Nom complet ▲ simon roy chamblas Lieu de naissance ▲ Paris, la ville de l'amour, la ville de lumière, la capitale de la France ! âge ▲ je suis actuellement âgé de vingt-trois ans. nationalité ▲ français. diplômes, études ▲ j'ai entamé des études de médecines, mais j'ai lâché après quelques semaines pour me rediriger vers des études de journalisme. métier ▲ journaliste web. statut matrimonial ▲ en couple depuis peu. orientation sexuelle ▲ hétérosexuel, j'aime et j'aimerai toujours les femmes.. situation financière ▲ très riche. idole(s) de vie ▲ michael jackson, probablement. et mes soeurs. nombre d'amis facebook ▲ ah, il faudrait que j'aille voir ça un de ces jours. je ne suis pas un grand ami de facebook, donc inutile de vous cacher le fait que quand je me connecte, j'aie au moins une dizaine de demandes d'amis à chaque fois. j'crois que ma liste d'amis frôle les 500. je ne suis pas sûr.moyen de déplacement ▲ je me déplace avec mon bébé, c'est-à-dire ma porsche 911 noire, 400 chevaux, 6 cylndres, moteur 3,8... bon, j'avoue qu'ici j'essaie de paraitre expert en la matière, mais à vrai dire, je n'ai fait que lire le petit livret qui en parle... ce qui approuve encore une fois le fait que lire, ça augmente les connaissances générales. mais honnêtement, le fait que j'aie une porsche ne me rend pas plus heureux qu'un homme qui se promène en un tas de ferrailles. groupe ▲ un autre monde. avatar ▲ oscar spendrup. crédits ▲ tous les gifs viennent de tumblr.

DE 8H00 à 12H00▲ Je suis déjà debout à cette heure de la journée. En fait, je me lève naturellement vers l'heures de 7h-7h30, puis je me couche vers l'heure de 22h, sauf bien sûr la plupart de mes samedis soir, où je prends, la plupart du temps, le temps de sortir avec mes amis. Bref. La première chose que je fais quand je me lève le matin, c'est de me rendre à la salle de bain. Et quand je prends possession de la salle de bain, ça peut prendre de quarante cinq minutes à une heure, puisque je prends bien le temps de préparer mes cheveux, me brosser les dents, prendre une douche... ouais, ça peut faire en sorte que ma petite copine me trouve bizarre, mais je crois que mon apparence est très importante et je dois faire en sorte que je paraisse bien aux yeux des autres. C'est essentiel. Puis, dès que j'en ai terminé avec la phase salle de bain, j'me dirige vers la cuisine pour préparer, à moi et ma copine, un bon petit déjeuner, en passant par la porte principale de ma demeure pour prendre le journal d'actualité. J'allais presque oublier la chose essentielle que je fais à tous les matins. Je prends le téléphone, puis je compose le numéro de ma soeur Anaëlle, pour voir si elle va bien et si elle a prise ses médicaments. Je fais ça à tous les matins, parce que je tiens à ce que ma soeur aille bien, je tiens à ce qu'elle se sente bien en tout temps. De toute façon, c'est le rôle du grand frère ça, non ? Puis, dès que j'ai terminé mon appel, je me dirige vers l'extérieur de la maison pour prendre une petite marche et me prendre un bon café au coffee shop du coin. Je reviens chez moi. Je prends mon mac, et parcoure l'actualité d'aujourd'hui sur la plupart des sites web d'actualité. Et je fais cela justement pour mon job, il faut que je recueille les images et les vidéos disponibles pour les transmettre à mon patron, et en rédiger une article plus tard. Tout en prenant contact avec mes confrères pour qu'on puisse faire tout cela correctement. Bref. 11h30, je me prépare pour aller travailler au bureau, et je passe généralement le plus de temps avec ma petite amie dans ces heures-là de la journée. Puisque nos horaires sont complètements différentes.


DE 12H00 à 14H00▲ Je me rends au bureau à cette heure. Je prends contact avec mes collègues, pour savoir s'ils ont récolté des informations, faits des interviews pour mon futur article, etc... moi mon job, c'est de rassembler ces informations pour en faire un article et de le rendre public. J'aime écrire. Je crois que c'est essentiel pour devenir journaliste web, et je ne regrette pas ce choix. J'adore passer du temps au bureau et être à jour dans les actualités. Peut-être glisser quelques critiques de ma part par-ci et par-là, mais je sais que c'est toujours et ça a toujours été conseillé d'être neutre quand on écrit. Ça, c'est le pouvoir de vouloir 'repousser ses limites''. Donc, comme je disais, je me rends au bureau pour travailler, puis je salue mes collègues et prends le temps de faire le point sur la journée d'hier pour pouvoir poursuivre mon travail. Puis, vers 12h, je mange. Généralement du subway, ou un sandwich que j'ai préparé avant de me rendre au bureau.


