Il a gardé la première casquette qu'on lui a acheté, tout comme celle qu'il utilisait pour aller au football au collège. Il ne se séparerait pour rien au monde de l'une d'entre elle. C'est son petit côté sentimental. Il leur a même donné un nom... à chacune... troisième point ▲ Si vous voulez son avis, il ne faut jamais prier pour. Souvent même pas besoin de lui demander, il vous le donne. Très impulsif et très franc, il va toujours droit au but et déteste perdre du temps à blablater sur des choses inutiles alors qu'en pratique deux minutes suffisent pour faire une phrase suffisent. quatrième point ▲ Corentin n'a jamais vraiment su traiter les femmes comme elles le méritent. Son éducation, faite auprès d'un macho ne lui a pas permis de voir les choses autrement. Pour lui les femmes sont des objets, ou quelque chose dans le genre, il couche avec et les oubli aussitôt. Il ne connait pas le romantisme et encore moins l'amour... Enfin ça c'était avant... cinquième point ▲ Il n'a jamais voulu être comme son père, au contraire il a sans cesse cherché à être son opposé. Il a fugué plusieurs fois en étant plus jeune. Et c'est pour ça qu'il s'est lancé dans des études et qu'il est parti de Marseilles. Pour être lui. Malgré tout il a hérité de quelques traits de caractères des Lefebvre et pas des positifs. Son côté macho, ses côtés arrogants, jaloux et possessif aussi. Et pour finir il tient aussi de lui son côté bagarreur, en même temps quand on est le fils d'un mac, ça se comprend. sixième point ▲ Il a toujours été passionné d'architecture, non pas par celle du port de Marseille, mais bien par les bâtiments anciens, les maison d'architecte et les châteaux médiévaux. Il a souvent cherché à savoir leur origine, leur type de construction leur histoire. Il a d'ailleurs décidé d'en faire son métier. Il a réussi à entrer dans une école prestigieuse en la matière il y a trois ans. septième point ▲ Il vit seul dans un appartement pas trop mal situé dans Paris, et ce n'est pas une chambre de bonne en plus. Il a souvent hésité à prendre un chien pour lui tenir compagnie mais a finalement décidé de ne pas le faire, trop de contraintes lui ont fait changé d'avis. huitième point ▲ Sa bande de potes compte énormément pour lui. Elle compte les deux seules filles avec qui il a pas couché dans la ville, enfin sans compter Clémence. Il ferait tout par loyauté pour eux. Avec eux il est très généreux. Mais ça reste une bande de potes comme une autre, quand il est avec eux il arrive souvent qu'il fasse un peu trop genre et que ça puisse dégénérer en des conneries monumentales qu'il regrette pour la majorité. neuvième point ▲Comme tous les jeunes de son âge il adore sortir et d'éclater. Pour lui les soirées c'est un peu : ♫ Ces soirées là hum hum, On drague, on branche toi-même tu sais, Pourquoi ouais ouais ♫ ... OU PAS. Non sérieusement, enfin parler de soirées sérieusement c'est pas possible mais en oubliant les bonnes vieilles blagues à la con que je peux faire. Pour les soirées c'est les décibels à fond, tellement à fond qu'il se pète les tympans, de l'alcool, beaucoup d'alcool, des bouteilles de bières un peu partout en gros, un peu de choses illicites que je ne citerais pas mais dont vous devez connaitre l'existence, des nanas canons, chaudes comme la braise et surtout des amis, pleins de potes partout avec qui te tapent un délire pour des conneries monstrueuses et avec qui tu danses la macarena à l'aube quand t'es bourré et que t'as pas décuvé tellement t'as enchaîné. Mais ils adore aussi regarder Bob l'éponge, Bob le bricoleur, Dora, Les Zinzons de l'espace, Ratz et d'autres encore. dixième point ▲ L'amour ? Non il ne connait pas... enfin il connaissait pas. Ca c'était avant de rencontrer Clémence. Elle lui résiste et ça l'intrigue, de plus en plus. Ses plus grandes attirances pour des femmes étaient pour celles qu'il ne pouvait pas avoir. Mais là c'est pire. Avec elle il se sent différent. Pas de bande de potes qui le pousse vers l'extrême. Pas de père qui le mène vers la déchéance et pas de nanas qui le draguent. Il est juste lui. Celui qu'il a toujours voulu être.

