Journée épouvantable pour le petit 'Laric qui a eu du mal à joindre les deux bouts. Des clients agressifs, une affaire incompréhensible, une envie d'alcool et de se détendre. Non vraiment, une mauvaise journée pour le jeune homme. Heureusement pour lui, elle passa relativement vite. Déjà vingt heures trente, l'heure de rentrer. Alaric prit la voiture et se rendit directement à son appartement. Il comptait bien se détendre de sa journée catastrophique mais avant, il avait deux ou trois petites choses à faire chez lui. Cherchant un papier important pendant environs quarante cinq minutes, le jeune homme devait mettre la main sur ce papier. C'était la clé de son affaire, un seul bout de papier qui pouvait lui épargner des heures de travail. Enfin il le trouva. Alaric le posa religieusement sur sa table basse et prit son paquet de cigarette. Non il n'était pas un gros fumeur mais quand il était stressé, il aimait s'en griller une de temps en temps. Il apporta la clope à sa bouche et l'alluma à l'aide d'un briquet posé non loin de là. La première bouffée fut comme une libération pour lui. Il laissa la fumée pénétrer son corps avant de la recracher délicatement. Comme c'était bon, ça lui semblait tellement bon. Le beau brun posa sa tête sur le canapé et ferma les yeux. La fatigue commençait à le gagner, en même temps, il était afféré par ses affaires et ne dormait pas beaucoup la nuit. Pas étonnant qu'il ai des coups de fatigues comme ça. Quelques minutes après, Alaric se réveilla en sursaut, il s'était affaissé un peu. Petit coup d'oeil à l'horloge, le voilà d'attaque pour une soirée de folie. Non, pour une fois il n'allait pas voir Anastasia. Pourquoi ? Simplement parce qu'elle ne donnait plus trop de nouvelles. Ce n'était pas toujours à lui de faire le premier pas et même si ça lui brûlait les doigts de l'appeler, le jeune homme ne voulait pas passer pour un accro à elle. Petite douche vite fait, Alaric prit rapidement la direction de la boîte de nuit. En temps normal, il serait passé par le bar avant mais là, il avait juste envie d'oublier sa journée et de se détendre. Ce n'était pas un grand danseur mais les boîtes de nuits révélaient parfois de véritables petites merveilles. Le beau brun se prépara rapidement et arriva sur les lieux. Etant assez connu dans les environs, le vigile le laissa entrer sans émettre la moindre opposition. Fier, Alaric prenait son air supérieur, son air de dragueur, comme il savait si bien le faire. Il traversa les jeunes pour aller s'accouder au bar. Saluant le serveur, il commanda un verre. Il regardait les autres danser, la foule bouger et là... il vit Anastasia. Inutile de vous dire qu'Alaric est de nature très jaloux et même s'ils ne sont pas officiellement ensemble, il considère sa douce comme SA propriété. Elle était à lui et à personne d'autre. Prit de rage, Alaric décida d'aller les voir. S'imposer était son mot d'ordre. Le jeune homme aimait bien se battre, il aimait bien le contact physique et quand on le cherche, on le trouve. Une fois à leur hauteur, 'Laric attrapa Ana par la main et l'emmena un peu plus loin.

« Pas touche. » dit-il, d'un air mauvais.

Emmenant sa douce un peu plus loin, Alaric alla s'asseoir sur l'une des banquettes et fit signe au serveur de venir. Non il ne faisait pas la gueule, il restait juste perplexe d'être remplacé aussi vite. Bien sur, ça lui arrivait de danser coller-serré avec des filles mais, ce n'était pas pareil. Jaloux et possessif, décidément, la liste des défauts s'allonge on dirait.

« On s'amuse bien à ce que je vois. » dit-il en levant les yeux au ciel et en affichant un petit sourire de coin.

A peine vexé le petit 'Laric. Anastasia devra se rattraper parce que là, c'était limite. Malgré tout, il ne lui en voulait pas, il était content de la voir et comptait bien profiter d'elle.

