Nikki-Rose ★ Si vous parlez à dieu, vous êtes croyant. S’il vous répond c’est que vous êtes schyzo.
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Sujet: Nikki-Rose ★ Si vous parlez à dieu, vous êtes croyant. S’il vous répond c’est que vous êtes schyzo. Ven 28 Déc - 14:17
Nikki-Rose JezabelCallman
Nom complet ▲ Nikki-Rose Jezabel Callman Lieu de naissance ▲ New York âge ▲ 22 ans nationalité ▲ américaine diplômes, études ▲ diplômée de Columbia métier ▲ chroniqueuse dans un magazine féminin statut matrimonial ▲ célibataire orientation sexuelle ▲ hétérosexuelle situation financière ▲ plutôt aisée idole(s) de vie ▲ Miranda Priestly dans The Devil Wears Prada, Margaret Thatcher (a). nombre d'amis facebook ▲ 436 il y a deux heures. moyen de déplacement ▲ taxi ou transports en commun, mais elle songe à s’acheter une voiture très prochainement, question de vie ou de mort selon elle groupe ▲ Gagnants Perdants avatar ▲ Troian Avery Bellisario-Pratt
l'horaire d'la journée
DE 8H00 à 12H00▲ Nikki se lève à 8h03 chaque matin. Pas une minute de plus au lit, hors de question. Elle avance d’ailleurs toutes ses pendules de trois minutes ; quand on lui demande pourquoi pas cinq, elle dit que si les gens s’attendent à de la ponctualité, c’est un véritable enfer. Elle avale un thé en consultant ses mails, puis part de chez elle à 9h03. Elle se rend ensuite habituellement dans les locaux de la rédaction du journal, un trajet en taxi qui lui prend entre trente et quarante-cinq minutes. Elle assiste à la réunion quotidienne jusqu’à onze heures puis travaille en solitaire dans son bureau. Depuis son arrivée en France, elle travaille la plupart du temps dans son appartement, de huit neuf heures environ à midi.
DE 12H00 à 14H00▲ Vers midi et demi, elle sort de chez elle pour aller acheter à manger ; notre brune déteste faire la cuisine. Elle rentre ensuite manger chez elle quand elle ne déjeune pas sur place.
DE 14H00 à 17H00▲ Elle se débrouille pour faire des recherches entre quatorze et quinze heures trente. Ensuite elle s’autorise quartier libre le reste de l’après-midi.
DE 17H00 à 20H00▲ C’est assez aléatoire ; elle peut se trouver chez Zadig et Voltaire comme chez elle en train de se repasser des épisodes de Friends.
DE 20H00 à 24H00▲ Elle reste souvent chez elle, pour la simple et bonne raison qu’elle ne connait personne pour l’instant.
DE 24H00 à 8H00▲ Elle dort bien évidemment. Ou alors elle bouquine quand elle n’arrive pas à dormir. Ou, dernier cas de figure, elle bosse.
l'heureux propriétaire
Prénom ▲ Camille Pseudo ▲ PINGUS. âge ▲ 16 ans pays ▲ France j'ai connu ollp grâce à .. ▲ PRD ou bazzart suis-je un ex-membre, un dc, ou un petit nouveau? ▲ nouvelle l'type de lien que je préfère ▲ les liens love compliqués ou les liens familiaux tordus ma chanson du moment ▲ We're never ever getting back together, Swift. ma fréquence de connexion ▲ 5j/7 et mon super mot d'la fin .. ▲recenser son avatar ▲
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<span class="pris">Troian Bellisario</span> ◈ Nikki-Rose J. Callman
Dernière édition par Nikki-Rose J. Callman le Ven 28 Déc - 14:41, édité 1 fois
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Sujet: Re: Nikki-Rose ★ Si vous parlez à dieu, vous êtes croyant. S’il vous répond c’est que vous êtes schyzo. Ven 28 Déc - 14:18
Part I.
