Nom complet ▲ Klaus Alexzander FawkesLieu de naissance ▲ Paris âge ▲ trente ans nationalité ▲ Américaine et Françaisediplômes, études ▲ Diplôme Master métier ▲ Professeur d'Histoire statut matrimonial ▲ Célibataire orientation sexuelle ▲ Hétérosexuel situation financière ▲ Bonne idole(s) de vie ▲ Un peu mes parents même s'ils seront jamais mes idoles. nombre d'amis facebook ▲ vingtaine moyen de déplacement ▲ voiture et Moto. groupe ▲ La Javanaise avatar ▲ Matt Davis crédits ▲ Bazzart & Tumblr.

DE 8H00 à 12H00▲ Réveil chaque jour à 6h30 pour me faire un bon petit jogging dès le matin afin de pouvoir partir au travail l'esprit vider. Un besoin d'air frais mais surtout un besoin primordial pour moi de courir et faire du sport. Il me faut une bonne heure de sport. 7h30 je rentre et me fait un bon café, une tartine de pain avec du beurre et direction la salle de bain ou je prends une bonne douche. Tout cela fait je prends mes affaires dans mon dressing et autant vous dire que je suis compliqué dans mes choix vestimentaire. Embarquant la tenue que je pense adéquat je prends alors mes clefs pour me diriger vers le lycée ou je donne des cours d'histoire. De 8h30 à 11h30 j'accumule les classes et ma pause ce fait jusqu'à 12h.


DE 12H00 à 14H00▲ Mon déjeuner commence à 12h et la plupart du temps je mange avec quelques collègues mais j'aime cependant le faire seul ou en compagnie d'un ami ou amie. J'aime pouvoir me sortir du lycée pendant ma pause, cela me permet de changer d'air un minimum. 13h je reprends pour deux heures de cours et ma journée se termine. Du moins pour mon travail de professeur, ma journée n'est pas totalement finit. Entre chaque cours je prends le soin de regarder mon téléphone et parfois même pense à me fumer une cigarette pour essayer de ne pas être trop "agressif" envers les perturbateurs de classe.


DE 14H00 à 17H00▲ Je quitte généralement le lycée à 14h30. J'aime pouvoir travailler sur quelques devoirs ou pouvoir voir quelque élève qui en a besoins pour un peu plus d'explication sur un cours. Donc je reste là-bas et me dirige ensuite chez moi ou la plupart du temps je bricole car j'adore ça ou je prends ma moto et me fait une virée avant de revenir pour 16h et commencer à relire mes cours et corriger mes devoirs de la journée ou semaine. Je n'aime pas être à la bourre et après cela je traîne et vais dans un bar pour boire un verre et essaye de voir si des amis veulent venir manger chez moi. J'adore les repas en groupe et avec Tobias, le gamin que j'ai adopté c'est un moyen de ne pas être totalement seuls.


DE 17H00 à 20H00▲ Je reste dans mon canapé à attendre que Tobias rentre ou souvent je prépare à manger pour le soir. Je ne suis pas le meilleur cuisinier mais j'essaye de lui donner à manger avec quantité et convenance afin qu'il ne meurt pas de faim. Je ne suis pas vraiment le meilleur père adoptif mais Matéo sais ce montrer gentil et surtout mature. 20h l'heure où la plupart du temps nous passons à table, l'heure où Tobias aura eu le temps de jouer à sa playstation et fait un minimum ces devoirs.


DE 20H00 à 24H00▲ Le quartier libre si je peux appeler ça. Tant que nous savons l'un et l'autre ou nous sommes nous faisons ce que bon nous semble. Cependant je sais être un père plutôt assez sévère quand Tobias joue le petit caïd. Que ce soit moi ou lui je veux que celui-ci rentre tôt afin de pouvoir être en forme le lendemain. Ce qui est le plus logique je pense, donc la plupart du temps je suis dans un bar ou parfois avec des amis mais je rentre ou plutôt j'essaye d'être rentré pour 23h afin de pouvoir tenir le lendemain face à mes élèves.


DE 24H00 à 8H00▲ C'est le moment où j'aime me retrouver seul ou à deux dans mon lit. Le moment où je sais que je vais enfin totalement me laisser aller, dormir et me dire que demain c'est un autre jour. Bref, c'est là où je dors et ou parfois je fais l'amour à une femme.

