Nom complet ▲ siméon éphémère le tellier (de louvois) Lieu de naissance ▲ tonnerre (yonne, bourgogne) âge ▲ vingt-quatre ans nationalité ▲ française diplômes, études ▲ baccalauréat littéraire mention très bien, deux années de classe prépa au lycée henry IV de Paris, double cursus littérature moderne/histoire à la sorbonne (doctorat) métier ▲ écrivain de bar, poète maudit mais rien de vraiment très sérieux. Si ! Des colonies de vacances organisées par les scouts en juin, en tant que moniteur ! statut matrimonial ▲ célibataire pour le moment (et toujours plus ou moins puceau) orientation sexuelle ▲ les femmes situation financière ▲ on ne va pas se plaindre. Un appartement dans le XIVème payé par maman pour lui faire les yeux doux, ça fait toujours plaisir ! idole(s) de vie ▲ erik satie, victor hugo, modigliani, jacques brel nombre d'amis facebook ▲ une petite cinquantainre (il les choisit très très très attentivement) moyen de déplacement ▲ sa mini (cadeau d'anniversaire de papa), parfois le bus, quand il est obligé, et très rarement le métro ou le vélib' groupe ▲ la javanaise avatar ▲ penn badgley crédits ▲ century sex

DE 8H00 à 12H00▲ siméon se lève tous les matins sans exception, à 8 heures 22, horaire choisi avec soin depuis huit ans. Il s'agit d'un réveil vif et rapide, qui ne profite jamais des quelques minutes optionnelles du dimanche matin. après s'être attentivement lavé les dents, s'être lavé le visage et s'être habillé de son éternel pull en v, il descend de son étage pour acheter un croissant au beurre et le journal. Il déjeune à 9 heures 25, généralement, prenant bien une heure pour lire et dévorer sa viennoiserie. Après cela, il part prendre sa douche, se changer et va soit en cours, soit à la bibliothèque pour continuer sa thèse de littérature. Il termine son travaille à 11h50, horaire de fermeture de la bibliothèque.


DE 12H00 à 14H00▲ A 12 heures 30, il rentre chez lui. Il est possible qu'il mange ce qui se trouve dans son frigo ou qu'il aille déjeuner en compagnie d'amis (parce que oui, il en a quand même !). Dans le premier cas, il déjeune assez vite, prenant le temps par la suite de nettoyer la vaisselle de la veille et de tout ranger dans les placards. Dans le deuxième cas, il prend son temps, discutant tranquillement sur la terrasse en fumant sa petite cigarette digestive.


DE 14H00 à 17H00▲ généralement, Siméon retourne à la bibliothèque. C'est que les études, c'est important ! Il passe ainsi minimum deux heures à préparer sa thèse d'histoire, pour le coup, sur Madame de Pompadour. Ensuite, soit il rentre dans ses appartements, soit il en profite pour flâner sur les trottoirs de la capitale, à la recherche de l'inspiration ou par simple plaisir.


DE 17H00 à 20H00▲ à 17 heures 30, il retrouve sa jeune soeur, Sixtine, de vingt-deux ans, qui passe le CAPES d'histoire/géographie à la fin de l'année. Ensemble, ils parlent de leur journée, des nouvelles de leurs parents et s'engueulent au sujet de leur mère. Une fois leur café terminé, Siméon rentre chez lui, histoire de se poser quelques temps. Il en profite pour lire son courrier, pour nettoyer, faire ses comptes, écrire des poèmes, critiquer les articles du "Magazine Littéraire" en leur envoyant des courriers de lecteurs parfois enflammés. Il reçoit ensuite, à 18 heures 45, un coup de téléphone de son père de soixante dix ans, Sigismond Le Tellier (de Louvois). Coup de téléphone qui dure en moyenne quinze minutes.


DE 20H00 à 24H00▲ Après avoir dîner, souvent seul, il fait sa vaisselle. Il n'a pas de télé chez lui et en profite donc pour lire les nouveautés littéraires et historiques. Il a une tonne de bouquins, qu'il entrepose dans une salle spécialement réservée à cet effet. Il lui arrive de sortir, et heureusement, et, bien qu'il boive, il ne se rend jamais mal et est toujours en état pour rentrer. Il se couche généralement à 23 heures 30, après avoir lu dans son lit.


DE 24H00 à 8H00▲ Il dort généralement, même s'il peut lui arriver de sortir un peu plus tard. Mais jamais après une heure du matin. C'est qu'il travaille, lui !

