Nom complet ▲ Ma mère m'a appelé Kayden, je ne sais pas si c'est en rapport quelconque avec quelqu'un de célèbre mais toujours est-il que j'espère que ce n'est pas une référence à Kayden Kross ! Moreau est tout simplement le nom de ma génitrice. Ce qui fait donc de moi : Kayden Moreau. Mais parfois, certain m'appelle Kay par soucis de longueur. Lieu de naissance ▲ Je suis né à Lyon, dans le 3ème arrondissement. Non loin du quartier de La Part Dieu. âge ▲ Je suis depuis peu dans ma vingt-troisième année. Je suis encore jeune, j'ai encore le temps de construire ma vie. nationalité ▲ Française. Faut pas chercher plus loin. diplômes, études ▲ J'ai eu mon Bac. Sans mention bien sur.. mais c'est mon premier vrai diplôme ! Après ça, j'ai fait des études dans l'informatique. métier ▲ Je bosse dans l'informatique, dans une PME. C'est un boulot aux tâches mineures mais ça me permet de payer mon loyer et de continuer à suivre mes études d'informatique. statut matrimonial ▲ Célibataire. L'amour, c'est un peu trop compliqué pour moi je crois. orientation sexuelle ▲ Hétérosexuel. Le corps d'une femme est incomparable à celui d'un homme. La féminité, les formes, les courbes, bref, il n'y a que ça qui arrive à me "lever" situation financière ▲ Assez médiocre je dois dire. Concilier un boulot, des études, un appart et les soirées, ça ne fait pas vraiment de vous un homme riche. idole(s) de vie ▲ Aucune. nombre d'amis facebook ▲ Une centaine. Mes amis les plus proches, des potes de fac et quelques connaissances rencontrées en soirée. moyen de déplacement ▲ Moto, une Yamaha Virago 250cc, ma petite fierté. Sinon le taxi quand je suis trop bourré et que les métros sont fermés. groupe ▲ Un Autre Monde. avatar ▲ Max Irons. crédits ▲ Tumblr.

DE 8H00 à 12H00▲
Cas n° 1 : Si je n'ai ni la Fac, ni le boulot, il y a de grande chance pour que je vienne tout juste de rentrer de soirée. Et si il est 8 heure du matin passé, inutile pour moi de me pieuter dans mon lit douillet : dormir pendant la journée, très peu pour moi, j'ai passé l'âge d'être une marmotte. En revanche me transformer en loque, vêtue pour seul vêtement d'un boxer, ayant les yeux d'un raton-laveur et abordant une cigarette entre les lèvres, LÀ, c'est autre chose ! Si je n'ai rien de prévu et pas grand chose à faire, on pourra m'apercevoir errer entre la cuisine et le salon, dessaoulant à la caféine et aux émissions de télé débiles.
Cas n° 2 : Si j'ai des cours ou un patron à ne pas mettre en colère, je suis déjà levé depuis 6h30. Le temps que j'émerge de mon lit, il est déjà 7h, voire 7h10.. Le matin est mon ennemi ! Je prends une douche brûlante -été comme hiver-, j'enfile des fringues, attrape une cigarette et un café et je mets le contact de ma Virago. En deux roues, c'est facile de se faufiler entre les voitures alors même en me réveillant à la bourre, je me débrouille toujours pour arriver à l'heure. Passé 8h, je travaille ._.'


DE 12H00 à 14H00▲
Cas n° 1 : Lorsque je n'ai pas d'obligation : boulot / cours, c'est l'heure où j’émerge complètement de la veille. Bah oui. Faut bien se bouger le cul à un moment ou à un autre. Soit j'appelle quelqu'un pour manger dehors. Soit je me fais réchauffer une box de pâtes au micro-onde et je rejoins des potes en ville ou autour d'un café. Bref, à cette heure là, je suis rarement chez moi. Sauf le temps d'avaler un truc à grignoter.
Cas n° 2 : Si c'est ma pause déjeuner, alors c'est simple. Soit je suis à la cafétéria de la fac où à un fast-food pas loin. Et si je suis au boulot, au vrai, alors, dans ce cas, on me trouve dans la salle de repos avec des collègues devant des pizzas, des sushis ou des hamburgers, suivant ce que l'on a commandé.