Vexé ? Ce petit bonhomme serait vexé ? Effectivement, c'était une solution envisageable. Depuis tout petit, Alaric était du genre jaloux, ses affaires étaient ses affaires et pas touche. Hors de questions qu'on lui vole ses affaires, cet égoïste de première n'aimait pas qu'on touche à ce qui lui appartient, c'est stupide mais c'est comme ça. Le beau brun regarda Anastasia prendre place juste à côté d'elle et forcément, elle n'était pas vêtu d'un jean et d'un pull. Non, non, elle avait la petite robe bien courte, laissant apparaître ses cuisses de rêves et ses formes généreuses. Le jeune homme leva les yeux au ciel en la voyant. Elle était tellement belle, tellement séductrice, comment ne pas lui résister. Ana était sexy, elle le savait et elle en profitait. Après tout, Alaric ne pouvait pas la changer, elle restait une escorte-girl et même s'il lui avait demandé d'arrêter sa deuxième profession, ça lui manquait peut-être. Il ne voyait pas comment un tel métier pouvait lui manquer et d'ailleurs, il ne voulait pas se poser trop de questions. Imaginez un peu le nombre d'hommes qu'elle a du rencontré, du plus respectable au plus pervers. Rien que le fait de l'imaginer avec des hommes, rien que pour un peu d'argent, le mettait hors de lui. Bref, nous ne sommes pas là pour parler de son ancien métier parce que sans lui, Alaric ne l'aurait jamais rencontré. La belle brune lui demanda alors si elle l'avait vexé ? Hum, non ou du moins pas tant que ça. Soyons clair, le jeune homme ne comptait pas se rabaisser à ça.

« Certainement pas, c'est juste que je n'aime pas partager. » se contenta-t-il de répondre.

Anastasia posa alors délicatement sa main sur le torse du beau brun. Un sourire satisfait s'afficha sur son visage, elle allait se faire pardonner. Un frisson lui parcouru le corps, l'image qu'il avait d'elle avec ces hommes, semblait tellement loin maintenant. Leur relation était tellement fusionnelle et tellement indéterminé à la fois. Alaric posa sa main sur la cuisse de la belle brune, sa peau était chaude, ça annonçait une bonne soirée ça. Le beau brun posa sa main sur la joue de la brunette et laissa glisser son doigt jusqu'au creux de sa poitrine avant de reporter son attention sur ses lèvres. L'envie d'elle, de ses lèvres, de capturer sa peau, de goûter au plaisir charnel. 'Laric approcha son visage du sien et effleura ses lèvres.

« Tu vas me rendre fou. » murmura-t-il, sans quitter ses lèvres.

Leurs souffles se mélangeaient, leurs lèvres se frôlaient, le désir grimpait. Le serveur arriva à leur table, coupant Alaric dans son élan. Il leur demanda ce qu'ils voulaient boire, le jeune homme demanda une bouteille de très bon champagne et deux coupes. Au diable les autres, 'Laric voulait passer la soirée avec sa belle. En attendant le serveur, le beau brun passa son bras derrière Anastasia et afficha un sourire dragueur.

« J'ai le droit de te kidnapper le temps de cette soirée ? Tu avais d'autres projets peut-être ? » dit-il en caressant délicatement son cou.

De toute façon, même si Anastasia avait d'autres projets pour ce soir, il la kidnappé. Pas la peine de chercher des excuses bidons, elle passera la soirée avec lui, un point c'est tout. Alaric était fier de son petit numéro, ainsi, il évité à d'autres hommes de s’intéresser à elle mais surtout à elle de s’intéresser à d'autres hommes. Leur relation était déjà bien compliqué comme ça. En quoi était-elle compliqué d'ailleurs ? Un homme et une femme qui s'aiment et qui passent de bons moments ensemble, est-ce compliqué ? Non mais le problème vient du caractère du petit 'Laric. Il n'est pas très doué pour mettre des mots sur ce qu'il ressent et avec son égaux sur dimensionné, il préfère se taire plutôt que de lui dire " je t'aime " Et oui, ces trois petit mots si innocent qui l'engage à tant de chose. Le jeune homme était du genre irresponsable et ne voulait pas se caser et devenir sage. Il avait peur de son infidélité mais aussi de celle d'Anastasia. Après tout, elle a été habitué à faire un deuxième métier peu orthodoxe. Et si elle aimait ça, se donner aux autres pour de l'argent ? Non, non, leur relation était un terrain trop glissant pour pouvoir s'engager. Pourtant, Alaric rêvait de former la petite famille parfaite mais il savait très bien qu'il était encore trop jeune et trop instable pour ça. Le serveur revint quelques minutes après, avec une grosse bouteille de champagne et deux coupes. C'était exactement ce qu'il avait demandé, tout était parfait. Alari tendit un billet au serveur et lui fit un clin d'oeil. Le genre de clin d'oeil qui voulait dire " Gardez la monnaie." Le jeune homme dépensait sans compter, après tout, il n'allait pas garder l'argent dans sa tombe. Son but était de profiter de la vie et pour ça il ne fallait pas s'arrêter à l'argent. Une fois le serveur parti, Anastasia s'installa sur Alaric. Sa robe se souleva un peu, laissant apparaître d'avantage ses cuisses de rêves. Le beau brun n'en perdit pas une miette, il posa délicatement ses mains baladeuses sur ses cuisses.