« Maman, est-ce que tu regrettes tout ce que tu as fait dans ta vie ? » La femme se retourna vers sa progéniture. Le petit Corentin, âgé de cinq ans seulement, avait pourtant parfaitement compris la situation dans laquelle lui et sa mère se trouvaient. Il était inquiet et anxieux, peut être autant qu'elle. Qu'allait-il leur arrivé ? Il n'en savait rien mais il sentait que sa mère le savait. Ils avaient fuit le domicile familiale il y quelques semaines, battu par un père et un époux violent, Rose Lefebvre ne voulait pas voir son fils évoluer dans un milieu comme celui-ci. Elle avait parfaitement assumé son rôle de mère et de protectrice. La seule chose qu'elle voulait c'était son bonheur. Corentin était la chose qui comptait le plus à ses yeux, la chair de sa chair. Elle s'approcha doucement de lui et s'agenouilla à ses pieds. Elle pris sa main et la caressait d'un geste tendre. « Oooh mon chéri. Non je ne regrette rien. Tu sais pourquoi ? Parce que je t'ai eu toi et que tu es la plus belle chose qui me soit arrivée. » La femme finit par se remettre sur ses pieds. Elle passa devant la porte d'entrée et entendit un drôle de bruit, on essayait de forcer la porte. Elle se pétrifia d'un seul coup. Son fils, elle devait sauver son fils. Ils étaient là pour elle. Son mari les avaient envoyé pour les tuer, elle le savait, elle s'y attendait. Elle se rapprocha de Corentin et réussi à reprendre tout son calme. « Tu te souviens quand on avait dit qu'on jouerait à cache cache ? » Demanda t-elle. « Oui maman. » - « Eh bien c'est maintenant. Je me retourne et tu vas te cacher. » Elle le fit immédiatement, se tournant vers la porte, elle vit les deux hommes entrer et leur fit face. Le petit garçon s'enferma dans le placard et essayais de le fermer totalement. Malheureusement il n'y arrivais pas, pas de l'intérieur. Il restait quelques millimètres de jour. Le petit garçon avait ainsi assisté à toute la scène, sa mère à genoux, le pistolet sur sa tempe et le cadavre qui gisant par terre, le sang qui coulait tout autours du corps inerte. Il n'avait que cinq ans.

« Corentin viens, on te ramène voir ton papa. Il a hâte de revoir son petit garçon. » Avait dit un des deux hommes en cherchant le gamin dans le petit appartement. Il regardait un peu partout, sachant bien qu'à cette âge là on pouvait se cacher dans les plus petits recoins, même ceux les plus improbables. Et voilà qu'il arrivait au placard. Le petit garçon se reculait, épousant la forme du mur. Corentin savait bien, il n'aurait pas le choix, il devrait rentrer à Marseille. Finit Paris et finit sa petite vie tranquille rien que lui et sa mère, maintenant il devrait supporter son père, sa violence et ses agissements insensés. Une vie qui le dégouttait rien que d'y penser.

Deux hommes, les mêmes qu'il y a dix ans, saisissaient le jeune brun, d'un côté chacun, le bloquant et lui interdisant tous mouvements brusques. « Ça sert à rien de fuguer comme ça, on te retrouvera toujours Corentin. » - « J'en ai rien à foutre ! Je me barre quand même. » Cracha t-il au visage de l'un des deux costauds. C'était sa troisième fugue du moins et sa douzième de l'année. Il ne supportait plus son père et tant qu'il le laisserait pas tranquille il continuerait à fuguer, autant de fois qu'il le faudrait. Heureusement son souhait allait être exaucé. Quelques semaines après son père lui annonça qu'il allait déménagé chez sa nouvelle compagne. Il vivrait avec ses deux filles, laissant seul son unique enfant dans la maison dans laquelle ce dernier avait grandit. Un soulagement pour Corentin qui n'allait désormais plus avoir à rendre des comptes à son père, un mac plutôt influent. Les filles pourraient défiler dans sa chambre et les soirées pourront continué jusqu'à l'aube. Il allait pouvoir vivre un peu plus, tout simplement.