« Caleb, mon trésor, laisse ton frère tranquille … Nicki ma chérie, peux-tu s’il-te-plaît donner sa tétine à Oxford ? », s’angoissa ma mère en repoussant derrière son oreille une mèche qui s’était échappée de son chignon dans son agitation. Elle s’accroupi pour ramasser un bol en plastique que mon petit frère venait de renverser. La gamine de six ans que j’étais finit par trouver la tétine en question et la fourra dans la bouche gazouillante de mon petit frère, qui gigotait joyeusement dans sa chaise haute. Ma mère enfourna les bols dans le lave-vaisselle et souleva Caleb de sa chaise haute en le glissant sur sa hanche. Alors que je glissais au bas de ma chaise, ma mère me saisit par le poignet et m’entraîna dans son sillage en s’écriant « Vite Nicki, on va être en retard ! ». Nous étions arrivés dans la voiture et maman sanglait Caleb dans son siège-auto, avant de repartir à toute vitesse dans la maison pour en ressortir aussi vite, un sac à langes dans chaque main, et de les fourrer dans le coffre de la voiture, qu’elle referma lourdement. Je me débattais avec mon manteau pour l’enfiler, quand ma mère, à peine assise dans la voiture, poussa un hurlement strident. « Mon Dieu, Oxford ! », s’écria-t-elle en jaillissant de la voiture pour se précipiter dans la maison, qu’elle avait de toute façon oublié de refermer à clé. Elle en ressortit quelques secondes à peine plus tard, mon petit frère dans les bras, ouvrit la portière à ma droite et sangla Oxford dans son siège. Une fois derrière le volant, elle énuméra en marmonnant toute la liste des choses qu’elle avait faites depuis ce matin. Pour une habituée comme moi, tout ce cirque n’avait plus rien de déroutant. J’étais née dedans. Ma mère était un tourbillon à elle seule. Elle faisait des millions de choses à la fois, mais elle finissait par en oublier la moitié. Elle était tête-en-l’air et perdait en moyenne un double de clés, que ce soient celles de la voiture ou de la maison, par mois. Mon père criait parfois, mais il finissait par en rire, parce que finalement, ça n’était pas bien grave. Et surtout parce qu’il l’aimait terriblement, comme au premier jour. Le soir-même, ma mère arrivait en retard pour me chercher à l’école, mais j’étais soulagée de voir qu’elle n’avait pas oublié les jumeaux, qui gazouillaient dans leurs sièges-auto.
Blottie contre mon oreiller, je regardais la rue au-dehors et les voitures traversant la ville, feignant de ne pas entendre les éclats de voix qui raisonnaient quelques pièces plus loin. La porte s’ouvrit doucement, et les jumeaux entrèrent dans ma chambre, la bouille inquiète. Il était impossible de distinguer qui des deux était Caleb ou Oxford. J’étais la seule à faire la différence. Oxford avait plus de malice dans le regard et je savais quand c’était lui qui faisait les bêtises, même quand Caleb entrait dans le jeu de son frère jumeau pour semer le trouble. « On peut entrer ? », demanda Caleb. Je hochai la tête et Oxford referma la porte doucement. Les jumeaux escaladèrent le lit et il y eut un silence. « Maman a l’air très en colère », dit Caleb d’une petite voix. « Papa aussi », ajouta Oxford. « Maman est fatiguée, répliquai-je. Et papa… Papa aussi ». Les jumeaux échangèrent un regard alors que les échos de la dispute redoublèrent d’intensité. J’avais menti. Enfin, partiellement. Le sujet de la dispute était le même depuis des mois. Maman n’arrivait pas à jongler avec son boulot et nous, papa lui disait qu’elle n’avait qu’à pas reprendre son boulot, maman disait que l’argent ne tombait pas du ciel alors il fallait bien qu’elle travaille…etc. Notre mère sombrait peu à peu dans l’hystérie au fil des mois, et papa avait de plus en plus de mal à supporter qu’elle le rabaisse en permanence. Il avait aussi très peur qu’elle finisse par oublier l’un de nous quelque part, étant donné qu’elle était toujours aussi tête-en-l’air. C’était une chaîne sans fin, et la plupart du temps je m’endormais avant qu’ils n’aient fini de se disputer. Résultat je ne savais jamais comment ça finissait.
Part II.
