DE 8H00 à 12H00▲ Cas n° 1 : Si je n'ai ni la Fac, ni le boulot, il y a de grande chance pour que je vienne tout juste de rentrer de soirée. Et si il est 8 heure du matin passé, inutile pour moi de me pieuter dans mon lit douillet : dormir pendant la journée, très peu pour moi, j'ai passé l'âge d'être une marmotte. En revanche me transformer en loque, vêtue pour seul vêtement d'un boxer, ayant les yeux d'un raton-laveur et abordant une cigarette entre les lèvres, LÀ, c'est autre chose ! Si je n'ai rien de prévu et pas grand chose à faire, on pourra m'apercevoir errer entre la cuisine et le salon, dessaoulant à la caféine et aux émissions de télé débiles.
Cas n° 2 : Si j'ai des cours ou un patron à ne pas mettre en colère, je suis déjà levé depuis 6h30. Le temps que j'émerge de mon lit, il est déjà 7h, voire 7h10.. Le matin est mon ennemi ! Je prends une douche brûlante -été comme hiver-, j'enfile des fringues, attrape une cigarette et un café et je mets le contact de ma Virago. En deux roues, c'est facile de se faufiler entre les voitures alors même en me réveillant à la bourre, je me débrouille toujours pour arriver à l'heure. Passé 8h, je travaille ._.'
DE 12H00 à 14H00▲ Cas n° 1 : Lorsque je n'ai pas d'obligation : boulot / cours, c'est l'heure où j’émerge complètement de la veille. Bah oui. Faut bien se bouger le cul à un moment ou à un autre. Soit j'appelle quelqu'un pour manger dehors. Soit je me fais réchauffer une box de pâtes au micro-onde et je rejoins des potes en ville ou autour d'un café. Bref, à cette heure là, je suis rarement chez moi. Sauf le temps d'avaler un truc à grignoter.
Cas n° 2 : Si c'est ma pause déjeuner, alors c'est simple. Soit je suis à la cafétéria de la fac où à un fast-food pas loin. Et si je suis au boulot, au vrai, alors, dans ce cas, on me trouve dans la salle de repos avec des collègues devant des pizzas, des sushis ou des hamburgers, suivant ce que l'on a commandé.
DE 14H00 à 17H00▲ Cas n° 1 : Dans ces eaux là, je suis chez moi pénard en train de réviser des cours ou de faire un ou deux exercices. Mais c'est quand même ASSEZ rare. Je bouge parfois un peu partout dans Paris avec ma moto, je vais faire quelques courses, je passe à banque ou encore d'autres trucs qui font que l'on est classé dans le groupe des 'autonomes' et pas dans celui des 'fils/fille à papa/maman'.
Cas n° 2 : Je bosse, je bosse, je bosse. Je crois qu'on peut pas faire plus simple. Et parfois plus chiant par la même occasion..
DE 17H00 à 20H00▲ Cas n° 1 : Je dois surement être en train de me préparer pour une quelconque soirée. Hors de question de rester pépère à la maison si je n'ai pas d'heure pour me lever le lendemain matin. Je passe quelques coups de fil, je change de programme à la dernière minute et à 20h, j'ai fini de manger et je suis fin prêt.
Cas n° 2 : Il m'arrive de sortir les soirs où je bosse le lendemain mais si c'est le cas, à cette heure là je suis encore à la Fac ou au travail malheureusement... J'arrive chez moi en 18h30 et 19h. Je prend le temps de manger. Genre un bon repas de gros !
DE 20H00 à 24H00▲ Cas n° 1 : A 20h je suis déjà parti de chez moi et je suis en route pour faire la fête. Parfois je prend la moto quand je sais que je vais être raisonnable, sinon je m'abstiens et je prend un peu plus d'argent pour payer un taxi. A 22h, l'ambiance à déjà bien démarré, la tournée des bars à commencée. Les gens parlent fort, leurs gestes sont plus amples, leurs yeux plus rouge et les rires se font plus nombreux.
Cas n° 2 : Vers 21h30 / 22h je viens surement de finir un film ou l'épisode d'une série. Mais je ne compte pas me coucher de si tôt. Le téléphone est mon meilleur ami. J'appelle deux ou trois personne de mon répertoire et en quelques minutes, me voilà devant un verre d'alcool, accoudé à la table d'un bar. Il a toujours des gens pour sortir.
DE 24H00 à 8H00▲ Cas n° 1 : Je suis en boîte, avec des amis ou dans un appart avec la musique qui semble aussi forte que les réacteurs d'un avion. J'ai quelques grammes dans le sang et la soirée à déjà bien commencé. Ce soir, je sais que je vais encore me coucher tard ou bien faire une nuit blanche. Qui vivra, verra.
Cas n° 2 : Quel que soit mon programme du lendemain, je ne rentre pas chez moi avant deux heures du matin. Règle d'or. Parfois je reste au bar avec des amis jusqu'à sa fermeture, sinon je leur propose de passer chez moi pour quelques heures. Ensuite deux cas de figure s'offrent à moi. Soit l'ambiance fait que les amis en question restent jusqu'au petit matin. Soit j'ai l'intelligence de les virer pour pouvoir dormir un minimum trois heures. Mais en temps normal, je ne suis pas très raisonnable.