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« Tu composes le 911 et tu dis aux policiers qu’ils se dépêchent d’arriver, il va y avoir un meurtre dans la rue. » ► Die Hard ~ Une journée en enfer

Aujourd'hui c'était l'anniversaire de mon homme, mais au lieu de le fêter avec lui comme l'année dernière je suis condamné à travailler. En me levant ce matin, j'ai pris mon petit déjeuné, j'ai pris une douche, me suis habiller, plaçant l'étui contenant mon arme sur ma ceinture et mon insigne dans la poche arrière de mon jean. Et en homme attentionné que je suis j'ai préparer le petit déjeuner de mon homme que j'ai déposé sur un plateau te que j'ai apporté dans notre chambre y déposant sur le lit. Je pris quelques minutes pour rédiger un petit mot sur une feuille que j'ai calé contre le bol.

"Bonjour mon amour,

Je te souhaites un très bon et heureux anniversaire, j'aurais aimé passer cette journée à tes côtés, mais hélas je ne peux pas... Tu dormais si bien que je n'ai pas eu le coeur de te réveiller pour te souhaitais ton anniversaire. Nous fêterons dignement ton anniversaire ce soir c'est promis. J'essaierais de rentrer le plus tôt possible c'est promis. Profites bien de ta journée mon ange.

Je t'embrasses.
Ton homme.

P.S: Ne tente pas de chercher tes cadeau, car c'est moi qui les détients."