Une famille Américaine qui vient vivre sa vie à Paris et tenter de faire affaire là-bas ? Culoter ? Bien sûr, mais pas impossible. C’est ce qu’on fait mes chers parents. Ma mère à dessiner une grande ligne de mode et mon père l’a financé et autant vous dire qu’à eux deux ils ont sur ce faire une sacré entreprise. Peu de temps pour moi mais beaucoup de temps pour la mode et les flashs. Je ne suis pas malheureux non, mais je suis plutôt mitigé. Je suis pas le garçon qui a eu la plus belle enfance et encore moins les plus belles preuves d’amours de ces parents mais je ne pouvais pas me plaindre car j’ai eu tout ce que j’ai voulu. La mode est moi ce n’est pas mon truc et j’ai donc rapidement voulu faire un métier différent du leur. Mes études ce sont toujours bien passer et ma matière préféré rester l’histoire. Mes parents n’ont jamais cherché à connaître mes résultats scolaire et j’ai jamais cherché à faire mon intéressant à l’école afin de pouvoir un minimum d’intérêt pour eux. Ma famille maternel et paternel n’étant pas auprès de nous j’ai rapidement du prendre sur moi et heureusement pour moi mon adolescence fut plutôt agréable. Etant un homme qui plaisait aux femmes j’ai eu, en plus de mon intelligence, droit de profiter un maximum et de pouvoir faire ma première fois à seize ans. Une chose dont je n’ai jamais parlé avec mon père mais avec mes amis. Comment pouvais-je essayer de parler de sexe avec lui alors que tout ce qu’il avait dans la bouche le mot mode. Bref, je ne suis pas malheureux mais pourtant c’est jeune que j’ai eu le cœur brisé, disons que je m’attendais pas à perdre ma petite amie de l’époque d’une maladie. « Alex, je suis désolée. Maggie est décédée hier soir… » Dix-huit ans et je viens d’apprendre ce qu’est de perdre celle qu’on aime. Je n’avais pas prévu de finir mes jours avec elle, non. Mais pourtant j’avais envie d’apprendre avec elle, j’avais vraiment envie de ça, envie de ne pas que tout s’arrête d’un coup, pas comme ça en tous cas. Regardant le médecin je soupirais, mon regard était remplit de larmes et je compris rapidement que je ne pouvais plus rien faire pour elle. « Si tu souhaites aller la voir c’est possible, sache tout de même que ce n’est pas le meilleur souvenir. Surtout à ton âge. » Je le regardais et hocha la tête. « Je sais. Mais c’est celle avec qui j’ai eu ma première fois docteur, celle dont je suis tombé amoureux et je ne sais pas vraiment quoi faire d’autre pour pouvoir lui dire au revoir. » Il hochait la tête à son tour et c’est avec difficulté qui m’accompagna vers la morgue et me montra son corps, sans vie. Je ne pouvais pas retenir mes larmes et mon adieu fut un simple baiser sur ces lèvres froide, pour un gosse de dix-huit je vous assure que ça marque…