« Tu es tout à moi ? Hum, intéressant. Je saurai m'en souvenir. » dit-il, en se laissant embrasser.

L'intensité de baisers, la chaleur qui montait, ils avaient beau être dans une discothèque, pour Alaric ils étaient seuls au monde. Le jeune homme s'abandonnait sous les baisers langoureux et passionnés. Il serrait sa cuisse, parcourant sa peau nue. La tentation ultime, l'envie d'elle, de son corps de rêve, la faire sienne une nouvelle fois. Heureusement qu'ils étaient un peu éloignés du centre de la boite parce que sinon, ça pourrait en choquer plus d'un. Ils se détendaient ensemble, la promesse d'une journée bien remplie. 'Laric n'était qu'un homme et les réactions se firent sentir rapidement. Elle n'était pas nue, certes, mais il ne pouvait que l'imaginer avec la vue imprenable qu'il avait. Le jeune homme passa ses mains sur ses fesses, la tentation était trop grande, il savait qu'il ne pouvait pas lutter contre elle. Alaric posa ses lèvres sur son cou, il effleura sa poitrine du bout des doigts. Cette peau qui l'appelait à nouveau, cette déesse qui l’enivrait de désirs. Leurs baisers étaient remplis de passion, de gourmandise, d'envie, de désir, de passion. Bref, tant de mots pour exprimer une relation aussi complexe que la leur.

« Anastasia, tu es une vraie tentatrice. » lui murmura-t-il.

Elle la charmait, c'était une évidence. Alaric devenait fougueux, excité, il avait du mal à se contenir. Un ballet de langue s'engagea entre les deux amants. Pas besoin de parler, ils laissaient parler leur envie, leurs sentiments à travers ces baisers. Les mains du jeune homme s'activaient sur elle, le plaisir de la découvrir encore une fois, de se familiarisé avec son corps, comme s'il n'en avait jamais assez, il en voulait toujours plus.

« J'ai envie de toi, là maintenant, tout de suite. »

Alaric se perdait dans ses baisers, c'était trop pour lui, il ne pouvait pas résister à une telle femme, à une telle tigresse. C'était contre nature. Si ça ne tiendrait qu'à lui, il lui enlèverait cette fichue robe de suite et sauterai dessus comme un sauvage. Un peu de tenue mon cher 'Ric, tout de même!

Comment voulez-vous résister à une telle femme, c'est quasiment impossible. Elle était le désir incarné, elle représentait la sensualité, la beauté, que dis-je, la perfection. Voilà comment Alaric la voyait. Pour lui, elle avait toutes les qualités qu'il pouvait rechercher chez une femme. Elle était douce avec un sacré caractère, elle savait se montrer torride quand il le fallait, elle lui faisait tourner la tête et sans oublier le physique de rêve. Admettons-le, Anastasia était parfaite à son goût, ni trop, ni pas assez. Vous pensez bien qu'une telle femme, il n'allait pas la laisser filer comme ça. Fermant les yeux pour mieux profiter de l'instant magique qu'elle lui offrait, Alaric s'imaginait tout un tas de chose dans sa tête. Il faut quand même avouer qu'il peut avoir un imaginaire particulièrement développé pour ces choses là. Ne vous y méprisez pas, il est loin d'être un pervers ou un gentil bonhomme . Certes il lui ai arrivé de jouer avec certaines filles mais ce n'était jamais bien méchant. Il était honnête dans ce qu'il faisait, pas d’ambiguïté. Anastasia était fixé avec lui, elle savait à quoi s'attendre mais dans un sens, il ne la forcé pas. Au début, elle s'est peut-être forcé, quand il venue la voir la deuxième fois mais après, il n'avait pas l'impression d'être un poids pour sa douce. Du moins, c'était le sentiment qu'il avait, en aucun cas elle semblait non consentante. A la voir sur lui, comme ça, en pleine boîte de nuit, c'était sur. Alaric laissait ses mains baladeuses sur elle, la parcourir, sentir sa peau nue. C'était excitant, il était excité, il ne pouvait pas le nier, ça se voyait énormément. Mais qu'importe, il ne s'en cachait pas, bien au contraire. Il lui prouvait ainsi qu'il avait très envie d'elle, qu'il la désirait plus que tout. C'était réciproque, plus aucuns doutes là dessus. Anastasia avait passé sa main sous le t-shirt du beau brun. Elle jouait avec lui, tout comme il jouait avec elle. Ils se cherchaient mutuellement. C'était un jeu, un petit jeu auquel Alaric ne mettait, en général, pas trop de temps avant de céder. Il était faible contre elle et ça, il s'en foutait royalement. Même si en temps normal, le jeune homme aimait dominer et avoir l'avantage, avec sa tigresse, il ne pouvait que dominé. Dans tous les cas, elle pouvait en faire ce qu'elle en voulait. Elle lui proposa d'aller directement à son appartement. Une proposition qu'il n'allait certainement pas refuser mais bon, Alaric avait envie maintenant. Le temps de prendre la route et d'arriver chez elle, autant dire que le désir allait certainement vite redescendre. Dans le genre capricieux, il marquait des points.