Après l'avoir observé dormir une dernière fois je suis parti au travail. En effet je savais qu'en ayant la journée devant lui, mon prince chercherait son cadeau d'anniversaire, alors autant lui dire qu'il est inutile de s'épuiser pour cette tâche. En arrivant au bureau, j'ai fait le tour de mes collègues afin de leur dire bonjour, j'ai été salué mon patron et j'ai fini par me mettre au travail. Autant vous dire que la matinée m'a paru bien longue, j'ai enregistré deux ou trois pertes de porte-feuille qui contenait permis et tout ce qui s'en suit et j'en passe des pires et des meilleurs, j'ai fini par prendre ma pause et je suis allé boire un café en compagnie d'Alex, toujours fidèle au poste. « Alors Cyprien comme que ça va ? » J'ai observé doucement mon collègue et après un petit instant j'ai fini par lui répondre. « Pour tout t'avouer Alex, j'aurais préféré être chez moi aujourd'hui. » Bon, Alex était quelqu'un de confiance et même s'il aime me taquiner sur ma relation avec Dim' il n'en reste pas moins un ami. « Fait pas cette tête tu vas le retrouver ce soir ton homme. De plus si je ne me trompe pas tu es en congé demain, donc tu es en vacances aujourd'hui. » Un petit sourire apparu sur mes lèvres, je regarda l'heure 10h22, Dim devait sans doute être levé ou pas, connaissant mon tendre amour il doit profité du lit et surtout de dormir. « Vu ainsi, j'ai envie que la journée ce termine. Fêter ses 19 ans et nos 1 an vie commune... » « Ne me dit rien par pitié, car même si j'aime te taquiner, je ne veux pas avoir ce genre de vison. » Je me suis mis à rire et lui mit une petite tape dans le dos. Nous sommes retournés travaillés. Autant vous dire que j'ai trouvé le temps long, je faisais souvent la même chose, mais même si ça ne me gênait pas aujourd'hui je trouve que le temps ne défile pas vite. J'ai mangé au commissariat en compagnie d'Alex et Max, mon patron, nous avons discutés de tout et de rien, ils ont essayés de me questionnés sur les cadeaux que je comptais offrir à Dim, mais même à eux je n'ai rien dit. Ce ne fut que beaucoup plus tard qu'on entendit un « BERTHELOT & ROSEWOOD DANS MON BUREAU ! » Avec Alex on s'est regardé et on a fini par y aller. « Un problème Max ? » Le dit Max m'observa quelques secondes avec un air grave. « On vient de me signaler un trafic de drogue près du queen. Je veux que vous, vous en chargiez ! » Après un regard avec Alex, on hocha alors la tête en direction de Max. Nous, nous sommes dont préparer, gilets pare-balles, nos armes accrochés à notre ceinture. Et sans un mot nous avons pris ma voiture pour nous y rendre, sans ce concerté nous n'avons pas mis la sirène, pour mieux surprendre les trafiquants. Je priais intérieurement pour que Dim soit n'importe tout ailleurs, sauf près du queen. « Anxieux Cyp' ? » Je me suis garer un peu plus loin de la boîte de nuit afin que ça ne soit pas trop suspect et j'ai observé Alex. « Non, pourquoi ? » J'ai vu Alex haussé doucement des épaules avant de sortir de la voiture, j'ai fait de même et la ferma à clé. J'ai fini par suivre Alex, nous, nous protégeons mutuellement les arrières, ils ne nous a pas fallu longtemps pour les repérés, en mêmes temps ils ne sont pas très discrets, faire ça en plein jour et surtout sur les Champs-Élysées ou la population est dense. Nous avons sorti en silence nos armes et Alex fini par déclarer. « Police on ne bouge plus. » Les trois hommes on sursauté, ne pensant pas être surpris, mais je put apercevoir que le plus vieux des trois détenait une arme. Je n'eut même pas le temps de prévenir Alex de la détention de l'arme illégale, que le plus vieux sorti si son arme et la pointa sur nous, il passa de moi à Alex, d'Alex à moi, sans jamais tiré. « Déposer lentement l'arme au sol et envoyait la doucement vers moi. » J'étais étrangement calme, bon en même temps s'énervait ne servirait à rien dans ce genre de situation, mais l'homme n'avait pas l'air de coopérer, les deux plus jeunes avait fini par être neutralisé par Alex qui les avaient menottés et conduit à la voiture. J'ai fini par m'approcher doucement du dernier prisonnier, afin de lui faire, faire baisser son arme, mais en vain... Le reste se passa si vite que j'étais déstabilisé et surtout par terre avec une douleur à l'épaule, l'enfoirée il a réussi à me touché. J'ai osé jeté un coup d'oeil à la blessure, visiblement la balle n'a fait qu'effleurer mon épaule, je crois que sans l'intervention d'Alex je l'aurais reçu dans l'épaule. Des passants m'ont aidés à me remettre debout et j'ai appuyé ma main sur la blessure. « Qu'est-ce qui t'a pris Cyp' ?! Tu le vois avec une arme et toi tu t'approches de lui. » Je poussa un soupir de mécontentement et de frustration aussi, car j'ai pensé que l'homme ne tenterait pas une attaque contre un policier risquant de finir ses jours en prisons. « J'ai pensé qu'il ne ferait rien de peur de finir ses jours derrière les barreaux ! » J'ai suivi Alex jusqu'à la voiture, où il avait mit le dernier homme derrière avec ses complices. Alex s'est frappé le front avec sa paume de main et a observé ma blessure. « Encore une fois tu as voulu jouer au héros. Je vais t'emmener à l'hôpital pour te faire soigner. » Je ne dis rien, car je savais déjà que ça serait usé ma salive pour rien. Je suis monté dans la voiture côté passager et après avoir donner les clés à Alex il nous as conduits à l'hôpital. Une fois sur place à il a menotté les prisonniers sur des chaises et à demander une infirmière. Quelques minutes plus tard, j'ai vu Maëlys arriver. « Alors Cyprien, tu as voulu jouer au héros ? » « Tu ne vas pas t'y mettre toi aussi. » J'ai levé les yeux au ciel, d'abord Alex, maintenant elle... « Cyprien passe moi ton téléphone, le mien est déchargé. » Je pris mon téléphone dans ma poche et je le donna à Alex avant de suivre Maëlys. Je me suis assis sur la table de consultation et je me suis mis à l'observer faire. Alex à fait un passage éclair pour me rendre mon téléphone et me dire qu'il avait appelé le patron pour lui dire ou nous sommes. Génial, je pouvais déjà me préparer à des remontrances de sa part... Alors que Maëlys avait pratiquement fini de me recoudre, la porte s'ouvrit à nouveau pour laisser rentrer... Dimitri.

Il y a aussi des dangers dans le métier.

« Tu composes le 911 et tu dis aux policiers qu’ils se dépêchent d’arriver, il va y avoir un meurtre dans la rue. » ► Die Hard ~ Une journée en enfer