DE 14H00 à 17H00▲ Dès que j'ai terminé mon travail, je me rends à l'extérieur de l'établissement pour me prendre un autre café, puis je me rends chez moi à pied. Vers l'heure du dîner, j'appelle mes soeurs en premier pour savoir si elles veulent venir dîner avec moi (ou dans la maison familiale), ou bien si elles veulent aller dîner à un restaurant. Si elles ne peuvent pas, j'me paie du chinois. Non je rigole, j'suis très bon cuisinier vous saurez. Je me ferais à manger, tel un jeune homme solitaire sans amis. Mais tout dépendant hein, si des amis m'invitent à manger, j'vais aller les rejoindre, je ne suis pas si anti-sociable que cela.


DE 17H00 à 20H00▲ Ah, la fameuse phase repos. Ce sont mes heures préférées de la journée. J'me rends sur internet, je regarde les actualités à nouveau pour savoir ce que va traiter mes prochaines sujets, je prends contact avec mon patron pour savoir ce qu'il pense de mes articles, puis je ferme l'ordinateur. Je ne suis pas un gros geek. Enfin, je crois. Je prends le téléphone, j'appelle mes soeurs, puis j'allume la télévision vers 19h30. C'est à cette heure précise de la journée que ma petite amie revient du travail. Elle travaille beaucoup. Et ça m'énerve, mais bon, je fais avec. Je lui fait savoir que le dîner l'attends sur le comptoir de la cuisine, puis je l'attends dans le salon. Nous écoutons un bon films ensemble, en argumentant sur chaque petit point du film (puisqu'elle est photographe, et travaille souvent pour des productions de films, donc elle est intéressée par ce genre de trucs). À en parler, on dirait un couple de vieux. Mais la plupart du temps, je m'arrange pour réserver une table dans un restaurant. Je suis de nature romantique, je peux l'emmener dans les restaurants les plus chics du coin sans problèmes. Mais ça, c'est quand elle peut venir à la maison plus tôt, bien que je ne puisse pas vraiment savoir à l'avance, ses horaires sont très dépendantes...


DE 20H00 à 24H00▲ Le temps dodo. Je me couche généralement à 22h, quand mes séries sont terminés. Je souhaite un bonne nuit bien particulier à ma copine, puis je dors. Les samedis soir, généralement, je sors avec mes copains dans des soirées préférablement organisés. Ou bien j'emmène mes soeurs à un concert, voir un film ou bien je les emmène dans des endroits insolites. Puis, je rentre tard. Mais au moins j'aurai fait ma sortie paradoxale de la semaine.


DE 24H00 à 8H00▲ Comme je le disais, les samedis soir, je reviens généralement vers ces heures-là de la nuit. J'ai même déjà fait nuit blanche (et j'en fais souvent d'ailleurs, puisque j'ai beaucoup de misère à m'endormir ces temps-ci) puis je prends des aspirines le lendemain pour enlever la gueule de bois. Sinon, la semaine, je suis debout vers 7h. J'me lève tranquillement, en souhaitant un bon matin à ma copine.

Troublé entre son envie de devoir quitter le bureau pour rejoindre sa petite sœur et son envie de finir son article, Simon était maintenant devant ce dilemme qui semblait être un choix puéril pour les autres, mais au fin du compte, son choix n’était pas bien difficile à faire, puisqu’il faisait la même chose d’année en année, ce qui pouvait parfois nuire à sa carrière professionnelle, mais pas à ce moment-là. La famille reste et restera toujours sa priorité tout au long de sa vie. Il aurait tout simplement pu travailler aux côtés de sa mère en tant que rédacteur, mais ses parents lui ont toujours dit de suivre leur propre voie. De faire ce qu'ils ont toujours voulu de leur vie. Au tout début, Simon était persuadé que devenir médecin était la meilleure chose pour lui, mais lors de ses premiers mois d'études, il s'est rendu compte que l'écriture avait une place importante sans sa vie, et que sans ça, il ne pourrait pas être heureux comme il le voudrait. Donc, il s'est orienté vers des études de journalisme. Et le voilà maintenant, travaillant pour un petit bureau qui publie des articles à l'année sur un blog populaire auprès de la population de Paris. Il se dirigea vers le bureau de son patron, puis cogna avant d’entrer dans la pièce, et se faufila dans le cadre de la porte. « Désolé, monsieur, je dois partir… ma sœur vient de m’appeler. C’est une urgence. Mon projet se retrouvera sur votre bureau demain matin, je peux vous le jurer sur ma parole. » finit-il par dire alors qu’il essayait par tous les chemins d’être convaincant, bien que ça semblait devenir une tâche plus difficile que prévu. Il analysa chaque trait de son visage, pour en venir à la conclusion que son patron allait probablement accepter. Un petit sourire commençait tranquillement à se dessiner sur le visage du jeune homme, alors que le destinataire se mettait à parler. « Je comprends, monsieur Chamblas. Ne vous inquiétez pas, vous ne serez pas puni. Je ne suis pas votre père pour vous dire quoi faire. Si vous jugez votre situation urgente, c’est qu’elle doit l’être. Mais je veux votre travail demain matin sur mon bureau, obligé, mais je ne doute pas de vos forces là-dessus monsieur. À demain. Ne me décevez pas. » Il lui fit un signe de la tête en guise de reconnaissance, puis il s’aventura à l’extérieur de l’établissement pour courir jusqu’à sa demeure. Comme la maison familiale se trouvait à être un peu plus loin, il devait se rendre là-bas en voiture. Il prit alors ses clés de voiture qu’il avait oublié chez lui, en prenant bien soin de crier à son amoureuse qu’il était rentré mais qu’il allait chez sa sœur pour une raison bien particulière, puis sauta dans sa voiture à toute vitesse.