Corentin suivit les ordres du policier et vint s'asseoir derrière la vitre glacée. Son visage était dénué de toutes expressions alors que celui de l'homme en face était emplie de pitié et d’amertume. Il tenait fermement le combiné et s'appuya légèrement sur le dossier, avant de lancer un « Tu me dégouttes ! Tu sais pas à quel point. » Il laissa un blanc de quelques secondes puis se redressa. « Tu sais ce qu'il va se passer maintenant ? » Questionna Corentin avec fureur. L'homme vêtu d'une combinaison orange secouait négativement la tête. Son fils levait le doigts sur le lui, comme pour le menacer. De toute façon, il ne pouvait plus rien faire derrière les barreaux, ou plus grand chose du moins. Il venait d'être condamné à perpétuité pour le meurtre de sa compagnie et le viole de la fille de cette dernière. Des actes que Corentin trouvait répugnants. « Je vais me casser, loin, le plus de toi que je pourrais. Tu te doutes sûrement de l'endroit où je vais mais j'en ai rien à foutre. Essaies pas d'envoyer quelqu'un pour me chercher parce que tu me reverras plus jamais sinon. Et bon, c'est pas comme si t'avais des millions d'amis et personnes de ta famille. » L'homme baissa la tête et soupira quelques paroles. « Tu es tout ce qu'il me reste mon fils. » Un éclat de rire sortait de la bouche du jeune Corentin. Il aurait semblé que que c'était de l'agacement. Son père essayait de l'amadouer, une fois de plus, et ça avait le don de le mettre hors de lui. Mais là, il se contrôlait, sachant pertinemment que c'était la dernière fois qu'il lui ferait ça. Il lui avait dit qu'il reviendrait mais ça ne serait sûrement jamais le cas. Il avait supporté cet homme, qu'il devait appelé son père, assez longtemps. Maintenant il était libre.

Paris, LA plus belle ville du monde, la ville dans laquelle il avait passé quelques semaines durant sa jeunesse, la ville de tous les espoirs et la ville d'un nouveau départ parfait pour Corentin. Ici, il pouvait tout recommencer, oublier son père, redécouvrir ce que sa mère lui avait montré avant d'être assassinée. Il pourrait sortir, se faire des amis, rencontrer des filles, baiser autant qu'il en aurait envie. Il rêvait de sa nouvelle vie depuis des lustre et l'y voilà enfin.

Il marchait dans les rues de la capitale, respirant l'air frais du mois de septembre à pleine bouche. Une brise légère vint s'abattre sur sa joue. Il se sentait vivant comme jamais, libre comme il le voulait depuis toujours.
Il s'approcha d'un bâtiment et saisit la clé dans sa poche. Malencontreusement celle-ci lui échappa des mains. Quelqu'un se pencha et lui tendit. « Un nouveau dans l'immeuble ? » Il releva la tête et pris la clé. La voix féminine et agréable allait parfaitement avec le corps de mannequin de le jeune brune qui se présentait devant lui. Il lui souriait et ouvrit la porte. Il lui fit signe de passer devant et la suivit. « Eh oui ! Tu t'appelles ? » - « Moi c'est Liberty. Mais on m'appelle Lily. Et toi ? » - « Corentin, c'est juste Corentin. » - « Si t'as besoin d'aide ma porte est ouverte. » - « Et si tu veux baiser mon lit est dispo. » La jeune femme stupéfaite par cette proposition incongrue, éclata de rire. C'était la première fois qu'on lui proposait ça de cette façon. Mais le marseillais était direct et n'aimait pas passer par quatre chemin quand il draguait. Elle était à son goût, pas besoin de faire le plan grand romantique, plages de sables chaud et chansons d'amours. « J'y penserais. » Lâcha t-elle en riant toujours. « Cool. » Le jeune homme lui accorda un dernier sourire et rentra dans son nouveau chez lui.

