« La sonnerie retentit dans les couloirs du lycée parisien. La rentrée vient tout juste de commencer et chaque élevée après avoir consulté la liste rejoint sa salle. Nouvelle, Ella regarde autour d’elle le regard un peu perdu dans la foule, tous les lycéens semblent se connaitre et être de très bons amis. Chacun cherche son nom sur le liste, Ella la première au milieu d’autre personne son nom apparait « Ella Maresquo – 1C1 – Salle 209 » elle cherche du regard et entre dans le bâtiment. Derrière elle une jolie blonde cherche son nom sur la liste « Pauline Lefèvre – 1C1 – 209 » elle sourit et marcha jusqu’à la salle connaissant le lycée par cœur. Devant la salle se trouvait une trentaine d’élevé en tout genre, plus de garçons que de fille au premier regard mais cela n’avait pas vraiment d’importance. Quelques secondes plus tard le professeur principale arriva, c’était un homme et il enseigné le marketing, un grand homme blond ressemblant à John Smith de Pocahontas et à Charmant dans Shrek, il semblait gentil. Ella entra dans la salle et s’installa sur la gauche à l’avant dernier rang. Elle scrutée les autres élevée quand une voix arriva jusqu’à elle.
« Bonjour. Je peux m’assoir ? » la voix douce et calme de Pauline lui inspira confiance.
« Je t’en prie » dit Ella avec le sourire alors qu’elle ôtait son sac qui se trouvait sur la table.
« Tu es nouvelle ici ? Je ne t’ai jamais vu, du moins je crois … »
« Oui je viens d’arriver … Je suis Ella » elle se senti tout de suite à l’aise avec la jeune femme. Ella était arrivée il y a quelques mois mais il avait été trop tard pour s’inscrire en secondes. Ces résultats plutôt bon l’avaient autorisé à aller directement en première.
« Bienvenue alors, je suis Pauline, je te présenterais à mes amies » elle sourit et porta son attention sur le professeur qui leur demandait de se taire.
L’heure passa, et la journée aussi. Elles la passèrent ensemble et comme promis Pauline la présenta à ces amies. Ella se surpris à être aussi à l’aise avec des filles mais Pauline était vraiment gentille et faisait tout pour intégrer la jeune fille, l’invitant même à dormir chez elle le week end qui arrivait. L’année passa dans la plus grande normalité, et les deux jeunes femmes se rapprochèrent de jour en jour au point de devenir à la fin de l’année inséparable. Ella ne lui avait pas encore parlé de sa maladie mais elle comptait le faire le jour où elle se sentirait prête à lui dire. L’année touche à sa fin, le bac français est en cours de passage et toutes les deux semblent prête à passer en terminale à la rentrée. Mais une chose est sure, elles ne peuvent plus faire l’une sans l’autre, comme deux meilleures amies.

TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE

D'une façon ou d'une autre, elle lui a presque sauvé la vie. Alors qu'Ella se trouvait dans le métro, sa maladie fit surface et elle eu comme une sorte de malaise. Alors qu'une sorte d’indifférence s'installa, une jeune femme blonde s'approcha d'elle et l'aide en l’amenant chez le médecin sans hésitation. Ella désormais voit la jeune femme comme son amie et même si une amitié ne débute pas en quelques jours, Ella trouve Maxime vraiment gentille et ne sait pas comment la remercier pour l'avoir aider ce jour là.

Les deux jeunes femmes se sont rencontrés le plus banalement du monde possible. Amélie faisait une interview sur les jeunes et c'est par hasard qu'elle interrogea Ella. La jeune femme se prêta volontiers au jeux de la caméra. Elles se sont revues plusieurs fois. Ella et Amélie sont devenues amies, elle trouve la jeune femme pétillante et vraiment gentille. C'est peut être le début d'une belle amitié. Cependant Ella ignore encore que la jeune femme est la sœur de la femme qui risque de lui redonner de l'espoir.

Tu veux un verre ? » . Alors que je venais d’arriver, a Paris depuis peu, c’est lors d’une soirée, qu’une jeune fille, m’adresser la parole. Je souriais, acceptant son verre, et je passais le reste de la soirée avec elle. Verre, sur verre et danse sur danse. La nuit, fut riche en émotions. Le lendemain, matin, on se retrouvait en train de dormir, dans le canapé, ensemble. C’est comme ça, qu’a Paris, je trouvais ma première amie. C’était rare, pour moi de me faire des amis, aussi vite, avec mon passé, mais elle était différentes des autres et paraissait très gentille.