Je rentrais à peine de l’école. Maman m’avait oubliée, alors la voisine, qui venait récupérer son fils à l’école, m’avait gentiment ramenée. Des cris raisonnaient dans l’appartement. Je finis par comprendre que ça venait de la chambre de papa et maman. La porte était fermée, mais les cris étaient tellement forts qu’on l’aurait cru ouverte. « …Lizzie ! CALME-TOI ! », s’époumonait mon père. « Tu ne comprends pas ! JE REFUSE DE PARTIR ! », hurlait ma mère, d’une voix suraigüe. Je fis un bond en arrière quand quelque chose fut jeté au sol et explosa en mille morceaux dans un grand fracas. Un vase, à en juger par le bruit. « Lizzie, tu ne peux pas rester ici ! Tu as besoin de soins ! », explosa mon père. Un cri aigu, tranchant comme une lame de rasoir, retentit. « LACHE-MOI Philipp ! LACHE-MOI » Ses paroles se transformèrent en cri sur la dernière syllabe. Il aurait certainement fait exploser la vitre derrière moi si la porte avait été ouverte, j’en étais persuadée. « Tu es ingérable ! Tu veux faire du mal à Nicki ? A ta fille ? Et Oxford ? Tu y penses à ce petit ? », insista mon père. STOMP. Le bruit de quelqu’un se jetant à genoux à terre. Des sanglots retentirent. « Non… », murmura ma mère dans un hoquet. « Cette clinique fait des merveilles », assura mon père d’une voix douce. Puis, tout sembla voler en éclat. Le silence n’avait duré que quelques secondes. Mais déjà, la crise reprenait. « NE ME TOUCHE PAS ! NE ME TOUCHE PAAAS !! » A nouveaux les cris suraigus, cette folie dans la voix. Le bruissement des tissus indiquaient clairement qu’elle se débattait. « JE NE VEUX PAS ! LACHE-MOIII !! » « Pense à Nicki… Pense à ta fille… », s’exclama mon père, d’une voix suppliante. Et le silence. La respiration saccadée, les sanglots. « Dis-leur que je les aime… », murmura ma mère dans un nouveau hoquet. Ma respiration s’était accélérée comme jamais. Mon cœur tambourinait. Je ne pouvais plus rester ici. Je fis demi-tour et m’enfuis en courant, refermant derrière moi la porte de ma chambre. J’étais encore petite, mais je savais que maman n’irait pas mieux sans aller dans cet endroit. Elle n’avait pas supporté la mort de Caleb. Ca faisait trois semaines qu’il était mort, mais ça devenait de pire en pire chaque jour. Tous les jours ses crises augmentaient en intensité. Elle me faisait peur quand même. Maman devenait folle. Elle refusait de lâcher des yeux Oxford plus d’une minute. Elle avait tellement peur qu’il parte, comme Caleb était parti. Elle s’en voulait, parce que ce jour-là, elle avait dû déposer Caleb chez la gardienne pour filer en vitesse au théâtre où elle travaillait à cause d’une urgence dans la répétition. Et puis la gardienne l’avait appelée en hurlant et en pleurant. Caleb avait arrêté de respirer dans son sommeil. Comme ça. Pour toujours. On appelait ça la mort subite du nourrisson. Et pourtant il avait cinq ans.
Part III.