L’histoire que je vais vous raconter est l’histoire banale d’environ trois français sur cinq. Elle vaut cependant le coup d’être entendue ou lue. Pourquoi ? Pour la simple et bonne raison que grâce à elle, vous m’aimerez peut-être.
Je suis née à Tonnerre dans l’Yonne. Dans le 89 pour les incultes. Pourquoi Tonnerre ? Très bonne question. En fait, cela remonte à mon grand grand grand…bref, mon aïeul. Un pair de France ! Je ne vous ferez pas un cours d’histoire, parce que je réussirai très vite à devenir ennuyant, mais sachez juste que la famille Le Tellier est une très vieille famille noble, ce qui n’est pas vraiment pour déplaire. Donc, François Michel Le Tellier de Louvois, ministre sous Louis XIV, malgré ses multiples frasques (comme l’affaire des potions, ou les dragonnades, dont je ne suis pas très fier) a tout de même réussi à remonter dans mon estime grâce aux demeures que nous possédons aujourd’hui. Vous connaissez Meudon, près de Versailles ? Non ? Et bien peu importe, car c’est là que vit à présent mon paternel. Et le château d’Ancy-le-Franc, près de Tonnerre ? Non plus ? Et bien c’est là que j’ai grandi. Je sais que pour le moment, vous me détestez, mais attendez la suite !

Mon père et ma mère se sont mariés à l’église Saint Pierre de Tonnerre. Mariage arrangé, d’après ce que je sais depuis ma naissance, et mariage sans amour, apparemment, vu la suite des évènements. Ils se marient donc en 1986, deux ans avant ma naissance. Ma mère, Aliénor de Regnault, belle femme aux cheveux châtains, âgée alors de vingt-six ans épouse mon père, Sigismond le Tellier (de Louvois), âgé lui de quarante quatre ans. Pendant deux ans, les deux vont se consacrer à leurs affaires. Mon père est le patron d’une banque tandis que ma mère est enseignante au lycée Carnot de Dijon.
Ma mère tombe cependant enceinte de son premier enfant, moi, lorsqu’elle a vingt-huit ans et je nais le 26 septembre 1988. Un petit brun aux yeux bruns. Mouais. Rien de très extraordinaire, une fois encore. Après son accouchement, ma mère décide d’arrêter son métier pour se consacrer à moi. Elle m’apprend tout, les manières du monde aristocrate, le piano et la littérature. Je l’ai beaucoup aimé je dois l’admettre. Mais notre séparation vous sera racontée plus tard.
Pour mon deuxième anniversaire, mes parents décident de m’offrir une petite sœur. Ils auraient pu me prendre un chien, mais non ! Comme quoi, la vie est mal faite. Sixtine Chenille le Tellier voit donc le jour le 26 septembre 1990, comme moi. Vous vous demandez surement quels sont ces noms stupides qui nous servent de deuxièmes prénoms ? Et bien, c’est simple ! Le blason de notre famille contient trois lézards et la tradition veut que chacun des enfants soit affublé d’un prénom d’insecte. Mais vous verrez que le mien et celui de ma sœur passent encore.

Après ce petit évènement sans grande importance, ma vie se déroule tranquillement. A l’âge de trois ans, je rentre à l’école maternelle, où je rencontre de charmants personnages (notez l’ironie) sans manière et au style quelque peu…différent. Contrairement à eux, je suis un garçon appliqué, attentif et obéissant. Mon malheur durera jusqu’à la fin de mes années lycée.
Ma seconde sœur, Suzanne Puce Le Tellier –je vous avez dit qu’il y avait pire- voit le jour le 1er avril 1993, à Tonnerre également.

Pendant toute ma jeunesse, on ne peut pas dire que je me sois beaucoup plaint. En même temps, il n’y avait pas de raison pour. J’étais sérieux, un brin renfermé, fier, je dois l’admettre, et associable. Je me suis rapidement amusé à faire mes gammes en musique, connaissant rapidement mon piano sur le bout de mes doigts. Et puis, j’ai eu une passion pour la littérature. Je me suis rapidement mis à tout lire, et rapidement. J’aimerais bien vous dire que « Le Rouge et Noir » de Stendhal fut le premier roman que l’on me mit sous la main. Ou « Les Misérables » de Victor Hugo. Malheureusement, je dois l’admettre, ce qui m’a fait aimer la littérature, ce sont les aventures du « Club des 5 ». Ouais. Mais que voulez-vous ? J’étais jeune à l’époque !