« Rien que toi et moi ? Ce n'est pas une offre qui se décline. » répondit-il, un sourire satisfait sur ses lèvres.

Puis, Anastasia lui proposa autre chose, elle le laissera l'enduire de champagne et lécher tous son corps. Le beau brun leva les sourcils et ne quitta pas son petit sourire au coin de ses lèvres. C'était la première fois qu'on lui faisait une telle proposition, c'était pour le moins original mais ça risquait d'être collant. Bref, nous verrons ça, une fois chez elle.

« Qu'est ce qu'on attend alors ? »

Se redressant, la jeune femme se leva, suivis de prés par Alaric qui ne perdait pas une miette de tout ce petit spectacle. Délicatement, elle descendit sa robe qui était un peu trop remonté. Pure provocation. Il la regardait, se mordillant légèrement la lèvre inférieur. Elle allait le rendre dingue, c'était obligé. En route vers la sortie, 'Laric attrapa la bouteille de champagne et sa veste au passage. Quelle question, il n'allait pas laisser là. Anastasia commença à avancer, suivis par Alaric qui admirait sa démarche. Ils passèrent à côté des deux hommes de tout à l'heure, qui semblaient avoir trouvés une nouvelle proie. L'un d'entre eux croisa le regard de sa belle, puis d'Alaric. Ce dernier lui afficha un regard noir, suivis d'un petit sourire mesquin. Qu'il pouvait être mauvais ! Une fois dehors, le vent vint se plaquer contre eux, il faisait quand même bien froid. En vrai gentleman qu'il était, Alaric mis sa veste sur les épaules d'Anastasia. Comme quoi, il pouvait se montrer romantique, parfois. Il se mis juste devant elle, posa ses mains sur ses hanches et l'attira vers lui.

« Ça serait dommage que tu te refroidisse. » dit-il subtilement, avec un air taquin.

Il était difficile de résister à l’attraction charnelle entre deux là. Le désir commençait à redescendre petit à petit, laissant place à un moment un peu plus tendre. Doucement, Alaric la prit dans ses bras et l'enlaça tendrement. Il adorait l'avoir contre lui. Pourquoi s'être arrêté ? Aucune idée, il avait juste envie dans ses bras, la sentir blottit contre lui. C'était un peu stupide de s'arrêter en si bon chemin mais qu'importe, l'excuse de la veste n'était qu'un prétexte pour avoir un tendre câlin.

« On y va ? » demanda-t-il en attrapant sa main et en se dirigeant vers chez elle. Par chance, ce n'était pas bien loin.