Ça n’a pris que quelques minutes pour que finalement, le presque ainé des Chamblas se rende à la demeure familiale. Il entra dans la maison à toute vitesse, sans prendre la peine de frapper à la porte, puis appela le nom d’Azénor très fort pour qu’elle puisse l’entendre. Il se précipitait vers le deuxième étage pour se diriger vers la chambre de celle-ci, et entra littéralement dans la pièce pour la prendre dans ses bras. « J’ai reçu ton message. Qu’y-a-t-il ? » Il n’était certainement pas là pour la juger ou quoi que ce soit, il était là pour elle, peu importe la situation – qu’elle soit fautive ou non, il allait toujours prendre son côté. Ses sœurs étaient les femmes de sa vie, et pour rien au monde il les abandonnerait. Il les aime beaucoup trop pour cela. Il prend le rôle du grand frère très à cœur. Ses pleurs se sentirent dans le creux de son cou, tandis qu’il frottait le dos de celle-ci avec la paume de sa main avec délicatesse. « C’est lui. Il… il… » dit-elle tandis qu’il posait ses mains sur ses joues pour pouvoir analyser chacun de ses traits. Elle semblait visiblement bouleversée et il était dans son devoir de la rassurer, de lui dire qu’il était là pour elle. « Hey, ce n’est rien, n’y pense plus… je suis là maintenant. Tout va bien se passer. Anaëlle arrive. » Il n’a jamais vraiment pu savoir ce qui s’était passé, mais ça avait un rapport avec son petit ami. Et peu importe ce qui s’avait pu passer, ça semblait être une chose terrible. Assez terrible pour mettre sa sœur dans un état pareil. Il resserra son étreinte et ramena sa tête dans le creux de son cou pour couper les sons de ses pleurs. Ses sœurs étaient définitivement ses raisons de vivre. Ou une de ses raisons de vivre, en somme. C’est pour cette raison qu’il partit dès qu’il sentit que sa sœur se sentait mieux. Et qu’il allait probablement parler au concerné pour lui dire de ne plus causer de la sorte avec sa sœur. C’est ce qu’un frère protecteur ferait normalement, non ?