Avec le temps, j’ai commencé à adopter une étiquette et une tenue aristocratique. Je n’étais cependant pas le seul. Mes sœurs aussi étaient comme moi. Des vraies modèles d’élégance et de silence. Nous étions sages, comparé à nos camarades de classe. Bien sûr, il faut toujours un vilain petit canard dans la famille et c’est la « Petite Puce » qui hérita du rôle. Vraie pile électrique, elle avait le chic pour être différente. Cela avait de bons aspects mais également de moins bons !

Vous voulez surement savoir ce qui m’a éloigné de ma mère. Oui, parce que je suis un jeune homme pleins de suspens et j’oublie parfois de répondre à mes propres questions. Et bien, parce que je m’en suis souvenu, et parce que j’ai vu vos yeux haineux, je décide volontairement de changer de sujet, tout en gardant un aspect plus ou moins chronologique.
A l’âge de quatorze ans, ma mère nous quitte. Pas bien loin, bien sûr, mais elle déménage quand même à Paris. Comme la belle Aliénor d’Aquitaine, ma mère s’est en effet fait la mal, abandonnant ses quarante ans à un petit jeunot de dix-neuf ans, Maxime Bachelier. Je vous autorise à présent à me plaindre. Allez-y ! Dites que c’est une salope, qui n’a aucune notion des valeurs et des obligations qu’une femme de son rang doit avoir ! Plaignez-moi ! Elle nous a laissé seuls, avec un père absent, qui n’a jamais eu le temps de se remarier.

Pendant ces années, nous ne lui avons pas reparlé, ni moi, ni mes sœurs. J’ai continué le piano et la littérature, pendant que Sixtine se passionnait pour l'histoire et Suzanne pour la comédie. Heureusement que nous étions des artistes. Heureusement que nous n’avions jamais ressenti de forts sentiments. Heureusement que nous n’étions pas…sensibles.
Après le lycée, je suis partie à Paris et c’est là que j’ai croisé ma mère. Elle insistait pour que je passe la voir et pour que je loge dans un appartement du quatorzième arrondissement, chose que j’ai accepté, par vengeance uniquement. J’ai appris également qu’elle avait un fils, de dix ans maintenant. Il s’appelle Robin. Et il a les yeux bleus, lui ! Bref, ne parlons pas de cette petite tête d’andouille absolument adorable qui m’a piqué ma mère !

J’ai donc commencé à vivre dans le quatorzième après l’obtention de mon baccalauréat. Là, je suis allé en classe préparatoire, où j’ai rencontré de charmantes personnes, qui me correspondaient plus. J’ai abandonné le piano, convaincu que la vie à Henri IV allait être imbuvable. C’est là que j’ai néanmoins appris à apprécier une bonne bière. Avec modération, bien entendu. En classe préparatoire, je suis sortie avec plusieurs filles, mais c’est avec l’Histoire que je suis réellement tombé amoureux. Moi ? Passionné ? Si peu !

Après mes années de prépa, et l’arrivée sur Paris de mes sœurs Sixtine et Suzanne, j’ai été pris à la Sorbonne pour poursuivre un double cursus.
Aujourd’hui, la vie coule lentement mais surement même s’il reste quelques points de ma vie que je dois éclaircir.

T'es canon, t'as fini ta fiche et on peut officiellement tebouffer, te considérer comme un sexy ollpiens. Évidemment, on va pas t'laisser comme une âme en peine va, si tu peux dès à présent rp, tu peux et dois également gérer les différents services et demandes à ta disposition dans le coin approprié comme faire une demande de logement ou participer à la vie du forum si tu as des idées à proposer. Histoire de ne pas être forever alone, on te conseille de ne pas hésiter à envoyer des MP aux autres membres afin de commencer un sujet ou de se trouver un lien. Tu peux également avoir une fiche de lien et répertorier tes différents sujets. D'ailleurs, n'oublie pas qu'en choisissant ton groupe tu as été automatiquement placé dans une équipe et que tu vas ainsi pouvoir gagner un tas de points pour elle, si tu veux plus d'information, viens donc faire un tour ici. Si tu as envie de rendre la vie de ton personnage plus excitante tu peux posséder un téléphone, un journal intime ou encore utiliser le système de mini-rp pour aller plus vite.
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pour finir et parce qu'on t'as vachement assommé (mais là on veut bien te soigner ) consultes régulièrement le tumblr du forum pour être au courant des news.
Pas besoin de te préciser que la chatbox, le flood et notre boite mp est grande ouverte, surtout n'hésites pas, le plus important, c'est vraiment que tu sois bien et heureux parmi-nous.
aller encore bienvenue, on est ravis de t'avoir, maintenant on te lâchera plus, c'est fini pour toi

Tay, Ella, Camel, Harriet, Ana et Elie.