Ma patronne ne sais toujours pas vraiment pourquoi, j'ai décidé de mettre ma carrière d'escorte en suspens, au fond de moi je sais pourquoi j'ai accepté si facilement de mettre en suspens une carrière, 'Ric compte beaucoup plus pour moi que je veux bien l'admettre, puis si je raconte ça à ma patronne elle va se mettre à surveiller toutes mes collègues et elles n'ont pas vraiment besoin de ça. Alaric est le premier homme, depuis Mathys, à me faire ressentir de la passion, des doux frissons quand sa peau effleure la mienne, cet immense sentiment de jalousie dès qu'une fille l'approche un peu de trop près, ce sentiment de bien être quand je suis blottie contre lui... Il me fait ressentir énormément de chose qu'il serait vraiment impossible de toutes les décrires, mais bien évidemment dans tout ses sentiments, il y a en tout premier lieu l'amour... Vous allez dire que je tombe amoureuse facilement, mais je vous arrête c'est faux, 'Ric est le seul homme a avoir réussi a se frayer un chemin jusque là. Nous étions assis sur une banquette de la boîte de nuit, enfin, je suis plutôt à la califourchon sur lui et ça n'a pas l'air de le déranger si j'en juge par ses mains baladeuse sur mon corps. J'ai très vite fini par faufiler mes petites mains sous le haut de 'Ric et je lui caressais sensuellement le torse. J'eus un sourire en l'entendant répondre à ma petite proposition innocente pour le moment. « Je pense que j'aurais sut trouver les bons arguments pour te convaincre. » J'ai oublié de dire, que Al' est le seul client à savoir où j'habite et franchement qu'il est fait un peu de forcing pour parvenir à avoir l'adresse ben j'en suis des plus heureuses maintenant, heureuse, mais surtout encore un peu plus cochonne surtout avec la proposition du champagne sur mon corps que je viens de lui faire... J'eus un sourire amusé en entendant sa question, mais je finis tout de même par me remettre debout et par remettre ma robe en place, afin de ne pas avoir trop les cuisses découvertes et surtout une petite partie de mon fessier également. J'étais bien consciente du fais qu'il regardait et au fond ça m'excite un peu plus de savoir qu'il me détaillait du regard. Nous avons tout de même fini par nous dirigé vers l'entrée de la boîte de nuit, où d'ailleurs j'ai recroisé les deux hommes de tantôt avec une nouvelle demoiselle entre eux. Je ne me sentais pas du tout offensé par ce comportement, je préfère nettement passer la soirée avec 'Ric qu'avec ses deux gigolos... Mais en franchissant les portes, le vent froid vint nous fouetter le visage... Je ne m'attendais pas vraiment à ce qu'il fasse si froid et sans que j'ai vraiment compris ce qui m'arrivait, je me retrouvais avec la veste d'Al' sur mes épaules et je finis par l'observer doucement en l'écoutant. Après avoir enfilé la veste, j'enroula mes bras autour du cou de 'Ric me serrant contre son corps. « Merci. Je ne te savais pas si protecteur et romantique. Mais tu aurais put me réchauffer une fois à l'appartement. » Mêmes si ses petits moments de tendresse se font rare, je les aimes d'autant plus que j'en profite toujours au maximum. J'ai vite fini par le sentir glisser ses bras autour de moi et au final je me blotti tendrement contre lui. Je finis par entendre sa question et je ne répondis que par un petit hochement de tête me décollant doucement de lui. Je finis par glisser ma main dans la sienne et par prendre la direction de mon appartement qui n'est vraiment pas très loin d'ici. Dix minutes après même pas nous étions dans mon appartement que j'avais refermé à clé. J'allais coller 'Ric contre le mur, mais mon chien s'en chargea de lui même pour lui faire une petite léchouille. J'eus un sourire amusé, mais je finis par décoller James de 'Ric. « Désolé James, mais 'Ric n'est rien qu'à moi ce soir. Tu pourras lui faire la fête demain. » Pauvre petit James, il adore 'Ric, c'est sans doute le seul homme qu'il voit dans cet appartement, enfin le seul non, j'ai eu des coups d'un soir depuis ma fausse couche, mais James leur grognait plutôt après pour les faire déguerpir plus vite... Il doit sentir que je suis heureuse avec 'Ric, pour autant l'apprécier... Finalement James retourna se coucher sur sa couverture, qui se trouve sur le canapé, quant à moi et bien je me colle contre 'Ric passant à nouveau mes mains sous son haut et je lui caressa sensuellement son torse. « Et si tu me montrais à quel point je t'appartiens ? »

Voilà bien longtemps que ça ne lui était pas arriver, se balader main dans la main avec une fille. Non pas pas qu'il n'ai pas eu de relation depuis un moment mais ce n'était alors que des relations peu signifiantes dans sa vie. Le fait qu'il puisse marcher main dans la main était quelque chose d'important pour lui, ça voulait dire beaucoup. Mais ça, peu de chance qu'Ana ne s'en aperçoive. Non, pour elle c'était normal, anodin. Pas pour lui. Ça avait une toute autre signification. Quoi ? Impossible à dire. Alaric ne voulait pas mettre un mot sur leur relation. Par peur de la perdre ? Peut-être. Anastasia était tout sauf n'importe quoi pour lui. Elle était son idéal même, la femme avec qui il aimait être, la seule qui lui faisait cet effet là, c'était assez impressionnant. Le jeune homme se doutait un peu de ce qu'il pouvait ressentir pour elle mais il ne voulait pas non plus se l'avouer. En amour, il n'a jamais été doué, sa famille faisait tout rater. Mais maintenant qu'il n'a plus de famille, serait-ce différent ? Certainement mais il ne voulait pas prendre de risque. Pour lui, il n'est pas fait pour l'amour, c'est un truc pour les autres. Marchant tranquillement, on aurait vraiment dit un petit couple. Alaric avait ce petit sourire en coin, ce sourire de gamin qui ne le quittait pas. Il était content d'être avec elle, un bonheur simple. Quelques minutes plus tard, ils arrivèrent à l'appartement d'Ana. Le beau brun entra, la suivant de prés, de très prés. Sans trop comprendre comment, Alaric se retrouva plaqué sur le mur, non pas par sa douce mais par un chien. L'horreur, lui qui n'aimait pas trop les animaux, se retrouvait léché par un chien, le chien d'Ana. Peut-être que pour elle, il peut faire un effort. On verra plus tard pour le chien. La belle brune envoya le chien à son panier. James c'est ça ? C'était assez original pour un chien, quel idée de l’appeler James. Qu'importe, 'Laric n'était pas là pour débattre sur le prénom de l'animal, non il était là pour Anastasia et son corps qui l'appelé depuis tout à l'heure. Rapidement, elle se retourna et s'avança telle une prédatrice vers lui. Un sourire taquin, provocateur s'afficha sur le sourire du jeune homme. La soirée s'annonçait très bonne. Ses mains froides sur son torse brûlant, Alaric ne s'était pas refroidit le temps de la route, bien au contraire. Elle le provoquait, elle le cherchait, sachant pertinemment qu'il n'allait pas résister bien longtemps. Il frissonna légèrement en sentant sa main sur son torse. Ce n'était qu'une question de secondes avant qu'il ne cède à ses pulsions, à ses envies.