Bon, même si je ne passais pas la journée avec mon homme comme l'année dernière pour son anniversaire, j'ai tout de même était attentionné à son égard. Je lui ai préparé le petit déjeuner que je lui ai déposé sur le lit avec un petit mot. Bon, je ne suis pas attentionné que pour ce genre d'occasion, le week-end par exemple je le réveil d'une façon très particulière et qui nous plaît à tous les deux, quand il est en vacance et que je dois partir au travail et bien je le laisse dormir, mais quand il doit aller en cours, généralement on se réveil soit en même temps soit peu de temps l'un après l'autre. Puis quand je suis arrivé au bureau et surtout après avoir dit bonjour à tout mes collègues sans exception, je me suis mis au travail et vous pouvez me croire, j'ai vu les minutes voir les secondes défilés jusqu'à ce que l'heure du déjeuner arrive, moment que j'ai passer avec Max et Alex. On a parlé de tout et de rien, ils ont essayaient de savoir ce que je comptais offrir à mon homme, mais je n'ai pas voulu leur dire, à quoi bon de toute manière ? Puis nous sommes repartis au travail, mais plus tard dans l'après-midi Max à hurler après Alex et moi pour qu'on le rejoigne dans son bureau. Avec Alex on a été surpris de l'emploi de nos noms de familles, mais nous avons tout de même été dans le bureau et c'est là qu'on a appris qu'il y aurait un trafic de drogue dans quelques minutes on qu'on devait se rendre sur place... Avec Alex, nous nous sommes préparés et nous avons fini par nous rendre sur les lieux, autant vous dire que les petits dealers ne sont pas discrets, faire ça sur les Champs-Elysée ou du monde passe sans cesse. Mais au fond de moi j'ai espéré que Dimitri soit tranquillement à la maison ou ailleurs avec ses copains, je ne me voyais pas du tout lui passer les menottes, mais mon anxiété à du se lire sur mon visage, car Alex m'a demandé si ça aller... Alex a fini par se mettre derrière les dealeurs et leur dire de ne plus bougés, après avoir demandé à l'homme le plus vieux de déposer son arme et de l'envoyé vers moi, le reste c'est passé trop vite pour moi, la seule chose dont j'ai été conscient, c'est des douleurs que j'ai ressenti sur le moment, une sorte de brûlure du à la balle et la douleur à mon épaule car j'avais atterri dessus... Des personnes m'ont aidé à me relever pendant qu'Alex emmené celui qui m'avait tiré dessus à la voiture. J'ai remercié les personnes et me suis fait enguirlandé par Alex. Bon il avait le droit d'être en colère, car sans son intervention j'aurais reçu la balle dans l'épaule et j'aurais été dans l'incapacité de travailler durant un petit moment, même si mes vacances commencent aujourd'hui... Il a fini par me conduire à l'hôpital saint louis pour me faire soigner, ça faisait longtemps que je n'avais pas mis un pied à l'hôpital, depuis que je suis avec Dim en faite si je calcul bien et pour être franc, ça ne me manquer pas. J'ai fini par être pris en charge par Maëlys, pendant qu'Alex appeler notre patron pour le tenir informer. J'ai laissé Maëlys faire son travail et lorsqu'elle eut pratiquement fini de me recoudre, la porte c'est ouverte sur Dimitri. Bon je n'avais aucun doute sur l'identité de la personne qui a put prévenir mon homme et il pouvait s'attendre à des représailles. J'observais mon homme sans rien dire, parce que Maëlys était encore présente et que ce qui allait suivre ne la regardait pas. Je pouvais aisément comprendre qu'il est eu peur pour moi et qu'il se soit inquiété, surtout que connaissant Alex, il n'a pas du précisé que ce n'était rien de grave, lui il ne perdait rien pour attendre. Puis lorsque Maëlys eut fini, elle eut la délicate attention de nous laisser seul et une fois qu'elle eut franchi la porte que la douce voix de mon chéri retenti pour la première dans la pièce. « Alex aurait du précisé que je n'étais pas dans un état critique, car je suis sûr qu'il n'a rien dit de plus que le simple fait que j'étais ici, en faite il n'aurait pas du t'appeler... Je vais bien, il y a eut plus de peur que de mal de fait et en partie grâce à Alex, il m'a poussé à temps. Amour, retire cette idée de ta tête, mise à part que j'ai un peu mal, je vais bien d'accord ? » Il vaut mieux pour Alex qu'il reste loin de cette salle pour le moment, sinon je ne pourrais me retenir et il se recevrait mon point dans sa figure. D'une il s'est permis d'avertir Dim sans mon autorisation et deux il a inquiété et fait peur à Dim pour rien. « Je suis désolé mon amour... Ce n'est pas comme si je pouvais prévoir ce genre de chose... Ça arrive très vite et sans qu'on s'y attende. » Je pris note mentalement d'étrangler moi-même Alex, sérieusement il aurait dû se mêler de ses affaires pour une fois, j'aurais tout dit ce soir à mon homme et il ne se serait pas inquiété inutilement et pour rien surtout. Je l'observa s'asseoir à mes côtés là, je passa mon bras valide sur les épaules de mon homme et l'attira contre moi. Bon c'est vrai que la situation aurait été inversé j'aurais été dans le même état que mon homme, voir pire si c'est possible.