Après le boulot, la première chose que fait le jeune Chamblas, c’est de se rendre au coffee shop le plus proche pour se ramener un café. Il est un presque-accro au café, c’est presque une addiction, mais ça le tient réveillé parmi toutes ces nuits blanches d’insomnies. Puis, il se rend chez lui. C’est ce qu’il fit après cette journée de travail bien rempli, où il dut attendre pendant près de quatre heures au bureau pour que son collègue revienne de l’interview, et qu’ils fassent ensemble le point sur celle-ci et en faire une article. Il a donc travaillé plus tard justement à cause de cet incident. Mais cela ne changea tout de même pas son humeur, qu’il essayait de cacher aux autres, prenant un air ravi. Tout changeait lorsqu’il arrivait chez lui, où il lança presque ses affaires par terre pour se procurer le téléphone et appeler ses sœurs, une par une. Il devait faire au moins à chaque jour, et obligatoirement à sa sœur Anaëlle à chaque matin pour s’assurer qu’elle avait bien prise ses médicaments. Oui, parce que sa maladie devait être bien traitée, bien que plus jeune, ça avait affecté bien plus Azénor que Simon, à l’époque. Ce n’est pour sûr une chose qu’ils auraient souhaité le plus avoir, mais il faut vivre avec, et l’accepter. C’est ce que Simon se dit en tout cas. Dès qu’il eut finit ses coups de téléphones, il partit vers la cuisine pour faire le diner, puis il remarqua que sa petite amie était présente. Elle était en train de préparer le diner, ce qui se faisait de plus en plus rare dorénavant. « Wow, je ne savais pas que tu étais là. Tu es resplendissante ce soir. Encore plus quand tu es dans la cuisine. » dit-il en s’approchant d’elle pour lui offrir un baiser. Il s’approcha de la cuisinière, et ne fut pas surprit de voir qu’elle préparait du spaghetti et de la sauce. Il se retourna délicatement vers elle puis lui adressa un léger sourire. « Avec qui parlais-tu au téléphone ? » demanda-t-elle en entourant ses bras autour du cou de son bien aimé. Celui-ci la prit par la taille, et lui déposa un baiser dans le front. « Je parlais à mes sœurs. Je voulais être sûr qu’elles vont bien. » Sur le son de ses mots, Eleanor se desserra de son étreinte et lâche un gros soupir. Simon n’avait pas vraiment forcé ses mots, parce qu’en revenant de son travail, tout ce qu’il voulait, c’était de ne pas forcer sa personnalité, être lui-même, dire la vérité quoi. Mais il savait pertinemment à quel point Eleanor était irritée à propos du fait que Simon s’occupe de ses sœurs plus qu’à la normale. « Ele, mes sœurs sont importantes. Tu ne peux pas savoir… » « Savoir quoi? Oui, je n’ai plus de famille Simon, merci de me le rappeler. » Un couteau dans les côtes, c’est ce que lui avait infligé ces paroles. Il n’aimait pas quand les choses devenaient corsées, Simon est un homme gentil à la base et jamais il ne fera du mal intentionnellement à quelqu’un. Il regarda le sol pour l’instant, incapable de se dresser vis-à-vis de cette situation, puis releva la tête. [color=GoldenRod]« Désolé, Ele… mais mes sœurs comptent beaucoup pour moi. »[/collor] Eleanor fronçait les sourcils d’une manière inquiétante, puis elle commençait furtivement à hausser le ton, ce qui commençait à irriter le jeune homme à un très haut point. « Simon, tu devrais savoir qu’elles sont assez grandes pour s’occuper d’elles-mêmes. C’est pas croyable, t’es toujours auprès d’elles. Tu te lèves, tu les appelles. T’es au boulot, tu les appelles. Tu reviens du boulot, tu les appelles. Et les weekends, impossible de te voir, t’es toujours avec elles ! C’est pas possible Simon, tu ne peux pas savoir comment MOI je vis! Je SUIS ta petite amie, tu devrais les laisser s’occuper d’elles-mêmes quelques jours, tu vas voir, je suis sûr que tu te sentiras bien mieux, bon sang Simon ! » Ses paroles étaient devenus incompréhensives aux yeux de Simon. Parce que la famille était ce qu’il y avait de plus important aux yeux de celui-ci, jamais il ne fera passer Eleanor avant ses sœurs. C’est triste à dire mais c’est la pure vérité. Ses parents lui ont toujours appris que la famille était très importante, et que dans les moments difficiles, il fallait se serrer les coudes; c’est le point le plus fort de la famille Chamblas. Mais le problème, c’est que Simon était vraiment amoureux d’Eleanor, seulement, il avait une manière bien particulière de lui montrer. Grand romantique dans l’âme, il l’emmenait dans les restaurants les plus chics de Paris, l’emmenait près de la tour Eiffel pour demander à des inconnus de les photographier en train de s’embrasser devant cette même tour…. Mais jamais il n’aura dit en mot, les mots ‘’je t’aime’’. Des mots bien faciles à dire, mais dans sa tête, ces mots sont bien importants, et il ne faut pas les employer dans n’importe quelles situations. Ces mêmes mots, il les dit souvent à ses sœurs, mais jamais à Eleanor. Et c’est peut-être cela qui irrite le plus cette dernière qu’autre chose. Peut-être met-elle le blâme sur le fait que celui-ci passe plus de temps avec ses sœurs qu’avec elle mais qu’au fond, elle est juste irritée parce que celui-ci est incapable de lui dire ces deux mots. « Eleanor… » finit-il par dire devant cette femme aux milles visages, devant la femme qu’il a aimé pendant plus de onze mois, bientôt un an. « Termine de faire le diner. Je vais prendre de l’air… » dit-elle avant d’éviter toute forme de contact entre celui-ci et elle, pour se diriger immédiatement vers la porte d’entrée, sans même jeter un regard à l’homme qu’elle aime, et qu’elle aimera probablement pour toujours. Mais… c’est compliqué.