Le décès de ma petite amie fut difficile et mes parents n’ont pas vraiment était présent. Mise à part m’accompagner à l’enterrement ils ont ensuite repris leur quotidien et j’ai du seul, faire le deuil. Mes études ont était le secours de ma vie, j’ai eu envie de devenir professeur et c’est ainsi que j’ai commencé mon diplôme de master ou j’ai eu quelques difficultés et ou j’ai repris également le contrôle de ma vie sexuelle et accumuler quelques conquêtes. Malgré quelques dérapages j’ai réussis et autant vous dire que mes parents ont été ravi et que moi aussi. J’ai enfin pu quitter la maison familiale et ne m’amuser un peu, vingt-quatre ans, c’est pas trop tôt non ? Bref, commençant par quelque petit boulot de remplacement j’ai pris en main quelques classes assez difficile mais qui ont su m’apporter des choses tout comme moi envers eux. Mais voilà, alors que je n’ai que 25 ans on m’annonce que une de mes collègues a perdu la vie dans un accident de voiture, que son fils à réussit à survivre mais qu’il est maintenant orphelin car elle était fille unique et quant au père de l’enfant personne ne le connait. Cependant personne ne cherche à savoir que va devenir ce gosse et étant quelqu’un d’assez généreux je ne souhaitais pas pour lui les familles d’accueil. Personne de sa famille ne pouvait s’occuper de lui vue que ces grands parents étaient en maison de retraite, en gros ce gamin était seul face à la terre entière. Je ne le connais pas, pourtant je l’avais aperçut une ou deux fois mais jamais plus que cela, et ce jour-là j’ai décidé de lui offrir une vie, une belle vie et j’allais faire en sorte d’être sa famille d’accueil. « Monsieur Fawkes, votre demande est assez compliqué, pouvez-vous nous expliquer pourquoi à vingt-cinq ans vous souhaitez accueillir ce gamin de quinze ans chez vous ? » Je regardais le juge qui se trouvait face à moi et voyant le regard de ce gosse je me voyais lorsque j’avais le même âge. Il est triste, sans amour à présent et n’ayant pas vécu avec des signes d’amours de mes parents j’ai tout de suite compris quel était mon devoir. « Et bien c’est simple, il me touche et je connaissais sa mère. Je pense qu’il mérite un foyer, de l’affection et une vie convenable. Personne n’a le droit d’être abandonné. » Le juge me regardais avec inquiétude, mon jeune âge surement le faisait douter et pourtant je ne m’inquiéter pas. Regardant le garçon je venais croiser son regard et lui sourire doucement, celui-ci me répondit et lorsque le juge s’adressa à lui mon cœur s’emballa. « Mateo, j’ai besoin de ton avis. Dis-moi ce que tu aimerais pour ton avenir. » Il soupirait et je voyais ces yeux brillants ce qui me fit mal pour lui. Comment un gamin de quinze ans pouvait-il savoir ce qu’il voulait pour son avenir alors que la seule qui lui parler de cela c’était sa mère. « Je sais pas. Monsieur le juge, je viens de perdre ma mère, sincèrement mon avenir est plutôt flou pour moi. Elle m’a toujours bien élevé et je n’ai pas de père. Disons que ce que propose Monsieur Fawkes est généreux et que c’est quelque chose de plutôt bénéfique pour moi. » Le juge hocha la tête et celui-ci regarda à nouveau le dossier dans un silence de plomb. Nous n’entendions que nos respirations, le bruit de la circulation et le bruit du téléphone de la secrétaire du cabinet. Autant vous dire que les cinq minutes m’ont paru une éternité. « Bon. Après relecture du dossier, du moins des grandes lignes. Rien n’empêche l’accueil de Matéo chez vous. Je pense donc que c’est bien la meilleure solution pour lui mais bien entendus il y a des conditions. Nous vous mettons à l’essai durant une année complète, voir comment le rôle de famille d’accueil se déroule et si tout va bien nous ferons les papiers afin que vous soyez le père adoptif de Matéo. Cela vous convient tous les deux ? » Je venais interroger du regard le jeune homme et son sourire me fit alors comprendre qu’il était d’accord. Reposant mon regard sur le juge j’hochais la tête. « C’est parfait pour moi. Merci beaucoup monsieur le juge. » Je me levais et serrer la main du juge avant de regarder Matéo. « On va chez nous ? » Il prenait son sac et me sourit alors. « Je vous suis. » - « Maintenant que nous allons vivre ensemble, tu peux me tutoyer tu sais. » Il hocha la tête. « Merci. Vraiment merci pour ce que vous faites. » Je lui souriais et lui ébouriffa les cheveux. Depuis ce jour nous avons appris à crée un lien fort, très fort même. Je suis protecteur envers lui mais essaye de le laisser libre de beaucoup de choses. J’avais besoin qu’il me fasse confiance et de lui faire confiance. Je n’ai jamais eu de soucis et aujourd’hui nous vivons ensemble et je suis devenu son père adoptif. Il a vingt ans et j’en ai maintenant trente, je suis vraiment heureux et je pense que lui aussi. Le juge prend de nos nouvelles régulièrement et pour moi c’est un moyen de lui dire que je suis un vrai père pour lui-même si je ne peux pas lui offrir une vie de famille. Du moins, pas pour le moment.