« C'est ce que j'avais l'intention de faire. J'espère que ton appartement est insonorisé. » lui murmura-t-il.

Alaric passa sa main dans les cheveux de sa douce. Non, il n'allait pas se jeter dessus comme un sauvage. Un peu de tenu, il savait se contenir, un minimum. Rien que de l'entendre parler, de voir ses lèvres bouger sensuellement, il sentait la température grimper. Le désir était palpable, sans jeux de mots pervers dedans, il n'était qu'un homme qui ne pouvait pas refouler les émotions, les sentiments qu'il avait pour une sublime créature. Entre eux deux, il y avait une tension sexuelle, un désir sans précédent. Alaric la voulait, maintenant. Doucement, il approcha son visage du sien, laissant effleurer leurs lèvres, il voulait la faire languir. Il voulait la découvrir encore et encore. Ses mains dans son dos, Alaric recula et la posa délicatement contre le mur. La tendresse, la délicatesse n'allait pas durer bien longtemps. Leurs souffles se mélangeaient, Alarric n'avait qu'une seule envie, goûter à ses lèvres et la faire sienne. Laissant glisser son souffle sur sa joue puis dans son cou, Alaric posa délicatement ses lèvres sur sa peau. Le contact avec elle fut tellement intense que la passion se mêla rapidement à ce baiser dans le cou. Les baisers devinrent de plus en plus passionnés, langoureux. Une danse endiablé de langues. L'excitation la plus totale. Alaric leva la jambe de sa douce et vint coller son bassin encore un peu plus près d'elle. Ils s'excitaient mutuellement, ils cherchaient la sensibilité de l'autre. Il lui mordillait l'oreille, la dévorait de baisers dans le cou, caressait ses cuisses. D'un geste franc, il la porta et l’amena sur le canapé. Il l'allongea et vint se poser sur elle. Anastasia était à sa merci, elle était tout à lui, prête à se donner entièrement. Alaric la voyait tellement belle, tellement irrésistible. Il sentait sa poitrine contre lui et ses jambes enlacer son bassin, il ne se lassera jamais d'elle et de son corps si sublime. Ses mains s'égaraient sur elle, délicatement, il leva sa robe. Il voulait en voir plus, jamais rassasié, il la voulait pleinement. Alaric commençait à perdre le contrôle de lui. Un sourire malicieux aux lèvres, il la regardait, plongeait son regard dans le sien. Un petit temps de répit, pour reprendre son souffle.

« Si tu savais à quel point je te désir. » dit-il en l'embrassant sensuellement tout le long de sa nuque.