« Oxford ! Hé, du genou, réveilles-toi ! », m’écriai-je. Oxford poussa un grognement et enfonça un peu plus la tête dans l’oreiller, faisant mine de ne pas entendre. Mais je savais très bien qu’il le faisait exprès, et je n’avais pas le temps d’attendre qu’il se décide enfin à bouger. J’attendis environs cinq secondes, les mains sur les hanches, fulminante, avant de trouver quelque chose pour le réveiller pour de bon. J’attrapai le vase posé sur la table basse, virai les fleurs sans aménité, et renversai tout le contenu du vase sur la tête de mon cher frère, qui se leva en sursaut. « Hé, mais t’es malade ! Pourquoi t’as fait ça ? », s’écria-t-il en secouant la tête pour faire sécher ses cheveux noirs plus vite. « Pourquoi ?! Allôôôô ça fait huit mois que tu squattes mon canapé, monsieur ‘’je-vais-trouver-un-truc-vite-fait-t’inquiètes’’ ! », hurlai-je, furieuse. « Je fais ce que je peux », marmonna Oxford en contemplant son tee-shirt trempé avec dégoût. « Ah oui, alors tu m’expliques pourquoi l’historique de ton ordinateur ne révèle aucune recherche d’un quelconque endroit où vivre ? », répliquai-je, en croisant les bras. « T’as pas à fouiller mon ordi ! », s’indigna Oxford, la mine outragée. « Oh, arrête un peu, c’est toi qui me l’a prêté la dernière fois et tu m’as toi-même dis de chercher le site de la banque dans ton historique ! », répliquai-je en levant les yeux au ciel. Mon frère retira son tee-shirt et le fixa en soupirant. « T’as vu un peu tes conneries ? Viens pas me demander de laver le canapé ! », bougonna Oxford. « C’est ça ! », soupirai-je en me dirigeant vers la cuisine. Je l’entendis pénétrer dans la salle de bain et l’eau couler dans la douche. Il était temps que mon cher petit frère prenne son existence en main, et cesse de croire que sa grande sœur serait toujours là pour l’héberger. Bon, en même temps, c’était vrai. Jamais je ne pourrais lui refuser l’hospitalité, il était quand même la personne que j’aimais le plus au monde. Mais le fait était que ça faisait huit mois maintenant qu’il squattait mon canapé sans même se sentir concerné par le fait de trouver un appartement ailleurs. Je m’activais dans la cuisine, avec des gestes presque mécaniques du fait de leur répétition quotidienne, attrapant des tasses, une noire et une blanche, les posant sur le comptoir et versant du café dans la noire. Oxford émergea de la salle de bain, en simple caleçon, une serviette sur les épaules et ses cheveux noirs dégoulinant, et s’assit sur un tabouret en saisissant la tasse que je venais de remplir. « Tu mets de l’eau partout », pestai-je. Il haussa les épaules et se mit à siroter son café. « Tu en veux ? », proposa-t-il en tendant la cafetière au-dessus de ma tasse blanche, restée vide. Je fis la grimace. « Non merci. Tu sais très bien je n’en bois plus une goutte, ça me donne envie de vomir », répondis-je avec une moue dégoutée. Ca faisait deux mois que j’avais arrêté de boire du café. J’en avais tellement bu, jour et nuit, pour toujours être plus efficace, et toujours repousser la limite du sommeil pour bosser encore et toujours plus que j’étais devenue insomniaque durant plusieurs semaines. Le médecin avait fini par me prescrire des somnifères juste pour que j’arrête de le harceler, le manque de sommeil me rendant complètement hystérique. Et puis finalement, le sommeil était revenu et j’avais arrêté la caféine. Je poussai un cri strident lorsque mon regard tomba sur l’horloge de la cuisine. « C’est l’heure ça ? Merde, je suis à la bourre ! », jurai-je en attrapant ma veste posée un peu plus tôt sur le bout du comptoir, donnant une tape amicale sur l’épaule de Oxford au passage. « Ton job va te rendre cinglée ! », commenta mon frère de la cuisine au moment où la porte se refermait derrière moi. Je lui aurais probablement rétorqué qu’il ne savait pas de quoi il parlait lui qui ne faisait rien ou presque de sa vie, mais non seulement j’étais sérieusement en retard, et surtout, il avait raison.
Part IV.
« Mais merde Oxford, t’as pensé aux conséquences ? », hurlai-je, furieuse. « Hé, ho ! Tu vas arrêter de hurler ? Tu crois que je n’y ai pas pensé ? », explosa-t-il à son tour. Nous nous faisions face dans le salon. « Oui, Miss Parfaite, j’y ai pensé, j’ai envisagé toutes les possibilités, et je n’ai pas choisi qu’Iris tombe enceinte ! » « Tu n’as peut-être pas choisi, mais tu y as contribué figure-toi ! Quand tu couches avec quelqu’un, à moins d’être demeuré, tu prends tes précautions, sinon tu te retrouves dans la pire situation, ou plus exactement la tienne aujourd’hui ! Si elle est tombée enceinte, c’est ta faute frangin, et il n’est pas question que tu ruines ta vie pour ça ! » « Je ne vais pas forcer Iris à avorter ! Qu’est-ce que tu en sais, c’était peut-être mon destin d’être un père ado ! » « Ton destin, tu peux choisir ce que tu veux en faire, bougre d’abruti ! Tu peux décider de réparer une erreur qui va te suivre toute ta vie ! Je refuse que tu ruines ta vie pour ça, t’as que dix-huit ans ! M’oblige pas à te foutre dehors pour que tu réalises ton erreur et que tu reviennes à la raison ! » J’avais joué ma dernière carte. Je ne pouvais plus qu’espérer qu’il saisisse la chance que je lui tendais pour renoncer à cette idiotie. « Te donnes pas cette peine, je me tire », dit-il finalement en haussant les épaules. « Oxford ! OXFORD ! » Il venait de quitter la cuisine lorsque je me ruai dans le couloir, mais il faisait la sourde oreille. « OXFORD, je te jure si tu franchis cette porte, tu ne remets PLUS JAMAIS les pieds ICI ! », hurlai-je de toutes mes forces. La porte claqua. C’était il y a presque un an.