DE 14H00 à 17H00▲
Cas n° 1 : Dans ces eaux là, je suis chez moi pénard en train de réviser des cours ou de faire un ou deux exercices. Mais c'est quand même ASSEZ rare. Je bouge parfois un peu partout dans Paris avec ma moto, je vais faire quelques courses, je passe à banque ou encore d'autres trucs qui font que l'on est classé dans le groupe des 'autonomes' et pas dans celui des 'fils/fille à papa/maman'.
Cas n° 2 : Je bosse, je bosse, je bosse. Je crois qu'on peut pas faire plus simple. Et parfois plus chiant par la même occasion..


DE 17H00 à 20H00▲
Cas n° 1 : Je dois surement être en train de me préparer pour une quelconque soirée. Hors de question de rester pépère à la maison si je n'ai pas d'heure pour me lever le lendemain matin. Je passe quelques coups de fil, je change de programme à la dernière minute et à 20h, j'ai fini de manger et je suis fin prêt.
Cas n° 2 : Il m'arrive de sortir les soirs où je bosse le lendemain mais si c'est le cas, à cette heure là je suis encore à la Fac ou au travail malheureusement... J'arrive chez moi en 18h30 et 19h. Je prend le temps de manger. Genre un bon repas de gros !


DE 20H00 à 24H00▲
Cas n° 1 : A 20h je suis déjà parti de chez moi et je suis en route pour faire la fête. Parfois je prend la moto quand je sais que je vais être raisonnable, sinon je m'abstiens et je prend un peu plus d'argent pour payer un taxi. A 22h, l'ambiance à déjà bien démarré, la tournée des bars à commencée. Les gens parlent fort, leurs gestes sont plus amples, leurs yeux plus rouge et les rires se font plus nombreux.
Cas n° 2 : Vers 21h30 / 22h je viens surement de finir un film ou l'épisode d'une série. Mais je ne compte pas me coucher de si tôt. Le téléphone est mon meilleur ami. J'appelle deux ou trois personne de mon répertoire et en quelques minutes, me voilà devant un verre d'alcool, accoudé à la table d'un bar. Il a toujours des gens pour sortir.



DE 24H00 à 8H00▲
Cas n° 1 : Je suis en boîte, avec des amis ou dans un appart avec la musique qui semble aussi forte que les réacteurs d'un avion. J'ai quelques grammes dans le sang et la soirée à déjà bien commencé. Ce soir, je sais que je vais encore me coucher tard ou bien faire une nuit blanche. Qui vivra, verra.
Cas n° 2 : Quel que soit mon programme du lendemain, je ne rentre pas chez moi avant deux heures du matin. Règle d'or. Parfois je reste au bar avec des amis jusqu'à sa fermeture, sinon je leur propose de passer chez moi pour quelques heures. Ensuite deux cas de figure s'offrent à moi. Soit l'ambiance fait que les amis en question restent jusqu'au petit matin. Soit j'ai l'intelligence de les virer pour pouvoir dormir un minimum trois heures. Mais en temps normal, je ne suis pas très raisonnable.

Je suis né un soir de Septembre. Dans les quartiers de Lyon et sous une lune bienveillante. Ronde et pâle. La douceur de cet astre m'a bercée pour mes premières heures en ce bas monde.
Ma mère avait accouchée à la clinique. De temps en temps, mon père passait dans sa chambre, lui apportant des fleurs ou des chocolats venant de la meilleure chocolaterie. Puis on est rentré à la maison elle et moi. Il était venu nous chercher en voiture; elle pour la première fois mère et moi petite chose encore rose sommes monté et on a prit la route en direction de l'appartement. Le lendemain matin il était parti. Abandonnant ma mère avec un enfant sur les bras. D'ailleurs, je ne me suis toujours pas mis d'accord sur le fait que ce soit un lâche ou un énorme looser.
Toujours est-il qu'elle réussit à m'élever seule, tant bien que mal. Elle cumulait des petits boulots et parfois la voisine du palier d'en face me gardait lorsque c'était impossible pour ma mère. Une fois que je fus en âge d'aller à la crèche, cela fut plus simple pour tout le monde. Durant toute mon enfance je fus élevé par des femmes. Si bien que j'avais acquis avec ma mère un complicité sans pareil.