Pendant que 'Ric et moi nous marchions tranquillement jusqu'à mon appartement main dans la main, j'étais au chaud dans sa veste et serré tendrement contre lui, j'essayais de me remémoré la dernière fois où j'ai ressenti une telle passion entre un homme et moi... Il y a bien eu Mathys, mon premier amour, mais plus j'y réfléchi et plus je me dit que même avec lui il n'y a jamais eut une telle passion entre nous. Avec Mathys c'était notre histoire était si simple, tandis qu'avec Ric c'est plus passionné, un peu plus sauvage, mais en même temps si tendre comme le petit moment que nous avons partagé avant que l'on se dirige vers mon appartement, ce genre de petites attention comme le fait de me passer sa veste, me touche plus que je veux bien le montrer. Une petite part au fond de moi à peur de revivre la même chose que j'ai vécu avec Mathys, tandis qu'une énorme partie de moi aimerait lui dire tout ce, mais j'ai tellement peur de me ramasser que je n'oses pas faire le premier pas... Mais une fois à mon appartement, j'ai même pas eu le temps de plaque 'Ric contre le mur, que mon chien l'avait fait pour moi heureux de le voir, mais j'ai très vite fini par envoyer James au panier et par me coller sensuellement contre le beau brun. J'ai glisser mes mains sous le haut de 'Ric, lui caressant sensuellement le torse, je le sentis frissonner sous mes mains et j'eus un petit sourire coquin aux lèvres, qui se transforma doucement en un petit sourire pervers. « Puis même si ce n'est pas le cas, je m'en fiche. La seule chose dont j'ai envie c'est toi, le reste je m'en fiche royalement. » Que les voisins nous entendent je m'en fiche royalement, ce n'est pas de ma faute si j'aime que 'Ric me fasse l'amour comme lui seul sait le faire. J'adore la façon dont il passe sa main dans mes cheveux, le désir était si palpable entre nous que ça m'émoustiller encore un peu plus. Il arrive toujours à me mettre dans un état d'excitation, je ne comprendrais jamais comment il fait, mais j'ai vite fini contre le mur derrière moi j'ai passé mes bras autour du cou de 'Ric, soupirant légèrement de plaisir en sentant ses lèvres sur ma peau, mais je laissa échapper un petit gémissement de plaisir quand il prit possession de mes lèvres. Les baisers se font de plus en plus passionnés, plus langoureux, j''étais tellement excité que je passa à nouveau mes mains sous le tee-shirt de 'Ric, lui caressant sensuellement le dos cette fois-ci. Je le laissa me lever une jambe, afin qu'il se colle encore plus à moi, je fini par me perdre sous les baisers et les caresses que m'offrait Alaric. Je me suis laissé porter jusqu'au canapé, j'étais totalement à sa merci, sous son emprise et j'adore ressentir ça. Même s'il me portait jusqu'au canapé je n'ai pas détaché mes lèvres des siennes, puis une fois allongé, mes jambes enlaçant le bassin du brun, j'étais tout simplement bien entre ses bras, excité c'est sûr mais je me sentais terriblement bien. Je ferma doucement les yeux sentant les mains de 'Ric sur moi, je le laissa remonter ma robe, j'étais moi-même entrain de lui relever son haut, dans l'intention de le lui enlever. J'eus un petit sourire coquin aux lèvres en l'entendant. « Mmmm tu ne peux pas me désirer autant que moi je te désire. » J'eus un soupir de plaisir en sentant ses lèvres dans ma nuque, je finis par lui enlever son haut que je mit par terre.

Anastasia était là, juste en dessous de lui, elle était belle. Ses longs cheveux bruns traînaient sur ses épaules, son teint rosé, ses yeux d'une couleur envoûtante, ses lèvres sensuelles et pulpeuses. Alaric était comme hypnotisé, elle aurait carrément pu lui lancer un sortilège, ça aurait fait le même effet. Obnubilé par sa beauté, elle aurait pu lui demander n'importe quoi, c'était le moment où jamais. Il venait de lui dire qu'elle lui faisait de l'effet, pas étonnant, il n'y a qu'à voir l'intensité de leurs baisers, la chaleur de leur étreinte. Normal que dans son pantalon, ça soit le feu. Délicatement, Anastasia lui enleva son haut qu'elle jeta un peu plus loin. Sa peau était bouillante, il brûlait de l'intérieur. Il mourrait d'envie d'elle, de son corps, de la faire sienne. Il n'en pouvait plus, il perdait peu à peu le contrôle de lui. Les lèvres dans son cou, Alaric descendit lentement, sensuellement, pour faire durer le plaisir.

« Tu n'aura plus besoin de ça. » murmura-t-il en lui enlevant délicatement sa robe.