Dernière édition par Nikki-Rose J. Callman le Ven 28 Déc - 14:21, édité 1 fois
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Sujet: Re: Nikki-Rose ★ Si vous parlez à dieu, vous êtes croyant. S’il vous répond c’est que vous êtes schyzo. Ven 28 Déc - 14:19
bienvenue parmi nous. si tu as besoin de quoique ce soit, n'hésites pas à contacter le staff.
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Sujet: Re: Nikki-Rose ★ Si vous parlez à dieu, vous êtes croyant. S’il vous répond c’est que vous êtes schyzo. Ven 28 Déc - 14:22
Merci
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Sujet: Re: Nikki-Rose ★ Si vous parlez à dieu, vous êtes croyant. S’il vous répond c’est que vous êtes schyzo. Ven 28 Déc - 14:25
miranda dans l'diable s'habille en prada, muahaha bienvenue
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Sujet: Re: Nikki-Rose ★ Si vous parlez à dieu, vous êtes croyant. S’il vous répond c’est que vous êtes schyzo. Ven 28 Déc - 15:21
bienvenue
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Sujet: Re: Nikki-Rose ★ Si vous parlez à dieu, vous êtes croyant. S’il vous répond c’est que vous êtes schyzo. Ven 28 Déc - 15:50
BIENVENUE SUR OLLP
T'es canon, t'as fini ta fiche et on peut officiellement tebouffer, te considérer comme un sexy ollpiens. Évidemment, on va pas t'laisser comme une âme en peine va, si tu peux dès à présent rp, tu peux et dois également gérer les différents services et demandes à ta disposition dans le coin approprié comme faire une demande de logement ou participer à la vie du forum si tu as des idées à proposer. Histoire de ne pas être forever alone, on te conseille de ne pas hésiter à envoyer des MP aux autres membres afin de commencer un sujet ou de se trouver un lien. D'ailleurs, si tu as envie de laisser faire le hasard, n'hésites surtout pas à faire une demande de RP ici. Tu peux également avoir une fiche de lien et répertorier tes différents sujets. D'ailleurs, n'oublie pas qu'en choisissant ton groupe tu as été automatiquement placé dans une équipe et que tu vas ainsi pouvoir gagner un tas de points pour elle, si tu veux plus d'information, viens donc faire un tour ici. Si tu as envie de rendre la vie de ton personnage plus excitante tu peux posséder un téléphone, un journal intime ou encore utiliser le système de mini-rp pour aller plus vite. De plus on te conseille fortement de te rendre régulière sur il parait que pour suivre les potins et en poster à ton tour. pour finir et parce qu'on t'as vachement assommé (mais là on veut bien te soigner ) consultes régulièrement le tumblr du forum pour être au courant des news. Pas besoin de te préciser que la chatbox, le flood et notre boite mp est grande ouverte, surtout n'hésites pas, le plus important, c'est vraiment que tu sois bien et heureux parmi-nous. aller encore bienvenue, on est ravis de t'avoir, maintenant on te lâchera plus, c'est fini pour toi
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Sujet: Re: Nikki-Rose ★ Si vous parlez à dieu, vous êtes croyant. S’il vous répond c’est que vous êtes schyzo.
Nikki-Rose ★ Si vous parlez à dieu, vous êtes croyant. S’il vous répond c’est que vous êtes schyzo.