Vers 15 ans, j'avais développé un intérêt particulier pour les ordinateurs et leur fonctionnement. Ma chambre été devenu un vrai chantier où des cadavre d'ordinateur, et de composants s'étalaient sur le sol. C'est à ce moment là que ma mère est tombée malade. Un cancer du sein. A l'époque, je n'avais pas bien conscience de ce que cela voulait dire. Mais je me souviens de ma mère qui parlait au téléphone avec sa meilleure amie. Elle avait prononcé les mots 'tumeur', 'stade avancé', 'irrémédiable' et 'condamné'. Ces mots qui n'étaient que des mots prirent un tout autre sens lorsqu'il s'appliquèrent à la réalité.
De fait, ma mère fit en sorte qu'au moment où elle quitterait ce monde, je sois capable de me débrouiller seul.
Elle décéda peu après mes dix-huit ans. A ce moment là, je quittais Lyon, l’appartement du dernier étage et tout les souvenirs que j'avais dans cette ville.

J'arrivais à Paris, mon bac en poche, et inscris dans une fac d'informatique. Pour le moment je ne m'en sortais pas trop mal. J'avais un petit boulot de nuit dans une discothèque qui me permettait de payer ma chambre U ainsi que quelques aides sociales pour subvenir à mes besoin. A Paris, je fis rapidement des connaissances. Plus ou moins houleuses dira-t-on. Quelques amis tant masculins que féminins. Et il y avait cette fille que j'avais rencontré lors d'une soirée : Lia. On avait couché ensemble lors d'une soirée bien arrosé. Puis dès que l'on se voyait cela se terminait toujours de la même manière. Deux corps qui ne faisait plus qu'un. On a fini par se mettre ensemble. Je crois qu'on s'aimait. Qu'on s'aimait vraiment. Mais on a tout les deux foutu la merde à notre manière. Comme si ce bonheur nous agressait et qu'il fallait à tout prix le faire taire. Tout ce que je peux dire c'est que l'on a réussi. Après deux ans et demi de relation orageuse, la tempête à prit fin dans un fracas terrible. On en est venu à se détester. Car même en ne nous voyant plus la douleur était toujours. Putain, merde. On avait tellement souffert en étant ensemble et voila que même séparé la souffrance ne s’apaisait pas. C'est la première fois que j'ai souffert pour une fille. Et je me suis toujours promis que c'était la dernière.

Depuis je ne rêve que d'adrénaline, d'aventure, je veux me sentir vivant. Présent dans ce putain de monde. Je vis la vie à fond, et j'essaye de m'astreindre à vivre le moment présent, sans penser au passé, sans penser à l'avenir.
Dans le fond je suis un peu comme toutes ces âmes parisiennes. Un peu perdu ici-bas.

Félicitation, tu es désormais officiellement un Ooh la la Parisien. Nous t'invitons maintenant à faire grandir ton personnage parmi nous à travers les liens et les topics. Évidemment, la chatbox et le flood sont deux moyens très efficaces pour t'intégrer aux autres et nous vous encourageons à y participer pour connaître l'ambiance de fou qui règne ici. Si les moyens cités plus haut sont inefficaces, n'hésite surtout pas à demander à un administrateur ou à un habitué d'ollp de te parrainer. N'hésites pas à t'inscrire à l'intrigue en cour : le festival de musique ! Nous recherchons des groupes, des danseurs mais aussi des spectateurs et même des bénévoles pour veiller à l'encadrement de la fête (a) Nous te souhaitons de merveilleux moments parmi nous et nous espérons que tu pourras trouver ton bonheur ici.

Yannie, Grayson, Ella, Cora, Bloko, Albane & Anaëlle