« Devines qui c'est ! » Le jeune homme cachait simplement les yeux de la jolie brune d'une main, la tenant par la taille de l'autre. La jeune ria quelques secondes, il lui avait déjà fait mille fois le tour depuis qu'ils se connaissaient mais pourtant elle ne s'en lassait jamais. Elle aimait qu'il la prenne ainsi dans ses bras, sentir ses mains douces contre sa taille la chaleur de sa peau contre son visage. Elle se pinça la lèvre et fit mine de réfléchir. Il était derrière elle mais comme toujours elle jouait le jeu à fond. « Hum... je sais pas j’hésite. Peut être serait-ce le marchand de journaux ? Oh, je sais tu es mon voisin charmant. » Dit-elle. Il la lâcha, exaspéré par ces réponses lâchées au hasard. La jeune femme se retourna vers son ami et se blotti dans ses bras. « Je t'aurais reconnu entre mille mon Corentin. » Chuchota Clémence à son oreille. Elle avait ce don de le faire sourire comme personne. Ils n'arrivaient pas à se l'avouer mais ce qu'il y avait entre eux c'était bien plus que de l'amitié. Il riait à toutes ses blagues même si elles n'étaient pas drôles et elle souriait dès qu'elle le voyait, sans cesse. Il prit sa main et entrelaça leurs doigts. « Viens je vais t'emmener dans un endroit magique. » Lança le brun à son amie. La jeune femme releva la tête de son torse et s'écarta légèrement de lui, défaisant leur étreinte. « On est déjà à Paris, tout est magique ici. » - « Mais là, c'est au-delà de tes espérances ma belle. ». Elle acquiesçait de la tête et le suivit sans hésiter. Elle avait pleinement confiance en lui et avait hâte de voir cette endroit exceptionnelle dont il parlait. Après un peu de marche et des marches montées, ils se trouvaient sur le toit d'un immeuble en plein Paris, sur le haut de la ville. La vue qui se trouvait devant eux était à couper le souffle. On voyait tout, le Sacré-Cœur, la Tour Eiffel, l'arc de triomphe, la Seine. Aucun monument parisien n'était caché. Pour une amoureuse de la ville comme Clémence, c'était plus qu'une belle surprise. Elle reviendrait sûrement un bon nombre de fois ici et elle obligerait Corentin à lui tenir compagnie. « Wahou ! Coco c'est juste wahou ! J'ai pas d'autres mots. » Il souriait, ravi que ce petit cadeau lui plaise. « J'étais sûr que t'allais aimé ma Clem. » Il s'assit sur le rebord et attira Clémence à lui pour qu'elle se pose sur ses genoux, ce qu'elle fit volontiers. Il l'encercla de ses bras et posa sa tête sur son épaule. La demoiselle se contenta de poser sa tête sur la sienne et de caresser sa main. Ils restèrent ainsi un bon bout de temps, sans bouger, à contempler la vue.

et alors, qu'est-ce qui t’arrive ? c'est l'inspiration qui n'est plus au rendez-vous ? c'est mal, vraiment, c'est mal, ça mérite limite une punition . n'empêche on est cool, regarde, on vient même te prévenir à l'avance. il te reste donc plus que deux jours pour finir ta fiche, passé ce délai, on se retrouve obligé de la déplacer dans la partie des présentations en danger. si c'est une question de temps, n'hésite surtout pas à nous demander un délai supplémentaire, on t'en accordera un avec plaisir. allez courage, on sait que tu peux le faire. n'hésite pas à contacter le staff si tu as d'autres questions.