Il murmurait pour pas qu'on l'entende. Même s'il se fichait pertinemment de faire du bruit ou de choquer les voisins, il voulait que ce petit moment intime reste entre elle et lui. Alaric la voulait rien qu'à lui, il ne partageait pas. Le jeune homme frissonnait en sentant les mains d'Anastasia sur son dos. Tout ça lui avait terriblement manqué. N'en pouvant plus, il enleva son pantalon et vint de nouveau capturer ses lèvres. Il la sentait frémir sous lui, il la sentait prête à se donner entièrement, il la savait sauvage. L'attente semblait trop longue pour lui. Leurs partis se touchaient, ça les stimulaient énormément. Alaric retira ses lèvres des siennes avant de descendre sur son cou, le long de sa poitrine. Il n'en avait jamais assez, il en voulait toujours plus. Il voulait la rendre dingue, la faire languir comme elle savait si bien le faire. Alaric se retenait de la prendre maintenant, de la faire sienne. Il voulait s'assurer qu'elle était bien prête, ce n'est pas son genre de forcer les choses, ou alors presque pas son genre. Doucement, le beau brun passa sa main sur sa féminité, elle était prête, ça ne faisait aucun doute. Se débarrassant de tout ce qui pouvait encombrer le passage, Alaric vint de nouveau coller son corps avec le sien. Sentir sa partie intime contre la sienne, ce simple frottement l'excitait d'avantage. Il n'allait plus tenir bien longtemps. Le jeune homme plongea son regard dans celui d'Anastasia et afficha un sourire sincère.

« Tu es à moi, tu m'appartiens pour toujours. » dit-il tendrement.

Délicatement, Alaric avança son bassin, entrant en elle. Il n'y allait pas comme une brute, du moins pas au début. Il ne voulait pas la forcer, ni la brusquer. Le jeune homme allait doucement, il la laissait s'habituer à lui, à sa présence. On est bien loin du Alaric sauvage, comme à son habitude. Serait-ce l'amour qui lui faisait prendre conscience de ce que pouvait ressentir sa partenaire ? Sait-on jamais. Alaric entrait complètement en elle, ils ne faisaient qu'un. Le désir le plus total pour une union parfaite.

Que les voisins entendent ça me faisait une belle jambe, tant qu'ils ne viennent pas nous dérangés en pleine action, je m'en fiche. J'étais allongée sur le canapé le brillant avocat entre mes jambes, je laissais 'Ric me détailler, c'est le seul a qui j'offre cette exclusivité, surtout qu'il y a certaine chose que je n'aime pas vraiment chez moi, mais pour le moment j'ai un homme à m'occuper. J'ai retiré doucement son haut qui fini par terre, j'avais terriblement chaud et pourtant ce n'est pourtant pas la première fois que 'Ric et moi nous couchions ensemble. Je l'ai aidé à enlever ma robe, ne comprenant pas très bien pourquoi il murmurer, mais je trouvais que ça rend le moment plus intime, plus tendre aussi. Je baladais toujours mes mains dans le dos de 'Ric, j'ai tout de même fini par lui caresser doucement son torse. Combien de temps sommes nous rester sans nous voir ? Deux jours ? Trois ? Je ne sais plus, mais j'ai qu'une envie qu'il me fasse sienne à nouveau, que j'oublie tout ce qu'il y a autour de nous. Je l'ai vu retirer son pantalon, je n'ai pas put m'empêcher d'avoir un petit sourire coquin en le voyant faire, je glissa doucement mes bras autour de son cou et je prolongea le baiser à l'aide de ma petite langue. J'avais presque autant envie de lui qu'il avait envie de moi, c'est ce qui rend notre relation nettement meilleur, car je n'aurais jamais autant envie d'un homme comme j'ai envie de 'Ric. Un gémissement de frustration s'échappa de mes lèvres lorsqu'il retira les siennes, le gémissement à très vite fini en un gémissement de plaisir lorsque je sentis ses lèvres sur mon corps. Je me colla un peu plus contre lui, je n'arrivais toujours pas à comprendre comment il fait pour m'exciter ainsi, me rendre aussi folle de lui, presque dépendante. Lorsqu'il passa sa main sur ma partie intime un gémissement de plaisir sortie de ma bouche pendant que je me colla un peu plus contre 'Ric, n'ayant qu'une envie, qu'il me prenne, qu'il me fasse sienne, me faire sentir que je lui appartient... J'ai très vite senti mon string m'être retirer et 'Ric se collait à moi, Je passa mes mains sur le dos du brun, mains qui glissa très vite sur les fesses du brun. Je soupirais de plaisir en sentant nos parties intimes se frottaient l'une contre l'autre. « Je suis à toi et je t'appartiens pour toujours, mais est-ce que tu es à moi et tu m'appartiens pour toujours ? » J'effleurais tendrement ses lèvres des miennes et je gémis de plaisir tout contre ses lèvres en le sentant entrer en moi. Je l'embrassais tendrement, profitant pleine de ce moment, mais une fois qu'il fut complétement en moi, je serra doucement mes jambes autour du bassin de 'Ric tout en gémissant de plaisir, ne voulant plus le laisser partir. « Je t'aime 'Ric. » C'était le moment parfait pour le dire, même si je ne savais pas ce que ressentais le brun pour moi, j'ai ressenti comme un besoin urgent de lui dire.