« Le lycée et les arts. Ella s’est rendue à une représentation du conservatoire de danse pour un ballet. Ne trouve pas l’idée intéressante, elle joua tout de même le jeu de la classe et regarda le ballet. Ce fut une sorte de coup de cœur, jamais elle n’avait vu quelques choses d’aussi gracieux et de beau. Elle fut touchée, touché en particulier par une danseuse. A la fin du spectacle elle se glissa en coulisse pour féliciter la jeune femme : Juliette. Puis elle partit et le lendemain les deux jeunes femmes se croisèrent dans le par cet firent plus ample connaissance, depuis ce jour malgré leur différence d’âge elles sont de très bonnes amies, et considère la jeune femme comme une grande sœur.

Ils sont deux êtres différents et pourtant ils ont un lien de famille. Alors qu’Ella vient tout juste d’arriver à Paris emménageant chez l’ex-femme du frère de sa mère, elle découvre tout juste le fils de la femme chez qui il va vivre alors qu’il rend visite à sa mère. Ils échangèrent quelques mots rapides tentant de faire connaissance le plus rapidement possible. Elle le trouva plutôt gentil et sympathique, quand à lui malgré leur différence d’âge il la trouva adorable et très douce. Mais cette relation s’arrête là. Bien sûr ils allaient se revoir de temps en temps lors des repas de famille sans doute mais en réalité elle le croisa plus vite que prévus. Alors qu’Ella se baladait sur les champs Elysées découvrant la ville et s’extasiant devant les détails de ce petit paradis terrestre, elle s’écroula totalement. Amener directement à l’hôpital, elle ouvrit les yeux dans une chambre c’était presque une habitude, elle connaissait son Etat et avait dû oublié son traitement par erreur ou quelques choses du genre. Tentant de reprendre ces esprit, un homme en blouse blanche s’avança vers elle, elle mit quelques secondes à réaliser « Matthys ? » dit-elle en examinant, il s’approchant et attrapa le dossier qu’il examina rapidement « Ella, comment te sens tu ? » elle hocha doucement la tête d’un geste lent et ouvrit la bouche le temps d’un petit bien, le dossier ne spécifiait pas sa Leucémie, elle n’avait pas eu le temps de le préciser et elle n’avait pas une étiquette, puis aucun examen n’avait été encore fait. Il déposa le dossier sur son lit et la regarda « Nous allons faire quelques examens pour savoir ce que tu as d’accord ? Ou voir si c’était juste un malaise ordinaire, cela arrive de temps en temps » il se leva et elle déposa sa main sur son bras pour le retenir « Pas la peine, je connais la réponse » elle se redressa sur le lit et il la regarda dans les yeux « Ne le dis pas à ta mère, je ne veux pas qu’elle s’inquiété d’accord ? » il hocha la tête s’attendant à ce qu’elle ait pris un peu de drogue comme beaucoup de jeunes de son âge « Je suis malade, j’ai un cancer du sang … Tu sais t’es médecin une leucémie » il resta sur place comme bloqué en la regardant dans les yeux. Elle avait quinze ans, ce n’était qu’une gamine découvrant la vie, et elle était atteinte de cette maladie, il n’était pas dupe, il était médecin et connaissait les conséquences, tentant de resté calme il hocha doucement la tête « Je ne lui dirais rien à une condition, tu me laisse suivre ton cas » elle n’avait jamais eu de médecin personnel et il semblait vraiment gentil, il était presque son cousin ou quelques choses y ressemblant mais ne n’osant lui avouer elle avait besoin de soutien pour supporter tout ça « Merci » elle s’approcha et le prit doucement dans ces bras pour seller ce pacte. Cela fait désormais deux ans qu’ils se sont rencontrés, deux ans qu’il prend soin d’elle comme si elle était sa petite sœur. Il n’a jamais rien dit à sa mère comme il lui a promis mais il ferait tout pour cette demoiselle, et espère que tout ira bien pour elle. Ils sont très liés, elle compte sur lui et il compte sur elle … Comme un frère et une sœur.

TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE

« Ella et Cédric, c'est avant tout une histoire de famille. Et oui, le père d'Ella est le frère de la mère de Cédric alors vous l'aurez compris, ils sont cousins et cousines. Il sait qu'elle est un peu mal par rapport à son père et c'est pour ça qu'ils sont aussi proches, il ne supporte pas de voir sa si jolie cousine malheureuse et fait tout pour la faire sourire, surtout depuis qu'il est sur Paris. Ils ont maintenant la chance de pouvoir se voir régulièrement et ne manquent pas de le faire à chaque fois qu'ils le peuvent

TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE

TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE

TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE

TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE