Nom complet ▲ alexis c. longchamps Lieu de naissance ▲ Nantes âge ▲ 23 ans nationalité ▲ Française diplômes, études ▲ Licence de cinéma métier ▲ Bloggeuse glandeuse pour une boite de com statut matrimonial ▲ célibataire endurcie orientation sexuelle ▲ elle sait pas, et elle s'en fou situation financière ▲ les fin de mois sont compliqués mais bon, Alexis aime bien les pâtes ... idole(s) de vie ▲ Jeanne d'Arc. Ouais, parce qu'elle, au moins, elle était respectée. nombre d'amis facebook ▲ un nombre proche de zeéro ... Allé, quatre : sa mère, son père, son frangin et une collègue qui avait pitié. moyen de déplacement ▲ le métro et ses pieds ... groupe ▲ la Javanaise avatar ▲ Jennifer Lawrence crédits ▲ Lucy, tumblr

DE 8H00 à 12H00▲ A 8 heures ? La miss part de chez elle. Son taff de glandeuse geek commence à 9 heures, elle préfère partir un petit peu plus tôt – même si en métro, c'est pas si loin que ça. Alexis bosse dans le onzième. Bref, en chemin, elle craque souvent pour un kebab. Ouais, comme ça, à 8 heures trente. Quoi, comment ça, on attend plus tard, normalement, pour les kebab ? Bref, Alexis se lève à 7h45, elle s'habille avec ce qui lui tombe sous la main – un jean et un haut qui la fait ressembler à une patate dans un sac, souvent – et part. Elle ère dans les rues à la recherche de son kebab, prend le métro en grommelant quand on la bouscule – tout le temps, donc – et va bosser. Elle arrive au boulot à 9 heures … et ne fout strictement rien jusqu'à midi. Ouais, c'est ça qu'est bien, quand on est bloggeuse pour une boite de communication : elle doit faire les articles du blog, mais bon, le temps de chercher les infos, les nouveautés, toussa … bref, elle zone sur des sites, sur tumblr, elle zyeute ses mails – boite toujours vide – ses SMS – toujours zéro – son compte facebook désert et finit par aller écrire un truc qu'elle garde sauvagement pour elle jusqu'à midi – vous en saurez plus dans son histoire, promis ! Ah, et entre temps, elle poste un article, quand même, histoire d'être payée en fin de mois.


DE 12H00 à 14H00▲ Alors ça, c'est cool ! Bureau vide, elle va chercher son kebab, second de la journée, sa bière - ouais, bière au taff, elle s'en fou - et va geeker devant son ordinateur. Et puis, parfois, elle mange dehors, avec son frère qui la force à lâcher les kebab. Elle ne l'avouera jamais, mais Alexis adore les moments qu'elle passe seule avec lui.


DE 14H00 à 17H00▲ Plus chiant ... Y'a plus de monde, les clients qui passent, faut se montrer souriant et aimable et ça, Alexis, ça la fait chier, clairement. Elle fait des efforts et finalement, bosse d'avantage l'après midi que le matin. C'est généralement vers quatorze heure qu'elle échange deux mots avec ses collègues, enfin. Et puis, vers seize heure quarante cinq, elle plie bagages - autant se tenir près à partir des dix sept heure, hein ! Elle a signé pour du 35 heures, pas question d'en faire plus !


DE 17H00 à 20H00▲ A dix sept heures, donc, Alexis se casse bien vite du boulot, elle a pas envie de faire des heures sup, merci pour elle ! Bref, la miss a souvent un creux – glander, ça creuse, c'est bien connu – mais c'est généralement à cette heure là qu'elle pense à la fin du mois alors, elle passe devant un paquet de kebab en gardant les yeux fermés – enfin pas tout à fait, elle veut pas non plus se prendre un lampadaire dans la poire – et va prendre un gouter chez elle, devant un écran, bien sur ! Souvent, c'est du chocolat. Quand elle a des courses à faire – et que c'est urgent, les fond de placard, c'est un truc qu'elle connait bien, Alexis – c'est à 19 heures qu'elle y va. Après, hop, geekage – série, film, zonage … souvent, c'est ce programme là qui traine jusqu'à 20 heures.


DE 20H00 à 24H00▲ A 20 heures, Alexis commence à se dire qu'il est temps de manger – vous vous rendrez compte qu'elle aime bien ça, manger – et finit par mettre un truc à cuire, souvent un plat tout prêt – cuisiner, elle aime moins – ou par se faire livrer un machin. Euh … des nems avec du riz cantonais, qu'elle mange devant un film, ou en lisant, ça dépend des soirs. Son repas est court – oui oui, elle sait qu'il faut manger lentement, toussa, on le lui a déjà dit … mais vous savez quoi ? Elle s'en fou – et lorsqu'il prend fin, Alexis écrit avec cette frénésie qui ne lui prend que lorsqu'elle est penchée sur une feuille de papier, un stylo plume à la main. Elle écrit – c'est d'ailleurs ce qu'elle fait jusqu'à ce qu'elle aille se coucher.


DE 24H00 à 8H00▲ Elle dort. Bon, d'accord, son heure de couché approche peut être plus les une heure du matin que les minuit, mais en gros, vous avez l'idée ! Et puis, à 7 heure 45, les choses reprennent leur cours ...

Lâche – Solitaire – Désagréable – Vulgaire – Garçon manqué – Geek – Flemmarde – Imaginative – Triste – Hyper sensible – Trouillarde – Fine plume

Alexis, c'est la p'tite deuxième. Le bout de chou que l'on a oublié, un jour, sur une des marches de la place du commerce, à Nantes, la ville où elle est née. Mais le début de l'histoire remonte encore un petit peu …

Frédérique et Christophe se sont rencontrés à la fac. Ils étaient jeunes, beau, plein de projets, plein d'avenir. Fou amoureux l'un de l'autre, ils n'ont pas hésité à s'installer ensemble, dans une petite rue des beaux quartiers de Nantes. Leur appartement, délabré, pas franchement beau, était petit, sale et sombre mais à vingt ans, ils s'en fichaient pas mal, de ce genre de détails. Tout allait bien – et puis Frédérique est tombée enceinte. Un mois, ça passe, on s'en rend pas compte. Deux mois, pareil. Trois mois … Les doutes qui commencent à arriver. Quatre mois, ce n'est même plus la peine de le cacher. On s'active, on cherche du travaille, on s'inscrit à l'ANPE … Christophe trouve un emploi stable mais pas vraiment palpitant – facteur, ni plus ni moins – qui leur permettra de déménager pour s'installer dans un appartement habitable pour un jeune couple avec un bébé. Un petit garçon – Louann. La vie de famille s'installe, tranquille. Louann grandit, Frédérique se met à travailler, elle aussi et plus tard, Chirstophe reprend une formation rémunérée. Bref, le couple parvient à prendre soin de lui et de leur fils, à tel point que bientôt, un deuxième bébé pointe le bout de son nez. Alexis, une petite fille qui apparait vite comme étant ronchon.

La gamine pleure. Elle ne rit pas, ne sourit pas, ne joue pas et ne mange pas. Elle ne dit rien, alors on finit par oublier sa présence – sauf quand des sanglots mécontents se mettent à résonner dans l'appartement. Son frère, âgé de quatre ans, montre un plaisir tout particulier quand il s'agit de l'embêter et lorsqu'Alexis commence à avoir des dents, elle le mord, ni plus ni moins. Il apparaît vite qu'elle a d'ailleurs de bonnes dents et durant quelques temps, son frère se fait discret, approchant presque craintivement lorsque sa mère lui demande de veiller sur Alexis, sur sa frangine au regard bleu sombre et aux épais cheveux brun, sur cet enfant qui darde un regard pas content sur lui. Alors, quand il se retrouve seul avec elle sur la place du commerce, il se dit que l'oublier dans la ville, ça pourrait être drôle … Heureusement que Frédérique n'était pas loin de là ! Bref, c'est une affaire que Louann n'a jamais recommencé. Alexis n'est donc pas un enfant très vivant ni dynamique, loin de là. Elle se tait et c'est uniquement lorsqu'elle se retrouve face à un livre que son regard s'illumine. Elle se met à rêver en regardant les images, savourant les mots qui dansent dans son esprit sans qu'elle ne parvienne à les comprendre.

Vient les trois ans, l'école, la maîtresse – qu'elle mord aussi – et les camarades de classe – copains serait un mot fort inapproprié. Il faut peut de temps pour remarquer qu'Alexis reste en retrait, solitaire et silencieuse, développant son imagination, son art de se laisser distraire par la fourmis qui grimpe le long du bureau et laissant de côté la sociabilisation … Elle fait de toute manière trop peur aux autres pour qu'ils ne l'approchent, si silencieuse, si … différente. Son entrée à la primaire est bercée par les dessins animés que regarde son frère et pour les quels elle montre un intérêt certain. Celui qu'elle préfère est sans aucun doute les Pokémon – trop cool, trop géniaux, trop mignon, pi Pikachu il gère grave, quoi – sans doute suivit de Capitaine Flamme, dont il lui faudra une petite année pour retenir les paroles complètes du générique. A partir de ce moment là, c'est fini : Alexis vit ailleurs. Dans un monde fait de livres et de dessins animés, un monde merveilleux, qu'elle imagine de toute pièce. Il ne peut pas exister, elle le sait – et alors ? C'est un détail. Elle ne veut pas s'encombrer des détails. Elle grandit donc là encore en marge, plongée dans son monde, sans approcher les autres – et quand on l'approche, elle renvoie chier, à sa manière, fort peu élégante et pas franchement polie, à grand coup de « putain mais va chier ! ». Quel modèle pour les plus jeunes !

En parallèle, Alexis se développe lentement, physiquement. Elle reste petite, pour son âge, et fine, très fine. En arrivant au collège, la tête pleine de dessin animés geek, de lecture geek et d'un tas de jeu de société plus ou moins geek, elle reste encore très enfantine. Elle se met à détester cette apparente fragilité et s'imagine être une fille respectée telle que … Jeanne d'Arc ! Le déclic à lieu en cours d'histoire, et elle même ne comprend pas très bien ce qu'il se passe. Jeanne d'Arc était crainte, elle était puissante, elle était une vraie warrior, voilà comment Alexis voit cette femme de l'histoire. Elle se met à rêver de lui ressembler et coupe ses cheveux courts, très courts. Une espèce de coupe au bol assez immonde qui ne lui vaut rien de plus que d'être la risée de tous. Elle se renfrogne encore un petit peu plus et il faut à sa mère un temps infini pour lui expliquer qu'elle peut tout à fait être respectée en ayant les cheveux longs. Le collège est habituellement le moment ou l'ont commence à rencontrer de nouvelles personnes, à s'intéresser aux garçons … Pour Alexis, il n'en est rien. Les mecs sont des cons, point barre à la ligne. Elle veut pas approcher les pimbèches qui portent trois tonnes de maquillage qui lui servent de camarades de classe. Elle refuse de parler aux professeurs par principe – quel principe, ça, par contre, elle ne sait pas trop, mais c'est un détail. Les seules personnes qu'elle côtoie sont donc sa famille et des potes de son frère avec qui il fait du jeu de rôle et qui lui apprenne à compléter son vocabulaire déjà bien suffisamment fleuri. A force d'insister, elle finit par prendre elle aussi place autour de la table ronde et s'invente ses personnages, ses scénarios … elle y prend un plaisir fou et c'est avec une certitude sans faille qu'elle s'inscrit dans un lycée avec la spécialisation Littéraire Cinéma. Quand elle arrive là bas, elle s'habille comme un mec, jean et tee shirt, basket en permanence. Ses cheveux ont repoussés et elle est toujours plate comme une planche à pain. Sans ses cheveux longs, on la prendrais pour un mec … Quelle idée, aussi, de l'appeler Alexis ! Et bah la miss aime assez ça. Elle en jouerai bien, mais ses parents ne sont pas vraiment partants pour qu'elle fasse recouper ses cheveux. Tant pis, elle sera donc une fille …

Le lycée n'annonce aucun changement, si ce n'est qu'Alexis se replie d'avantage sur elle-même et dans les mondes qu'elle prend tant de plaisir à inventer et à faire vivre. Elle n'hésite pas une seule seconde en déclarant que le cinéma est sa passion, la seule et qu'elle montera à Paris pour pouvoir la vivre – essayer de la vivre. Voyant là un signe encourageant – à tord, mais bon – qui pourrait la faire aller vers les autres, ses parents n'hésite pas à l'inscrire à la Sorbonne pour suivre un parcours Cinéma et Audiovisuel très poussé, d'un intérêt indiscutable. Ses notes plus que bonnes dans cette matière lui permettent d'être prise sans le moindre soucis.

Avec Paris, c'est une nouvelle vie qui commence, pas vraiment loin de tous ceux qu'elle connait : son frère, Louann, y est aussi. Il n'a eu aucun mal à se faire des amis, sociable comme il est, et sa présence rassure tout autant Frédérique et Christophe, restés sur Nantes, qu'Alexis qui aime bien plus son frère qu'elle ne le dira jamais. Car Paris est grande, terrifiante et totalement étrangère. Elle ne s'y sent pas chez elle, au début, et à du mal à s'adapter. A apprécier son chez elle, si confortable soit-il. Seuls les cours la maintiennent à peu près bien, lui donne la force de s'accrocher – car c'est définitif, elle aime ce qu'elle fait. Une première ! Une option dessin animé lui permet d'écrire le scénario d'une hypothétique suite des aventures de Capitaine Flamme – elle séduit bien vite son professeur par son imagination, par son écriture fluide et par sa motivation sur ce sujet. Son professeur … et un garçon de sa promotion. Un certain Tristan qu'elle regarde avec méfiance et sans trop d'intérêt, à vrai dire. Et pourtant … le garçon finit par capter son attention. Hésitante, maladroite, silencieuse, elle finit par l'approcher, incapable de savoir comment se comporter avec lui. Deux ans pour apprendre l'amour, deux ans durant les quels Alexis semble enfin commencer à vivre pleinement. On la voie sourire et elle parle à d'avantage de personnes. Poussée par une envie de changement, elle déménage et trouve un mi-temps dans un agence de communication : blogueuse. Elle n'a pas grand chose à faire, si ce n'est écrire des articles sur les nouvelles tendances geek – ça tombe bien, elle-même est une geek ! Elle se fait donc sans soucis à ce travail. Et puis Tristan la quitte, prenant bien soin de piétiner son petit cœur dévasté – elle est bien plus sensible qu'elle ne se plait à le croire. Le coup est dur, et a plus de répercussion qu'on ne pourrait le croire. Alexis loupe son entrée en master, la boite de com lui propose un CDI – elle accepte, sans trop savoir ce qu'elle va faire de sa vie, maintenant …

Félicitation, tu es désormais officiellement un Ooh la la Parisien. Nous t'invitons maintenant à faire grandir ton personnage parmi nous à travers les liens et les topics. Évidemment, la chatbox et le flood sont deux moyens très efficaces pour t'intégrer aux autres et nous vous encourageons à y participer pour connaître l'ambiance de fou qui règne ici. Si les moyens cités plus haut sont inefficaces, n'hésite surtout pas à demander à un administrateur ou à un habitué d'ollp de te parrainer. N'hésites pas à t'inscrire à l'intrigue en cour : le festival de musique ! Nous recherchons des groupes, des danseurs mais aussi des spectateurs et même des bénévoles pour veiller à l'encadrement de la fête (a) Nous te souhaitons de merveilleux moments parmi nous et nous espérons que tu pourras trouver ton bonheur ici.

Yannie, Grayson, Ella, Cora, Bloko, Albane & Anaëlle